2018 en archéologie
Cet article présente les faits marquants de l'année 2018 en archéologie.
Chronologies
2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021 Décennies : 1980 1990 2000 2010 2020 2030 2040 Siècles : XIXe XXe XXIe XXIIe XXIIIe Millénaires : Ier IIe IIIe |
Évènements
modifier- 2 mai :
- publication de la découverte, sur le site archéologique de Kalinga d'un squelette de rhinocéros philippin vieux de 700 000 ans présentant des signes de découpe, ce qui indiquerait que des hominiens (peut-être l'Homme de Callao, peut-être l'Homme de Florès, peut-être une espèce inconnue) seraient arrivés dans l'archipel philippin beaucoup plus tôt que ce que l'on croyait[1],[2].
- publication des découvertes du site archéologique de Huanchaco au Pérou.
- Entre le 18 et le 28 septembre : découverte par le spéléologue Olivier Testa et le géoarchéologue français Richard Oslisly de la grotte d'Iroungou dans les forêts de la région de Mouila au Gabon, site archéologique médiéval du XIVe siècle, première grotte sépulcrale connue au Gabon et deuxième connue dans toute l'Afrique subsaharienne après celle de Benin City au Nigeria (découverte dans les années 1960)[3],[4].
Naissances
modifierDécès
modifierNotes et références
modifier- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « 2018 en science » (voir la liste des auteurs).
- « Un rhinocéros dévoré par des hommes il y a 700.000 ans aux Philippines », sur lefigaro.fr, (consulté le )
- « L'Homme présent dans les îles Philippines dès 700 000 ans », sur mnhn.fr, (consulté le )
- « Découverte d’une grotte sépulcrale exceptionnelle au Gabon », sur not-engineers.fr (consulté le )
- « Gabon : la grotte d'Iroungou, vestige inespéré d'une Afrique médiévale méconnue », sur francetvinfo.fr, (consulté le )