Germaine (Aisne)

commune française du département de l'Aisne

Germaine est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Germaine
Germaine (Aisne)
Mairie.
Blason de Germaine
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Saint-Quentin
Intercommunalité Communauté de communes du Pays du Vermandois
Maire
Mandat
Jean-Claude Desmasures
2020-2026
Code postal 02590
Code commune 02343
Démographie
Gentilé Germainois
Population
municipale
83 hab. (2021 en évolution de +5,06 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 48′ 43″ nord, 3° 06′ 57″ est
Altitude Min. 68 m
Max. 94 m
Superficie 4,54 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Quentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Quentin-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Germaine
Géolocalisation sur la carte : France
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Germaine
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Germaine
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Germaine

Géographie

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Représentations cartographiques de la commune
 
  La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
 
Carte OpenStreetMap
 
Carte topographique
 
Avec les communes environnantes
 
Entrée de Germaine
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes ; 5 : entrée du village.

Localisation

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Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

 
Réseau hydrographique de Germaine[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 692 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontaine-lès-Clercs à 8 km à vol d'oiseau[3], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 683,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Germaine est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[8]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,9 %)[11].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Germaine apparaît en 1135 sous le nom de Alodium de Germania dans une charte de l'abbaye de Prémontré puis Germania, Germaines, Geremonia, Germainnes, Villa de Germanus, Germainez, Germaine-en-Vermandois en 1743 et enfin l'appellation actuelle sur la carte de Cassini vers 1750[12].

Trace toponymique d'immigration[13] : les Germains sont représentés par cet ancien alleu, de Germani et -a (villa), « ( ferme ) des Germains »[14].

Le village a donné son nom à la rivière Germaine, « La Germaine prenait autrefois naissance à Étreillers (Aisne); elle parcourait alors une distance de 16 km et formait plusieurs étangs avant de se jeter dans la Somme à Offoy. Mais les rétrogradations successives des eaux qui l'alimentent ont réduit son cours de plus de moitié. Aujourd'hui, elle n'est plus qu'un ruisseau dont les sources émergent dans la prairie même de Douilly »[15].

Histoire

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La seigneurie de Germaine appartenait à l'abbaye de Prémontré.

Un moulin à vent en bois était situé au sud-est à mi-chemin vers Douchy et il y avait un calvaire en direction d'Oroir (aujourd'hui Foreste).

Première Guerre mondiale

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Le , moins d'un mois après la déclaration de guerre, Germaine vit l'arrivée des premiers soldats allemands[16] après la retraite de l'armée française.

Pendant 30 mois, le village se trouva en arrière du front, qui était stabilisé à une vingtaine de kilomètres à l'ouest, vers Péronne. Pendant cette période, les habitants connurent la dure loi des occupants. Des arrêtés de la Kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, la population à fournir sous peine de sanctions : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats allemands. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien. Voici des extraits d'un arrêté de la Kommandantur d'Holnon valable pour 25 communes de la région :

« Holnon le .
Tous les ouvriers et les femmes et les enfants de quinze ans sont obligés de faire travaux des champs tous les jours aussi dimanche de quatre heures du matin jusque huit heures du soir… Après la récolte les fainéants seront emprisonnés six mois. Les femmes fainéantes seront exilées à Holnon pour travailler. Après la récolte, les femmes seront emprisonnées six mois… Les enfants fainéants seront punis de coups de bâton. De plus le commandant réserve de punir les ouvriers fainéants de vingt coups de bâton tous les jours… Les ouvriers de la commune Vendelles sont punis sévèrement[17]. »

En 1916, les hommes valides avec le maire furent déportés à Briastre dans le Nord.

En , le maréchal Hindenburg décida de créer une ligne de défense à l'est du front (la Ligne Hindenburg) pour que l'armée allemande puisse s'y replier. Toute la population civile fut déportée à Maubeuge. Lors du retrait des troupes allemandes, tous les villages devaient être détruits pour ne pas servir d'abris aux troupes franco-anglaises. Le , les habitants furent conduits à la gare de Vermand, installés dans des wagons à bestiaux, emmenés à Saint-Quentin et dispersés dans des lieux occupés, jusqu'en Belgique.

En , avant le retrait des troupes allemandes sur la ligne Hindenburg, le long du canal de Saint-Quentin, toutes les maisons furent pillées et incendiées, le village fut détruit. L'église, la mairie, l'école et toutes les habitations furent dynamités et les arbres sciés à 1 m de hauteur[18].

Le village fut repris le par les troupes britanniques[19]; mais en mars 1918, les Allemands réoccupèrent le village au cours de leur dernière grande offensive (la Bataille du Kaiser), ce n'est que le que la commune de Germaine fut définitivement libérée par les Britanniques[20].

Entre-deux-guerres

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Ruines de l'église en 1920.

Après l'armistice, nombre d'habitants ne revinrent pas s'installer dans la commune, mais, grâce aux indemnités pour dommages de guerre, commencèrent une nouvelle vie en d'autres lieux. Pour les autres débuta une longue période de plus de dix ans de reconstruction des habitations (maisons provisoires), des fermes, des bâtiments publics, des routes. De 161 habitants en 1901, Germaine n'en comptait plus que 82 en 1921, soit la moitié.

Le , vu les souffrances endurées par la population pendant les trois années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune se vit décerner la Croix de guerre 1914-1918[21].

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Germaine est membre de la communauté de communes du Pays du Vermandois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Bellicourt. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[22].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Quentin, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[8]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Quentin-1 pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[8], et de la deuxième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[23].

Administration municipale

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Le nombre d'habitants de la commune étant inférieur à 100, le nombre de membres du conseil municipal est de 7[24].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  1875 Coutte[25]    
1876   Wallon[26]    
1908 1950 Joseph Deguise    
mars 2001 mars 2008 Jean-Louis Brayer    
mars 2008[27] mars 2014 Benoît Delange    
mars 2014[28] En cours
(au 12 juillet 2020)
Jean-Claude Desmasures SE Agent technique
Réélu pour le mandat 2020-2026

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

En 2021, la commune comptait 83 habitants[Note 3], en évolution de +5,06 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
157135162178190202200208189
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
184190189168195167155180174
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
16115814382110117129115111
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1171051061037567666667
2014 2019 2021 - - - - - -
778183------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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Église Saint-Martin.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
Tiercé en pairle renversé : au 1er d'azur à la bande d'argent côtoyée de deux doubles cotices potencées contre-potencées d'or, au 2e de gueules à l'épi de blé tigé et feuillé d'or, au 3e d'or à la tête coupée de cheval de tenné, allumée d'argent et bridée de gueules[33].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Germaine » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Germaine et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune ».
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Quentin », sur insee.fr (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques »  , sur Gallica, (consulté le ).
  13. Jacques Chaurand et Maurice Lebègue, Noms de lieux de Picardie, Christine Bonneton; Illustrated édition, .
  14. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations non-romanes, formations dialectales, Genève, Droz, , p. 737.
  15. « Notice historique sur le village de Douilly et ses dépendances : Margères, ancien prieuré obédiencier d'Arrouaise, puis de Corbie ; Forest et Montizelle , par Hector Josse,... », sur Gallica, .
  16. « Cartographie 1914-1918 - Carte des positions au 28 aout 1914 », sur carto1418.fr (consulté le ).
  17. « Nouvelles de France : chronique hebdomadaire de la presse française »  , sur Gallica, (consulté le ).
  18. « Carte spéciale des régions dévastées. 22 NO, Laon [Nord-Ouest] / [Service géographique de l'armée] »  , sur Gallica, (consulté le ).
  19. « La Guerre mondiale : bulletin quotidien illustré », sur Gallica, (consulté le ).
  20. « La Guerre mondiale : bulletin quotidien illustré »  , sur Gallica, (consulté le ).
  21. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
  22. « communauté de communes du Pays du Vermandois - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  24. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  25. Almanach historique administratif et commercial de la Marne de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine, Reims, 1876, p182.
  26. Almanach historique administratif et commercial de la Marne de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine, Reims, 1877, p214.
  27. Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
  28. « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Germaine », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

Articles connexes

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Liens externes

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