Eckbolsheim

commune française du département du Bas-Rhin
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Eckbolsheim [ɛkbɔlsajm] est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est. Elle fait partie de l'Eurométropole de Strasbourg.

Eckbolsheim
Eckbolsheim
Une place et une église.
Blason de Eckbolsheim
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Strasbourg
Intercommunalité Eurométropole de Strasbourg
Maire
Mandat
André Lobstein
2020-2026
Code postal 67201
Code commune 67118
Démographie
Gentilé Eckbolsheimois [1]
Population
municipale
7 199 hab. (2021 en évolution de +9,16 % par rapport à 2015)
Densité 1 348 hab./km2
Population
agglomération
487 063 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 48° 34′ 47″ nord, 7° 41′ 25″ est
Altitude Min. 139 m
Max. 154 m
Superficie 5,34 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Strasbourg (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Strasbourg (partie française)
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Hœnheim
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Eckbolsheim
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Eckbolsheim
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Eckbolsheim
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Eckbolsheim
Liens
Site web https://www.eckbolsheim.com/

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace. C'est une ville située à 7,6 km de Strasbourg.

Géographie

Communes limitrophes d’Eckbolsheim
Oberhausbergen
Wolfisheim   Strasbourg
Holtzheim Lingolsheim

Urbanisme

Typologie

Eckbolsheim est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Strasbourg (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 23 communes[5] et 487 063 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française), dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[8],[9].

Occupation des sols

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (30,6 %), terres arables (26,4 %), prairies (16,8 %), zones agricoles hétérogènes (14,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (12 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,1 %)[10].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

Histoire

Toponymie

Le nom Eckbolsheim est constitué de deux termes :

  • le nom d'homme germanique « Eckibald », qui se décompose lui-même en
Eck pour pointe (fil de l’épée, épée), du mot allemand « Ecke » ou « Eck », issu du haut-allemand « ecke », qui vient lui-même du vieil allemand « ekka »
et
Bold pour audacieux, vaillant (variantes : « bald », « balt »),
  • le suffixe Heim qui signifie demeure.

Eckbolsheim signifie donc, étymologiquement : la demeure de l’audacieux (le vaillant) sachant manier l’épée.

« Eck » = « Eggi » explique l'orthographe ancienne Eggiboldesheim rencontrée en 884.

Au cours des siècles suivants, ce nom de lieu fut mentionné sous différentes formes, c’est cependant dans un document remontant à l’an 1246, émanant du pape Innocent IV, qu’apparaît le nom Eckboltzheim, toponyme ayant survécu pratiquement sans modification jusqu’à aujourd’hui. En 1517, cette localité était désignée par le nom Egöltzen. Aujourd’hui, dans le dialecte alsacien, la commune est désignée par un terme dérivé : Eckelse[12].

Autre explication : d'une racine paléo-européenne AK qui sert à nommer des lieux « hostiles » et aussi « sacrés ». Pourrait avoir fonctionné avec Achenheim et Holtzheim[13].

Eckbolsheim à travers les siècles

Dès la préhistoire, à l’époque néolithique (entre 5 000 et 3 500 ans av. J.-C.), Eckbolsheim constituait déjà une aire d’occupation humaine. Celle-ci se situait surtout le long de la Bruche, mais à l’abri des inondations. Des « fonds de cabane » contenant des céramiques rubannées ont été découvertes en 1955 et 1959. Cette occupation précoce s’explique par l’existence d’une voie celtique qui reliait Strasbourg à la vallée de la Bruche, et d’une voie romaine reliant Bâle à Cologne qui passaient toutes deux sur le territoire de l’actuelle Eckbolsheim.

En l’an 235 de notre ère, à la suite d’une invasion germanique, la VIIIe légion romaine subissait une défaite, qui conduisit à la destruction par le feu de son camp comportant des services administratifs et d’intendance, situé à Koenigshoffen. Il y a tout lieu de penser que les installations civiles de ce camp qui comportait des quartiers d’artisans et de commerçants existaient à côté de l’agglomération militaire et s’étendaient jusqu’à Eckbolsheim. En effet, c’est sur le territoire de notre commune que fut mis au jour, en 1924, un magnifique buste de l’empereur romain Pupien ; il remonte au IIIe siècle et se trouve aujourd’hui au musée archéologique de Strasbourg.

Les habitants de la commune connurent tour à tour les invasions des Germains, des Alamans, des Vandales, des Huns

Le Moyen Âge

Au début du VIIe siècle apparaît pour la première fois le nom de l’Alsace et c’est en 884, que pour la première fois aussi, la commune est citée dans un document officiel, sous le nom de Eggiboldesheim.

Du XIe au XIIIe siècle, des ordres monastiques nouveaux fondèrent des établissements en Alsace. C’est ainsi qu’un couvent fut créé à Eckbolsheim en 1224 par l’ordre des dominicaines sous le nom de Sainte-Marguerite. En raison de l’insécurité régnant dans les campagnes, il fut transféré à Strasbourg dès 1270. En 1320, une chartreuse fut fondée à Eckbolsheim mais elle fut ensuite transférée à Molsheim en 1570.

Dès le XIIe siècle, le village était pratiquement la propriété du chapitre de Saint-Thomas à Strasbourg. C’est lui qui nommait le bailli ainsi que l'écoutète (« Schultheiss »). Ce dernier était généralement un paysan dont le rôle consistait à faire respecter les droits du seigneur et à présider le « tribunal du village » qui comprenait également trois échevins (« Schöffen ») élus par les bourgeois du village. Ce tribunal était appelé à juger les questions foncières. Mais les baillis, appartenant en général aux familles Mullenheim et Girbadon, voulant s’arroger la souveraineté du village, furent très longtemps en procès avec le chapitre de Saint-Thomas à ce sujet. C’est finalement un jugement de l’évêque de Strasbourg, du 7 juin 1451, qui tranche définitivement la question en faveur du chapitre de Saint-Thomas, ce dernier gardant la propriété allodiale du village pour les terres (exemptes de toute redevance).

Les calamités n’ont cependant pas épargné Eckbolsheim. On peut noter, en particulier, les déprédations faites par les troupes qui participèrent à la bataille d’Oberhausbergen en 1262, l’incendie du village par le duc Ruprecht de Bavière en 1369, le pillage par les Armagnacs en 1439 et surtout la « guerre des paysans » en 1525. En effet, les habitants d’Eckbolsheim s’étaient joints en grand nombre aux paysans révoltés et ont pris part aux combats de Saverne, où beaucoup trouvèrent la mort.

De la Réforme à la Révolution

 
Église protestante.
 
Église catholique Saint-Cyprien (1886).

L'église d’Eckbolsheim est mentionnée pour la première fois au XIIIe siècle. Le clocher actuel de cette église fut érigé en 1523, comme en témoigne l'inscription sur le haut du portail du clocher.

La Réforme fut introduite à Eckbolsheim en 1524. Le chapitre de Saint-Thomas de Strasbourg y envoya le premier pasteur en 1535. Jusqu'en 1686, l'église sert alors uniquement au culte protestant luthérien[14].

En 1681, la république de Strasbourg capitule en faveur de Louis XIV et passe sous le contrôle du royaume de France. Ce rattachement s’applique aussi aux possessions rurales de la ville de Strasbourg et des institutions religieuses de la ville, dont le chapitre de Saint-Thomas avec son village d’Eckbolsheim.

A partir de 1683, Louis XIV impose le principe du simultaneum pour les églises protestantes en Alsace. Lorsque sept familles catholiques habitent dans une village protestant, le chœur de l’église du village doit être réservé au culte catholique, la nef étant commune aux deux cultes, catholique et protestant. L’église d’Eckbolsheim devient une église simultanée en 1686.

En 1685, le prévôt du village doit être obligatoirement catholique.

Le nombre de catholiques habitant le village augmente au cours du XVIIIe siècle. A partir de 1740, par décision du Conseil souverain d’Alsace, le tribunal du village, composé jusqu’alors uniquement de protestants, doit être composé pour une moitié de protestants et pour l’autre moitié de catholiques.

A la Révolution, 767 protestants cohabitent avec 100 catholiques.

L'église servira aux protestants et aux catholiques jusqu'à la fin du XIXe siècle. L'entretien de l'église incombait aux deux confessions. Compte tenu du développement démographique de la localité, une seconde église fut construite pour le culte catholique. La consécration de la nouvelle église catholique eut lieu le 10 octobre 1886. Le 13 avril 1891, le simultaneum fut aboli par arrêté ministériel et sa fin devient effective en 1895[14].

Les temps modernes

 
Lettre de baptême (1804).

Les XVIIIe et XIXe siècles se caractérisent par un essor agricole remarquable. Le développement artisanal et industriel est plus timide, même au XXe siècle (malterie vers 1850, équarrissage vers 1910…). Quant au développement immobilier, il a été amorcé par l’arrivée du tramway en 1893 et a été relativement important dans l’entre-deux-guerres puis en 1950 et 1960 où il s’effectue sous forme de lotissements.

Héraldique


Les armes d'Eckbolsheim se blasonnent ainsi :
« D'or à la croix patriarcale alésée de gueules accompagnée de trois monts isolés de sinople. »[15].

Le blason d'Eckbolsheim a été enregistré dans l'armorial de la Généralité d'Alsace dressé sur ordre de Louis XIV en 1696. Il porte une figure principale, à savoir une croix à double traverse dont la première est moins longue, ainsi que des figures ou ornements secondaires, c'est-à-dire trois monts, dont deux en chef (en haut) et le troisième en pointe (en bas).

En ce qui concerne la croix à double traverse, il s'agit, ainsi que le précise la description figurant dans l'Armorial, d'une croix patriarcale. Ce symbole fut sans doute attribué à Eckbolsheim parce que cette localité dépendait alors, sous l'Ancien Régime, d'une seigneurie ecclésiastique, à savoir le chapitre Saint-Thomas à Strasbourg.

Pour ce qui est des trois monts, il n'y a pas lieu de leur accorder une signification particulière. En fait, les fonctionnaires chargés de la composition des blasons – en application de l'édit de 1696 – y portaient des signes secondaires fort variés à seule fin de différencier deux blasons portant une même figure principale.

Politique et administration

Liste des « Schultheiss » (écoutètes avant 1685, prévôts à partir de 1685) sous l'Ancien Régime

Avant la Révolution française, le chapitre de Saint-Thomas à Strasbourg était le seigneur du village.

Début Fin Identité (prénom & nom) Religion Prise de fonction

(lien de parenté éventuel)

Fin de fonction
1524 1529 ? Martzolff Wolff catholique (romain) puis protestant (luthérien) ? ?
1531 ? 1532 Jerg Lienhart catholique (romain) puis protestant (luthérien) ? décès
1532 1553 Lentz Wurtz catholique (romain) puis protestant (luthérien) ?

(époux de la veuve de son prédécesseur)

décès
1553 1557 Andres Wurtz protestant (luthérien) nomination par le chapitre de Saint-Thomas

(fils de son prédécesseur)

destitution (démission forcée) par le chapitre de Saint-Thomas, pour cause d'adultère
1557 1570 Hans Hugelman protestant (luthérien) élection par les bourgeois du village puis ratification par le chapitre de Saint-Thomas décès
1571 1574 Thoman Schott protestant (luthérien) " décès
1574 1575 Jacob Hügel protestant (luthérien) " décès
1575 1586 Andres Beümel protestant (luthérien) "

(beau-fils de Hans Hugelman ci-dessus)

décès
1586 1604 Lorentz Schöttel protestant (luthérien) " décès
1604 1609 Hans Reüber protestant (luthérien) " décès
1609 1620 Hans Schöttel protestant (luthérien) "

(neveu de Lorentz Schöttel ci-dessus)

démission à cause de son âge et de sa faiblesse
1620 1620 Bastian Jörger protestant (luthérien) élection par les bourgeois du village (bourgeois ayant obtenu le plus de voix) puis ratification (29 juillet 1620) par le chapitre de Saint-Thomas refus de sa nomination (5 août 1620)
1620 1650 Lorentz Scheer protestant (luthérien) élection par les bourgeois du village puis nomination par le chapitre de Saint-Thomas (5 août 1620, second bourgeois ayant obtenu le plus de voix, après Bastian Jörger, démissionnaire, lors de l'élection de ce dernier) décès
1650 1654 Martin Schöttel protestant (luthérien) élection par les bourgeois du village puis ratification par le chapitre de Saint-Thomas

(gendre de Hans Schöttel ci-dessus)

décès
1654 1665 Michel Wurtz protestant (luthérien) " décès
1665 1674 Hans Sutor protestant (luthérien) ? décès
1674 1679 Wolff Klein protestant (luthérien) ? décès
1679 ? après 1684 Georg Scheer protestant (luthérien) ?

(fils de Lorentz Scheer ci-dessus)

destitution (?) ou démission (?) car obligation de religion catholique pour les prévôts à partir de 1685
avant 1687 après 1691 Hans Georg Klein protestant (luthérien) puis catholique (romain) nomination ?
? ? Sebastian Lienhardt catholique (romain) nomination ?
avant 1730 1750 Mathias Scheer catholique (romain) nomination décès
1750 1764 Sebastian Lienhard catholique (romain) nomination décès
1764 1789 Georg Scheer catholique (romain) nomination abolition de la fonction

Sources : Histoire d'Eckbolsheim, recherches et travaux de Jean-Pierre Nenninger et Hubert Bosch, liste en cours de construction (avril 2023) - Archives de la Ville et de la communauté urbaine de Strasbourg (archives du chapitre Saint-Thomas, dont 1AST 507 à 512, 1AST 710, 1AST 711, 1AST 588 et 1AST 589), archives départementales du Bas-Rhin (archives de la paroisse protestante d'Eckbolsheim, 2G 117 ; registres paroissiaux d'Eckbolsheim, 3E 117)

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Liste des maires successifs depuis la Révolution Française[16],[17]
Période Identité Étiquette Qualité
Charles Ernwein    
Pierre Sammel    
En cours
(au 31 mai 2020)
André Lobstein[18],[19]
Réélu pour le mandat 2020-2026
RPR puis
UMP-LR
Chef d'entreprise retraité
Conseiller général du canton de Mundolsheim (1998 → 2015)
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21].

En 2021, la commune comptait 7 199 habitants[Note 3], en évolution de +9,16 % par rapport à 2015 (Bas-Rhin : +3,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7037778059361 1481 1971 2481 3111 258
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
1 2381 3001 3401 4661 5041 5661 5881 6151 712
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8892 1692 3182 1862 3512 8213 1273 2723 514
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
4 2344 2884 1544 1045 2535 9376 3476 4586 725
2018 2021 - - - - - - -
6 9867 199-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

Événements et fêtes à Eckbolsheim

  • Le 2e dimanche de mai : Messti de la ville.

Personnalités liées à la commune

Bibliographie

  • Jean-Pierre Nenninger, Eckbolsheim Regard sur le Passé, éd. Carré Blanc.

Voir aussi

Notes et références

Notes

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. « Le nom des habitants du 67 - Bas-Rhin - Habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Unité urbaine 2020 de Strasbourg (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Strasbourg (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  12. Site officiel de Eckbolsheim.
  13. Dictionnaire étymologique
  14. a et b Histoire de la paroisse protestante d'Eckbolsheim, sur l'ancien site internet de la paroisse (avant 2021), archivé sur : https://archive.wikiwix.com/cache/index2.php?url=https%3A%2F%2Fbackend.710302.xyz%3A443%2Fhttp%2Fwww.paroisseprotestanteeckbolsheim.fr%2Funpeudhistoire%2Findex.html#
  15. Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur http://www.labanquedublason2.com (consulté le ).
  16. Histoire d'Eckbolsheim, recherches et travaux de Jean-Pierre Nenninger, décembre 2003, dans Bulletin municipal de la commune d'Eckbolsheim, n° 56, janvier 2008
  17. Liste des maires sur le site internet d'Eckbolsheim
  18. [PDF] Liste des maires au 1 avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
  19. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. (fr) « Billet de Gründonnerstag 2011 », Le Monde.fr (consulté le ).
  25. (fr) « I. Un blog sur les paysages : un petit début – ou quelle langue choisir ? », Le Monde.fr (consulté le ).
  26. (fr) « Les cloches de Pâques introuvables sur Wikipedia.fr (24.4.2011) », Le Monde.fr (consulté le ).

Liens externes

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