« Árpád Szenes » : différence entre les versions

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| lieu de naissance = [[Budapest]], [[Autriche-Hongrie]]
| date de décès = {{date|16|janvier|1985}}
| lieu de décès = [[{{arrondissement|14|Paris]]}}, [[France]]
| nationalité =
| activités = [[Artiste peintre|Peintre]]
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'''Árpád Szenes''' est un [[artiste peintre|peintre]] [[art abstrait|non figuratif]] français d'origine [[Hongrie|hongroise]], appartenant à la nouvelle [[École de Paris]], né le {{date|6|mai|1897}} à [[Budapest]] et mort à [[Paris]] le {{date|16|janvier|1985}}<ref>[https://archives.paris.fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YTo2OntzOjQ6ImRhdGUiO3M6MTA6IjIwMjMtMDktMDEiO3M6MTA6InR5cGVfZm9uZHMiO3M6MTE6ImFya29fc2VyaWVsIjtzOjQ6InJlZjEiO2k6NDtzOjQ6InJlZjIiO2k6MjczNjQxO3M6MTY6InZpc2lvbm5ldXNlX2h0bWwiO2I6MTtzOjIxOiJ2aXNpb25uZXVzZV9odG1sX21vZGUiO3M6NDoicHJvZCI7fQ==#uielem_move=-1304%2C-545&uielem_islocked=0&uielem_zoom=190&uielem_brightness=0&uielem_contrast=0&uielem_isinverted=0&uielem_rotate=F Archives en ligne de Paris, {{14e}} arrondissement, année 1985, acte de décès {{numéro|171}}, cote 14D 651, vue 18/31]</ref>. Szenes et [[Maria Elena Vieira da Silva|Maria Helena Vieira da Silva]], qui se sont rencontrés à Paris en 1928 et mariés en 1930, forment l'un des plus célèbres couples de peintres de l'art contemporain. Une fondation réunit à [[Lisbonne]] ([[Portugal]]) leurs deux noms et leurs deux œuvres. Szenes pensait que {{Citation|les peintres vivent peut-être vieux parce qu'ils font un métier non violent et contemplatif… Il faut vivre longtemps pour avoir le temps de faire beaucoup de bêtises et quelques chefs-d'œuvre <ref group="note">entretien avec Chiara Calzetta Jaeger en 1982</ref>.}}
 
== Premières années ==
 
Árpád Szenes naît le [[{{date|6 mai]] 1897}} à [[Budapest]] (Hongrie) dans une famille d'intellectuels et d'artistes. Son père est ingénieur, sa mère musicienne, un de ses oncles est à la fois compositeur et musicien. Un cousin du père ainsi que ses enfants font de la sculpture, un autre est metteur en scène, directeur de théâtre, ami d'[[Erwin Piscator]] et de [[Max Reinhardt (metteur en scène)|Max Reinhardt]]. Árpád reconnaît qu'il est issu d'un milieu privilégié et que dès son enfance, il a été fasciné par l'art dont il était entouré <ref name="CP 11">{{harvsp|Collectif Paris|2000|p=11|id=CP}}</ref>. Lui-même joue du piano dès l'âge de quatre ans et pendant dix ans. Mais surtoutSurtout il dessine spontanément des portraits que ses parents conservent précieusement. Aussi loin que remonte la mémoire de l'artiste, il lui semble qu'il a toujours dessiné et peint. Dans sa famille il fréquente un milieu cosmopolite, rencontrant Marie Cuttoli et les [[Pitoëff]]. Très tôt il manifeste des dons pour le dessin et la peinture
 
Enfant unique, il est très entouré. Son père lui fait découvrir l'art classique, et plus tard, après la mort de son père Desider Bokros-Bierman lui fait découvrir l'art contemporain international. Il rencontre Boros-Bierman à l'armée où il est entré pour faire son service militaire. Mais aprèsAprès un début dans la cavalerie, Szenes blessé, et également atteint de tuberculose, ne retourne pas au combat<ref name="Jocelyne 76">{{harvsp|Jocelyne François|1973|p=76|id=Jocelyne}}</ref>.
 
Après avoir effectué de 1916 à 1918 son service militaire, il entre à l'« Académie libre » de Budapest où il a pour professeur [[József Rippl-Rónai]], ami de [[Henri Matisse]], [[Aristide Maillol]], [[Albert Marquet]], [[Pierre Bonnard]] et d'[[Édouard Vuillard]]. József initie le jeune artiste aux recherches de l'[[École de Paris]] d'avant 1914<ref name="Jocelyne 76"/>. Árpád découvre en même temps la musique de [[Béla Bartók]], [[Zoltán Kodály]] ainsi que les premiers pas du mouvement [[Dada]] avec l'artiste [[Lajos Kassák]] qui est en relation avec [[Jean Arp]] et les artistes qui vontcréent créerensuite le [[Bauhaus]]<ref name="CP 11"/>.
 
Lors de la révolution d'{{date-|Octobre 1919}} en Hongrie il découvre les recherches de son temps : cubistes, futuristes, constructivistes, à travers la multitude d'affiches dont se couvrent les murs de Budapest. Ceci va l'aideraide à mieux discerner sa propre orientation. Pour la première fois, à l'occasion d'un concours, Árpád expose des peintures abstraites au Musée [[Max Ernst]] de Budapest en 1922<ref name="Jocelyne 78">{{harvsp|Jocelyne François|1973|p=78|id=Jocelyne}}</ref>.
 
À partir de là, selon Jocelyne François, Szenes se disperse, semble perdre son temps. Cette vie commencée dans la vigueur d'un milieu intellectuel compréhensif : « Árpád la dilapide avec une joyeuse indifférence jusqu'à trente-deux ans<ref name="Jocelyne 15">{{harvsp|Jocelyne François|1973|p=15|id=Jocelyne}}</ref>. » Il multiplie les voyages, les recherches. Il perd du temps avec le sentiment que cela lui servira. Il parle plus tard de cette époque avec des détails très précis, et il semble que ces détails se cristallisent et trouvent leur unité dans la peinture qu'il entreprend autour de [[Maria Elena Vieira da Silva|Vieira da Silva]] qu'il rencontre en 1929 et qui va devenirdevient sa femme.
 
== Avec Vieira da Silva ==
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En 1928, il fréquente sans y être inscrit l'[[Académie de la Grande Chaumière]] où il rencontre [[Maria Elena Vieira da Silva]], qu'il épouse en 1930 {{Citation|Je ne connaissais pas son nom, mais j'avais parlé d'elle à ma mère, elle avait parlé de moi à la sienne. Tout de suite nous avons décidé de nous marier. C'était instinctif. Il n'y a pas de logique dans la vie. Il y a des hasards merveilleux, stupides ou terrifiants<ref name="CP 12">Árpád Szenes cité par {{harvsp|Collectif Paris|2000|p=12|id=CP}}</ref>.}}
 
Le jeune couple s'installe « Villa des Camélias », un lieu qui sert de thème aux deux peintres qui produisent une série de toiles intéressantes à rapprocher<ref name="Jocelyne 80">{{harvsp|Jocelyne François|1973|p=80|id=Jocelyne}}</ref>. Ils y ont tour à tour pour voisins [[Jules Pascin]], [[Edgard Varèse]], [[Oskar Kokoschka|Kokoschka]]. Dans les brasseries de MontmartreMontparnasse, ils côtoient les sculpteurs [[Alberto Giacometti]], [[Alexander Calder|Calder]], [[Chaim Jacob Lipchitz|Jacques Lipschitz]]. Dès cette époque Szenes réalise de nombreux portraits de sa femme au travail : de grands portraits, des dessins, des croquis. En 1930 ils séjournent plusieurs mois en Hongrie et en [[Transylvanie (région)|Transylvanie]], dans une colonie d'artistes à [[Baia Mare]] où se côtoient [[gitan]]s, [[juif]]s orthodoxes, paysans roumains, bourgeois hongrois, et artistes étrangers<ref name="Jocelyne 81">{{harvsp|Jocelyne François|1973|p=81|id=Jocelyne}}</ref>.
 
Szenes travaille en 1931 la gravure à l'« Atelier 17 » de [[Stanley Hayter|Hayter]] où il rencontre les peintres [[surréalisme|surréalistes]], [[Joan Miró|Miro]] et [[Max Ernst]]. Avec Vieira da Silva il participe aux réunions des « Amis du Monde », se liant avec [[Étienne Hajdu]], plus tard [[Maurice Estève|Estève]] et [[Edouard Pignon|Pignon]]. Jusqu'à la guerre Szenes séjourne régulièrement durant l'été avec Vieira da Silva au Portugal, s'installant en 1935 et 1936 à Lisbonne. Pour Marie Cuttoli qui crée un atelier de tapisserie, il copie en 1937 des œuvres de [[Georges Braque|Braque]] et [[Henri Matisse]] et participe la même année auprès de [[Jean Lurçat]] à des décorations pour l'[[Exposition universelle de 1937|Exposition internationale de Paris]] où les [[Sonia Delaunay|Delaunay]] ont exécuté leurs travaux monumentaux à la demande de [[Léon Blum]]<ref>{{ouvrageOuvrage |auteurlangue=fr |auteur1=[[Jean-Louis Ferrier]], [[Yann Le Pichon]] |titre=L'Aventure de l'art au {{XXe siècle}} |lieu=Paris |éditeur=[[Hachette Livre|éditions du Chêne-Hachette|lien]] éditeur= Hachette Livre|lieu= Paris|année=1988 1988|pages totales=898 |passage=358 |isbn= 2-85108-509-3}}</ref>.
 
[[Fichier:Cristoredentorurca.JPG|thumb|left| le [[Corcovado (Brésil)|Corcovado]] au [[Brésil]] ]]
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[[Fichier:Paço de São Cristóvão.jpg|thumb|right|[[Musée national du Brésil|Musée national des beaux arts de Rio de Janeiro]] où Szenes est exposé en 1944 ]]
 
L'atelier de peinture de Szenes attire jusqu'à deux cents élèves en 1944, ce qui l'oblige à en ouvrir un plus grand dans le quartier Silvestre à Rio. Szenes est exposé cette même année au [[Musée national du Brésil|Musée national des beaux arts de Rio de Janeiro]], avec une vente au profit de la [[Royal Air Force|R.A.F]]. Cette même année c'est au [[Museum of Modern Art]] de [[New York]] qu'il expose ''Atelier 17'', sélection d'œuvres qu'on retrouve l'année suivante, en 1945, à l'[[Art Institute of Chicago]], puis au [[Musée d'art de Cincinnati|Cincinnati Art Museum]]. En 1946 après une exposition particulière à la Salle des architectes de Rio de Janeiro, on retrouve cette même exposition ''Atelier 17'' au Musée de la Légion d'honneur de [[San Francisco]]. Le couple Szenes-da Silva retourne en France en 1947, avec de brefs séjourséjours au Portugal où est restée la mère de Maria Elena qui les rejoindrarejoint à Paris en 1957<ref name="Jocelyne 96">{{harvsp|Jocelyne François|1973|p=96|id=Jocelyne}}</ref>.
 
Là commence pour Szenes sa série des ''Banquets'', peintures toutes en longueur : ''Banquet 1948'', (1948), huile sur [[contreplaqué]], {{unité|47.3 × 153|cm}}<ref name="CP 95">{{harvsp|Collectif Paris|2000|p=95|id=CP}}</ref>, ''Banquet 1950'', gouache sur papier, {{unité|5.2 × 28.5|cm}}<ref name="CP 99">{{harvsp|Collectif Paris|2000|p=99|id=CP}}</ref>, ''Banquet 1950 II'', aquarelle sur papier, {{unité|2.4 × 44|cm}}<ref name="CP 102">{{harvsp|Collectif Paris|2000|p=102|id=CP}}</ref>, ''Banquet 1951'', gouache sur papier, {{unité| 8.6 × 31|cm}}<ref name="CP 109">{{harvsp|Collectif Paris|2000|p=109|id=CP}}</ref>. En 1949, l'État acquiert ''Composition (l'Atelier)'' peint en 1948, déposé au [[Musée des beaux-arts de Nîmes]]<ref name="Jocelyne 98">{{harvsp|Jocelyne François|1973|p=98|id=Jocelyne}}</ref>. C'est également en 1949 que la [[Jeanne Bucher|Galerie Jeanne Bucher]] organise une exposition particulière de son œuvre. Dans les années qui suivent, on retrouve les œuvres de Szenes exposées au Musée cantonal de Lausanne sous le titre ''Rythmes et couleurs'', à la Kunsthaus de Zurich, à Milan, à Copenhague, et à la biennale du musée d'art moderne de São Paulo, au [[Musée Solomon R. Guggenheim]] de New York, au Salon de mai à Paris.
 
== La période intense et les dernières années ==
En 1955 l'État acquiert une deuxième ''Composition'' exposée au Salon des Surindépendants, et en 1956, Szenes est naturalisé français, sa femme Maria Elena l'est aussi par un décret du {{date-|15 mai}} de cette année-là. Installés [[rue de l'Abbé-Carton]], dans une maison construite à leur usage par l'architecte Georges Johannet, le couple aménage deux ateliers et décore abondamment leurs lieux de vie de [[terre cuite|terres cuites]] et d'[[azulejos]]<ref name="Jocelyne 105">{{harvsp|Jocelyne François|1973|p=105|id=Jocelyne}}</ref>.
 
Un voyage en 1958 au Portugal et dans le sud de l'Espagne est à l'origine de développements plus paysagistes de sa peinture où commence, dans les [[années 1960]], de se multiplier en stratifications de couleurs marines ou terriennes le « Développement vertical de l'horizon ». Parmi les paysages exposés à la salle Saint-Jean de l'hôtel de ville de Paris, se trouvent ''La Vallée'', huile sur toile, (1958), {{unité|89 × 116|cm}} <ref name="CP 107">{{harvsp|Collectif Paris|2000|p=107|id=CP}}</ref>, ''Les Labours'' (1961), huile sur toile, {{unité|137 × 115|cm}}<ref name="CP 151">{{harvsp|Collectif Paris|2000|p=151|id=CP}}</ref>, ''Le Fleuve Amour'', (1961-1969), huile sur toile, {{unité|73 × 60|cm}}<ref name="CP 193">{{harvsp|Collectif Paris|2000|p=193|id=CP}}</ref>
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À partir de 1958, Szenes participe à de nombreuses expositions collectives, mais ses travaux font aussi l'objet d'expositions particulières. En 1961, à la galerie du Chêne, ([[Lausanne]]), en 1965, à la galerie La Hune, Paris, en 1968 à la National Gallery of Art de Washington, en 1969 à la galerie Jacob, Paris. En 1970, l'Inspection des Musées de province du Louvre organise la première rétrospective de son œuvre au musée des beaux-arts de Rouse, musée des beaux-arts de Rennes, musées de beaux-arts de Lille, puis en 1972-1973 la Fondation Calouste Gulbenkian de Lisbonne accueille à son tour une rétrospective de ses tableaux enrichie de dessins et œuvres anciennes<ref name="Jocelyne 117">{{harvsp|Jocelyne François|1973|p=117|id=Jocelyne}}</ref>. En 1974, à Paris, la rétrospective Árpád Szenes a lieu au [[musée d'art moderne de la ville de Paris]] tandis qu'une grande exposition est réalisée à la Fondation Calouste Gulbenkian à Lisbonne
 
Après la mort d'Árpád Szenes le [[{{date|16 janvier]] 1985}} à Paris une nouvelle rétrospective a lieu en 2000 à l'Hôtel de Ville de Paris. Szenes fait partie des peintres réunis pour l'exposition "L'Envolée lyrique, Paris 1945-1956" présentée au musée du Luxembourg ([[Sénat (France)|Sénat]]), avril-{{date-|août 2006}} (''Grand dialogue'', 1956, Musée national d'art moderne) [catalogue : {{ISBN|88-7624-679-7}}].
 
« Ce paysage se profile sur un fond de camaïeu aux nuances les plus subtiles (…) Ce gris, qui comprend en lui tant de valeurs et si diverses, gris foncés passant aux gris blancs et gris teintés, est ponctué de signes ocre, bleus, rouges, verts, bistre, qui sont autant de lumière nous guidant dans notre voyage à travers ces paysages imaginaires qu'ils éclairent d'une lueur discrète et fugitive comme autant de signaux joyeux. »
:[[Jean Grenier (écrivain)|Jean Grenier]], ''Szenes le contemplatif'', dans « {{XXes-|XX}} siècle », n°22, Paris, 1963.
 
« Progressivement, les structures s'effacent, libérant l'espace. La peinture de Szenes exalte le passage, l'évanescence du ciel et des nuages, du vent et du sable mais aussi la stabilité de la terre, en touches légères à partir d'une palette privilégiant les camaïeux subtils de gris foncé et de blancs, ponctués de signes bleus, verts, ocre ou bistre. (…) Dans les années 80, l'emploi fréquent du papier comme support pour l'huile, la [[tempera]] ou la gouache lui donne une plus grande liberté encore. »
: [[Lydia Harambourg]], ''Arpad Szenes'', dans « [[La Gazette de l'Hôtel Drouot]] », Paris, {{date-|24 mars 2000}}.
 
Une exposition des œuvres d'Árpád Szenes ainsi que de Vieira da Silva, reçues en [[dation]] par la France, a été présentée au [[Musée national d'art moderne]] ([[Centre Georges-Pompidou]]) du 1{{er}} février au {{date-|28 mars 1994}}.
 
En 2006, à la [[Jeanne Bucher|galerie Jeanne-Bucher]], une sélection de ses peintures gouaches et dessins est exposée. En 2013, on retrouve Szenes dans une exposition de groupe à la galerie Le Minotaure, du {{1er}} février au {{date-|30 mars}} : ''Artistes hongrois après-guerre à Paris'' <ref>[http://www.veroniquechemla.info/2013/03/arpad-szenes-1897-1985-peintre.html artistes hongrois à Paris galerie le Minotaure]</ref>. En 2017, le [[Musée de l'Abbaye (Saint-Claude)|musée de l'Abbaye]] de [[Saint-Claude (Jura)]] l'associe à [[Jean-Claude Bertrand (peintre)|Jean-Claude Bertrand]] dans l'exposition ''Vers une abstraction du paysage''<ref>[http://museedelabbaye.fr/expo/archives.php?expo=22 Musée de l'Abbaye de Saint-Claude, ''Jean-Claude Bertrand, Árpád Szenes - Vers une abstraction du paysage'', présentation de l'exposition, 2017]</ref>.
 
== Notes et références ==
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== Annexes ==
=== Bibliographie ===
*{{ouvrageOuvrage |langue=fr |auteurauteur1=Collectif Paris |titre=Árpád Szenes |sous-titre=[exposition, |numéroParis, d'édition=Hôtel de ville, |éditeur=Salle Saint-Jean|lien, 15 mars-18 juin 2000] éditeur=|lieu= Paris |jour=|moiséditeur=Salle Saint-Jean |année=2000|volume= |tome= |pages totales=236|passage= |lire en ligne= |consulté le=|isbn=2-912398-06-1 |id=CP}}.{{Commentaire biblio|Catalogue de l'exposition Árpád Szenes à la Salle Saint-Jean de l'[[Hôtel de ville de Paris]], du 15 mars au 18 juin 2000.}}
* {{ouvrageOuvrage |langue= |auteurauteur1=[[Claude Esteban|lien]] auteur=Claude Esteban|titre=Szenes ou les provinces gouvernées |lieu=Paris |éditeur=[[La Nouvelle Revue française|''La Nouvelle Revue Française'' n° 208||lien]] éditeur=La Nouvelle Revue française|lieuannée=1970 Paris|jour=|mois=avril |année=1970|volume= |tome= |pages totales=|passage=598-604 |lire en ligneisbn= |consulté le=|isbn=|id=Esteban}}.{{Commentaire biblio|L'article a été repris dans le catalogue de l’exposition de l'Hôtel de Ville de Paris en 2000, {{p.}}128 à 140.}}
*{{ouvrageOuvrage |langue= |auteurauteur1=Jocelyne François |titre=Árpád Szenes |sous-titre= |numéro d'éditionlieu=Paris |éditeur=[[Le Musée de poche|lien éditeur=Le Musée de poche|lieu= Paris|jour=|mois=]] |année=1973|volume= |tome= |pages totales=134|passage= |lire en ligneisbn= |consulté le=|isbn=|id=Jocelyne}}.
*{{ouvrageOuvrage |langue= |auteurauteur1=Chiara Calzetta Jaeger |titre=Árpád Szenes |sous-titre=Catalogue raisonné des dessins et des peintures|numéro d'édition= |éditeurvolume=Skira|lien2 éditeur=Skira|lieu=Lausanne Lausanne|jour=|moiséditeur=[[Skira]] |année=2006|volume=2|tome= |pages totales=1025|passage= |lire en ligne= |consulté le=|isbn=978-887624437788-7624-437-7 |id=Chiara}}.{{Commentaire biblio|Également publié aux éditions Skira de Milan, 2006, les deux tomes recensent 4937 œuvres de 1905 à 1985.}}
*{{ouvrage |langue=Ouvrage |auteur1=[[Anne Philipe|lien]] auteur1=Anne Philipe|auteur2=Guy Weelen |titre=Árpád Szenes |sous-titre=|numéro d'éditionlieu=Paris |éditeur=[[Les Éditions Cercle d'art|lien éditeur=Les Éditions Cercle d'art|lieu= Paris|jour=|mois=]] |année=1991|volume=|tome= |pages totales=342|passage= |lire en ligne= |consulté le=|isbn= 978-27022029512-7022-0295-1 |id=PW}}.
*{{ouvrage |langue=Ouvrage |auteur1=[[Pierre Georgel|lien]] auteur1=Pierre Georgel|auteur2=[[Germain Viatte|lien]] auteur2=Germain Viatte|titre=Les Dessins d'Árpád Szenes et de Vieira Da Silva au Musée national d'art moderne |sous-titre=|numéro d'éditionlieu=Paris |éditeur=Musée national d'art moderne|lien éditeur=|lieu= Paris|jour=|mois= |année=1991|volume=|tome= |pages totales=230|passage= |lire en ligneisbn= |consulté le=|isbn=|id=Georgel}}.
* ''Arpad Szenes, Peintures et Gouaches, 1930-1973'', textes de [[Jacques Lassaigne]], [[René Char]], Murilo Mendes, [[Jean Tardieu]], Guy Weelen, Jean Grenier, Musée d'art moderne de la Ville de Paris, 1974.
* [[Lydia Harambourg]], ''Árpád Szenes'', dans ''L'École de Paris 1945-1965, Dictionnaire des peintres'', Neuchâtel, Ides et Calendes, 1993 {{ISBN|2825800481}} nouvelle édition, 2010, {{p.|453-455}} {{ISBN|978-2-8258-0241-0}}.
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=== Liens externes ===
* {{Autoritéliens}}
* {{Bases art}}
* [http://www.photo.rmn.fr/cf/htm/CSearchT.aspx?Round=2&Total=49&FP=15357520&E=22S39U6BV5G4&SID=22S39U6BV5G4&New=T&Page=6 Arpad Szenes sur le site de l'agence photographique de la Réunion des Musées Nationaux (49 images)].
* [http://www.fasvs.pt/ Fondation "Arpad Szenes - Vieira da Silva"].
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{{Portail|Autriche-Hongrie|peinture|Hongrie|France}}
 
{{DEFAULTSORT:Szenes, Arpad}}
[[Catégorie:Peintre abstrait français]]
[[Catégorie:Peintre hongrois]]
[[Catégorie:Peintre non figuratif]]
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[[Catégorie:Couple d'artistes]]
[[Catégorie:Décès à 87 ans]]
[[Catégorie:Décès àdans le 14e arrondissement de Paris]]
[[Catégorie:Personnalité inhumée dans le Loiret]]