« Spartiate (1797) » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
m + modèles ouvrage |
m Typo fixing, typos fixed: méditerranée → Méditerranée, , → , |
||
Ligne 54 :
=== Une reddition héroïque à Aboukir ===
[[Fichier:Thomas Luny, Battle of the Nile2.jpg|thumb|upright=1.1|left|''La bataille du Nil'',
Le {{1er}} août 1798, lors de la [[Bataille d'Aboukir (1798)|bataille d'Aboukir]], le ''Spartiate'' est placée en troisième position sur la ligne de flotte, restée à l'ancre et qui subit l'attaque des deux bords de la part des navires de [[Horatio Nelson|Nelson]]. Il affronte ainsi successivement une dizaine de vaisseaux ennemis pendant plusieurs heures leur causant des dégâts considérables, en particulier au [[HMS Vanguard (1787)|HMS ''Vanguard'']] sur lequel se trouve Nelson, lequel sera d'ailleurs blessé. [[Maxime Julien Émeriau de Beauverger|Émeriau]] et son équipage font preuve d'une combattivité qui sera reconnue par Nelson au point que, forcé d'amener le tout nouveau [[Drapeau de la France#Les deux premiers pavillons de marine tricolores|pavillon tricolore]], au moment de rendre son épée, Émeriau se la vit refuser par le grand amiral anglais qui aurait ordonné « qu'on rende son épée à un homme si digne de la porter. »
Ligne 65 :
=== Retour en méditerranée ===
Début [[1808]], il est dans de l'escadre chargée de poursuivre le [[contre-amiral (France)|contre-amiral]] [[Zacharie Allemand]] qui a quitté [[Rochefort (Charente-Maritime)|Rochefort]] avec cinq vaisseaux pour renforcer le flotte française de
C'est ainsi qu'il se retrouve en Méditerranée, incorporé à la ''[[Mediterranean Fleet]]'' rattachée à Palerme. Il opère sur ce théâtre d'opération jusqu'à la fin des hostilités, participant entre autres à la conquête de quelques iles de [[Dalmatie]] et au blocus de Toulon.
|