Tiaret
Tiaret (en arabe : تاهرت / تيارت ; en berbère : Tahert ou Tihert, ⵜⴰⵀⵔⵜ, « Lionne ») est une ville importante dans le Nord-Ouest de l'Algérie qui a donné son nom à l'immense région agricole de la wilaya de Tiaret. La ville et la région se trouvent au sud-est d'Oran et au sud-ouest de la capitale Alger, dans la région occidentale des hautes plaines, dans l'Atlas tellien et à environ 150 km de la côte méditerranéenne.
Tiaret | ||||
Tiaret. | ||||
Noms | ||||
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Nom arabe | تيارت | |||
Nom amazigh | ⵜⵢⴰⵔⵜ | |||
Administration | ||||
Pays | Algérie | |||
Wilaya | Wilaya de Tiaret | |||
Daïra | Daïra de Tiaret | |||
Code postal | 14000 | |||
Code ONS | 1401 | |||
Indicatif | 046 | |||
Démographie | ||||
Population | 201 263 hab. (2008[1]) | |||
Densité | 1 806 hab./km2 | |||
Géographie | ||||
Coordonnées | 35° 23′ 17″ nord, 1° 19′ 22″ est | |||
Altitude | Min. 970 m Max. 1 143 m |
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Superficie | 111,45 km2 | |||
Localisation | ||||
Localisation de la commune dans la wilaya de Tiaret. | ||||
Géolocalisation sur la carte : Algérie
Géolocalisation sur la carte : Algérie
Géolocalisation sur la carte : Algérie (nord)
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Située à proximité de la cité médiévale de Tahert, la ville va renaître grâce à l'émir Abdelkader qui en a fait l'une de ses capitales dans sa lutte contre les occupants français.
Étymologie
modifierTiaret provient du berbère Tahert qui signifie la « lionne », en référence aux lions de Barbarie qui vivaient dans cette région[2]. Les noms de villes ou lieux maghrébins comme Oran (Uhran) et Souk Ahras ont la même source étymologique.
Elle portait le nom de Tingartia, à la fin du IIe siècle av. J.-C. et au début du Ier siècle av. J.-C. Une présence romaine dans la région est notée au IIIe siècle[3], ce nom est par forme, d'origine berbère[2].
Géographie
modifierLa ville de Tiaret est située à l'altitude maximum de 1 143 m à Lala El Abdia (altitude du Col), sur les flancs du djebel Guezoul et à sa prtie la plus basse au sud à 980m [4] qui fait partie de la chaîne de l’Atlas tellien, boisé principalement par des variétés de cyprès et pin d’Alep.
Le climat est de type continental, sec et rigoureux en hiver il passe aussi facilement au-dessous du 0 °C qu’au-dessus de 35 °C en été ; les moyennes saisonnières sont de 6 °C pour l'hiver et 25,9 °C pour l'été.
Population
modifierEn 1925, elle comptait 15 000 habitants, puis en 1958 elle passa à 25 000 personnes[5].
Lors du recensement de 1987, elle comptait 95 821 habitants, puis 148 850 habitants en 1998 et enfin 178 915 habitants en 2008 lors du dernier recensement connu[6].
Si le taux de croissance de la population a perduré depuis au même niveau que lors de la période 1998-2008 (+1.86%/an), la population de Tiaret en 2023 pourrait être d'environ 235 000 habitants.
Urbanisme
modifierLa ville est répartie sur deux secteurs d’habitation distincts ; la vieille ville (le vieux bâti) au nord et qui s’étend vers le sud et la nouvelle zone d’habitation urbaine au sud, dominée par le fort « la Redoute ».
Une étude réalisée en 1992 par l'Université de Nice Sophia Antipolis a fait état d'importantes zones contaminées par la pollution industrielle et de la croissance des colonies de squatters à la périphérie[7].
Environnement
modifierLa ville et son environnement sont marqués par les séquelles environnementales de l'industrie : en particulier, dans la zone industrielle de Tiaret, une fonderie (Algérienne des fonderies de Tiaret ou ALFET) a été source d'une pollution durable des sols par des métaux lourds (plomb, facteur de saturnisme, zinc) et métalloïdes[8]. En 2017, l'usine qui produit des pièces moulées (fonte, acier et alliage divers, sur demande), qui étudie et conçoit des outillages métalliques pour l'industrie n'a pas de station d’épuration mais dispose dans son laboratoire d'une installation de neutralisation de l’eau[8]. Les campagnes locales d'analyse de sols (2012), (2013) et (2014) ont montré que dans les 30 premiers centimètres de sol, les teneurs en Pb dans le sol varient entre 0,00 ppm et 13,70 ppm avec une moyenne de 3,42 ±2,47 ppm, ces variations étant dues aux niveaux de retombées, mais aussi au pH et à la nature du sol plus ou moins calcaire, sableux, argileux ou limoneux. Tandis que les teneurs en Zn varient de 0,00 ppm à 21,96 ppm avec une moyenne de 7,45 ±5,02 ppm[8]. Là où la pollution par le plomb est élevée, celle par le zinc l'est également[8].
Plus au nord de la ville, la pinède est connue comme le poumon vert de Tiaret en dépit de sa superficie de seulement 35 hectares de pins. Elle concentre une faune assez variée en gibier, telle que le sanglier, le lapin de garenne, le lièvre brun, la perdrix gambra, ou encore le porc - épic à crête. Des espèces comme la gazelle de Cuvier ou la gazelle d’Orcas se font plus rares.
En matière de prédateurs connus; le renard roux, la mangouste d’Égypte et la genette sont les principales espèces. Pourtant, certains grands prédateurs comme le caracal, le loup doré d’Afrique du Nord, la zorille de Libye ou encore la hyène rayée se font plus rares.
En effet la pinède de Tiaret est menacée par l’activité humaine, étant en contact direct avec la ville. Le parc d’attraction Rostom Park en est un exemple. Fréquentée par un public nombreux, elle pollue en laissant les déchets à la fois dans le parc et la forêt, malgré les nombreuses campagnes de nettoiement. Pique-niques et barbecues sont organisés, causant parfois des feux de forêts.
Histoire
modifierLa province est habitée depuis la préhistoire et dispose de nombreux monuments mégalithiques. Le site a servi de station et fort romain, nommé Tingartia[9]. Près de Tiaret, sont présents les djeddars, qui sont d'anciens mausolées[10]. Les édifices démontrent que la région a été habitée pendant l'Antiquité tardive par des populations berbères.
Tahert, située à 10 km à l'ouest de l'actuelle Tiaret, a été la capitale de la dynastie des Rostémides entre 761 et 909[11]. Tiaret occupe un col de montagne stratégique à 1 083 mètres[12], et était donc une clé fondamentale dans la domination du Maghreb central. Plus tard, à partir du début du VIIIe siècle, elle fut aussi un relais capital du commerce transsaharien qui comprenait l’or, l'ivoire et les esclaves africains et engagée dans le commerce avec d’autres parties du monde musulman. En 909, Tahert est ruinée par l'attaque des berbères Kutama, alliés aux Fatimides[13]. La plus grande partie de la population s'est exilée à Sedrata (prés d'Ouargla), puis au Mzab[14].
Par la suite, elle est administrée par le royaume zianide de Tlemcen, et au XVIe siècle, elle est prise par l'Empire ottoman. Le 24 mai 1841, la ville est prise et détruite par le corps expéditionnaire organisé par le gouverneur général Bugeaud et le général de Lamoricière, après avoir vaincu l'émir Abdelkader.
La ville moderne de Tiaret est construite autour d'une redoute française de 1845. Le général de Lamoricière décide d'établir sur cette hauteur, comme les Romains auparavant, une citadelle entourée de remparts qui doit permettre le contrôle des tribus de la région, de la grande voie du sud entre la Tunisie et le Maroc et de la piste des nomades sahariens. Le Général relève les plans des ruines de la ville romaine. Une plaque apposée à l'entrée de la citadelle rappellera ces événements. Cette ville militaire c'est la "Redoute" pour les Tiarétiens. Une nouvelle ville moderne va être construite sous la Redoute, vers la plaine.
Tiaret devient alors de par ses nombreux surnoms, la capitale des Hauts Plateaux du Sud Oranais, le balcon du Sud, la porte du Sahara. La ville nouvelle a attiré de nombreux colons de France et la région a prospéré[15]. Un chemin de fer à voie étroite de 200 km relie en 1889 la ville à Mostaganem, cette ligne est aujourd'hui désaffectée[3].
En 1861, un adjoint civil est nommé en la personne de Jules Escoffier, devenant le premier maire de Tiaret. Louis Gorsse est le dernier maire européen en 1958. Entre-temps en 1869, elle passe au statut de commune de plein exercice et accède donc à la vie municipale puis nommée sous préfecture passant à préfecture le 28 juin 1956 comprenant 4 zones qui sont Tiaret, Frenda, Vialar et Aflou.
En 1925, le gouverneur général de l’Algérie de l’époque Maurice Violette (1925-1927) visite la ville.
Le 8 octobre 1958, le général Charles de Gaulle vient à Tiaret où la population a voté Oui à 99% concernant le référendum sur la nouvelle Constitution[5].
Le 25 juillet 1962, dès l’indépendance, Ahmed Ben Bella se rend à Tiaret n’étant pas encore président de la république algérienne démocratique et populaire, présentant le bureau du FLN [16].
Abdelmadjid Tebboune, dirigea la ville en tant que wali de 1984 à 1989 et deviendra ensuite président du pays en 2019.
Enfin, Abdelaziz Bouteflika, président de la république algérienne durant ses visites, se rend à Tiaret le 24 mars 2009, concernant un séminaire sur la réconciliation nationale et la paix, contre l’ex - FIS en pleine campagne électorale à sa réélection pour un troisième mandat présidentiel [17],[18]. Puis le 18 février 2019, parlant d’unité et de consensus national [19].
Tiaret, comme tout le reste de l’Algérie proteste vivement contre un cinquième mandat d’Abdelaziz Bouteflika [20],[21].
Après l’indépendance de l’Algérie, la ville de Tiaret a perdu certains grands édifices de sa période coloniale telle que le coq du monuments aux morts actuellement dans la commune de Briey, en France[22]. L’Église Sainte-Madeleine érigée en 1886 avec deux cloches de 300 et 400kg, atteignant sa forme définitive qu’en 1935 avec l’apport d’un troisième clocher, puis démolie en 1974 [23], pour être remplacée par la mosquée Salah Eddine El-Ayoubi ou encore la synagogue de Tiaret devenue un conservatoire musical.
La wilaya de Tiaret a subi de nombreux massacres, tueries et des attentats à la bombe durant la guerre civile algérienne.
Le 31 août 2017, Tiaret subit un attentat-suicide faisant 3 morts dont le terroriste[24].
Transports
modifierLa ville est desservie par l'aéroport de Tiaret - Abdelhafid Boussouf Bou Chekif, situé à 11 km au sud-est de la ville sur la commune d'Aïn Bouchekif.
La gare de Tiaret, située au sud-est de la ville à proximité de la rocade, est toujours en construction en 2024. Située sur la nouvelle rocade ferroviaire des Hauts Plateaux, elle permettra de rejoindre Saïda à l'ouest et Tissemsilt à l'est une fois les lignes de Saïda à Tiaret et de Tissemsilt à Tiaret achevées, probablement à l'horizon 2025. Une autre ligne ferroviaire devant relier Tiaret à Relizane est en construction.
Éducation
modifierL’université Ibn Khaldoun de Tiaret est créée en 2001, le premier centre universitaire de la ville date de 1980. L’université compte 27 filières dans différentes spécialités réparties entre six facultés et trois instituts[25].
L'Institut d'études nationales de Tiaret détient 25 000 volumes dans sa bibliothèque.
La jumenterie de Tiaret
modifierLe Haras national de Chaouchaoua, aussi connu sous le nom de « Jumenterie de Tiaret », a été créé en 1877 par le ministère français de la guerre[26]. Le haras est l’un des plus importants centres de production équestre. Le centre dispose d’un atelier de production de matériel et outils indispensable à l’élevage de chevaux, d’un espace de dressage et d’entraînement. Son but est de fournir à l'armée française des chevaux. Il fait naître jusqu'à 22 000 poulains par an au début du xxe siècle, il s’agit de montures militaires (Barbe, Arabe et Arabe-Barbe) ou de chevaux de travail agricole.
Lors de l'indépendance de l'Algérie en 1962, Chaouchaoua devient un haras national algérien. La mécanisation diminue drastiquement ses activités et le nombre de chevaux hébergés, qui tombe à 208 (dont une moitié de pur-sang arabes) fin 2018.
La jumenterie de Tiaret fait référence au cheval arabe caractérisé par sa petite taille, fort dynamique et intelligent ce qui le différencie des autres chevaux. Introduit durant le développement islamique au nord de l’Afrique, le cheval arabe est d’origine du plateau de l’Asie moyenne puis il s’est propagé en Asie mineure, en Turquie, en Égypte, en Afrique du Nord et du Sud et en l’Europe.
Personnalités liées à Tiaret
modifierPersonnalités politiques
modifier- Chaâbane Aït Abderrahim (1939-2009), homme politique algérien, wali de M’Sila, Constantine et Alger ;
- Abdellah Arbaoui, homme politique algérien et premier secrétariat d'état à l'hydraulique ;
- Abderrahmane Benkhalfa, expert financier et ministre des Finances ;
- Marie-Claire Boyet (1924-1957), militante pour l'indépendance de l'Algérie ;
- Saâd Dahlab, homme politique et nationaliste algérien ;
- Zohra Drif, militante de l'indépendance algérienne, avocate et femme politique algérienne, ancienne sénatrice et ancienne vice-présidente du conseil de la nation ;
- Abdelkader Hadjar, diplomate et homme politique algérien ;
- Tahar Hadjar, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique ;
- Ali El Hammami (1902-1949), intellectuel, militant anticolonialiste et défenseur de l'unité maghrébine d'origine algérienne ;
- Djillali Kaddari (1914-1962), homme politique, député et sénateur français ;
- Ahmed Kaïd, indépendantiste et homme politique algérien, membre du FLN.
Personnalités du monde de la culture et des sciences
modifier- Hamid Baroudi, chanteur du genre musical ethno-pop ;
- Malika Belbey (née en 1969), actrice ;
- Sultana Daoud dite Reinette l'Oranaise, chanteuse et compositrice juive d'Algérie ;
- Lise Enjalbert (1916-2015), professeure de virologie, peintre et historienne ;
- Hamza Feghouli, acteur algérien connu par le rôle de Mma Messaouda ;
- Khaled Habib, réalisateur, compositeur, auteur-compositeur-interprète et acteur ;
- Ali El Hamamy, journaliste, écrivain, et nationaliste algérien, il est l’un des premiers intellectuels à appeler à l’émergence d’un grand Maghreb uni[27] ;
- Juda ibn Quraysh, grammairien, lexicographe, et pionnier de la philologie hébraïque ;
- Mostefa Khiati, professeur de médecine ;
- Ali Maâchi, chanteur, parolier, compositeur, instrumentiste et interprète[28] ;
- Charles Maillard (1887-1973), peintre ;
- Robert Martin (1915-2002), galeriste.
Personnalités du monde du sport
modifier- Mohamed Banus (né en 1947), footballeur ;
- Abassia Belabbès, handballeuse, équipe nationale de 1967 à 1978 ;
- Saïd Belhout (né en 1971), marathonien ;
- Benali Benamar (né en 1995), footballeur ;
- Tahar Benferhat, footballeur ;
- Khelifa Benmessaoud (né en 1951), footballeur ;
- Djamel Dahou, champion de boxe ;
- Yahia Djilali (né en 1975), footballeur ;
- Sofiane Feghouli, footballeur franco-algérien dont le père est originaire de Tiaret[29] ;
- Nadia Khadem (née en 1970), judokate ;
- Imane Khelif, boxeuse, championne olympique ;
- Abdelkrim Laribi dit Krimo (1943-1995), footballeur ;
- Émile Lopez (1908-1960), footballeur ;
- Mohamed Messaoud (né en 1981), footballeur ;
- François Ponthieu (né en 1962), avocat en droit du sport ;
- Moussa Saïb, footballeur ;
- Djamel Sedjati, athlète, spécialiste du 800 mètres ;
- Kamel Soltani (né en 1991), footballeur ;
- Salah Tas (né en 1948), footballeur ;
- Mohamed Yaghni (né en 1988), footballeur.
Notes et références
modifier- « Wilaya de Tiaret : répartition de la population résidente des ménages ordinaires et collectifs, selon la commune de résidence et la dispersion ». Données du recensement général de la population et de l'habitat de 2008 sur le site de l'ONS.
- Mohand-Akli Haddadou, Dictionnaire toponymique et historique de l'Algérie, Tizi Ouzou, Éditions Achab, (ISBN 978-9947-9-7225-0), p. 520
- « Wilaya De Tiaret », sur www.info-algerie.com (consulté le )
- Société des historiens médiévistes de l’Enseignement supérieur public, Apprendre, produire, se conduire : Le modèle au Moyen Âge : XLVe Congrès de la SHMESP (Nancy-Metz, 22 mai-25 mai 2014), Éditions de la Sorbonne, , 409 p. (ISBN 979-10-351-0142-8, lire en ligne)
- « Voyage du Général De Gaulle en Algérie : Tiaret | INA » (consulté le )
- « Algeria: Provinces & Major Cities - Population Statistics, Maps, Charts, Weather and Web Information », sur www.citypopulation.de (consulté le )
- « Aménagement et Gestion du territoire, application en Algérie, (région de Tiaret et d’Alger) 1990-1992 », sur kent.cdha.fr, (consulté le )
- Bnahmed Mohamed (2017) Effet des précipitations sur la distribution du Zn et du Pb issus de retombées atmosphériques dans le sol : Cas de la fonderie de Tiaret (ALFET) ; Doctorat en sciences de l'environnement ; 12 janvier ; téléchargement (PDF, 112 pages)
- Foudil Cheriguen, Les enjeux de la nomination des langues dans l'Algérie contemporaine, Harmattan, (lire en ligne), p. 45
- Gabriel Camps, Encyclopédie berbère, vol. 16 : Djedar, (lire en ligne)
- Hassina Amrouni, « De Tingartia la Romaine à Tiaret », Une ville, une histoire, (lire en ligne)
- Victor-Adolphe Malte-Brun, La France illustrée : géographie, histoire, administrations statistique, J. Rouff, (lire en ligne), p. 16
- Gilbert Meynier, L’Algérie, cœur du Maghreb classique : De l'ouverture islamo-arabe au repli (698-1518), Paris, La Découverte, , 358 p. (ISBN 978-2-7071-5231-2), p. 32
- (en) Heinz Halm, Der Nahe und Mittlere Osten, Leiden/New York/Köln, BRILL, , 452 p. (ISBN 90-04-10056-3, lire en ligne), p. 323
- Tiaret, Algeria (Dept.), Le département de Tiaret, J. Delmas, (lire en ligne), p. 80
- « M. Benbella fait son entrée à Tiaret », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « «Il faut qu’ils reconnaissent ce qu’ils ont fait» – Algeria-Watch », sur algeria-watch.org (consulté le )
- « Bouteflika Abdelaziz était, hier, à Tiaret - Vidéo Dailymotion », sur Dailymotion, (consulté le )
- Rédaction L'Echo d'Algérie, « Depuis Tiaret: Le Président Bouteflika appelle à l'unité et au consensus national », sur L'Echo d'Algérie, (consulté le )
- La Rédaction, « Les supporters de la JSM Tiaret dénoncent le « 5e mandat » de Bouteflika », sur DzVID, (consulté le )
- La Rédaction, « Les étudiants de Tiaret : régime أعدذ بالله من الشيطان », sur DzVID, (consulté le )
- Jlj, « LE PAYS NATAL DE JLJ : LA LORRAINE: un coq venu de Tiaret à Briey », sur LE PAYS NATAL DE JLJ, (consulté le )
- « Se connecter à Facebook », sur Facebook (consulté le )
- « Algérie : deux policiers tués dans un attentat-suicide à Tiaret – Jeune Afrique », sur JeuneAfrique.com (consulté le )
- Origine et histoire, sur le site de l’université Ibn Khaldoun de Tiaret
- « Tiaret: Le haras de Chaouchaoua érigé en ZET », Djazairess, (lire en ligne, consulté le )
- « Un héros oublié: Ali El Hammami », LE QUOTIDIEN D'ALGERIE, (lire en ligne, consulté le )
- « علي المعاشي », sur Discogs (consulté le )
- admin, « Exclusif : Sofiane Feghouli : «L'Algérie, je la voulais depuis tout petit» », sur www.algerie360.com, (consulté le )