Cosmos (essai)
Une ontologie matérialiste
Cosmos Une ontologie matérialiste | |
Auteur | Michel Onfray |
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Pays | France |
Genre | Essai |
Type de média | Livre papier |
Éditeur | Flammarion |
Collection | Essais & documents |
Date de parution | |
Type de média | Livre papier |
Couverture | Nancy Holt - Sun Tunnels |
Nombre de pages | 576 |
ISBN | 978-2-08-129036-5 |
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Cosmos, sous-titré Une ontologie matérialiste, est un essai du philosophe Michel Onfray paru en aux éditions Flammarion, qui développe sa pensée matérialiste[réf. nécessaire].
Contenu
modifierSommaire
modifierLe livre se compose de 5 parties, qui comportent chacune 5 chapitres[1].
- Préface, introduction
- Partie 1 - Le temps, une forme à priori du vivant
Résumé
modifierMichel Onfray indique que « Cosmos est [son] premier livre »[2],[3],[4],[5].
Réception, critiques
modifierQuelques mois après sa publication, il avait déjà été vendu à plus de 80.000 exemplaires, se situant au troisième rang de ses ouvrages, derrière son livre sur l’athéisme, Traité d'athéologie, de 2005 (330 000) et celui sur Sigmund Freud en 2010, Le Crépuscule d'une idole (150 000)[Passage à actualiser][6].
Le livre a reçu de nombreuses critiques, positives ou négatives[pertinence contestée][4],[7].
Dans un article du Monde diplomatique de juillet de la même année[8], l'écrivaine et journaliste Évelyne Pieiller estime que « l'athée farouche qu[e Michel Onfray] fut est désormais tout imprégné d'une spiritualité aussi vague que confuse ; le rationaliste qu'il se veut chante la louange de l'instinct silencieux ; le libertaire qu'il se proclame est devenu le héraut du respect des traditions ». Elle indique qu'avec le vitalisme mis en avant dans l'essai,
« [Michel onfray] rejoint étonnamment une certaine pensée de l'ordre, un ordre immuable, premier, seul porteur de vérité, auquel il convient de se soumettre. Exaltation de l'instinct et de l'inconscient collectif au détriment de la raison, prééminence accordée à l'animalité de l'homme, dégoût de la « civilisation », glorification de la puissance de la vie, hantise de la décadence, aspiration à retrouver un âge d'or par le retour à la tradition : autant de notions qui font écho, parfois très précisément, à une sensibilité largement déployée jadis chez Maurice Barrès, Ludwig Klages ou Oswald Spengler. »
Notes et références
modifier- « Cosmos de Michel Onfray - note de lecture », sur anthropiques.org (consulté le ).
- Cosmos. Introduction
- philomag, « Cosmos. Une ontologie matérialiste » [livre], sur Philosophie magazine (consulté le ).
- Franz-Olivier Giesbert, « Onfray, le philosophe qui secoue la France » , sur lepoint.fr, (consulté le ).
- Cosmos : Une ontologie matérialiste, Paris, Flammarion, , 576 p. (ISBN 978-2-08-129036-5, présentation en ligne)
- « Pourquoi Michel Onfray se vend bien », L'Express, (lire en ligne, consulté le ).
- « Critique littéraire du livre Cosmos ( Michel Onfray) », sur assumag.ch (consulté le ).
- Évelyne Pieiller, « Michel Onfray ou l'amour de l'ordre », Le Monde diplomatique, Le Monde diplomatique, vol. N° 736, no 7, , p. 3 (ISSN 0026-9395, lire en ligne , consulté le ).
Annexes
modifierArticle connexe
modifierLiens externes
modifier- Présentation éditeur - [présentation en ligne]
- Notices d'autorité : (SUDOC 184908434).
- Cosmos : Une ontologie matérialiste sur Google Livres.