User:4u1e/sandbox: Difference between revisions

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La seconde caractéristique majeure de la monoplace est la présence de deux paniers latéraux logés de part et d’autre du cockpit entre les roues avant et arrière qui abritent les réservoirs d'essence et d'huile et les radiateurs d’huile. Ce centrage des masses très soigné autour du centre de gravité permettant une diminution de l’inertie polaire rend la D50 parfaitement équilibrée et maniable<ref>[http://www.autosital.com/Lancia-D50-de-1954.html Descriptif de la Lancia D50 type 1954], sur www.autosital.com, consulté le 22 juin 2011</ref>. Avec {{cvt|640|kg}}, la D50 est avantagée par rapport à ses concurrentes directes, la nouvelle [[Mercedes W196]] pesant entre 690 et {{cvt|720|kg}} (selon les versions à roues apparentes ou carénées) et la [[Maserati 250F]] autour de {{cvt|650|kg}}. Les adversaires principaux désignés de Lancia au championnat du monde sont Mercedes qui, pour son retour, a choisi comme Lancia de recourir à des solutions techniques particulièrement innovantes et coûteuses ([[Desmodromique|commande desmodromique]] des soupapes, injection directe, alliages perfectionnés, carrosserie enveloppante, inclinaison prononcée du moteur pour une meilleure aérodynamique) et Maserati, qui vient de mettre au point la 250F extrapolée de la [[Maserati A6GCM|A6GCM]]. La [[Scuderia Ferrari]], quant à elle est dans le creux de la vague. Après un règne sans partage avec la [[Ferrari 500]] en 1952 et 1953, Claudio Lampredi tente de multiples combinaisons châssis-moteur à partir de la 553 Squalo engagée à une reprise lors du dernier Grand prix de la saison 1953 et de la 625 F1, vaillante mais manquant de puissance<ref name="Gds constructeurs1954">Les Ferrari engagées en 1954, Les grands constructeurs d'Italie, {{opcit}}</ref>{{,}}<ref name="Gdes marques1954">Les Ferrari engagées en 1954, Les grandes marques, Ferrari, {{opcit}}</ref>{{,}}<ref>Présentation du Championnat 1954 par J. Rives, L'Équipe, {{opcit}} {{p.|20}}</ref>. La saison s'annonce plus ouverte que jamais puisque chacun des quatre constructeurs, afin de répondre au nouveau règlement technique concernant la cylindrée, présente une monoplace aux caractéristiques différentes : V8 pour Lancia, 8 cylindres en ligne pour Mercedes, 6 cylindres en ligne pour Maserati et 4 cylindres en ligne pour Ferrari.
 
== Caractéristiques techniques ==
[[File:Lancia - Ferrari D50 engine.JPG|thumb|left|The Jano designed V-8 in the D50]]
Il est très difficile, voire impossible, de recenser précisément les caractéristiques techniques de tous les modèles de D50. Entre 1954 et 1957, toutes les monoplaces ont été entièrement démontées puis remontées, certaines ont subi toutes les évolutions possibles (Lancia D50, D50A, D50/801), d'autres seulement des modifications partielles touchant le châssis ou le moteur à des périodes variables (par exemple, en 1955, des D50 « d'origine » côtoyaient sur les pistes des modèles D50A). En conséquence, les données techniques réunies dans le tableau ci-dessous sont susceptibles de variations d'un châssis à un autre<ref>{{in lang|en}} [http://www.f1db.com/f1/page/Ferrari_D50 Caractéristiques techniques de la Lancia D50], sur f1db.com, consulté le 22 juin 2011</ref>{{,}}<ref>Éditions Fabbri, Ferrari : le mythe, le rêve, l'histoire (2005)</ref>{{,}}<ref name="forix"/>{{,}}<ref>Caractéristiques techniques de la Lancia D50, Les grandes marques, Ferrari, {{opcit}}</ref>{{,}}<ref>Caractéristiques techniques de la Ferrari-Lancia D50, l'Automobile {{n°|402}}, décembre 1979</ref>.
 
{| class="wikitable alternance"
|-align="center"
|colspan=2 style="background:#FFCFB2;font-size:larger"|'''Caractéristiques techniques de la D50'''
|-
|align="center"|Moteur||Type DS50 puis D50A, central-avant, semi-porteur intégré au châssis dans sa partie antérieure et auquel sont fixés les éléments de la suspension, incliné de 12° par rapport à l’axe longitudinal de la voiture, bloc en alliage « siluminum », pistons en alliage léger avec 5 segments, bielles en acier trempé.
|-
|align="center"|Architecture||8 cylindres en V à 90°.
|-
|align="center"|Cylindrée<br />Alésage × Course||''DS50 1<sup>re</sup> version'' : {{cvt|2485.99|cm³}}, {{cvt|76|mm}} × {{cvt|68.5|mm}}<br>''DS50 2<sup>e</sup> version'' : {{cvt|2488.02|cm³}}, {{cvt|73.6|mm}} × {{cvt|73.1|mm}}<br> ''D50A'' : {{cvt|2477.29|cm³}}, {{cvt|74|mm}} × {{cvt|72|mm}}.
|-
|align="center"|Distribution||2 arbres à cames en tête (un par rangée de cylindres) commandés par double chaîne, 2 soupapes par cylindre, inclinées de 40° par rapport à l’axe du cylindre, soupape d’admission de {{cvt|46|mm}} de diamètre, soupape d’échappement de {{cvt|42|mm}}.
|-
|align="center"|Taux de compression||de 10,5:1 à 12:1 selon les versions.
|-
|align="center"|Allumage||double allumage (2 bougies par cylindre) [[Magneti-Marelli]].
|-
|align="center"|Puissance||première version: 250 à 255 ch à 8 000-8 200 tours par minute, 260 ch dès 1955 puis 265 ch à {{formatnum:8500}} tours par minute (le régime maximum est estimé à {{formatnum:9000}} tours par minute).
|-
|align="center"|Lubrification et<br />refroidissement||Lubrification par carter sec, radiateur d’huile dans le panier latéral gauche. Les versions ultérieures voient le radiateur déplacé à l’avant, puis sur le flanc. Refroidissement par eau en circuit forcé.
|-
|align="center"|Alimentation et<br />carburant||4 carburateurs double-corps inversés [[Solex]] 40P11 (2 par rangée de cylindres), carburant course constitué de 50 % d'essence type aviation à 130 degrés d'octane, 25 % d'essence et 25 % de méthanol fourni par [[Shell (compagnie)|Shell]] et [[Mobil]].
|-
|align="center"|Transmission et <br />boîte de vitesses||propulsion, arbre de transmission passant à gauche du cockpit. Embrayage à disques multiples fonctionnant à sec, différentiel autobloquant ZF, boîte transversale à 5 rapports plus marche arrière non synchronisée pour le premier rapport, synchronisation [[Porsche]] des rapports supérieurs. Rapports de boîte: 1<sup>re</sup> = 3,36:1; 2<sup>e</sup> = 2,39:1; 3<sup>e</sup> = 1,81:1; 4<sup>e</sup> = 1,40:1; 5<sup>e</sup> = 1,15:1.
|-
|align="center"|Châssis||châssis à structure tubulaire avec longerons et traverses en treillis d'acier (ø des éléments principaux : {{cvt|35|mm}}), moteur semi-porteur, le châssis s’arrête juste devant le train arrière de type [[de Dion]]. Longueur : {{cvt|3.85|m}}, largeur : {{cvt|1.448|m}}, hauteur : {{cvt|0.962|m}}, empattement : {{cvt|2286|mm}}, voie avant : {{cvt|1270|mm}}, voie arrière : de 1250 à {{cvt|1280|mm}}.
|-
|align="center"|Suspensions avant||à roues indépendantes avec quadrilatères déformables, triangle inférieur fixé au longeron et supérieur fixé au moteur, amortisseurs hydrauliques ''in-board'' reliés aux roues par balanciers, ressorts à lames (nombreuses modifications selon les châssis et les versions).
|-
|align="center"|Suspensions arrière||à roues semi-indépendantes de type de Dion avec bras parallèles, amortisseurs hydrauliques ''in-board'' avec ressorts à lames (nombreuses modifications selon les châssis et les versions).
|-
|align="center"|Freins||freins hydrauliques à tambours nervurés sur les quatre roues (diamètre estimé à {{cvt|35|cm}}), 4 mâchoires puis 2 (nombreuses modifications selon les châssis et les versions).
|-
|align="center"|Roues||Jantes Borrani à rayons de 16 pouces à écrou central recevant des pneumatiques [[Pirelli]] puis [[Englebert (pneumatique)|Englebert]], dimensions avant : 5,50 × 16 ou 6 × 16 et arrière : 6,50 × 16 ou 7 × 16.
|-
|align="center"|Poids||{{cvt|645|kg}} pour la Lancia en version initiale, ramené plus tard à {{cvt|640|kg}} puis {{cvt|600|kg}}.
|-
|align="center"|Réservoirs||deux réservoirs latéraux de {{cvt|15|kg}} dont la section correspond à la largeur des pneumatiques, logés entre les trains avant et arrière. La capacité initiale de 160/{{cvt|180|litres}} est portée à {{cvt|200|litres}} après le premier Grand Prix. La version Ferrari adopte un réservoir unique arrière de {{cvt|190|litres}}.
|-
|align="center"|Vitesse maximale||{{cvt|290|km/h}} pour la Lancia puis {{cvt|300|km/h}} pour la version la plus puissante. {{cvt|100|km/h}} en 1<sup>re</sup>; {{cvt|140|km/h}} en 2<sup>e</sup>; {{cvt|190|km/h}} en 3<sup>e</sup>; {{cvt|250|km/h}} en 4<sup>e</sup>; 290-{{cvt|300|km/h}} en 5<sup>e</sup>
|}
 
==== Une première course encourageante pour la Scuderia Lancia ====
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{{clr}}
 
== Caractéristiques techniques ==
[[File:Lancia - Ferrari D50 engine.JPG|thumb|left|The Jano designed V-8 in the D50]]
Il est très difficile, voire impossible, de recenser précisément les caractéristiques techniques de tous les modèles de D50. Entre 1954 et 1957, toutes les monoplaces ont été entièrement démontées puis remontées, certaines ont subi toutes les évolutions possibles (Lancia D50, D50A, D50/801), d'autres seulement des modifications partielles touchant le châssis ou le moteur à des périodes variables (par exemple, en 1955, des D50 « d'origine » côtoyaient sur les pistes des modèles D50A). En conséquence, les données techniques réunies dans le tableau ci-dessous sont susceptibles de variations d'un châssis à un autre<ref>{{in lang|en}} [http://www.f1db.com/f1/page/Ferrari_D50 Caractéristiques techniques de la Lancia D50], sur f1db.com, consulté le 22 juin 2011</ref>{{,}}<ref>Éditions Fabbri, Ferrari : le mythe, le rêve, l'histoire (2005)</ref>{{,}}<ref name="forix"/>{{,}}<ref>Caractéristiques techniques de la Lancia D50, Les grandes marques, Ferrari, {{opcit}}</ref>{{,}}<ref>Caractéristiques techniques de la Ferrari-Lancia D50, l'Automobile {{n°|402}}, décembre 1979</ref>.
 
{| class="wikitable alternance"
|-align="center"
|colspan=2 style="background:#FFCFB2;font-size:larger"|'''Caractéristiques techniques de la D50'''
|-
|align="center"|Moteur||Type DS50 puis D50A, central-avant, semi-porteur intégré au châssis dans sa partie antérieure et auquel sont fixés les éléments de la suspension, incliné de 12° par rapport à l’axe longitudinal de la voiture, bloc en alliage « siluminum », pistons en alliage léger avec 5 segments, bielles en acier trempé.
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|align="center"|Architecture||8 cylindres en V à 90°.
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|align="center"|Cylindrée<br />Alésage × Course||''DS50 1<sup>re</sup> version'' : {{cvt|2485.99|cm³}}, {{cvt|76|mm}} × {{cvt|68.5|mm}}<br>''DS50 2<sup>e</sup> version'' : {{cvt|2488.02|cm³}}, {{cvt|73.6|mm}} × {{cvt|73.1|mm}}<br> ''D50A'' : {{cvt|2477.29|cm³}}, {{cvt|74|mm}} × {{cvt|72|mm}}.
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|align="center"|Distribution||2 arbres à cames en tête (un par rangée de cylindres) commandés par double chaîne, 2 soupapes par cylindre, inclinées de 40° par rapport à l’axe du cylindre, soupape d’admission de {{cvt|46|mm}} de diamètre, soupape d’échappement de {{cvt|42|mm}}.
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|align="center"|Taux de compression||de 10,5:1 à 12:1 selon les versions.
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|align="center"|Allumage||double allumage (2 bougies par cylindre) [[Magneti-Marelli]].
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|align="center"|Puissance||première version: 250 à 255 ch à 8 000-8 200 tours par minute, 260 ch dès 1955 puis 265 ch à {{formatnum:8500}} tours par minute (le régime maximum est estimé à {{formatnum:9000}} tours par minute).
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|align="center"|Lubrification et<br />refroidissement||Lubrification par carter sec, radiateur d’huile dans le panier latéral gauche. Les versions ultérieures voient le radiateur déplacé à l’avant, puis sur le flanc. Refroidissement par eau en circuit forcé.
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|align="center"|Alimentation et<br />carburant||4 carburateurs double-corps inversés [[Solex]] 40P11 (2 par rangée de cylindres), carburant course constitué de 50 % d'essence type aviation à 130 degrés d'octane, 25 % d'essence et 25 % de méthanol fourni par [[Shell (compagnie)|Shell]] et [[Mobil]].
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|align="center"|Transmission et <br />boîte de vitesses||propulsion, arbre de transmission passant à gauche du cockpit. Embrayage à disques multiples fonctionnant à sec, différentiel autobloquant ZF, boîte transversale à 5 rapports plus marche arrière non synchronisée pour le premier rapport, synchronisation [[Porsche]] des rapports supérieurs. Rapports de boîte: 1<sup>re</sup> = 3,36:1; 2<sup>e</sup> = 2,39:1; 3<sup>e</sup> = 1,81:1; 4<sup>e</sup> = 1,40:1; 5<sup>e</sup> = 1,15:1.
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|align="center"|Châssis||châssis à structure tubulaire avec longerons et traverses en treillis d'acier (ø des éléments principaux : {{cvt|35|mm}}), moteur semi-porteur, le châssis s’arrête juste devant le train arrière de type [[de Dion]]. Longueur : {{cvt|3.85|m}}, largeur : {{cvt|1.448|m}}, hauteur : {{cvt|0.962|m}}, empattement : {{cvt|2286|mm}}, voie avant : {{cvt|1270|mm}}, voie arrière : de 1250 à {{cvt|1280|mm}}.
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|align="center"|Suspensions avant||à roues indépendantes avec quadrilatères déformables, triangle inférieur fixé au longeron et supérieur fixé au moteur, amortisseurs hydrauliques ''in-board'' reliés aux roues par balanciers, ressorts à lames (nombreuses modifications selon les châssis et les versions).
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|align="center"|Suspensions arrière||à roues semi-indépendantes de type de Dion avec bras parallèles, amortisseurs hydrauliques ''in-board'' avec ressorts à lames (nombreuses modifications selon les châssis et les versions).
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|align="center"|Freins||freins hydrauliques à tambours nervurés sur les quatre roues (diamètre estimé à {{cvt|35|cm}}), 4 mâchoires puis 2 (nombreuses modifications selon les châssis et les versions).
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|align="center"|Roues||Jantes Borrani à rayons de 16 pouces à écrou central recevant des pneumatiques [[Pirelli]] puis [[Englebert (pneumatique)|Englebert]], dimensions avant : 5,50 × 16 ou 6 × 16 et arrière : 6,50 × 16 ou 7 × 16.
|-
|align="center"|Poids||{{cvt|645|kg}} pour la Lancia en version initiale, ramené plus tard à {{cvt|640|kg}} puis {{cvt|600|kg}}.
|-
|align="center"|Réservoirs||deux réservoirs latéraux de {{cvt|15|kg}} dont la section correspond à la largeur des pneumatiques, logés entre les trains avant et arrière. La capacité initiale de 160/{{cvt|180|litres}} est portée à {{cvt|200|litres}} après le premier Grand Prix. La version Ferrari adopte un réservoir unique arrière de {{cvt|190|litres}}.
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|align="center"|Vitesse maximale||{{cvt|290|km/h}} pour la Lancia puis {{cvt|300|km/h}} pour la version la plus puissante. {{cvt|100|km/h}} en 1<sup>re</sup>; {{cvt|140|km/h}} en 2<sup>e</sup>; {{cvt|190|km/h}} en 3<sup>e</sup>; {{cvt|250|km/h}} en 4<sup>e</sup>; 290-{{cvt|300|km/h}} en 5<sup>e</sup>
|}
 
== Pilotes qualifiés en championnat du monde sur monoplace D50 ==
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|}
</center>
 
===Non-championship results===
([[:Template:F1 driver results legend 3|key]]) (results in '''bold''' indicate pole position; results in ''italics'' indicate fastest lap)
{| class="wikitable" style="text-align:center; font-size:95%"
!Year
!Event
!Venue
!Driver
!Result
!Category
!Report
|-
|1966
|[[South African Grand Prix]]
|[[Prince George Circuit|East London]]
|[[Jack Brabham]]
|style="background:#EFCFFF;"|'''''Ret'''''
|[[Formula One]]
|[[1966 South African Grand Prix|Report]]
|-
|1966
|Sandown Park Cup
|[[Sandown Raceway|Sandown]]
|[[Jack Brabham]]
|style="background:#EFCFFF;"|Ret
|[[Tasman Series]]
|
|-
|1966
|South Pacific Trophy
|[[Longford Circuit|Longford]]
|[[Jack Brabham]]
|style="background:#FFDF9F;"|3
|[[Tasman Series]]
|
|-
|1966
|[[1966 Syracuse Grand Prix|Syracuse Grand Prix]]
|[[Syracuse Circuit]]
|[[Jack Brabham]]
|style="background:#EFCFFF;"|Ret
|[[Formula One]]
|
|-
|1966
|[[BRDC International Trophy]]
|[[Silverstone Circuit|Silverstone]]
|[[Jack Brabham]]
|style="background:#FFFFBF;"|'''''1'''''
|[[Formula One]]
|[[XVIII BRDC International Trophy|Report]]
|-
|1966
|10 Lap Racing Car Event
|[[Surfers Paradise Raceway|Surfers Paradise]]
|[[Jack Brabham]]
|style="background:#FFFFFF;"|DNF
|[[Formula Libre]]†
|
|-
|1966
|[[Oulton Park Gold Cup]]
|[[Oulton Park]]
|[[Jack Brabham]]
|style="background:#FFFFBF;"|1
|[[Formula One]]
|
|-
|1967
|[[Oulton Park Gold Cup]]
|[[Oulton Park]]
|[[Frank Gardner (driver)|Frank Gardner]]
|style="background:#EFCFFF;"|Ret
|[[Formula One]]
|
|-
|1967
|[[Spanish Grand Prix]]
|[[Circuito Permanente Del Jarama|Jarama]]
|[[Jack Brabham]]
|style="background:#FFDF9F;"|3
|[[Formula One]]
|[[1967 Spanish Grand Prix|Report]]
|}
 
† This race was a support to the 1966 Surfers Paradise Trophy, 14 August 1966
 
== Bibliographie ==