Patrick Ollier

homme politique français

Patrick Ollier, né le à Périgueux (Dordogne), est un homme politique français.

Patrick Ollier
Illustration.
Patrick Ollier en 2018.
Fonctions
Président de la métropole du Grand Paris
En fonction depuis le
(8 ans, 9 mois et 11 jours)
Élection
Réélection
Prédécesseur Fonction créée
Maire de Rueil-Malmaison
En fonction depuis le
(20 ans, 4 mois et 15 jours)
Élection
Réélection

3 juillet 2020
Prédécesseur Jacques Baumel
Ministre délégué aux Relations
avec le Parlement

(1 an, 5 mois et 26 jours)
Président Nicolas Sarkozy
Premier ministre François Fillon
Gouvernement Fillon III
Prédécesseur Henri de Raincourt
Successeur Alain Vidalies
Président de l'Assemblée nationale

(3 mois et 12 jours)
Législature XIIe (Cinquième République)
Prédécesseur Jean-Louis Debré
Successeur Bernard Accoyer
Président de la commission des Affaires économiques de l'Assemblée nationale

(7 ans, 10 mois et 7 jours)
Législature XIIe et XIIIe (Cinquième République)
Prédécesseur André Lajoinie
Successeur Serge Poignant
Vice-président de l'Assemblée nationale

(3 ans, 8 mois et 17 jours)
Président Laurent Fabius
Raymond Forni
Législature XIe (Cinquième République)
Député français

(5 ans)
Élection 17 juin 2012
Circonscription 7e des Hauts-de-Seine
Législature XIVe (Cinquième République)
Groupe politique UMP (2012)
R-UMP (2012-2013)
UMP (2013-2015)
LR (2015-2017)
Prédécesseur Éric Berdoati
Successeur Jacques Marilossian

(8 ans, 5 mois et 26 jours)
Élection 16 juin 2002
Réélection 10 juin 2007
Circonscription 7e des Hauts-de-Seine
Législature XIIe et XIIIe (Cinquième République)
Groupe politique UMP
Prédécesseur Jacques Baumel
Successeur Éric Berdoati

(13 ans, 11 mois et 26 jours)
Élection 12 juin 1988
Réélection 21 mars 1993
1er juin 1997
Circonscription 2e des Hautes-Alpes
Législature IXe, Xe et XIe (Cinquième République)
Groupe politique RPR
Prédécesseur Proportionnelle par département
Successeur Joël Giraud
Conseiller général des Hautes-Alpes

(8 ans, 11 mois et 16 jours)
Élection 29 mars 1992
Réélection 22 mars 1998
Circonscription Canton du Monêtier-les-Bains
Président Marcel Lesbros
Alain Bayrou
Prédécesseur Georges Kouyoumdjian
Successeur Pierre Bouvier
Maire de La Salle-les-Alpes

(11 ans, 11 mois et 22 jours)
Prédécesseur Ian Zebrowski
Successeur Alain Fardella
Biographie
Date de naissance (79 ans)
Lieu de naissance Périgueux (France)
Nationalité Française
Parti politique RPR
UMP
LR
Conjoint Michèle Alliot-Marie
Diplômé de IEP d'Aix-en-Provence
Profession Professeur d’économie

Patrick Ollier Patrick Ollier
Présidents de l'Assemblée nationale française
Maires de Rueil-Malmaison

Proche de Jacques Chaban-Delmas, il entame son parcours politique sous les couleurs de la droite gaulliste comme député des Hautes-Alpes de 1988 à 2002. Par la suite, il est député des Hauts-de-Seine de à , et maire de Rueil-Malmaison en .

Il est brièvement président de l'Assemblée nationale du 7 mars au , puis ministre chargé des Relations avec le Parlement de à dans le troisième gouvernement de François Fillon.

Il est président de la métropole du Grand Paris depuis .

Biographie

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Formation et vie privée

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Il est licencié ès sciences-économiques[1] et diplômé en 1971 de l'Institut d'études politiques d'Aix-en-Provence[2].

De son mariage le avec Dominique Figuière, il a un enfant[1]. Il est ensuite le compagnon de Michèle Alliot-Marie.

Débuts politiques

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Patrick Ollier commence sa carrière politique en , en cofondant le Mouvement des jeunes gaullistes l'Union des jeunes pour le progrès[1].

Il s'établit ensuite dans les Hautes-Alpes, où il devient secrétaire général de l'Union pour la nouvelle République pour la région Provence-Alpes-Côte d'Azur[1].

De 1970 à 1973, il est conseiller des Premiers ministres Jacques Chaban-Delmas puis Pierre Messmer. Durant le mandat du président Valéry Giscard d'Estaing, de 1974 à 1981, il est conseiller des ministres Georges Gorse, Paul Dijoud puis Alain Peyrefitte. Il s'établit alors à Rueil-Malmaison, où il est élu conseiller municipal puis nommé adjoint au maire[1].

En 1981, il est nommé conseiller auprès du président du groupe Béghin-Say[1]. Il revient en politique en 1986, en tant que conseiller pour les affaires politiques et parlementaires du président de l'Assemblée nationale, Jacques Chaban-Delmas[1].

Député des Hautes-Alpes puis des Hauts-de-Seine

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Il est ensuite élu député RPR de la deuxième circonscription des Hautes-Alpes (1988-2002), maire de La Salle-les-Alpes (1989-2001), conseiller général (1992-2001). Il permet au groupe Elf de s'implanter au Nigeria[Comment ?][3].

Après avoir envisagé de se présenter à la présidence du RPR en 1999, il soutient finalement Michèle Alliot-Marie, dont il est le directeur de campagne et le conjoint. Ils officialisent leur relation après son élection[4].

Il revient à Rueil-Malmaison, où il est élu conseiller municipal en 2001 puis maire le , en remplacement de Jacques Baumel. Il est élu député de la 7e circonscription des Hauts-de-Seine le [1]. Membre du groupe UMP, il préside la Commission de la production et des échanges puis la commission des Affaires économiques, de l'Environnement et du Territoire de l'Assemblée nationale depuis le .

Généralement candidat dans des bastions traditionnels de la droite, son parcours politique « consiste à des batailles internes avec d’autres factions de la droite » plutôt qu'à affronter la gauche dans des élections aux résultats imprévisibles. Son rival Thierry Saussez, contre lequel il avait obtenu le soutien du RPR pour succéder Jacques Baumel à la mairie de Rueil-Malmaison, le dépeint comme « un obsédé du plan de carrière qui a toujours été dans l’ombre de quelqu’un »[5].

Travail parlementaire

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Patrick Ollier est l'inventeur du « Dividende du travail », qui a été repris lors de nombreuses prises de positions gouvernementales et fait l'objet de dispositions parlementaires.

Relations avec des dirigeants africains

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Patrick Ollier est le fondateur en 2003 du groupe d’amitié France-Libye qu'il préside jusqu'en 2010[6]. Proche de Mouammar Kadhafi, auquel il considère ne plus rien avoir à reprocher, sinon « quelques reliquats de pratiques anciennes comme la torture dans les prisons », ayant « totalement renoncé » à l’action violente et au terrorisme[7],[8], Patrick Ollier effectue de nombreuses visites dans ce pays[9], parfois pour le compte de l'Élysée ou du quai d'Orsay. Il a en particulier appuyé des discussions commerciales, concernant des projets d'achat par la Jamahiriya arabe libyenne d'avions Rafale et d'hélicoptères Tigre[10], et a cherché, selon Anne Lauvergeon, PDG d'Areva à l'époque, à vendre à la Libye une centrale nucléaire[11],[12].

En dehors de la Libye, il sert régulièrement d'intermédiaire dans des conditions occultes pour de grandes entreprises françaises dans des contrats industriels en Afrique, ce qui lui vaut d’être surveillé par la Direction générale de l'Armement. Il est critiqué en 2011 pour avoir voyagé dans le jet privé d’un proche du chef d’État tunisien Ben Ali, et ce alors que des manifestations de masse étaient en cours contre le régime[5].

Énergies renouvelables

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Patrick Ollier présente, lors du débat de lois d'orientation sur les énergies en 2005, un amendement sur les énergies éoliennes, dit « amendement Ollier », pour hausser le plancher d'achat obligatoire par EDF de l'électricité produite par les parcs éoliens à plus de 30 MW (contre moins de 12 MW précédemment). Face à la levée de boucliers de la part des milieux associatifs et des organisations de défense de l'environnement et de promotion des énergies renouvelables, l'amendement est retiré par le Sénat.

Loi SRU

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Patrick Ollier a demandé plusieurs fois l'amendement de la loi SRU (solidarité et renouvellement urbains) de , et en particulier amender le quota de 20 % logements sociaux imposé aux communes françaises[13]. Ainsi, fin , un amendement à loi SRU cosigné avec Gérard Hamel en première lecture sur le projet de loi portant engagement national pour le logement (loi ENL) vise à assimiler certaines opérations d'accession sociale à la propriété à du logement social, ce que le Sénat retoque au début d'. Lors de la deuxième lecture de ce projet de loi à l'Assemblée nationale, le , Patrick Ollier dépose un amendement contre le quota de 20 % logements sociaux imposé à 740 communes.

Droit de vote des étrangers

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Patrick Ollier s'est battu tout au long de sa carrière contre le droit de vote des étrangers non-communautaires, notamment en tant que vice-président de l'UMP et en tant que député. Appelant à voter contre à de nombreuses reprises[14], il estime notamment qu'il s'agirait d'une mesure « en parfaite contradiction avec [...] notre constitution »[15].

Président de l'Assemblée nationale

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Après la démission de Jean-Louis Debré, nommé président du Conseil constitutionnel, Patrick Ollier déclare sa candidature à la présidence de l'Assemblée nationale. À l'occasion d'une primaire interne au groupe UMP, il est préféré à Claude Gaillard et Yves Bur[16]. Le , jour du scrutin dans l’hémicycle, Patrick Ollier recueille 248 voix sur 267 votants ; l'opposition ne participe pas au scrutin[17]. Dans son discours d'investiture, le nouveau président de l'Assemblée rend hommage à deux de ses prédécesseurs, Jean-Louis Debré – auquel il succède directement – et Jacques Chaban-Delmas, considéré comme son « mentor » politique.

À l'approche de l'élection présidentielle de 2007, Patrick Ollier bénéficie d'un « mandat de transition », durant lequel l'Assemblée ne se réunit pas, la session parlementaire ayant été clôturée le . À la suite de la polémique concernant les privilèges à vie dont bénéficient les présidents d'assemblée (voiture de fonction, bureau et secrétariat), il fait savoir après son élection qu'il renonce à ces avantages, étant donné le contexte particulier de sa désignation.

Candidat aux élections législatives qui suivent, il est réélu député au premier tour, avec 60,29 % des voix. Désirant conserver le « perchoir » de l'Assemblée nationale, il présente à nouveau sa candidature à l'occasion d'une nouvelle « primaire » interne au groupe UMP organisée le  ; avec 99 voix, il est battu par le président sortant du groupe UMP, Bernard Accoyer, qui est élu président de l'Assemblée six jours plus tard[18].

Ministre chargé des Relations avec le Parlement

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Lors de la formation du troisième gouvernement François Fillon, le , il est nommé ministre auprès du Premier ministre, chargé des Relations avec le Parlement. Ce gouvernement est le premier qui, en son sein, comporte deux conjoints, sa compagne Michèle Alliot-Marie étant ministre d'État, ministre des Affaires étrangères et européennes.

En février 2011, il est mis en cause, tout comme Michèle Alliot-Marie, par Le Canard enchaîné, pour avoir utilisé le jet d'un homme d'affaires présenté comme proche du président Ben Ali lors d'un voyage en Tunisie alors que la révolte était en cours[19]. En dépit de confidences faites au Journal du dimanche sur un éventuel départ du gouvernement si sa compagne partait[20],[21],[22], il conserve son poste de ministre, le jour de la démission de Michèle Alliot-Marie. Selon Le Parisien, cette dernière « a obtenu pour lui la clémence » à l'Élysée[23],[24],[25].

Retour à la députation

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Il est réélu député des Hauts-de-Seine lors des élections législatives de 2012[26], alors que sa compagne est défaite dans les Pyrénées-Atlantiques.

Lors du congrès en vue de l’élection du président de l'UMP, il dépose, le , avec Roger Karoutchi, Henri Guaino et Michèle Alliot-Marie, une motion gaulliste, « Le Gaullisme, une voie d'avenir pour la France », en vue du vote des militants instaurant des courants internes au sein du parti d'opposition[27].

En février 2013, dans le cadre de la direction « partagée » entre Jean-François Copé et François Fillon, il devient vice-président de l’UMP au titre des mouvements, lors de la seconde vague de nomination après celle de janvier, en plus du vice-président délégué Luc Chatel, en poste depuis novembre 2012.

Il conduit les élus de droite (à l'opposé de certains élus UMP tels Patrick Devedjian) qui, avec ceux de gauche, votent en faveur de la participation du syndicat d'études Paris Métropole à la mission de préfiguration de la Métropole du Grand Paris, dont Ollier est l'un des candidats possibles à la présidence, une fois acquise la révision de la loi pour donner une personnalité juridique au conseil de territoire[28].

Le , il est nommé, par le nouveau président de l'UMP Nicolas Sarkozy, délégué général aux relations avec les groupes parlementaires[29].

Il soutient Nicolas Sarkozy pour le premier tour de la primaire présidentielle des Républicains de 2016[30]. Au second tour, il soutient François Fillon. Depuis, il soutient la candidature de sa compagne et députée européenne Michèle Alliot-Marie, candidate à l'élection présidentielle[31].

Il décide de ne pas se représenter en 2017[32],[33].

Métropole du Grand Paris

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Patrick Ollier (centre) en compagnie de Valérie Pécresse (gauche) et Anne Hidalgo (droite) en .

Le , il est préféré à l'autre candidat de la droite Gilles Carrez pour devenir le premier président de la métropole du Grand Paris[34] (MGP). Patrick Ollier est élu président de la MGP le , en recueillant 192 voix parmi les 209 conseillers métropolitains[35].

Candidat à sa réélection comme maire de Rueil en vue du scrutin de 2020, il reçoit le soutien de LREM[36].

Lors du renouvellement du conseil en , il perd face à Vincent Jeanbrun à la primaire de la droite — majoritaire à la Métropole du Grand Paris — organisée pour déterminer leur candidat à la présidence[37]. Cependant, après une vive opposition face à Vincent Jeanbrun et une union autour du candidat Philippe Laurent (UDI), le groupe LR propose sa candidature dans un esprit de « rassemblement », à condition que les autres candidats encore en lice se retirent, ce qu'ils acceptent de faire[38]. Patrick Ollier est finalement réélu pour un nouveau mandat à 133 voix sur 137[39].

Plaintes

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L'association Anticor porte plainte en mars 2021 contre Patrick Ollier pour « prise illégale d'intérêts » et « détournement de fonds publics ». Des proches du maire de Rueil-Malmaison, dont son fils, pourraient avoir bénéficié de plusieurs opérations immobilières aux dépens de la commune, selon l'association[40],[41].

Le 6 octobre 2023, des agents territoriaux de la CGT locale à Rueil-Malmaison déposent une plainte pour « détournement de fonds publics » et « prise illégale d'intérêts ». La municipalité est suspectée d'employer depuis près de huit ans une trentaine d'agents administratifs sur des postes politiques, directement rattachés au cabinet de Patrick Ollier, soit dix fois plus que le seuil légal autorisé[41].

En octobre 2023, le tribunal correctionnel de Nanterre condamne le média indépendant Médiacités pour diffamation et une amende de 6000 € envers Patrick Ollier. Cette condamnation porte sur un article publié en avril 2021 par le site d'informations révélant la plainte de l'association Anticor pour « prise illégale d'intérêt », « détournement de fonds publics » et « faux et usage de faux ». Mediacités fait appel[42].

Détail des mandats

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Fonctions gouvernementales

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Fonctions parlementaires

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Mandats départementaux

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Mandats municipaux

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  •  : adjoint au maire de Rueil-Malmaison.
  •  : maire de La Salle-les-Alpes.
  •  : adjoint au maire de Rueil-Malmaison.
  • Depuis le  : maire de Rueil-Malmaison.

Fonctions politiques

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Au sein du RPR

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  •  : secrétaire général adjoint du RPR.
  •  : délégué général chargé du développement rural de l'agriculture et du tourisme.
  •  : délégué général chargé de l'agriculture, de l'aménagement du territoire et du tourisme.
  •  : délégué général, chargé de l'aménagement du territoire.
  •  : secrétaire national, chargé de l'aménagement du territoire.
  •  : membre du comité politique.

Au sein de l'UMP

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Autres responsabilités

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Œuvres

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Distinctions et honneurs

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Décorations françaises

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Décoration internationales

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Notes et références

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  1. a b c d e f g et h Who's Who in France, édition 2008, page 1681.
  2. Portrait sur le site officiel de Patrick Ollier.
  3. François-Xavier Verschave, Noir Silence, Les Arènes, 2000, p. 406.
  4. Bérengère Bonte, Hommes de…, éditions du Moment, 2015, pages 44-46.
  5. a et b Benjamin König, « Patrick Ollier, une carrière dans l’ombre », sur L'Humanité,
  6. Patrick Ollier sur le site de l'Assemblée nationale.
  7. Libération
  8. Marianne.
  9. Franck Nouchi, « L’esprit des lois », Le Monde, 23 février 2011
  10. Karl Laske, « Patrick Ollier, l’ami très personnel du régime libyen », Libération, 24 février 2011
  11. « Anne Lauvergeon charge Proglio et tacle Sarkozy », sur lejdd.fr via Wikiwix (consulté le ).
  12. « MAM en Tunisie, POM en Libye… », sur SudOuest.fr (consulté le ).
  13. « L'assouplissement de la loi SRU revient devant les députés », Le Monde, 29 mai 2006.
  14. « Site officiel de Patrick Ollier »
  15. « Pour ou contre le droit de vote des étrangers non communautaires ? », sur Le Drenche,
  16. « Patrick Ollier, favori pour l'Assemblée », L'Express, .
  17. Compte rendu intégral de la séance du mercredi 7 mars 2007 sur le site de l'Assemblée nationale.
  18. « Bernard Accoyer grimpe au perchoir devant Patrick Ollier », Libération, 21 juin 2007.
  19. MAM et Patrick Ollier se défendent sur leur voyage, lepoint.fr, 3 février 2011
  20. MAM devrait être remplacée "d’ici à lundi"
  21. Patrick Ollier : "Si MAM part, je pars"
  22. Patrick Ollier : « Si MAM part, je pars »
  23. Que va devenir Michèle Alliot-Marie ?
  24. Juppé au Quai d'Orsay, Longuet à la Défense, Guéant à l'Intérieur
  25. Gouvernement : MAM fixée ce week-end
  26. « Patrick Ollier, président de la métropole du Grand Paris », Le Moniteur,‎ (lire en ligne, consulté le )
  27. « Congrès UMP : une motion commune des différentes chapelles gaullistes »
  28. « « Grand Paris : tout commence aujourd’hui » – Patrick Ollier », La Gazette des communes, (consulté le )
  29. « Nominations »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), u-m-p.org, 21 janvier 2015.
  30. « Serge Dassault et Patrick Balkany parmi les parlementaires qui soutiennent Nicolas Sarkozy », lemonde.fr, 9 septembre 2016.
  31. Étienne Baldit, « VIDÉO - Michèle Alliot-Marie assure que Patrick Ollier la soutient (et non Fillon) pour la présidentielle », lelab.europe1.fr, 9 février 2017.
  32. A.S, « Législatives : la longue liste des députés qui ne se représentent pas », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « Résultats élections municipales 2020 du second tour, listes des candidats, dates et résultats du premier tour. », sur lemonde.fr (consulté le ).
  34. Emmanuel Galiero, « Métropole du Grand Paris : Patrick Ollier investi par les Républicains », lefigaro.fr, (consulté le )
  35. « Métropole du Grand Paris: Patrick Ollier (LR) élu président », sur Challenges, 22 janvier 2016.
  36. « Municipales à Rueil-Malmaison : le soutien de LREM à Patrick Ollier divise les Marcheurs », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  37. « Le gaulliste Patrick Ollier perd la présidence de la Métropole du Grand Paris », lemonde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  38. C. Dubois, « Patrick Ollier conserve la Métropole du Grand Paris », sur 94.citoyens.com, 94 Citoyens, (consulté le )
  39. « Patrick Ollier réélu à la tête du Grand Paris à l’issue de tractations complexes », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  40. « L'ancien ministre Patrick Ollier visé par une plainte pour "détournement de fonds publics" », sur Franceinfo,
  41. a et b Emmanuel Fansten et Stella Bandinu, « A Rueil-Malmaison, le système Ollier éclaboussé par les affaires », sur Libération (consulté le )
  42. Jacques Trentesaux, « Après sa victoire aigre‐douce contre Mediacités, Patrick Ollier face à un nouveau front judiciaire », mediacites.fr, 13 octobre 2023.
  43. « Décret du 13 juillet 2018 portant promotion et nomination », sur legiondhonneur.fr (consulté le ).
  44. CIO, « Le CIO exprime sa gratitude à la France et au comité d'organisation de Paris 2024 pour des Jeux Olympiques d'une nouvelle ère »

Voir aussi

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Liens externes

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