Alphonse Karr

romancier et journaliste français

Jean Baptiste Alphonse Karr, né à Paris le [1] et mort à Saint-Raphaël le [2], est un romancier et journaliste français.

Alphonse Karr
Alphonse Karr photographié par Nadar.
Fonction
Président
Ligue française contre la vivisection
à partir de
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Cimetière Alphonse-Karr de Saint-Raphaël (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Pseudonyme
Pierre RosenkranzVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Période d'activité
À partir de Voir et modifier les données sur Wikidata
Père
Enfant
Thérèse Karr (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Parentèle
Henri Karr (grand-père)
Carme Karr (nièce)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Lycée Condorcet (à partir de )Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions
signature d'Alphonse Karr
Signature

Il est le fils du compositeur français Henri Karr (1784-1843) et l'oncle de l'écrivaine féministe espagnole Carme Karr (1865-1943) et de l'écrivaine française Violette Bouyer-Karr (1875-1975).

Biographie

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Alphonse est le fils du pianiste compositeur munichois Henri Karr[3]. Il étudie à Paris au collège Bourbon[4] et, dès l’âge de vingt ans, y enseigne quelque temps, en tant que professeur suppléant[5]. Il abandonne l’enseignement pour s’adonner à la poésie, et n’écrit qu’en vers[5]. Il espère alors gagner sa vie grâce à ses poèmes, et envoie une pièce en vers au journal Le Figaro, lequel lui répond que ses vers ne seront pas publiés, et lui conseille d’écrire en prose[5]. Alphonse Karr décide de travailler ses textes en prose pour pouvoir avoir un revenu. Il réécrit Sous les tilleuls en prose[5], et se fait publier. C’est ainsi qu’en , à l’âge de 24 ans, il débute dans la littérature avec son roman le plus célèbre, Sous les tilleuls, paru en deux volumes[5], qui lui valut son entrée au Figaro.

Il se marie « fort jeune »[6] en 1834 avec la fille du notaire chez qui il travaillait à Mondoubleau et sa femme obtient sa demande de séparation par le tribunal[4]. Ils ont une fille, Jeanne Marie Louise Thérèse[7],[4], née le 2 septembre 1834 à Saint-Maur-des-Fossés[8]. Elle écrira de courts récits, des romans, et fera des traductions[7] de l’allemand[4] sous le nom de Thérèse Karr. Il écrira aussi sous divers pseudonymes, comme celui de Pierre Rosenkranz[7]. En , il participe à La Chronique de Paris, fondée par Honoré de Balzac, dont la parution ne durera que six mois, mais qui fut un joyeux intermède[9].

 
Caricature d'Alphonse Karr par B. Roubaud, av. 1848

Ami de Victor Hugo, il est un auteur dans la veine romantique. Son roman Histoire de Romain d’Étretat fait connaître Étretat, où il se rendait souvent. Par ses écrits et son réseau d’amis (des artistes, des romanciers...), il contribue aussi à la réputation de Trouville et d'Honfleur[3]. On peut même le considérer comme l’« inventeur » d’une autre station balnéaire normande, celle de Sainte-Adresse près du Havre, dont il est le conseiller municipal de à et dont il fait le lieu de plusieurs romans[3]. L'été il aimait se rendre au Boucanet pour se promener le long de la plage, il écrit notamment « Si j'avais à montrer la mer à un ami pour la première fois, c'est Le Boucanet que je choisirais »[réf. souhaitée].

Parallèlement à ses articles au Figaro, il écrit également dans les revues Entr’acte, la Revue de Paris et Le Corsaire[5], puis il signe des feuilletons dans La Presse et Le Siècle[5]. Il devient ensuite rédacteur en chef au Figaro[5], de 1836 à 1838[10].

 
Caricature d’Alphonse Karr par Touchatout dans le Trombinoscope.

De à , il publie une revue satirique, Les Guêpes (reprenant ainsi Aristophane), dont il est l’unique rédacteur, dans laquelle il vitupère contre la plupart des célébrités de son époque. C’est le second succès phénoménal de sa carrière littéraire[3]. Il y publie en janvier 1849 sa phrase : « Si l'on veut abolir la peine de mort, en ce cas, que MM. les assassins commencent : qu'ils ne tuent pas, on ne les tuera pas »[11].

En , il relate, dans le Siècle, le drame au cours duquel Léopoldine Hugo et son mari Charles Vacquerie ont trouvé la mort dans un naufrage sur la Seine, à Villequier. C’est par cet article que Victor Hugo, alors en voyage dans les Pyrénées, apprend la mort de sa fille et de son gendre.

Il participe également au journal L’Événement[12], quotidien créé par Victor Hugo en , et qui parut jusqu’en .

En , ayant fait allusion, au cours d’une visite au salon littéraire de Louise Colet, aux amours de la maîtresse de maison avec Victor Cousin, celle-ci furieuse lui donne dans le dos un coup de couteau de cuisine. Blessé sans gravité, il ne porte pas plainte mais expose le couteau sur le mur de sa chambre du no 46 rue Vivienne avec cette inscription : « Donné par Louise Colet… dans le dos[13] ».

Pour Karr, opposant à la monarchie constitutionnelle, l’abdication du roi Louis-Philippe puis l’instauration de la IIe République en est une bonne nouvelle. Il échoue de peu à être député de la Seine-Inférieure. Il fonde Le Journal pour soutenir le général Louis Eugène Cavaignac mais le périodique ne dure que trois mois[3]. Le coup d’État de 1851 par Louis-Napoléon Bonaparte, le futur Napoléon III, l’oblige à se retirer sur la côte d'Azur, alors située dans le royaume de Piémont-Sardaigne.

 
Bambusa multiplex Alphonse Karr à Zhudong (Taïwan)

Il s’installe précisément à Nice, où, tout en continuant à écrire, il loue une propriété agricole dans le quartier Saint-Étienne. Il développe une activité de floriculture ( à )[14] et il ouvre avec succès, au 8 place du jardin Public, un magasin de vente de bouquets de fleurs, de fruits et légumes, destiné à une clientèle d’hivernants[15]. Son intérêt et sa connaissance des jardins expliquent qu’une poire, la Poire Alphonse Karr, un bambou, le Bambusa multiplex Alphonse Karr, et un dahlia aient été nommés en son souvenir. Toujours ironisant, il a aussi publié un traité intitulé Comment insulter les plantes en latin.

Alphonse Karr est à l'origine de la première « Bataille des fleurs » pendant le Carnaval de Nice[16].

 
Caricature d’Alphonse Karr par Hippolyte Mailly pour le Hanneton du .

Sa fille Jeanne[17] naît en . Elle se mariera avec le peintre, photographe et architecte Léon Bouyer[17]. Ils auront trois enfants, Suzanne l’aînée (nom d’épouse Gauvin), Alphonse né en , puis Violette, née en . Violette Bouyer-Karr publiera plusieurs romans et nouvelles[18],[19], et sera membre puis secrétaire de la Société des Gens de Lettres[19].

Il quitte Nice en [20], exproprié par la construction de la gare de Nice-Ville[20], et il s’installe à Saint-Raphaël[20].

En , il assiste la famille Bayon dans l’affaire Guillaume Bayon, à Saulce-sur-Rhône, une affaire criminelle jugée par la Cour d’assises de la Drôme, le . En , il publie une lettre ouverte (JO de la Commune de Paris, ) très réticente à Thiers et proposant des mesures républicaines très radicales (suppression de l’armée, mise en loterie des biens de la couronne, etc.)

En , la Ligue populaire contre la vivisection se créait, le président d’honneur était Victor Hugo et le président en exercice l’écrivain Alphonse Karr. Comme la SPA, créée en , cette société allait veiller à la stricte application de la loi Grammont. Cette loi, qui avait été votée le par l’Assemblée nationale, punissait d’une amende de un à quinze francs, mais aussi de un à cinq jours de prison « les personnes ayant exercé publiquement et abusivement des mauvais traitements envers les animaux domestiques », une précision était apportée : la peine de prison sera toujours appliquée en cas de récidive[21].

Alphonse Karr, qui aimait jouer aux dominos, était membre du club des dominotiers, fondé vers par le sculpteur Dantan jeune.

Il avait été nommé chevalier de la Légion d’honneur, en [22], et l’Académie française lui décerne le prix Vitet en 1875.

 
Alphonse Karr par Nadar, 1865-1870

Son dernier succès littéraire, l’Esprit d’Alphonse Karr, est une simple compilation de ses bons mots[3].

Sa nouvelle Les Willis a été à la base de l’opéra Le Villi de Giacomo Puccini ().

Malade depuis plusieurs jours d’une fluxion de poitrine[17], il meurt en 1890 à l’âge de 81 ans, dans sa villa de Saint-Raphaël, appelée « Maison Close[20] », aux côtés de sa fille Jeanne, de son gendre Léon, et de ses petits-enfants[17]. Il est enterré au cimetière tout proche, auquel la commune donnera son nom[17],[23], sous une tombe en forme de tronc d’arbre[24]. Viendront reposer auprès de lui sa fille Jeanne (1852-1929), son gendre Léon Bouyer (1844-1916) et un de leurs enfants, son petit-fils Auguste (1874-1920)[24].

Peu après son décès, ses amis lancent une souscription pour édifier un monument à sa mémoire. Ils en confient la réalisation au sculpteur niçois Louis Maubert. Ce monument inauguré en 1906 a disparu, le buste en bronze représentant Alphonse Karr ayant été fondu sous Vichy lors de la Seconde Guerre mondiale pour la récupération du métal[25]. Le modèle du buste est conservé au Musée d'art et d'histoire de Draguignan[26].

Sa petite-fille, l’écrivain Violette Bouyer-Karr (1875-1975), née à la « Maison Close »[18], « se vit dans l’obligation de gérer le domaine légué par ses parents[19] ». En , un essai lui est consacré : L’humble Violette, femme forte, écrit par Françoise Grosjean[19].

Il est l'oncle de la journaliste féministe catalane Carme Karr (1865-1943).

Selon Patrice Delbourg, Karr, « avec Capus, avec Feydeau, avec Aurélien Scholl, symbolise l’esprit et l’humour du boulevard. [...] Une sorte de prince de l’esprit, d'Aristophane du trottoir[27]. » C’était un spécialiste des bons mots, tantôt moralistes, tantôt acerbes, parfois misogynes.

 
Le Grand Chemin de la postérité par Benjamin Roubaud montre Alphonse Karr représenté en fin de course tel un démon moqueur regardant la troupe formée de Victor Hugo, Théophile Gautier, Cassagnac, Francis Wey, Paul Fouché, Eugène Sue, Alexandre Dumas,Alphonse de Lamartine, Frédéric Soulié, Honoré de Balzac, Alfred de Vigny ou George Sand, 1842

Hommages

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À Saint-Maur-des-Fossés.
  • Une rue de Paris porte son nom.
  • Un bambou, Alphonse Karr, porte son nom.
  • Une rue d'Étretat porte son nom.
  • Une sente de Sainte-Adresse porte son nom.
  • Une rue de Châlons-en-Champagne porte son nom.
  • une rue à Nantes porte son nom
  • Une avenue de Saint-Maur-des-Fossés porte son nom.
  • Une rue de Saint-Raphaël (centre-ville), un collège ainsi que le cimetière où il est enterré[17],[23].
  • Une avenue près de Boulouris (Estérel Plage) ont été nommées en son honneur.
  • Une rue de Nice a été renommée en son honneur.
  • Un immeuble art déco de Nice porte le nom de "Palais Alphonse Karr". Construit en 1936, il est situé au coin de la rue Rossini et de la rue Alphonse Karr.
  • Un collège de Mondoubleau, dans le Perche du Loir-et-Cher, porte son nom. Sa femme était originaire de ce village. Ils y possédaient une maison bourgeoise au cœur du village.
  • Son vieil ami Gabriel-Vital Dubray (1813-1892) est mort alors qu'il modelait un buste destiné à orner sa tombe.
  • Un buste est installé à Saint-Raphaël (sculptrice : Alice Fagny Sapet) et un autre dans la mairie d'Étretat (sculpteur : Ugo Cipriani)
  • Un banc public porte le nom d'Alphonse Karr au Boucanet (Le Grau-du-Roi) sur la plage où il aimait se promener.
  • Un titre de l'album F.D.T du rappeur Freeze Corleone porte son nom.
  • La bande dessinée de Ghislaine Dulier et Serge Carrère, Saint-Raphaël entre Terres et Mer, Ed. Rayclame, 2019, a pour héros Alphonse Karr.

Œuvres

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Les Fleurs animées par Taxile Delord, Alphonse Karr et Granville, 1847
  • Sous les tilleuls, (lire en ligne).
  • Dieu et Diable, (lire en ligne).
  • Une heure trop tard, 1833.
  • Fa Dièze, 1834.
  • Vendredi soir, 1835.
  • Histoire de Romain d’Étretat, 1836.
  • Le Chemin le plus court, 1836.
  • Les Paysans illustres, Plutarque des campagnes, 1838.
  • Histoire de Napoléon, 1838.
  • Einerley, 1838.
  • Geneviève, 1838.
  • Clothilde, 1839.
  • Hortense, 1841.
  • Pour ne pas être treize, 1841.
  • Midi à quatorze heures, 1842.
  • Am Rauchen, 1842.
  • Feu Bressier, 1844.
  • Voyage autour de mon jardin, 1845.
  • La famille Alain, (lire en ligne).
  • Sous les orangers, 1848.
  • Le Livre des cent vérités, 1848.
  • Une heure trop tard, (lire en ligne).
  • Clovis Gosselin, 1851.
  • Raoul Desloges, 1851.
  • Les Fées de la mer, illustré par Lorentz, 1851.
  • Contes et Nouvelles, 1852.
  • Agathe et Cécile, 1853.
  • Devant les tisons, 1853.
  • Lettres écrites de mon jardin, 1853.
  • Les Soirées de Sainte-Adresse, 1853.
  • Les Femmes, 1853.
  • Histoire d’un pion, suivie de l’Emploi du temps, de Deux dialogues sur le courage et de l’Esprit des lois, ou les Voleurs volés, 1854.
  • Histoires normandes, 1855.
  • Dictionnaire du pêcheur. Traité complet de la pêche en eau douce et en eau salée, 1855.
  • Promenade hors de mon jardin, 1856.
  • Encore les femmes, 1858.
  • Une Poignée de vérités. Mélanges philosophiques, (lire en ligne).
  • Roses noires et roses bleues, 1859.
  • Au bord de la mer, 1860.
  • La Pénelope normande, pièce en 5 actes et en prose, Paris, Vaudeville, 13 janvier 1860.
  • En fumant, 1861.
  • Hortense, (lire en ligne).
  • De loin et de près, 1862.
  • Sur la plage, 1862.
  • Les Dents du dragon, 1869.
  • Les Gaietés romaines, 1870.
  • La Maison close, 1870.
  • La Queue d’or, 1871.
  • Roses noires et roses bleues, (lire en ligne).
  • La Promenade des Anglais, 1874.
  • Plus ça change et plus c’est la même chose, 1875.
  • Le Crédo du jardinier, 1875.
  • L’art d’être malheureux, (lire en ligne).
  • On demande un tyran, 1877.
  • Livre de bord, 1879-80.
  • Bourdonnements, 1880.
  • Grains de bon sens, 1880.
  • Les Cailloux blancs du Petit Poucet, 1881.
  • À l’encre verte. Miettes d’Histoire contemporaine, 1881.
  • Sous les pommiers, 1882.
  • Les points sur les i, 1882.
  • À bas les masques, 1883.
  • Dans la lune, 1883.
  • La Soupe au caillou, histoires contemporaines, 1884.
  • Roses et chardons, ou la Politique au jardin, 1886.
  • Le pot aux roses, 1887.
  • La Maison de l’ogre, 1890.
  • Hélène, 1890.
  • Au soleil, 1890.
  • Le Siècle des microbes, 1891.

Œuvres en ligne

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Notes et références

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  1. Paris, État civil reconstitué, vue 9/51.
  2. Acte de décès à Saint-Raphaël, n° 44, vue 13/153.
  3. a b c d e et f Benoît Noël, « Alphonse Karr (1808-1890) : la Pénélope Normande et les Vergissmeinnicht », Le Pays d’Auge,‎ , p. 2-13.
  4. a b c et d Charles Lefeuve, Histoire du Lycée Bonaparte Collège Bourbon, 1852.
  5. a b c d e f g et h Louis Adrien Huart et Charles Philipon, Galerie de la presse, de la littérature et des beaux-arts, volume 1, Chez Aubert, 1839.
  6. Louis Adrien Huart et Charles Philipon, Galerie de la presse, de la littérature et des beaux-arts, volume 1, Chez Aubert, 1839.
  7. a b et c Antoine Edmond Poinsot, Dictionnaire des pseudonymes, éd. Slatkine, 1887.
  8. « Licence de réutilisation d'informations publiques sans rediffusion d'images au public ou à des tiers - Archives départementales du Val-de-Marne », sur archives.valdemarne.fr (consulté le )
  9. André Maurois, Prométhée ou la vie de Balzac, Hachette, 1965, p. 308-309
  10. Fiche BnF du journal Le Figaro.
  11. Alphonse Karr, « Janvier 1849 », Les Guêpes, Michel Lévy frères, sixième série,‎ , p. 304-305 (lire en ligne)
  12. Sandrine Fillipetti, Victor Hugo, Gallimard, 2011.
  13. Bernard Vassor, l’Attentat de la rue Bréda, Louise Colet et Alphonse Karr
  14. Alphonse Karr, Promenade hors de mon jardin, Lévy, 1856, p. 154.
  15. Marie-Thérèse Dufour-Lion, Nice-Historique, 1962, p. 115-116
  16. Armindo Biao, "Le parcours des fleurs d’Alphonse Karr, de Nice, France (XIXe siècle) à Maragogipe, Bahia, Brésil (XXIe siècle)", in Fêtes, mascarades, carnavals. Circulations, transformations et contemporanéité (dir. Nathalie Gauthard), Laverune, Editions L'Entretemps, collection "Les Anthropopages", , 332 pages (ISBN 978-2-35539-176-7), pp. 198-206
  17. a b c d e et f Article du journal Le Figaro, du , consultable sur Gallica.bnf.fr.
  18. a et b [PDF] (ca) Revue Feminal n°27, du 27 juin 1909.
  19. a b c et d Présentation de l’essai de Françoise Grosjean, L’humble Violette, femme forte. Violette Bouyer-Karr (1875-1975) , Les Presses du midi, 2014, sur le site amisdejeanaicard, site des amis de Jean Aicard.
  20. a b c et d Article sur Alphonse Karr, site de la commune de Saint-Raphaël.
  21. Frédéric Vitoux, Dictionnaire amoureux des chats, Paris, Plon/Fayard, , 548 p. (ISBN 978-2-259-20686-0, lire en ligne).
  22. « Dossier dans l’ordre de la Légion d’honneur de Jean Alphonse Karr », base Léonore, ministère français de la Culture
  23. a et b Fiche du cimetière Alphonse-Karr, sur le site dossiersinventaire.regionpaca.fr.
  24. a et b Sépulture d’Alphonse Karr, sur le site tombes-sepultures.com.
  25. « Monument à Alphonse Karr – Saint-Raphaël (disparu) », sur e-monumen.net (consulté le )
  26. André Alauzen et Laurent Noet, Dictionnaire des peintres et sculpteurs de Provence-Alpes-Côte d'Azur, Marseille, Jeanne Laffitte, (1re éd. 1986), 473 p. (ISBN 978-2-86276-441-2, OCLC 920790818, BNF 40961988), p. 313
  27. Émission radiophonique Les Papous dans la tête du , France Culture.

Annexes

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Bibliographie

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Gravure pour La Pénélope normande.
  • Armindo Biao, « Le parcours des fleurs d'Alphonse Karr, de Nice France (XIXe siècle) à Maragogipe, Bahia, Brésil (XXIe siècle) », dans Nathalie Gauthard (dir.), Fêtes, mascarades, carnavals. Circulations, transformations et contemporanéité, Éditions L’Entretemps, coll. « Les Anthropophages », (ISBN 2355391769), p. 198-206.
  • Claude Duneton, « Mon ami Alphonse Karr », dans Balade dans le Var, Paris, Éditions Alexandrines, coll. « Sur les pas des écrivains », .
  • Charles-Armand Klein, Alphonse Karr, Prince de l’Esprit, Le Cherche Midi, Paris, 1994.
  • A.-J. Lorentz, Épître à mon vieux camarade Alphonse Karr. La République, J. Claye, 1873.
  • Eugène de Mirecourt, Alphonse Karr, Paris, G. Havard, , 96 p. (lire en ligne).
  • Benoît Noël, « Alphonse Karr (1808-1890) : la Pénélope Normande et les Vergissmeinnicht », Le Pays d’Auge,‎ , p. 2-13.
  • Derek P. Scales, Alphonse Karr : sa vie et son œuvre, 1808-1890, Minard, 1959.

Liens externes

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