Wikipédia:Oracle/semaine 15 2011

Dernier commentaire : il y a 13 ans par Cqui dans le sujet Poules, lapins, oies, etc...

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Règles

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Bonjour à vous,

En y réfléchissant bien, dans la nature, les animaux sont régulièrement trahis par leur odeur, ainsi les prédateurs flairent une proie d'assez loin. Chez l'homme, tous les mois, la femme répand du sang sur son passage. Pourtant, dans son état "naturel" l'homme n'est pas exceptionnellement avantagé pour un combat (course moyenne, poids et force moyens). Alors comment se fait-il que l'homme (et quelques grands singes) a des règles sachant que son objectif pour survivre serait plutôt de rester discret (puisqu'au combat il est assez misérable face aux autres prédateurs)? Si quelqu'un peut m'aider à lever ce paradoxe... (Mitch)2 11 avril 2011 à 09:17 (CEST)Répondre

À mon avis c'est plus une histoire de contraintes. Les règles sont dues au fait que l'utérus se prépare à la nidification après l'ovulation; si la fécondation n'a pas lieu, l'utérus repart pour un cycle et la muqueuse se dégrade. Les résidus de la muqueuse sont évacués par la seule sortie possible, j'imagine qu'il est très difficile d'éviter cela. Il faut aussi voir que dans la nature il doit y avoir peu de cycles sans fécondation. Enfin, je ne sais pas par quel facteur les règles augmentent la trace odoriférance, peut-être que de toutes manières un grand singe «pue» tellement qu'un peu plus ou un peu moins... Arnaudus (d) 11 avril 2011 à 09:53 (CEST)Répondre
Quels sont (ou quels étaient) les prédateurs de l’homme ? Morburre (d) 11 avril 2011 à 10:50 (CEST)Répondre
Les dinosaures   Mike Coppolano (d) 11 avril 2011 à 10:54 (CEST)Répondre
(Conflit) Ben justement dans l'article, on lit qu'en général la paroi de l'utérus de régénère en continu, ca me semble moins "visible". Après pour l'odeur oui, en effet, je conçois qu'un peu plus un peu moins est un bon argument. Pour ce qui est des prédateurs, je pensais aux ours (bruns surtout dans nos régions), loups, mais aussi aux grands carnivores en asie et en afrique (lions, tigres etc.). Bien qu'apparemment très réceptifs aux odeurs de sang je pense qu'on peut exclure le requin   (Mitch)2 11 avril 2011 à 10:57 (CEST)Répondre
Je ne suis pas un spécialiste de la question, mais il me semble que chez la plupart des mammifères, toutes les femelles (meuh² !) en âge de procréer sont réputées grosses, et l'exception humaine est culturelle plus que naturelle. Les menstruations seraient donc à considérer comme n'étant pas la règle.
Ensuite, le fait de saigner 3 jours par cycle lunairePOV anthropocentré est avantageux, plus que de saignoter en continu, de la même façon que la miction ponctuelle et volontaire laisse moins de traces que le pissotement (qui n'est pas qu'une vue de l'esprit, est-ce qu'on a un article vessie périphérique ? Ah, je vois que non).
Enfin, le rapport de force vis-à-vis d'un prédateur est à considérer relativement à une niche écologique. Une femelle primate peut être réglée et traçable, elle n'aura pas l'idée d'aller se baigner dans une mangrove infestée de requins, et les prédateurs susceptibles de grimper dans son arbre et d'affronter un groupe social organisé et éventuellement outillé ne courent pas la jungle. S.M. | D.S.M. 11 avril 2011 à 15:53 (CEST)Répondre
Oui, mais il y avait Tampax, préhistorique certes mais ça existait déjà. -Mike Coppolano (d) 11 avril 2011 à 16:13 (CEST)Répondre
@ Saint Martin : les trois jours et le cycle lunaire, c'est une légende. .Anja. (d) 11 avril 2011 à 16:15 (CEST)Répondre
À n’importe qui : trois jours, c’est possible mais l’expérience m’a appris que c’était généralement plus long... --Égoïté (d) 11 avril 2011 à 23:29 (CEST)Répondre
Je crois qu'on considère les menstruations comme normales quand elles durent entre deux et sept jours, et que la moyenne est d'environ cinq jours. Agrafian (me parler) 12 avril 2011 à 07:52 (CEST)Répondre
Il n'y a pas de normal ou de pas normal : ça dépend des femmes, c'est tout. Maintenant, des règles excessivement longues peuvent être signe d'une anomalie (fibrome par ex.). De même que le cycle de 28 jours est aussi une légende, comme l'ovulation à J14 du cycle. / « À n’importe qui : trois jours, c’est possible mais l’expérience m’a appris que c’était généralement plus long...  » +1 Égoïté, et parfois effroyablement douloureux   (vive le XXIe pour s'en passer  +!) .Anja. (d) 12 avril 2011 à 09:29 (CEST)Répondre
Ah si : en-dessous de deux jours ou au-dessus de sept jours, c'est anormal (d'un point de vue statistique), et c'est donc vraisemblablement pathologique. Agrafian (me parler) 12 avril 2011 à 09:36 (CEST)Répondre
C'est référencé dans l'article Cycle menstruel : pathologique à plus ou moins 4 jours... -- Doc103 (d) 12 avril 2011 à 10:24 (CEST)Répondre
Ne mélangeons pas tout : l'article parle de la durée du cycle (qui devient selon lui anormal en-dessous de 24 jours et au-dessus de 32 jours) alors que nous parlons ici de la durée des menstruations. Agrafian (me parler) 12 avril 2011 à 10:33 (CEST)Répondre
Oups, désolé : mauvaise interprétation (je lui en diagonale à mon cabinet) -- Doc103 (d) 12 avril 2011 à 10:39 (CEST)Répondre
Comme Morburre, je pense que H Sapiens a très vite eu raison de ses possibles prédateurs, grâce à sa capacité à fabriquer et utiliser des armes, faire du feu, et à une structure sociale lui permettant de se défendre en groupe. rv1729 12 avril 2011 à 00:14 (CEST) Merci rv, d’avoir développé ma pensée. Ou le cerveau a compensé l’utérus. Morburre (d) 12 avril 2011 à 07:55 (CEST)Répondre
je pense de plus que quand les Hommes avaient encore des prédateurs, les femmes ne saignaient pas tous les mois : grossesses, allaitement et mort prématurée faisaient que... --Pytra (d) 12 avril 2011 à 09:04 (CEST)Répondre
Tout à fait : les femmes étaient souvent enceintes dès leur adolescence, allaitaient (allaitement complet => souvent pas de règles) et se retrouvaient à nouveau enceintes avant d'avoir sevré leur petit, et faut aussi voir du côté de la malnutrition et des maladies qui par affaiblissement pouvaient provoquer des aménorrhées. Bref, nos ancêtres ne devaient avoir au final peu de menstruations. .Anja. (d) 12 avril 2011 à 09:29 (CEST)Répondre
Plutôt que de viser le XXIIe siècle, prends une machine à remonter le temps   --Égoïté (d) 13 avril 2011 à 09:00 (CEST)Répondre
Si je puis me permettre, (Mitch), tu n'as pas bien réfléchi : au-delà du fait que pour une espèce à maturation lente (un petit humain n'acquiert une autonomie relative et limitée que vers six ou sept ans, est « adulte » - pubère - vers dix à douze ans), à gestation longue (neuf mois, ça fait !) et à espérance de vie assez courte (dans les 30 ans environ à époque préhistorique) la capacité des femelles à être fécondables très souvent est un atout pour la préservation de l'espèce, j'ai du mal à comprendre ton idée que les règles rendraient les individus plus traçables que leurs autres marqueurs. Un humain défèque et urine tous les jours, il a (dans son état naturel) une forte odeur corporelle, et ça, c'est des traceurs autant et même plus importants que les menstrues... -O.--M.--H.- 17 avril 2011 à 04:39 (CEST)Répondre

Les villes "Paris"

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Bonjour, Je sais qu'il existe huit villes nommées Paris. Je connais bien sur la capitale francaise, mais souhaiterai savoir dans quel pays se situent les sept autres. Par avance, merci beaucoup de votre réponse.Cordialement.

Bonjour, voir pour cela cette page d'homonymie (et il y a en tout état de cause beaucoup plus que 8 !) Cordialement, --Floflo (d) 11 avril 2011 à 13:45 (CEST)Répondre
(conflit d'édit)
  1. Il y en a plus que 8
  2. Avez-vous fait un tour ici : Paris (homonymie)#Toponyme ? --Serged/ 11 avril 2011 à 13:46 (CEST)Répondre
D'autres exemples amusants -Mike Coppolano (d) 11 avril 2011 à 15:23 (CEST)Répondre

Village alsacien

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Quel était le nom de Wasselonne au début de son histoire? Merci --11 avril 2011 à 18:45 (CEST)

Bnjour. C'est indiqué dans l'article le concernant. Dhatier jasons-z-en 11 avril 2011 à 19:07 (CEST)Répondre
Oui, mais justement, avant de s'appeler Wasselnheim?13 avril 2011 à 13:48 (CEST)
Toujours tel qu'indiqué dans l'article, le plus ancien document que l'on possède encore mentionne Wasselnheim. Cela signifie aussi que tant que l'on n'aura pas trouvé de document datant d'avant ce premier document, on ne peut pas savoir comment s'appelait la localité avant. Verstanden? Dhatier jasons-z-en 13 avril 2011 à 15:02 (CEST)Répondre
Men Haus steht nben Wassle, unt esch. Ha! pardon, c'est à cause du verstanden, je me sui branché en alsacien... Bon, j'ai entendu dans un article du cercle d'histoire de Wassle que des Romains habitaient le site, j'aimerais savoir si il y a trace du nom du camp romain, car Vasselonnum ça sonne pas très latin... Merci!13 avril 2011 à 17:45 (CEST)
Le fait d'une occupation ancienne de tel ou tel peuple n'induit pas que le nom actuel dérive de celui donné par tel de ces peuples. Istanbul tire son nom de Constantinople, nom donné sous l'Empire romain, et non de la désignation originale de Byzance, à l'époque grecque. De même, pour la capitale française le toponyme Paris ne correspond pas au nom de l'établissement latin Lutèce (Lutetia). Il se peut que Wasselonne ait eu un toponyme romain pendant un certain temps mais ça n'induit pas que le nom actuel en dérive. -O.--M.--H.- 15 avril 2011 à 03:49 (CEST)Répondre
En effet, j'avais déjà entendu parler de différentes étymologie: la grosse tâche sur la colinne, la ville où le vin est mauvais, mais la plus plausible me parait simplement "wasseln"= eau et "heim"=maison, non? Bon merci pour votre aide et bonne journée.15 avril 2011 à 10:41 (CEST)
Le tout dérivé du bas allemand ou d'une langue du même type, j'oubliais cette précision importante. Bonne journée.15 avril 2011 à 10:43 (CEST)

Liaison entre deux mots

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Bonsoir de nouveau, sage pythies. Ma question aujourd'hui c'est assez simple : dans la phrase « Ses yeux étaient bleus », y a-t-il une liaison entre le « x » de « yeux » et le « é » de « étaient » ? Mon intuition me dit oui, mais les règles de liaison que j'ai memorisées quand je commençais à apprendre le français il n'avait fait qu'une année me dit que la liaison ne se forme qu'entre un sujet pronominal et le verbe. Qu'en pensez-vous ? Merci. 72.128.95.0 (d) 12 avril 2011 à 03:00 (CEST)Répondre

… je pense que c'est une liaison facultative, omise dans la langue familière. « Ses-z-yeux-z-étaient bleus » n'est pas vraiment esthétique, la double liaison à suivre est proche du zozotement. — Pierre Choderlos de Laclos [canqueter] 12 avril 2011 à 04:06 (CEST) (… et comme disait mon chien : « Laisse tes tiques tranquilles ! »)Répondre
Quand vous lisez un texte à haute voix, vous vous rendez compte que c'est un exercice assez artificiel dans lequel vous devez placer des demi-soupirs et des soupirs, en plus de la ponctuation, de façon à justifier le texte en quelque sorte. De façon plus ou moins intuitive, vous aurez tendance à suivre les règles suivantes dans les cas les plus simples :
  • rien entre les éléments d'un groupe nominal
  • un soupir entre le groupe sujet et le verbe
  • un demi-soupir entre le verbe et son complément
  • on ne peut pas suspendre un pronom sujet d'une syllabe dans la phrase, et on le fera directement suivre de son verbe quitte à allonger le silence entre le verbe et l'élément suivant.
De façon générale, plus un silence sera long entre deux éléments de la phrase, moins la liaison sera souhaitable. S.M. | D.S.M. 12 avril 2011 à 07:41 (CEST)Répondre
Dans ce cas précis, ce serait une erreur (notamment à cause de ce côté zozotement). Et dans l'ensemble, je crois bien qu'il ne faut jamais faire de liaison entre un sujet non pronominal et le verbe de la phrase (du moins, je n'y vois pas d'exception). Agrafian (me parler) 12 avril 2011 à 07:46 (CEST)Répondre
Je n'ai pas d'exemple en tête (peut-être justement parce qu'il s'agit d'un interdit en poésie classique), mais j'imagine qu'en vers, un e muet pluriel pourrait forcer la liaison, comme dans « les étoiles étaient nos seules spectatrices » pour garder le rythme de l'alexandrin. S.M. | D.S.M. 12 avril 2011 à 09:11 (CEST)Répondre
Pauvre joueur de bilboquet
À quoi penses-tu
Je pense aux filles aux mille bouquets
Je pense aux filles aux mille beaux culs. (Jacques Prévert)
--Serged/ 12 avril 2011 à 10:33 (CEST)(tu n'penses qu'à ça, quoi?  )Hautbois [canqueter]Répondre
… y a-t-il vraiment une règle :
  • pas de liaison : Nicolas était, ses cheveux étaient, ses oreilles étaient (comme pour les filles de Serged, on prononce plutôt ses « zoreill'étaient »)…
  • une liaison : il était, sa bouche était, son cuir était, son accueil était (son « accueill'était »…)
… je ne vois guère de généralité. — Hautbois [canqueter] 12 avril 2011 à 10:54 (CEST)Répondre
Dans les exemples que tu donnes au point 2 (il était, sa bouche était, etc.), il n'y a pas de liaison : on ne prononce pas de consonne qui ne sont pas prononcées quand le mot est isolé (le [l], le [ʃ], le [ʁ], le [j] doivent toujours être prononcés dans les mots il, bouche, cuir, accueil). Rāvən (d) 12 avril 2011 à 11:17 (CEST)Répondre
… si je comprends bien, par exemple : fusil on ne prononce pas le « l », donc pas de liaison, mais profil on prononce le « l », donc on fait la liaison. Et pour accueil, c'est le son « euil » qui l'emporte sur la liaison (pas le « l »). — Hautbois [canqueter] 12 avril 2011 à 11:36 (CEST)Répondre
La liaison ne concerne que des consonnes finales qui sont ordinairement muettes. Faire la liaison revient à prononcer une telle consonne quand elle est suivie d'un mot qui commence par une voyelle. Exemple : les écoles [lezecɔl]. Le s final de les ne se prononce habituellement pas (on prononce habituellement [le]). Dans les écoles, le s est prononcé, donc c'est une liaison. Contre-exemple : il était [iletɛ]. Le l final de il se prononce toujours. On ne prononce pas ordinairement il [i], donc prononcer [iletɛ] n'est pas une liaison. Rāvən (d) 12 avril 2011 à 11:53 (CEST)Répondre
… merci de ta patience, je viens (enfin) de comprendre  Hautbois [canqueter] 12 avril 2011 à 11:59 (CEST)Répondre
hourrah, il a compris, z'êtes d'accord les z'aminches ? Mike Coppolano (d) 12 avril 2011 à 13:14 (CEST)Répondre

Bonjour, Choubersky

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Le poête Georges Fourest (1867-1945),dans un de ses poêmes, "Renoncement", fait allusion à un artiste dénommé" Choubersky dans ces termes:'Metteurs de Choubersky dans les salles gothiques'. Quelqu'un saitil qui était ce Choubersky, que je ne trouve ni dans les dictionnaitres, ni dans le Quid. Merci

J'ai trouvé un militaire de ce nom, mais pas d'artiste. Rāvən (d) 12 avril 2011 à 11:33 (CEST)Répondre
(prière de mettre des titres explicites!) (Le texte ici [1]). Peut-être une "russification" de Schubert ? --Serged/ 12 avril 2011 à 13:36 (CEST)Répondre
Il ne s’agit pas d’un artiste, mais d’un fabricant de poêles à bois. « Un Choubersky », comme « un Godin »... rv1729 12 avril 2011 à 14:15 (CEST)Répondre
Ouais c'est bizarre ce matin j'avais songé au "Schubert skie" comme au fabricant de poêle   Mike Coppolano (d) 12 avril 2011 à 14:20 (CEST)Répondre
Si c'est un ingénieur qu'on cherche, alors j'ai l'Edison russe (avec la traduction folklorique d'usage) : « Pendant son séjour à Paris, Shubersky attiré l'attention sur l'imperfection de système de chauffage existant là-bas. Et puis il se mit à le rendre meilleur. Le résultat est une invention qui a reçu la distribution à travers le monde et apporté l'argent et la célébrité auteur et grands - le soi-disant "poêle Shuberskogo. » Et voilà à quoi ressemblait son poêle : [2]. Rāvən (d) 12 avril 2011 à 14:28 (CEST)Répondre

Voyage dans le temps

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Bonjour à tous . Bien que j'aie lu l'article Voyage dans le temps en cherchant Machine à voyager dans le temps (on tombe sur le même article dis donc ), je n'ai pas eu la réponse que je voulais, donc je suis intéressé par celles des Pythies contributeurs (blague à deux balles   ). Donc voici ma question:

  1. Quel matériel faudrait-il pour fabriquer une machine à voyager dans le temps?
  2. Quel moyen de locomotion pour voyager dans le temps serait le plus adapté (exception faite d'une DeLorean )?
  3. Y aurait-il besoin d'une combinaison de protection, si oui laquelle?
  4. Quel Scientifique (actuel) serait à même de fabriquer tout cela avec succès?

Merci d'avance pour vos réponses, bien cordialement, --Joe La Truite(Courriel Le Bar Joe) 12 avril 2011 à 12:55 (CEST).Répondre

Il faudrait aller à la vitesse de la lumière soit 299 792 458 m/s ce qui exclut toute machine pour 1 ou 2 siècles à venir. Désolé -Mike Coppolano (d) 12 avril 2011 à 13:12 (CEST)Répondre
Question très facile. Les réponses sont :
  1. On n'en sait rien
  2. On n'en sait rien
  3. On n'en sait rien
  4. Aucun
Dhatier jasons-z-en 12 avril 2011 à 13:44 (CEST)Répondre

Sinon, Paul Davies a écrit, en 2002, un petit livre intitulé « Comment construire une machine à explorer le temps » qui répond peut-être à ces questions. ;-) -- Xofc [me contacter] 12 avril 2011 à 16:02 (CEST)Répondre

Un avion qui remonte les fuseaux horaires, tout simplement. Je ne comprends pas pourquoi personne n'y a pensé. Mafiou44 (d) 12 avril 2011 à 16:42 (CEST)Répondre
Avant tout, sache que contrairement à ce qu'affirment certains, le voyage dans le temps est possible, voir ci-après :
  1. Le même matériel que pour voyager dans l'espace (voir article espace-temps), ou aucun matériel : nous sommes tous des voyageurs du temps puisque le moment présent était précédemment dans le futur ;
  2. Pour voyager vers le futur, tous y compris la marche à pied (voir 1) ; pour voyager vers le passé, aucun pour l'instant et celui qui apparaîtra le plus efficace le jour où l'on aura fait la démonstration que ce type de déplacement est possible ;
  3. Pour les voyages temporels actuellement possibles, ça dépend de l'endroit : voyager vers le futur à Tahiti ne requiert même pas de vêtements ; le faire au pôle nord, sous l'eau ou dans l'espace requiert impérativement une tenue adaptée. Pour les voyages vers le passé, on le saura le jour où la démonstration (etc.) ;
  4. Toujours pareil : vers le futur, pas même besoin de quelque compétence scientifique si on voyage à pied ou sur un animal, pas non plus pour les technologies rudimentaires ; vers le passé, la chose étant pour l'heure indémontrée, aucun.
-O.--M.--H.- 13 avril 2011 à 04:19 (CEST)Répondre
Si j'ai bien retenu la leçon d'Einstein, le moyen le plus efficace en l'état actuel des connaissances (et encore, je ne parle que de la théorie) c'est le trou de ver, qui permettrait au choix de l'écrivain de SF, soit de revenir dans le même univers mais dans un futur lointain (plus lointain que le temps apparent dont parle Olivier), soit de déboucher dans un univers parallèle à la temporalité décalée.
Les solutions théoriques pour aller dans le sens inverse du temps dans un seul univers n'existent pas encore, ce qui fait qu'un voyageur quittant son temps ne pourrait pas y revenir (hypothèse 1) ou y reviendrait sans avoir rien pu modifier du passé (hypothèse univers parallèle).
Les réponses à ta question sont donc à trouver dans les véhicules spatiaux, aussi bien au niveau matériau, combinaison, énergie... L'inventeur le plus probable est une agence international des voyages dans l'espace (même genre que la SSI).
Si on veut faire de la fiction, imaginer un voyage dans le passé sur place, alors on peut aussi imaginer des matériau ou des énergies ou des portes... Sachant que c'est uniquement du domaine de la fiction. Bertrouf 13 avril 2011 à 04:53 (CEST)Répondre
Moi personnellement quand je voyage dans le temps j’emporte toujours une petite laine et un slip de rechange, on ne sait jamais. Morburre (d) 13 avril 2011 à 09:36 (CEST)Répondre
1. il faut au moins deux choses : de l'éternité pour la construction, et de l'anti-temps comme carburant.
2. pas besoin d'engin de locomotion : par définition, ce déplacement prend au pire un temps nul, et qui vaudrait se faire chier à construire un truc pour y passer un temps nul ?
3. voir le 2. : en un temps nul il ne peut rien nous arriver, aucune protection n'est nécessaire
4. Les gens capable de faire ça sont tous mort ou disparu, malheureusement (voir une liste plus ou moins complète), quant aux scientifiques actuels, il n'y en a pas un seul qui croit ça possible
gem (d) 13 avril 2011 à 11:26 (CEST)Répondre

Tu as regardé au mauvais endroit Ici : Machine à voyager dans le temps

Sinon, en vrac : voir ici; une Machine a voyager dans le futur, ou tu atteriras entre 4h et 10h dans le futur. ou sinon, ceci; une machine à voyager dans le présent (moins utile je te l'accorde), ou sinon, ici ; une machine à voyager hors du temps, où tu pourras emmener certains de tes amis. --Bonjour   On fume le calumet     13 avril 2011 à 14:11 (CEST)Répondre

Pour ce qui est du déplacement dans le passé, on n'en sait rien. Pour le déplacement dans le futur, le simple fait d'être en mouvement par rapport à un référentiel induit une légère déformation du temps qui s'écoule (relativité restreinte). En gros résumé, plus un voyageur va vite, plus le temps ralenti pour lui par rapport à une personne restée au repos. A l'échelle de la vie de tout les jours l'effet est ridicule. Mais SI (avec un si majuscule) on parvient un jour à atteindre des vitesses proches de la lumière, on peut jouer sur les effets relativites pour "voyager vers le futur". Le seul problème est qu'il s'agit d'un aller-simple. Un autre moyen consiste à tourner autour d'un trou noir hypermassif qui permet en théorie de bénéficier de l'effet relativiste sans être déchiqueté par les forces gravitationelles. Donc,
1. matériel = matériel spatial (vaisseau pouvant atteindre des vitesses proches de c)
2. idem que 1 : un vaisseau spatial
3. la combinaison des astronautes actuels devrait suffire
4. à l'heure actuel : aucun, la technologie est hors de portée.

D'autre part, il me semble avoir vu un documentaire (qui doit exister sur Youtube) à propos d'un scientifique américain qui pensait réussir à fabriquer une machine temporelle pour des particules élémentaires. Le système expérimental ressemblait à une sorte de tunnel de faisceaux lasers. Encore une fois l'idée était de jouer avec les effets relativistes sur les particules. --130.207.37.76 (d) 13 avril 2011 à 17:46 (CEST)Répondre

Discuter du voyage dans le temps c'est discuter de sa faisabilité, qui est improbable, sauf à remettre en cause la théorie générale de l'univers. D'un point de vue astrophysique le temps n'existe pas selon la perception immédiate qu'on en a, qui est la base de toutes les histoires de voyages temporels, je veux dire, le temps chronologique (excusez la presque tautologie de l'expression) avec un aujourd'hui, un hier, un demain. C'est une illusion perceptive créée par l'alternance cyclique des jours et des nuits, des étés et des hivers.
La conception du temps des Navajos est plus proche de celle qu'on peut déduire de la théorie de la relativité que la représentation commune qu'on en a dans les pays européens. Comme le précise ce texte, « le temps par excellence [des Navajos] est le présent dans la continuité, une sorte d’éternel présent continu [...]. Leur passé est le présent mémoriel ». Il y a bien pour eux un temps cyclique, celui des saisons et des générations, mais qui n'est pas « temporel » au sens où on l'entend ici, « l'écoulement du temps », c'est plutôt la répétition des mêmes événements dans ce présent évolutif.
Ce qui semble se rapprocher le plus d'un voyage temporel dans la réalité observable est l'expérience de pensée appelée paradoxe des jumeaux, mais c'est plutôt une histoire de dilatation des durées ou de contraction des longueurs qui sont deux conséquences d'une même cause, la relativité einsteinienne.
Voyager dans le temps impliquerait que le temps perceptif soit une réalité physique, or pas plus que la Terre n'est plate ni que le soleil ne tourne autour d'elle, le temps des physiciens ne s'écoule, on ne peut pas séparer espace et temps donc « voyager dans le temps » au sens d'aller « vers le passé » ou « vers le futur » impliquerait que l'état passé persiste après son effectivité, que son état à venir préexiste à sa réalisation effective. On peut calculer le passé ou le futur des objets massifs à autonomie faible mais pas vraiment celui des objets restreints à autonomie (assez) forte, comme les êtres vivants. On « se déplace dans le temps » comme on se déplace dans l'espace : chaque parcours d'un même espace n'est pas une répétition mais un nouveau trajet dans un même contexte.
La perception d'une période de (environ) 24h comme un jour, d'une période de (environ) 365 jours comme une année solaire ne fait pas qu'un jour, qu'une année « existent » comme des réalités intangibles, donc « voyager dans le temps » au sens d'aller (n) jours ou (n) années « en arrière » ou « en avant » relativement au temps actuel ne peut qu'être imaginaire. La seule manière de connaître effectivement le passé est celle qu'on vit ordinairement : percevoir la lumière fossile. -O.--M.--H.- 14 avril 2011 à 04:14 (CEST)Répondre

La machine à voyager dans le temps n’en demeure pas moins un thème littéraire, et narratif en tous genres, inépuisable et une réserve réjouissante de paradoxes. Il fallait donc qu’elle fût inventée. Morburre (d) 14 avril 2011 à 08:18 (CEST)Répondre

Belle formulation.--Doalex (d) 14 avril 2011 à 13:19 (CEST)Répondre
Ah ouais, pour ça je suis bien d'accord, je pense notamment à Ravage de Barjavel, un des plus chouettes récits sur le thème « Je change le passé, donc je change l'avenir du passé, donc je change mon présent, donc l'univers où je change le passé n'existe plus donc je ne change pas le passé, donc l'univers où je change le passé existe, donc je change le passé, donc... ». Et aussi la nouvelle de Fredric Brown « Cauchemar en jaune » (un grand amateur des ressorts comiques et dramatiques qu'offrent les voyages dans le temps), un modèle d'humour noir dans le genre déceptif. -O.--M.--H.- 14 avril 2011 à 14:34 (CEST)Répondre
C'est pas plutôt Le Voyageur imprudent que tu voulais citer ? --ooOO Fabizor OOoo 14 avril 2011 à 16:10 (CEST)Répondre
Sans parler du chien, ah pardon! je m'explique, c'est le titre d'un roman Sans parler du chien de Connie Willis et l'excellent roman La Machine à explorer l'espace titre paradoxal, de Christopher Priest (écrivain) etc.--Doalex (d) 14 avril 2011 à 17:38 (CEST)Répondre
Ah oui, Le Voyageur imprudent – quelle erreur ! Cela dit, Ravage est aussi un chouette roman. Et pour les voyageurs du temps qui le parcourent à pied (et aussi à cheval et en voiture), il y a aussi Repères sur la route de Roger Zelazny. Un autre pas mal pour le cas du « voyage sans retour » (on va dans le passé en accéléré mais on fait le chemin inverse à la vitesse normale), l'excellent Une porte sur l'été de Robert Heinlein. Un dernier pour la route (du temps ?), Abattoir 5 de Kurt Vonnegut, intéressant en soi, mais intéressant pour une variation peu explorée du voyage temporel : le voyageur qui « se souvient » d'événements qui n'ont pas encore eu lieu, parce que dans le futur il aura la capacité de revenir à une époque antérieure à celle où il acquiert ce pouvoir, et que son voyage vers le passé contamine la mémoire de l'individu qu'il était auparavant. -O.--M.--H.- 14 avril 2011 à 18:25 (CEST)Répondre
Et celui-ci, que j’avais bien aimé : un soldat américain à Reykjavik, suite à une explosion nucléaire fortuite, se retrouve au temps des Vikings. Persuadé qu’avec ses connaissances et son Colt il va devenir un Grand Chef, il n’arrête pas de déchanter et finit misérablement. Rappelez-moi donc le titre et l’auteur. Morburre (d) 15 avril 2011 à 07:47 (CEST)Répondre
L’homme qui était arrivé trop tôt traduction de The Man Who Came Early de Poul Anderson qui est une nouvelle de 1956, voir Histoires de voyages dans le temps dixième volume de la première série de La Grande anthologie de la science-fiction.--Doalex (d) 15 avril 2011 à 08:28 (CEST) Merci Doalex ! Poul Anderson c’est sûr, le titre moins, c’était un roman, pas une nouvelle (possiblement développé à partir de la nouvelle, publié si je me souviens bien chez J’ai lu). Quoique. Après un tour sur Gougueul, j’ai des doutes… Morburre (d) 15 avril 2011 à 11:19 (CEST)Répondre
L'article anglais The Man Who Came Early cite le texte comme short story . Mais c'est vrai on peut l'étirer, c'est du temps ! --Doalex (d) 15 avril 2011 à 13:43 (CEST)Répondre
Bon, c’est ma mémoire qui me joue des tours. Je fais un saut en 1956, histoire de vérifier, et je reviens de suite. Morburre (d) 15 avril 2011 à 17:14 (CEST)Répondre
Prends une petite laine, il a fait froid cette année là et fais gaffe pour le retour la manette est sensible ! --Doalex (d) 15 avril 2011 à 18:11 (CEST)Répondre
Inquiétant, Morburre n'est pas revenu, on envoie la patrouille du temps ?--Doalex (d) 16 avril 2011 à 19:50 (CEST)Répondre

[1]

droit

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bonjour,

j'ai quatre questions qui concernent de près ou de loin le droit en journalisme:

  • Est-on (en France) obligé de dénoncer quelqu'un qui enfreint la loi (risque de devenir complice (?) ou droit au silence (?)) ? Est-ce la différence entre crime et délit ?
  • Dans quel cas peut-on être poursuivi sans que la victime ne porte plainte ? (différence crime / délit?)
  • Les journalistes ont-ils le droit de simplement "floutter" les personnes qu'ils montrent dans leurs reportages et auxquels ils n'ont pas demandé leur avis (droit à l'image (?)), sachant que dans 99% des flouttages, quelqu'un qui connait la personne ou le lieu pourra l'identifier (suivant le type de méthode utilisé pour tenter d'anonymiser, on pourra se servir pour identifier la personne de ses vêtements, du lieu, de sa voix, de sa taille/silhouette, de ses mots...) ?
  • Dans 99.9% des reportages/vidéos sur internet dont le sujet est un drame, ne pourrait-on pas accuser le journaliste de non assistance à personne en danger (sauf les rares cas où on voit des policiers/pompiers déjà présents) ?


Merci de ne répondre que si vous avez de bonnes connaissances dans le domaine. Cordialement. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Bill5415 (discuter)

« Un an de droit, tout le reste de travers » Coluche -Mike Coppolano (d) 12 avril 2011 à 13:20 (CEST)Répondre
Comme ça, je m'en remettrais au principe « pas d'intérêt, pas d'action » qui fait que l'on ne peut pas dénoncer quelqu'un pour une infraction qu'il aurait commise et qui ne nous cause pas un préjudice censé donner lieu à des versements d'intérêts (par exemple dénoncer un automobiliste en excès de vitesse). Après il existe peut-être des infractions plus importantes, qui peuvent dénoncées par tous, un peu dans le même ordre de la nullité relative (intérêts particuliers) et nullité absolue (intérêt général, pouvant être dénoncé par quiconque). Mais sans certitude. --Floflo (d) 12 avril 2011 à 13:45 (CEST)Répondre
Voir ici sur l'obligation (en droit français) de dénoncer des crimes ou délits, et l'article dénonciation. Cordialement, Biem (d) 12 avril 2011 à 14:32 (CEST)Répondre
  • Les crimes doivent toujours être dénoncés. Les délits doivent être dénoncés dans les limites de l'obligation d'assister une personne en danger.
  • L'information légitime du public justifie l'atteinte à la vie privée.
  • Un journaliste devrait pouvoir être accusé de non-assistance à personne en danger mais il faut alors réunir les éléments de l'infraction dont la possibilité de pouvoir aider la personne en danger sans risque pour soi. Apollon (d) 12 avril 2011 à 14:39 (CEST)Répondre

(j'ai ajouté une quatrième question)

Odeur et fumier

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Bonjour
J'aimerais savoir pourquoi la merde de chien pue plus fort que celle de l'homme et pourquoi elle ne peut pas servir de fumier ? Merci.

Désolée de vous décevoir, mais la "merde" de l'homme sent aussi fort que celle d'un chien voire plus (demandez à ma sœur qui s'est vu étaler de la "merde d'humain" sur sa voiture   !). Si on a tendance à penser que les excréments humains n'ont pas d'odeur, que propose aussi de faire un tour dans les toilettes (qui se résumaient à un seau) de mon arrière grand-père... Dans les toilettes "actuelles" on va dire, il me semble que c'est l'eau qui atténue l'odeur et encore ça dépend qui est passé avant .Anja. (d) 12 avril 2011 à 16:39 (CEST)Répondre
Mais... Sur cet article, il est dit qu'on peut se servir d'excréments humains comme engrais fertilisant, bien qu'il y ait certains risques de développement de trucs (des agents ?) pathogènes. Pkthib Discuter 12 avril 2011 à 19:50 (CEST)Répondre
L'odeur des déjections des carnivores est censément plus accentuée que celles des herbivores, particulièrement si ce sont des prédateurs territoriaux. Elles peuvent servir de fumier mais la composition n'est pas tip-top ( Phosphates et azote ), le ramassage moins aisé, faible quantité, compostage moins évident qu'avec la litière de paille ( décomposition et oxygénation )... Travail de femme et fumier de chien n'ont jamais enrichi leur maître. ViZiT (d) 13 avril 2011 à 04:25 (CEST)Répondre
Travail de femme[réf. nécessaire]   --Égoïté (d) 13 avril 2011 à 09:03 (CEST)Répondre
La merde humaine est utilisée comme engrais dans certains pays et participe à ce qu'on appelle le péril fécal. Au programme : ascaridiose, trichocéphalose, cysticercose... Plus généralement, la merde des carnivores (chien, cochon...) est un vecteur de parasitoses potentiellement graves, telles que la toxocarose à la laquelle sont exposés les gosses qu'on laisse jouer dans les bacs à sable. S.M. | D.S.M. 13 avril 2011 à 08:17 (CEST)Répondre
Eh ben en voilà des révélations… Vous savez qu’en France, tous les jardiniers et maraîchers puisaient journellement dans la fosse à caca de la maison ? Et que c’est pour ça que le cabanon était planté au milieu du jardin, d’une part assez loin de la maison, pour l’odeur, et surtout parce que techniquement c’était mieux pour le jardinier. Et comme on n’avalait pas des antibiotiques ou des trucs plus ou moins chimiques, on n’était pas malade pour autant. Au contraire, dirais-je. Dans des époques antérieures (que je n’ai pas connues, je suis vieux mais eh, oh), la merde de chien séchée servait à nettoyer les gants. Et au temps de Vespasien (pas connu non plus), c’est avec l’urine qu’on blanchissait plus blanc que blanc les toges des sénateurs (d’où les taxes). Ah, c’était des temps écolos… Morburre (d) 13 avril 2011 à 09:33 (CEST)Répondre
Ahhh, le bon vieux temps ou l'espérance de vie avoisinnait les 35 ans :-) Sérieusieusement, bien sûr qu'on mourrait de tout un tas de cochonneries et qu'on en trainait d'autres, comme de nombreuses parasitoses, toute sa vie. Le fait que maintenant on s'empoisonne avec d'autres cochonneries ne cautionne pas les pratiques pré-hygiénistes. D'ailleurs j'avais lu un papier quelque part montrant une recrudescence de parasitoses qu'on croyait disparues chez les bio intégristes/autonomistes. Ceci dit, le fumier "humain" reste utilisable après compostage (le délai est assez long, un ou deux ans, il faudrait demander aux gens qui ont des toilettes sèches). Arnaudus (d) 13 avril 2011 à 10:51 (CEST) Je ne parle pas de l’ère préhistorique, j’ai connu ça jusque dans les années 1960 (ah si, c’est préhistorique ?) ce qui me confère toujours une espérance de vie supérieure à 35 ans, et pour ma généalogie ascendante, une longueur de vie moyenne comparable (sinon supérieure) aux normes actuelles, y compris en tenant compte de la mortalité infantile. Ça doit être le paradoxe gascon. Morburre (d) 13 avril 2011 à 16:44 (CEST)Répondre
Ceci dit j'ai vu sur Arte (émission Global Mag) un reportage sur une habitation écolo en Allemagne ou juste derrière les toilettes assisses, il y a dans le mur derrière la chasse d'eau tout un système qui permet de récupérer les excréments humains et de les transformer en gaz domestique (d'ailleurs ça se passe dans le même appartement) ; ensuite on voit une habitante de l'appart qui fait bouillir ses pâtes, elle allume le gaz et explique bien que c'est du à la "production" humaine. C'est le genre de truc très élaboré qu'ont su mettre au point des ingénieurs écolos allemands -Mike Coppolano (d) 13 avril 2011 à 11:07 (CEST) + Une source anglophoneRépondre
C'est le principe de l'Arborloo : utiliser le caca d'homme pour fertiliser des régions arides (Mitch)2 13 avril 2011 à 13:14 (CEST)Répondre
si on veut, là c'est pour produire du biogaz, c'est différent Mike Coppolano (d) 13 avril 2011 à 13:30 (CEST)Répondre

2ème discours d'investiture de Reagan

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Bonjour,

J'ai lu ce discours et je ne vois pas à quoi fait allusion Reagan dans ce passage: "We must never again abuse the trust of working men and women, by sending their earnings on a futile chase after the spiraling demands of a bloated Federal Establishment. You elected us in 1980 to end this prescription for disaster, and I don't believe you reelected us in 1984 to reverse course. " (Wikisource)

J'ai d"abord pensé à l'arrêt de certaines guerres... mais Les Etats-Unis en mènent à partir de 1980 (Afgahnistan, Nicaragua etc).

Merci de m'aider,

Cordialement, Bonne soirée.

Bonjour, Reagan étant précédé par un démocrate, Jimmy Carter, il faut voir peut-être du côté de ses actions durant ses 4 ans de présidence? Cordialement, --Floflo (d) 12 avril 2011 à 22:13 (CEST)Répondre
Merci, mais je ne vois pas d'opérations qui auraient coûter beaucoup d'argent à l'Etat; opérations inutiles qui plus est!
Bah sinon ça fait remonter à Kennedy et Johnson (1960 -> 1968), ça fait peut-être un peu loin. Ou alors il critique les actions de son propre camp (Nixon avec la guerre du Viêt-Nam par exemple?) --Floflo (d) 12 avril 2011 à 23:18 (CEST)Répondre
Les Nations unies d'après ce qu'on lit sur cette discussion. Voir aussi en:United_States_and_the_United_Nations#The_U.S._arrears_issue. Drongou (d) 13 avril 2011 à 01:41 (CEST)Répondre
Quelques âmes chagrines ont avancé la NASA ;) ViZiT (d) 13 avril 2011 à 03:49 (CEST)Répondre
J'ai une hypothèse simple : il s'agit d'un discours sans cible particulière, de l'ordre des autres slogans de ce genre, « Trop d'État tue l'État », « Trop d'impôt tue l'impôt », « Dégraisser le mammouth », « Réduire le train de l'État », « I want my money back ». Disons, c'est le discours populiste de base qui fustige l'impéritie des administrations pléthoriques dépensant en vain l'argent du contribuable et il ne faut pas chercher un exemple particulier, d'autant moins en ce cas que, contrairement à ses promesses électorales, Reagan a augmenté les dépenses, et donc les recettes (et aussi, ô paradoxe ! le déficit public...), durant ses deux mandats. -O.--M.--H.- 13 avril 2011 à 09:01 (CEST)Répondre
Ce ne sont sûrement pas les Nations Unies qui sont visées, elles n'ont jamais été un établissement fédéral des USA... Selon en:US_Presidential_Election_1980#Campaign_events, Reagan dit en 1980: "I believe we have distorted the balance of our government today by giving powers that were never intended to be given in the Constitution to that federal establishment." Il fait donc référence au gouvernement fédéral. Son projet était de rendre plus de pouvoir aux Etats constitutifs de l'union, en particulier l'éducation. Un peu comme les Tea Parties... 80.169.233.244 (d) 13 avril 2011 à 11:13 (CEST)Répondre
suis d'accord avec OHM pour dire que c'est discours général, surtout dans le contexte d'un discours d'investiture qui ne visait forcément pas un organisme précis (alors que le même discours dans le cadre d'une discussion sur, par exemple, le budget de l'aide sociale, aurait pu avoir un sens plus précis) gem (d) 13 avril 2011 à 11:39 (CEST)Répondre
La citation de Reagan est très certainement une critique en creux de l'impéritie des dépenses et de l'activité de l'Etat fédéral. Pour Reagan et les libéraux, la croissance économique repose sur la libre entreprise plutôt que le puits sans fond des dépenses de l'Etat et ses fins incertaines. Ce n'est pas un slogan populiste, c'est le fondement d'une politique. Apollon (d) 13 avril 2011 à 13:03 (CEST)Répondre
On peut voir les choses comme on veut, reste ceci : un discours qui décrit un événement passé autrement que comme il fut dans la réalité et qui énonce des promesses qui ne sont pas tenues, c'est du slogan et de la propagande. -O.--M.--H.- 13 avril 2011 à 16:00 (CEST)Répondre
Comme disait Bismarck, la politique est l'art du possible. Ce que Reagan voulait, c'était une économie qui repose davantage sur la libre-entreprise et moins sur l'Etat. Si ce programme n'aboutit pas pleinement, notamment eu égard à l'aggravation du déficit, ce n'est pas parce qu'il s'agissait de "slogans" et de "propagandes" mais parce que Reagan n'en avait pas les moyens politiques et qu'il existait de toute façon d'autres objectifs tels que le programme militaire. Thatcher sut plus appliquer son programme... et pourtant les critiques (françaises) ne l'épargnent pas. Apollon (d) 13 avril 2011 à 23:53 (CEST)Répondre
Y a du vrai dans ce que tu dis. De l'autre côté, les contraintes du système exécutif et législatif des États-Unis font que sauf circonstances exceptionnelles (krach de 1929 qui permit la mise en place du New Deal, guerres mondiales) toute politique extrêmement volontariste vers le « plus d'État » ou le « moins d'État » est d'avance vouée à l'échec. Donc quand un Reagan promet de « dégraisser le mammouth » radicalement, ou quand un Obama promet de l'engraisser tout aussi radicalement, on peut prévoir avec une certitude entière qu'à horizon de deux ans (les mid term fatidiques) le législatif aura contrecarré l'exécutif y compris quand la majorité des deux chambres est censément sur la même ligne politique que celle de l'exécutif. Du coup, on peut sans grand risque qualifier un discours de candidature ou d'investiture radical (que ce soit donc vers le plus ou le moins d'État) comme du slogan et de la propagande – ou alors, de la naïveté, mais je ne crois pas que Reagan ou Obama soient des naïfs... -O.--M.--H.- 14 avril 2011 à 04:31 (CEST)Répondre
Tu as raison de souligner le fait que le système politique va faire tendre vers le centre les prétentions des hommes politiques (même si ça s'applique peu à Obama qui est fondamentalement un centriste) mais il faut en déduire que c'est au système politique et pas aux hommes politiques d'effectuer un tel recentrage. Apollon (d) 14 avril 2011 à 13:31 (CEST)Répondre

G-BASIC

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Bonjour ô grand Oracle, où pourais-je trouver de la documentation, des tutoriel et un compilateur pour le langage de programmation [3]. Merci et bonne journée.ZXZ 12 avril 2011 à 23:04 (CEST)Répondre

D'après wikipédia, le G-BASIC tourne sur la NES, qui est une machine japonaise avec une quantité de mémoire raisonnable pour l'époque (quelques kilo-octets). Je ne pense pas que ce soit une bonne idée de se lancer dans la programmation de cette manière...
Sinon, si ta question depuis une semaine est en fait "je cherche un langage de programmation relativement simple", je te conseille python, et je te conseille aussi de travailler l'anglais, c'est une compétence très utile en informatique. Amicalement, Comte0 (d) 13 avril 2011 à 07:21 (CEST)Répondre

Traduction "inbetweener"

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Pour l'article Ron Cobb (excellent dessinateur). Dans l'article anglais il est dit qu'il a commencé comme inbetweener aux studios Disney. Ça se traduit comment en français ? --Serged/ 13 avril 2011 à 10:44 (CEST)Répondre

in-betweener / inbetweener (n) dessinateur des raccords, dessinateur des images intermédiaires, intervalliste (néol.) ~- Déroule ici-Mike Coppolano (d) 13 avril 2011 à 10:55 (CEST)Répondre
Merci ! --Serged/ 13 avril 2011 à 10:59 (CEST)Répondre
Assistant-animateur plutôt non? Voir en:Traditional Animation#Animation et en:Tweening#Traditional_animation 80.169.233.244 (d) 13 avril 2011 à 11:03 (CEST)Répondre
Je me demande si ce n’est pas un truc comme intervalliste. Ah ben oui, c’est déjà écrit au-dessus. Morburre (d) 13 avril 2011 à 12:07 (CEST)Répondre
euh question : intervalliste c'est quoi ? Mike Coppolano (d) 13 avril 2011 à 12:11 (CEST)Répondre
C'est, dans une scène où Mickey marche, la petite main qui fait les images qui manquent entre les deux dessins (faits par Disney lui-même) de Mickey en appui sur la jambe gauche et Mickey en appui sur la jambe droite une seconde plus tard. gem (d) 13 avril 2011 à 16:03 (CEST)Répondre
C'est la technique dite du cellulo (pour celluloïd) : on superpose trois feuilles de celluloïd ou plus avec un fond, les éléments constants d'avant-plan et les éléments variables d'avant et si besoin d'arrière-plan. L'intervalliste est celui qui s'occupera des éléments variables ; dans le cas donné par gem, la partie tête+corps serait stable entre le début et la fin du mouvement, l'intervalliste dessinant sur une série de feuilles le mouvement simulé des bras et des jambes. Une technique très tayloriste comme l'explique l'article, avec plusieurs spécialités. -O.--M.--H.- 13 avril 2011 à 18:25 (CEST)Répondre

Vote for me

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Bonjour à tous,
Je me demandas si dans une élection présidentielle américaine, un grand électeur nommé par un parti politique pouvait constitutionnellement « retourner sa veste » et voter pour un autre candidat (par exemple s’il est révolté parce que le gouverneur de Floride a truqué les votes). Je lis dans l’article qu’« un grand électeur peut décider de ne pas voter pour le candidat auquel il avait initialement apporté son soutien […] Certains États ont d'ailleurs interdit cette pratique ». Je voudrais savoir si, parmi les huit cas recensés dans la période contemporaine, certains ont fait basculer l’élection ; et comment peut-on interdire ce qui relève de la liberté d’opinion ? -- Mister BV (d) 13 avril 2011 à 12:12 (CEST)Répondre

Ça ne répond pas à la question posée, mais il semble que certains États considèrent le mandat de grand électeur comme un mandat impératif, alors d'autres le considèrent comme un mandat représentatif. Rāvən (d) 13 avril 2011 à 12:50 (CEST)Répondre
Selon en:Faithless_elector, il n'y a jamais eu de basculement d'élection à cause de ce comportement. Le cas le plus proche a eu lieu en 1836, ou 23 grands électeurs ont empêché la victoire du Vice-Président attendu. Mais il a ensuite été élu par le Sénat en février 1837.80.169.233.244 (d) 13 avril 2011 à 14:27 (CEST)Répondre
Merci à toi IP, l’article anglophone répond en détail. Dans le Minnesota, le vote d’un faithless elector est même invalidé, c’est anti-démocratique mais c’est comme ça. -- Mister BV (d) 13 avril 2011 à 15:37 (CEST)Répondre
Si j'ai bien compris le système des grands électeurs, ils n'élisent en réalité personne et correspondent plutôt, d'une part à une représentation du poids des États, de l'autre, selon les États, au choix majoritaire ou au choix effectif des « petits » électeurs. Exception faite des États du Maine et du Nebraska, où chaque grand électeur a son arrondissement électoral, et où donc ceux-ci reflètent plus fidèlement le choix des électeurs, dans tous les autres États et dans le district de Columbia, c'est le système du choix majoritaire, du « winner-takes-all ("le vainqueur prend tout") », qui s'applique.
Dans tous les cas (y compris celui de la représentativité partisane dans le Maine et le Nebraska) il s'agit d'un mandat impératif, le grand électeur n'étant pas libre de choisir son candidat, ni de refuser ceux qu'on lui propose. Ça n'a pas empêché que cela arrive de temps à autre mais 158 « électeurs infidèles » en plus de deux siècles ça ne fait pas beaucoup, la règle est donc assez bien suivie. -O.--M.--H.- 14 avril 2011 à 10:56 (CEST)Répondre

Droit électorale française

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Bonjour a tous,

Je travail dans la politique en Angleterre, où, naturellement, le droit électorale n'est pas le même qu'en France. Ce moment, nous avons les elections pour nos Conseils généraux, et il y a deux semains la France a eu ses elections cantonales aussi. Je suis un vrai geek, et je voudrais savoir la difference entre les deux codes electorales, particulièrement pour la propagande électorale, les circulaires envoyées a tous. Par example, en Angleterre, tous les candidates ont un "Freepost", qui est examiné de la légalité par La Poste, et envoyé à tous les electeurs, gratuit. En outre, les candidats et leurs bénévoles peut imprimer, et envoyer porte à porte les circulaires, seulement limité par la limite des dépenses (comme on peut trouver ici). Est-ce que c'est la même? Je pense que j'ai lu quelque part qu'en France, les candidats n'ont qu'une seule circulaire? Si c'est vrai, comment fait-on une campagne électorale?

Merci pour votre temps et vos pensees (et, j'espère que vous avez compris ma francaise terrible! ;)).

Bonjour. En France, les candidats ont une profession de foi qui détaille leur programme, et qui est unique. Elle est envoyée par voie postale par les préfectures à tous les électeurs, dans une enveloppe, avec les bulletins de vote. Les candidats (et leurs partis) vont aussi sur les marchés, dans les endroits publics, pour rencontrer les électeurs et leur remettre des tracts et la profession de foi. Ils effectuent également du porte-à-porte, en allant sonner chez les gens pour discuter avec eux. Si les personnes sont absentes, les tracts seront mis dans la boite aux lettres. 194.6.163.244 (d) 13 avril 2011 à 14:18 (CEST)Répondre
Salut. Pour ton français, ça va, on a déjà vu bien pire - notamment de la part de supposés francophones natifs  
Même si dans les détails ça peut différer, globalement c'est assez semblable sur l'aspect de la propagande électorale et des contrôles des comptes de campagne, si ta description est exacte. Il y a donc ce qu'indique 194.6.163.244 (d · c · b), la « profession de foi » déposée lors de la candidature, qui sera distribuée gratuitement, soit par la poste, soit par un agent municipal dans les petites communes, et les autres tracts dont la distribution est à la charge des partis ou des candidats et dont les coûts de publication et (s'il y en a) de diffusion doivent figurer dans les comptes de campagne. Et on a la même contrainte en France qu'en Grande-Bretagne : les dépenses de campagne, et donc celles pour la propagande, sont plafonnées. -O.--M.--H.- 14 avril 2011 à 04:46 (CEST)Répondre

Nombre de rats dans le monde

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Bonjour à toutes et tous. Y a-t-il déjà eu une estimation du nombre de rats dans le monde ? Merci d'avance pour les réponses et autres pistes... --TwøWiñgš Boit d'bout 13 avril 2011 à 15:13 (CEST)Répondre

J'ai pas mal cherché sur le net, mais pas encore trouvé de réponse globale Mike Coppolano (d) 14 avril 2011 à 09:53 (CEST)Répondre
en:Brown_rat indique que rien que New York on a des estimations qui vont de 250 000 à 100 000 000, ce qui donne une idée de l'imprécision de ce genre d'estimation. Le même article cite une autre estimation pour la GB à 80 000 000, étant précisé que la zone climatique lui est favorable. Bref : vu l'imprécision, il serait bien téméraire de donner une estimation de la population mondiale de rat, si quelqu'un a pris ce risque le chiffre serait de toute façon à prendre avec de monstrueuses pincettes
gem (d) 14 avril 2011 à 10:55 (CEST)Répondre
Ca devrait au moins permettre d'avoir un ordre de grandeur. Je crois que cette information peut se trouver dans un des bonus du film Ratatouille, où il est justement question des différentes races de rats et de leur propagation dans le monde. La vidéo doit peut-être se trouver sur Youtube ; elle doit s'appeler « Nos amis les rats » ou quelque chose d'approchant. Blue [ -02- ] 14 avril 2011 à 11:02 (CEST)Répondre
Edit : Notre ami le rat. Blue [ -02- ] 14 avril 2011 à 11:06 (CEST)Répondre
D'après un forum : en 1982 6 milliards de rats en Inde Mike Coppolano (d) 14 avril 2011 à 11:05 (CEST)Répondre

Article non paru

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Bonjour,

J'²ai mis en ligne un article, mais je le trouve pas quand je saisie le nom sur la barre de recherche, il n'apparait pas, je le trouve que dans sa catégorie. Idem quand je fait un lien avec un autre article, cela dit que l'article est inexistant ! Que faire ?

Merci de m'éclairer.

Sylvap4, un wiki débutant

Cet article : Cabinet Wilhlem ? Il vaut mieux s'adresser au Bistro pour ce genre de question et n'oubliez pas de signer avec 4 ~ Mike Coppolano (d) 13 avril 2011 à 15:39 (CEST)Répondre

(conflit edit) Il aurait fallu préciser le titre de l’article dans ta question. Le seul que je trouve dans tes contributions, c’est Cabinet Wilhlem et il n’a (pour l’instant) pas disparu. Ça pourrait arriver s’il ne remplit pas les critères, à défaut il s’attirera quelques bandeaux parce qu’il est auto-promo et contient pas mal de fautes. -- Mister BV (d) 13 avril 2011 à 15:45 (CEST)Répondre
Je crois comprendre la source du problème : si tu as cherché « Cabinet Wilhelm », qui est probablement la graphie correcte, tu ne risquais pas de retrouver ton article, ou s'est glissée une petite faute de frappe dans le titre   -O.--M.--H.- 13 avril 2011 à 16:03 (CEST)Répondre

Passé simple et imparfait du subjonctif

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Bonjour je suis perdu, j'ai consulté le Hanse : difficultés de la langue française et le Grevisse : Du bon usage et je n'ai pas trouvé la solution, ou, ce que j'ai trouvé, je n'ai pas vu que c'était la solution, ou... Je voulais savoir quelles différences, quelles subtilités il y a entre ses deux phrases à part que l'une est au passé simple et l'autre à l'imparfait du subjonctif :

C'est elle qu'il aima

C'est elle qu'il aimât

Merci de m'éclairer à ce sujet--Le ciel est par dessus le toit (d) 13 avril 2011 à 18:29 (CEST)Répondre

Bonsoir. Il me semble que la différence de sens la plus flagrante entre ces deux phrases est que la seconde n'a pas de sens. Ma réponse ne t'aide peut-être pas beaucoup, je cherche mieux. le sourcier [on cause ?] 13 avril 2011 à 19:26 (CEST)Répondre
Comme le dit le sourcier, la première est correcte, la seconde, non, car le subjonctif ne se construit pas de cette façon. On pourrait écrite : « Qu'il l'aimât était une éventualité » ou encore « Il était possible qu'il l'aimât » ou « Qu'il aimât cette fille paraissait irréaliste. ». Père Igor (d) 13 avril 2011 à 19:31 (CEST)Répondre
J'eusse aimé qu'elle revinsse, avant que mon seigneur me pince ... Ouh, mes rognons ! Et qu'elle aima ça ... euh, j'ai bon ! Mike Coppolano (d) 13 avril 2011 à 20:01 (CEST)Répondre
Sauf erreur, « que » et « qu' » sont pronoms relatifs (pas de subjonctif) ou conjonctions. Nuance. Dans tes exemples il s'agit du pronom relatif. Contrairement à « pour autant qu'il l'aimât ». Bluelagoon (d) 13 avril 2011 à 21:24 (CEST) Je précise après coup : on lit ou entend couramment dans les médias des choses du genre « quelqu'un qui sache... ». Cette forme est fautive. Après le pronom relatif « qui », il faut évidemment employer le conditionnel « quelqu'un qui saurait... ». Bluelagoon (d) 13 avril 2011 à 21:50 (CEST)Répondre
Ce n'est pas une conjonction, un pronom ou autre qui impose un temps ou un mode, mais l'« aspect » que l'on veut donner à la narration, et on ne choisit qu'ensuite les premiers qui vont avec. Évidemment, il est plus facile de placer « c'est elle qu'il eût aimée » (regret) que « c'est elle qu'il aimât » (~~ qu'il ait pu aimer... parce qu'elle le valait bien). On préfère aujourd'hui, le conditionnel : « C'est elle qu'il aurait aimé », car le verbe « pouvoir » est ambigü : pouvoir par éventualité (aspect du subjonctif) ou par simple capacité (we can). Le passé simple de la première formule « indique » un fait donné comme réalisé, contrairement au subjonctif. --Mistig (d) 14 avril 2011 à 00:35 (CEST)Répondre
La proposition « C'est elle qu'il aimât » telle que n'est pas syntaxiquement correcte, elle ne se conçoit que dans une subordonnée. L'emploi du subjonctif (sujet récurrent dans l'Oracle d'ailleurs) est à la fois grammatical et sémantique, la proposition principale doit comporter par sa forme ou par son sens des éléments qui affirment ou suggèrent l'incertitude ou la dénégation de ce que dit la subordonnée. En outre il y a une question de temporalité relative : le passé simple porte sur un événement passé (relativement à la situation donnée dans la principale), le subjonctif (quel que soit le temps) sur un événement encore en cours, non réalisé ou hypothétique (en ce dernier cas, comme le dit Mistig, équivalent à un conditionnel). -O.--M.--H.- 14 avril 2011 à 05:05 (CEST)Répondre
Oui, le subjonctif est possible dans une proposition relative. Exemples : il cherchait une fille qui l'aimât, je cherche quelqu'un qui sache parler l'anglais. La phrase C'est elle qu'il aimât est néanmoins doublement fautive : l'emploi du subjonctif est injustifiable (au niveau du sens, il est impossible d'introduire une valeur d'hypothèse dans la relative) et il y a un problème de concordance des temps (verbe de la principale à l'indicatif présent, verbe de la subordonnée au subjonctif imparfait). Autre remarque C'est elle qu'il aurait aimée est exactement équivalent à C'est elle qu'il eût aimée. Il ne s'agit pas de subjonctif, mais dans les deux cas du conditionnel passé, qui en français a deux formes. Rāvən (d) 14 avril 2011 à 10:45 (CEST)Répondre
Tout est dit, juste la place pour un classique : « Docteur, mon mari est cloué au lit, j'eusse aîmé que vous le vissiez » Biem (d) 14 avril 2011 à 12:09 (CEST)Répondre
Il ne le savait pas, mais il fallait qu'il le susse. Blue [ -02- ] 14 avril 2011 à 17:04 (CEST)Répondre
Merci à ceux qui se sont donnés la peine de me répondre--Le ciel est par dessus le toit (d) 14 avril 2011 à 20:40 (CEST)Répondre
… pour que je répondisse, encore eût-il fallu que je connusse ce que vous demandassiez ! (ça se dit, ça ?)Hautbois [canqueter] 17 avril 2011 à 12:09 (CEST)Répondre

Cherche type d'ampoule

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Bonsoir,

Quelqu'un saurait-il quel type d'ampoule peut prendre place dans un tel support ?

Merci d'avance.

DocteurCosmos (d) 13 avril 2011 à 20:41 (CEST)Répondre

Un néon j'imagine. Qu'est-ce qui est écrit sur le machin ? Agrafian (me parler) 13 avril 2011 à 21:01 (CEST)Répondre
Où dois-je chercher à lire quelque chose ? La lampe en question est en hauteur (j'ai pris la photo en tenant l'appareil à bout de bras debout sur un tabouret...). DocteurCosmos (d) 13 avril 2011 à 22:08 (CEST)Répondre
… hé !!! attention aux équilibres. Tu ne manques pas de culot « sur un tabouret » et « à bout de bras », fallait rajouter deux ou trois livres   . Plus sérieusement, cela doit être du g23 (lampes fluocompactes à Tube en culot G et à transformateur externe). — Hautbois [canqueter] 14 avril 2011 à 05:13 (CEST)Répondre
… pour en avoir installé dans mon garage et dans mon bureau, faire attention à l'achat, il existe deux « lumière/couleur » pour chaque puissance : le blanc chaud et le blanc froid. Le chaud, ambiance plus feutrée, est idéal pour lire (=> bureau), le froid, lumière plus directe, est idéal pour bricoler (=> garage). Voir là par exemple les références de la marque OSRAM… Pffff ! et je ne touche rien pour la pub. — Hautbois [canqueter] 14 avril 2011 à 06:04 (CEST)Répondre
Je pensais aussi à du G23. Si c'est le cas tu devrais avoir dans le fond de la douille une série de quatre fiches femelles alignées, genre • • • •. -O.--M.--H.- 14 avril 2011 à 10:20 (CEST)Répondre
… bah non, pas obligatoirement. Voir là différents modèles de douille G23. — Hautbois [canqueter] 14 avril 2011 à 12:50 (CEST)Répondre
Ah ben zutre ! Z'énervent, ces fabricants de trucs et de machins qui font des modèles incompatibles avec ceux de la concurrence... -O.--M.--H.- 14 avril 2011 à 13:06 (CEST)Répondre
Merci beaucoup pour ces renseignements ! (je n'ai pas précisé que le tabouret tenait tout juste sur la largeur de la marche dans la courbe de l'escalier...). DocteurCosmos (d) 14 avril 2011 à 15:54 (CEST)Répondre
… gââââmin ! — Hautbois [canqueter] 16 avril 2011 à 23:25 (CEST)Répondre

Saucisse Knacki qui tourne toute seule!

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Très cher Oracle, bien le bonsoir! Je viens de me faire cuire une saucisse Knacki et j'ai été témoin d'un étrange phénomène: ma saucisse s'est mise d'elle-même à rouler tout doucement dans la poêle (vers la gauche, si ça peut aider) ! Du coup, je n'ai rien eu d'autre à faire que de veiller à ce qu'elle n'aille pas plus loin que son point de départ (ben oui, c'est meilleur à point que brûlé!) As-tu, cher Oracle, une explication à cela? En espérant pouvoir bientôt te lire, je te souhaite une bonne soirée!

D'abord on ne va pas à Strasbourg sans sa saucisse, c'est malpoli ! Mike Coppolano (d) 13 avril 2011 à 21:04 (CEST)Répondre
Vers la gauche par rapport à quoi ?
Peut-être tout simplement une légère pente ; ce serait étonnant que cela vienne de la chaleur. Agrafian (me parler) 13 avril 2011 à 21:02 (CEST)Répondre
Non non, pas de pente légère (du moins, c'est une plaque chauffante normale quoi...) Ce que je voulais dire c'est qu'elle a fait d'elle-même le voyage du milieu de la poêle vers le bord gauche, se cuisant ainsi totalement.
T'as peur qu'elle se sauve alors ? Mike Coppolano (d) 13 avril 2011 à 21:13 (CEST)Répondre
T'es sur qu'elle était bien morte?? --Bonjour   On fume le calumet     13 avril 2011 à 23:58 (CEST)Répondre
J'espérais surtout trouver une explication! Car c'est la première fois que je vois une saucisse essayer de se faire discrètement la malle!
Tu peux pas l'attacher avec une ficelle le temps de la cuisson ? Mike Coppolano (d) 13 avril 2011 à 21:19 (CEST)Répondre
C'est une saucisse transgénique, étudiée pour tourner dans la poêle et ainsi avoir sa surface uniformément grillée... --Serged/ 14 avril 2011 à 07:42 (CEST)Répondre
 +  +  + {{:Coffe:}} De la Knacki polyphosphaté, c'est d'la m…de !!! Ah! la bonne saucisse de son p'tit charcutier du coin, celle qui se courbe pour qu'on ne puisse la cuire que sur deux faces, ça c'est du produit bien d'chez nous ! Dam' bon diou ! {{/:Coffe:}} — Hautbois [canqueter] 14 avril 2011 à 09:42 (CEST)Répondre
éh les gars, c'est l'oracle ici : c'est du à la force de Coriolis   Cobra Bubbles°°° Dire et médire 14 avril 2011 à 10:31 (CEST)Répondre
Bah, peut-être une bulle d'air emprisonnée dans la peau de la saucisse, peut-être une déformation de la saucisse qui la fait tourner, peut-être la plaque n'est pas droite (si tu as une bille, c'est le plus simple à vérifier), peut-être la poêle se gondole du centre (c'est mon explication préférée), peut-être le voisin écoute du hard-rock et les vibrations font résonance, peut-être... Bertrouf 14 avril 2011 à 11:01 (CEST) … et y'a pas qu'la poêle qui's gondole du centre… ou p'têt' que c'est la gondol' qui's poile !Hautbois [canqueter] Répondre

l'agressivité dans les lieux publics

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Bonjour dans les métros dans les bus ou dans les lieux publics des grandes villes de france, on doit faire attention parce qu'un geste mal placé ou un regard peut se dégénerer en bagare. dans les milieux populaires pauvres c'est courant. Je me suis demandée si les riches, les lieux riches où seuls les riches vont ils rencontrent ces agressivités entre eux. est ce qu'un regard ou un geste mal placé chez les milieux riches peut se terminer en bangare comme dans les villes pauvres ?

Question posée le 13 avril 2011 par 83.205.254.29 (d · c · b). Alphabeta (d) 13 avril 2011 à 21:51 (CEST)Répondre
Ben, oui y'a pas de différence. Y 'a des cons partout Mike Coppolano (d) 13 avril 2011 à 21:08 (CEST)Répondre
Non, non. Pas au point de se battre pour un simple regard dans les yeux.
C'est un problème typique des milieux les plus pauvres: l'absence d'éducation autre que celle de la rue est à l'origine de comportements violents de ce genre, nécessaires pour se défendre dans un milieu finalement rude. Dans les milieux moyens ou aisés, ce genre d'agressivité ne se retrouve pas : les gens sont plus civilisés, ont des rapports humains différents. Ils ne prennent pas la mouche au moindre regard déplacé, et n'en viennent pas aux mains pour si peu.
Agrafian (me parler) 13 avril 2011 à 21:15 (CEST)Répondre
Pour un simple regard dans les yeux « chez les riches » (comme dit notre questionneur), il peut y avoir de la castagne Mike Coppolano (d) 13 avril 2011 à 21:18 (CEST)Répondre
Mais c’est plus distingué, au lieu de s’enfoncer les doigts dans les yeux ils se donnent rendez-vous sur le Pré Saint Germain, aux petites heures, armés d’une colichemarde et accompagnés de deux témoins. rv1729 13 avril 2011 à 23:53 (CEST)Répondre
Il y a aussi, je crois, la notion de territoire qui intervient dans la bagarre :
  • Les animaux n'aiment pas du tout qu'on occupe leur espace immédiat (qui a pour rayon une coudée chez l'homme) et le moindre geste ou regard peut alors être perçu comme une provocation supplémentaire. On trouve de telles circonstances d'entassement dans les transports en commun, les soldes, les évènements sportifs, les boîtes de nuit...
  • Plus largement, les animaux comme l'homme ont besoin d'un territoire sur lequel ils peuvent imposer leur loi (celle du plus fort donc). Chez les plus fortunés, ce territoire peut prendre la forme d'un portefeuille ou d'un patrimoine immobilier ; chez les plus déshérités, une gare, un centre commercial, un stade, un quartier...
S.M. | D.S.M. 14 avril 2011 à 07:58 (CEST)Répondre
Je ne peux m’en empêcher : pour certains politiques, le territoire c’est vaste...   --Égoïté (d) 14 avril 2011 à 11:16 (CEST) qui sortRépondre
Dans les milieux aisés, on se "tue" socialement, c'est -- parait-il -- plus raffiné. En cas d'affront public, on veillera à ce que le saligaud soit ruiné, on rachète son entreprise, on le fait virer... Même comportement, avec des codes sociaux différents. Arnaudus (d) 14 avril 2011 à 09:49 (CEST)Répondre
@ Agrafian, voilà un préjugé qui me surprend : C'est un problème typique des milieux les plus pauvres: l'absence d'éducation autre que celle de la rue, je connais beaucoup de pauvres bien éduqués et beaucoup de riches sans éducation.
Certes, certes. Mais que la connaissance des codes sociaux soit plus souvent un apanage des classes aisées n'est pas un préjugé. On n'a jamais vu une castagne dans un salon pour un regard mal placé. La vraie raison, c'est qu'il y a des gens qui ont une meilleure verbalisation et peuvent régler un éventuel différent par la parole. Cette possibilité n'est pas offerte lorsqu'on n'a qu'un vocabulaire de deux cents mots et que ses poings pour s'exprimer... De fait, la différence entre classe aisée et milieu défavorisé, dans le cas qui préoccupe 83.205.254.29 (d · c · b), se situe là. Mais, bien sûr, il y aura toujours des nouveaux riches russes ou tel prince allemand pour préférer la baston au discours. Et de l'autre, des voyous comme Jean Genet maîtrisant une parfaite langue classique. --85.171.32.99 (d) 23 avril 2011 à 01:00 (CEST)Répondre

Rue Aubé

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Bonsoir à tous. Je suis arrivé au bout de mon latin dans l’article Rue Aubé. Mais un oraclien détient peut-être d’autres informations... Et surtout quelqu’un pourrait-il agrémenter l’article de photos : une plaque de rue à ce nom existerait encore et il y a l’entrée des prud’hommes... Merci d’avance. Alphabeta (d) 13 avril 2011 à 21:47 (CEST)Répondre


Voir réponses dans :

Alphabeta (d) 20 avril 2011 à 18:51 (CEST)Répondre

masse molaire

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Bonjour je voudrais savoir quelle est la masse molaire du triazote et quelle est son abondance sur la Terre. Merci d'avance. Guillaume Svandstruck

Triazole ? sinon, le tri-azote n'existe pas en chimie. Cordialement, Biem (d) 13 avril 2011 à 22:08 (CEST)Répondre
Je n'y connais rien mais une recherche Google donne ça Mike Coppolano (d) 13 avril 2011 à 22:10 (CEST)Répondre
Quant à sa masse molaire, il se pourrait qu'elle soit trois fois celle de l'azote, mais vous l'auriez pu trouver tout seul. S.M. | D.S.M. 14 avril 2011 à 07:30 (CEST)Répondre
L'azote (atome) ayant comme masse atomique 14, il doit être facile de calculer la masse molaire du tri-azote... Quant à son abondance, doit pas y en avoir beaucoup (ça doit être explosif...). --Serged/ 14 avril 2011 à 07:36 (CEST)Répondre
Il doit se former dans les couches hautes de l'atmosphère (comme l'ozone) sous l'effet des rayonnements de haute énergie qui peuvent dissocier le diazote : N2 <-> 2 N ; N + N2 <-> N3 et avoir une demi-vie très courte avec son électron célibataire. S.M. | D.S.M. 14 avril 2011 à 08:05 (CEST)Répondre

Titre du message: Funérailles Nationales de Victor Hugo ,

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Bonjour, Ma Grand'mère, née vers 1869, était la petite fille de Pierre Joigneaux qui l'avait emmenée vers 17 ou 18 ans aux funérailles de Victor Hugo: vers 1963, nous lui avions offert un tourne-disque et un 33 tours : la Symphonie Héroïque. La derniére note éteinte, très émue elle déclara: - "C'est beau, mais c'était encore plus beau à Notre Dame pour les funérailles de Victor Hugo" c'est simplement par ces souvenirs , peut-être un peu enrichis par l'émotion, qu'on apprit qu'elle y avait assisté, et que cette oeuvre y avait été jouée: Dans quelle église avait réellement eu lieu la cérémonie ? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 82.65.249.67 (discuter), le 14 avril 2011 à 15:06

C'est une question pour l'Oracle mais une piste, le Panthéon est une ancienne église (« Ce n'est que depuis 1885, à l'occasion du décès de Victor Hugo et son inhumation au Panthéon, que l'église Sainte-Geneviève disparaît »). Like tears in rain {-_-} 14 avril 2011 à 15:53 (CEST) transféré du Bistro du jour -Mike Coppolano (d) 14 avril 2011 à 16:08 (CEST)Répondre
Victor Hugo n'a pas été enterré à Notre-Dame : "Pour éviter tout débordement, la procession, au lieu d'emprunter les grands boulevards, acheminerait le cercueil de la place de la Concorde jusqu'au boulevard Saint Michel en passant par le boulevard Saint Germain, quartier le plus aristocratique de Paris. Le corps de Hugo allait ainsi manquer l'occasion de passer devant Notre-Dame, autre haut lieu hugolien devant lequel une halte avait aussi été initialement prévue." Mike Coppolano (d) 15 avril 2011 à 12:19 (CEST)Répondre

Parler aux plantes

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Bonjour ,je voudrais savoir si c'est vrai que parler au plante ça leur fait du bien

Non. C'est une légende urbaine. Agrafian (me parler) 14 avril 2011 à 18:18 (CEST)Répondre
Mais on peut raconter des histoires cochonnes à ses tomates pour les faire rougir. Dhatier jasons-z-en 15 avril 2011 à 01:48 (CEST)Répondre
Même si c'est une légende urbaine, j'ai trouvé une thèse de fin d'étude d'ingénieur agro qui démontre que c'est vrai. Neutralité de point de vue, je ne prends pas parti : weebly Bertrouf 15 avril 2011 à 03:56 (CEST)Répondre
… alors citons La musique et les plantes (« Procédé de régulation épigénétique de la synthèse protéique ») et surtout ce site japonais Anatomie de la musique (« Invitation aux Mélodies de Protéines »). Mon voisin ne m'a pas encore dit si, quand je joue du hautbois dehors devant ma mare, à côté de ses vignes ou, derrière, pour son troupeau de vaches, il avait constaté une amélioration de sa productivité viticole ou laitière. Je vais de ce pas exiger un pourcentage sur ses bénéfices ! — Hautbois [canqueter] 15 avril 2011 à 05:43 (CEST)Répondre
Oui mais non. Vous parlez ici de musique, alors que la question porte sur le fait de parler aux plantes. Les deux phénomènes restent à prouver, du reste. Agrafian (me parler) 15 avril 2011 à 19:52 (CEST)Répondre
Cette légende ( tenace ) est démentie par le comportement des agriculteurs, mais néanmoins observée par ses tenants: ceux qui parlent à leurs bégonias ont aussi le temps et l'envie de bien s'en occuper. C'est encore plus intéressant avec les animaux domestiques habitués à la voix humaine: la parole signifie présence humaine, donc protection contre les autres prédateurs, nourriture, eau... si l’éleveur ne les a pas habitués autrement. Ou alors c'est l'Hypothèse Gaïa. ViZiT (d) 17 avril 2011 à 00:38 (CEST)Répondre
… mais si ça marche, les plantes ont-elles conscience qu'on leur parle directement ? Ou le fait de discuter juste à côté suffit à leur bien-être ? — Hautbois [canqueter] 17 avril 2011 à 05:45 (CEST)Répondre
Cela reviendrait à reconnaître une certaine intelligence au céleri. Les plantes sont sensibles à la lumière ( tournesol ), la température, l'humidité, le contact ( carnivores ) et peuvent communiquer tel l'acacia ( qui émet de l’éthylène en cas de broutage intensif et les autres acacias sous le vent deviennent toxiques pour quelques jours), mais cela ne veut pas dire qu'elles sont sensibles aux vibrations de la voix humaine ( comme nous n'entendons pas les infra-sons ) ni qu'elles en sont conscientes. Et sûrement pas qu'elles en font un lien de cause à effet comme pour les animaux. Mais j'attends la personne qui me dira que son orchidée le salue tous les soirs mais ne salue pas les invités. ViZiT (d) 17 avril 2011 à 20:04 (CEST)Répondre

Deux bacs sans rotation

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Bonjour,
ici quelqu'un s'étonne qu'une photocopieuse dispose de deux bacs différents - portrait et paysage - alors que la machine pourrait utiliser un seul bac et faire tourner la feuille d'un quart de tour, ou donner une rotation à l'image scannée. Y a-t-il une raison (prix d'une pièce mécanique, taille de la machine, envie de vendre plus chère une machine plus grosse à cause du bac supplémentaire...) qui explique l'utilisation de deux bacs distincts ?
Dans le même genre, j'avais lu il y a une quinzaine d'années un article sur un type de bornes d'arcade destiné à l'usage à la maison, dans lequel le constructeur disait que si on voulait jouer à un shoot them up à défilement vertical, il fallait retourner l'écran d'un quart de tour, parce qu'il était trop onéreux de fabriquer une machine qui "transformait le signal". Qu'y aurait-il de particulier dans la technologie des bornes d'arcade qui empêcherait de faire bouger des objets dans le sens qu'on veut ? Apokrif (d) 14 avril 2011 à 18:40 (CEST)Répondre

Les photocopieurs ne scannent pas les images, voir Photocopieur#principe de fonctionnement. Essaie d’imaginer un dispositif permettant de faire tourner la feuille d’un quart de tour, je pense que tu conviendras que la solution la plus simple et la plus fiable est de mettre deux bacs.
Pour les jeux d’arcade, je suppose qu’on avait développé des cartes graphiques avec des routines adaptées aux jeux à défilement horizontal, mais peut-être le fait que ça se jouait sur une télé (image analogique découpée en 819 lignes) y est-il pour quelque chose. Je ne fais qu’émettre des hypothèses. rv1729 14 avril 2011 à 22:03 (CEST)Répondre
Dans toutes les machines, au choix du concepteur par rapport aux contraintes. Sachant que la contrainte prix est souvent la principale (mais pas toujours, sur des machines engageant la vie on privilégiera la fiabilité). RV a raison, pour faire tourner une feuille d'un quart de tour, il faudrait un rouleau à 45° autour de laquelle la feuille pourrait s'enrouler, puis un retour pour la recentrer sur l'axe. Soit 2 rouleaux supplémentaires plus un aiguillage, à comparer avec un seul rouleau d'entrainement et un bac, mais pas d'aiguillage. Enfin bref, le choix n'est pas forcément le moins bon. Bertrouf 15 avril 2011 à 03:43 (CEST)Répondre
"Les photocopieurs ne scannent pas les images" Lorsque, comme c'est le cas en l'espèce, le photocopieur peut aussi servir de scanner et d'imprimante, il n'est pas plus simple d'utiliser pour la photocopie les fonctions existantes de scan et d'impression plutôt que d'avoir un système distinct utilisé pour la seule photocopie ? Apokrif (d) 15 avril 2011 à 14:05 (CEST)Répondre
  « pour faire tourner une feuille d'un quart de tour, il faudrait un rouleau à 45° autour de laquelle la feuille pourrait s'enrouler »   Peut-être « 90° autour duquel » ? — Hautbois [canqueter] 15 avril 2011 à 04:58 (CEST)Répondre
Ben non, 45. Je dois même pouvoir faire un croquis 3D, mais ce sera pour la prochaine pause café... Je dois les prendre rapidement en ce moment. Bertrouf 15 avril 2011 à 08:48 (CEST)Répondre
heu, un tour = 360°, un 1/2 tour = 180°, un 1/4 de tour 90°. Qu'est-ce que je ne comprends pas ? Hautbois [canqueter] 15 avril 2011 à 09:32 (CEST)Répondre
… je viens de comprendre : il faut un rouleau à 45° pour que la feuille arrive à 90° de sa position initiale ! Très lent le hautbois cette semaine. Avec mes excuses   . — Hautbois [canqueter] 15 avril 2011 à 09:37 (CEST)Répondre

Je m'étonne un peu de vos réponses. Faire tourner la feuille, ou avoir deux bacs ne me semblent absolument pas convenir à ce type de problème. La différence entre portrait et paysage est le sens d'impression sur la page, pas le sens de la page elle même. Il est beaucoup plus simple de faire une fonction informatique qui transforme l'image, plutôt qu'une quelconque action mécanique qui fait une action de plus à la feuille. (Et, coup de pot, il me semble que c'est comme ca que ca marche) Bonjour   On fume le calumet     15 avril 2011 à 11:07 (CEST) (Quand les programmes marchent (*sigh*), ceux sont eux qu'il faut privilégier.)Répondre

Comme mentionné plus haut, « les photocopieurs ne scannent pas les images, voir Photocopieur#principe de fonctionnement ». 194.254.71.2 (d) 15 avril 2011 à 11:12 (CEST)Répondre
Confondu photocopieur et imprimante moi .... Hautbois, je suis en lice pour un concours de rapidité :/ Bonjour   On fume le calumet     15 avril 2011 à 11:53 (CEST)Répondre
Je crois que c'est la "Rotation d'image: Fonctionnalité présente sur certains copieurs numériques qui ... peut également être utilisée pour délivrer des jeux alternés tournés à 90 degrés à des fins de séparation lors de la production de copies multiples de documents multi-pages (cela fonctionne avec du papier provenant de deux magasins différents, l'un orienté en portrait et l'autre en paysage)". ViZiT (d) 17 avril 2011 à 00:18 (CEST)Répondre
… les plus anciens vous diront qu'avoir ses deux bacs sans rot à Sion n'était pas une mince affaire ! (même pas honte)Hautbois [canqueter] 17 avril 2011 à 05:31 (CEST)Répondre
Pour résumer les réponses : Sur les photocopieurs les plus électroniques, les pages sont scannées et peuvent s'imprimer dans tous les sens, la feuille ne tourne pas. Sur les photocopieurs simples, la rotation de la feuille pour la mettre dans le bon sens coûte plus cher que mettre un deuxième bac, en particulier partant du même point la feuille doit savoir prendre deux chemins différents = aiguillage = plus cher. J'aurai tellement aimé avoir l'Ascii au bac, je tente :
premier étage rouleau à 45
  \
   \
--->\
    |\
    | \
    v  
 

deuxième étage recentrage

    |^
    ||   ---> impression paysage
    v|
_________
Bertrouf 19 avril 2011 à 04:48 (CEST)Répondre
Pas mal l'Ascii. Je veux juste préciser que l'existence de deux magasins n'est pas que pour orienter la copie en portrait ou paysage en fonction du sens de l'image d'origine, mais surtout pour alterner les paquets de feuilles pour un tri automatique en sortie. Par exemple 20 dossiers de 15 feuilles: au lieu d'avoir une pile de 300 feuilles à trier, on a 15 feuilles dans le sens portrait empilés avec 15 dans le sens paysage puis 15 dans le sens portrait, etc. Le second magasin est plus facile à gérer et la rotation de l'image d'origine se fait par le logiciel interne de manière transparente pour l'utilisateur. Pour l'imprimante qui a ses rouleaux au format A3, que la feuille A4 passe de front ou par le coté, c'est kif-kif. ViZiT (d) 19 avril 2011 à 13:44 (CEST)Répondre

Spectre d'absorption et mélange de couleurs

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Salut les pythies.
Ma soeur a un exercice (sans corrigé) qu'elle réalise la lumière et les ondes : il s'agit d'un spectre d'absorption qui renvoie les couleurs verte, jaune et rouge. La question est : quelle est la couleur obtenue ? Je parie pour du violet, ma soeur pour du jaune, et ma mère, bah, aucune idée. Bref, quelqu'un pourrait il nous dire quelle couleur on obtient à partir de ces trois là ? Merci beaucoup ! .Anja. (d) 15 avril 2011 à 11:54 (CEST)Répondre

Je dirais comme ta soeur (rouge + vert donne jaune, + jaune...) mais sans conviction...  Cobra Bubbles°°° Dire et médire 15 avril 2011 à 12:22 (CEST)Répondre
Je ne comprends pas bien l'énoncé, mais cela doit se passer du côté de 'Synthèse soustractive' (quand on éclaire, c'est une synthèse additive). Si on met un filtre vert derrière un filtre rouge, rien ne passe, c'est noir (le jaune n'est pas nécessaire, il est compris dans le vert). ...Me semble-t-il (?). -- Xofc [me contacter] 15 avril 2011 à 13:15 (CEST)Répondre
Je te comprends visiblement aussi mal que tu m'as comprise   mais merci d'avoir essayé Xofc. Une lumière est décomposée par un prisme. La lumière ainsi dispersée forme un spectre : sur ce spectre, on voit les couleurs verte, jaune et rouge. Normalement (enfin, je crois ?), la lumière d'origine devrait avoir pour couleur le mélange de ces trois-là (?). J'avais pensé vert + jaune = bleu, puis bleu + rouge = peut-être violet ? L'article Synthèse soustractive (j'y avais pensé) ne donne pas de solution possible (3 couleurs étant en cause, dont une primaire et les deux autres secondaires). .Anja. (d) 15 avril 2011 à 16:48 (CEST)Répondre
Si l'énoncé est « on décompose une lumière dans un prisme et on obtient trois raies verte, jaune et rouge (on suppose égales les luminances pour simplifier le problème) », on se place bien dans le cadre d'une synthèse additive et la réponse est rouge + vert -> jaune ; la perception par l'oeil sera donc un jaune qui pourra tirer vers l'orange-rouge si la luminance de la raie rouge est plus élevée que celles du jaune et du vert, ou sur le vert si la luminance de la raie verte est supérieure aux autres. Mais la réponse attendue est le jaune. S.M. | D.S.M. 15 avril 2011 à 17:14 (CEST)Répondre
Ce que je ne comprends pas dans l'énoncé, c'est « un spectre d´absorption qui renvoie les couleurs verte, jaune et rouge » (surtout le 'renvoie'; j'aurais préféré « une solution qui 'transmet' ou 'absorbe' ...»). Si le vert et le rouge sont absorbés (filtre vert + filtre rouge), il ne passe rien, c'est noir. Si le vert et le rouge sont transmis, ça sort jaune (c'est le RVB des moniteurs). ;-) -- Xofc [me contacter] 15 avril 2011 à 19:15 (CEST) Édité{ Ou plutôt, si le vert (, le jaune) et le rouge sont absorbés, ça sort violet-bleu? Je prends un spectre complet, du violet-bleu au rouge; je retire/masque vert-jaune-rouge, il reste violet-bleu. -- Xofc [me contacter] 16 avril 2011 à 08:04 (CEST) }Répondre
Il est vrai que l'intitulé n'est pas clair avec cette histoire de spectre d'absorption. En règle générale, pour connaître la résultante de plusieurs rayonnements monochromatiques, vous pouvez vous référer au diagramme de la CIE selon lequel la résultante de la synthèse additive correspond au barycentre des couleurs monochromatiques impliquées pondérées par leurs luminances respectives. S.M. | D.S.M. 15 avril 2011 à 19:35 (CEST)Répondre

Note: dans 'General chemistry' de Linus Pauling, il écrit que l'ion permanganate (MnO4) absorbe le vert (permettant au bleu-violet et au rouge de passer) et apparaît magenta par transparence. Dans l'illustration, ce qui absorbe le bleu apparaît jaune; ce qui absorbe le jaune apparaît bleu-violet et ce qui absorbe le rouge apparaît cyan. (Et donc, je parierais aussi pour du bleu-violet) Bien sûr, ce serait mieux d'avoir un bouquin de spectroscopie... ;-) -- Xofc [me contacter] 16 avril 2011 à 18:23 (CEST)Répondre

Xofc : ce que je voulais dire par 'renvoie', c'est que l'on voit sur le spectre ces 3 couleurs (toutes les autres sont absorbées).
Petite précision : il ne s'agit pas de rayonnements monochromatiques. Mais merci pour vos réponses :) ! .Anja. (d) 16 avril 2011 à 20:21 (CEST)Répondre
Si cela absorbe le bleu (et laisse passer le reste (vert, jaune, rouge)), ça apparaît jaune. Dans l'illustration de Pauling, intitulée « Colors resulting from absorption in a given spectral region », il y a un joli rectangle jaune sous-titré « Absorption in the blue ». C'est vrai qu'il y a quelque chose de spécial entre ce spectre linéaire et le(s) triangle(s) de couleurs. Goethe s'était opposé à Newton dans son Traité des couleurs (1810) (en:Theory of Colours#Newton and Goethe) Je n'ai pas approfondi, mais il semblerait que la TV, la photographie et l'impression couleur modernes soient plus inspirées de la théorie de Goethe que de celle de Newton ;-) -- Xofc [me contacter] 17 avril 2011 à 08:37 (CEST)Répondre

la terreur

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Bonjour tout le monde, je dois passer mon CCF(Contrôle en Cour de Formation) en histoire et je voulais vous poser une question car je n'ai rien trouvé sur le site. la voici:"Comment les commanditaire de la Révolution se sont il retrouver sur l’échafaud ?" merci d'avance pour toutes les réponse que vous pourrez me fournir. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Lo842 (discuter), le 15 avril 2011

Terreur (Révolution française) Mike Coppolano (d) 15 avril 2011 à 14:04 (CEST)Répondre
Qu'est-ce que la Cour de Formation ? Une juridiction éducative qui sanctionne les devoirs non-rendus et inflige aux cancres des contrôles d'intérêt général ? Souhaitons qu'elle soit moins expéditive que le tribunal révolutionnaire ! S.M. | D.S.M. 15 avril 2011 à 17:26 (CEST)Répondre

Poules, lapins, oies, etc...

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Bonjour,
Jadis l'ouvrier parisien élevait un lapin dans une petite cage sur le bord de sa fenêtre, et à la fin du mois il le trucidait et, cela faisait du lapin dans ses épinards ! lol ! Aujourd'hui qu'en est-il de ce genre d'élevage en milieu urbain (réponses sérieuses souhaitées). Merci. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 193.252.42.45 (discuter), le 15 avril 2011 à 14:31 (CET)Répondre

Bonjour aussi, merci d'éviter de poser une question en modifiant la page d'accueil de l'Oracle car vous l'avez fait sans voir l'avertissement: Prière de ne pas modifier cette page pour d'autres raisons que la maintenance. Je pense que c'est par étourderie, donc merci de faire attention lors de votre prochaine question car c'est la seconde fois. Merci --Doalex (d) 15 avril 2011 à 16:18 (CEST)Répondre
Je n'ai pas de réponse mais je te remercie pour cette info, je n'avais jamais entendu parler de ça. Il y a de quoi utiliser ça dans un débat sur les moutons égorgés...   --TwøWiñgš Boit d'bout 15 avril 2011 à 16:02 (CEST)Répondre
La chose se pratique toujours en milieu rural et, a priori, je ne vois pas ce qui empêcherait qu'on fît de même dans le Vème arrondissement. Cependant, je crois les citadins peu enclins à engraisser un lapin pour le manger (un lapin c'est mignon), et que si le cas se produisait dans un immeuble, les voisins s'empresseraient de faire voter à l'assemblée générale des copropriétaires une résolution interdisant de telles pratiques (et au passage, on éplucherait le relevé d'électricité du fâcheux etc.). D'autre part, j'imagine qu'il est possible qu'un arrêté municipal soit pris pour limiter la détention d'un animal domestique en vue de sa consommation. Enfin, l'élevage (qui s'entend en droit français dès lors qu'il y reproduction) est soumis à une autorisation préfectorale. En résumé, s'il n'est théoriquement pas impossible d'entretenir un clapier en milieu urbain, j'imagine que son propriétaire devrait faire face à de telles tracasseries que le jeu n'en vaudrait pas la chandelle. S.M. | D.S.M. 15 avril 2011 à 17:52 (CEST)Répondre
Ah ! Le Vème arrondissement, le quartier lapin. Ok je retourne dans mon clapier du XVIIIème.--Doalex (d) 15 avril 2011 à 18:37 (CEST)Répondre
Ah ! Le XVIIIème c'est le quartier tapin. Ok je retourne dans mon poulailler de XVIème. S.M. | D.S.M. 15 avril 2011 à 19:17 (CEST)Répondre
La ré-autorisation de l'élevage familial d'animaux de basse-cour se discute ferme depuis un an à Montréal, écologie urbaine oblige. Il y a des pouret des contre Dhatier jasons-z-en 15 avril 2011 à 19:54 (CEST)Répondre
Je ne sais pas pour les lapins, mais à Paris on fait de l'apiculture : voir ici ou ici. L'article de Libération précise qu'il n'y a pas de réglementation contraignante pour l'élevage d'abeilles en ville. Amicalement, Comte0 (d) 15 avril 2011 à 21:10 (CEST)Répondre
C'est simple notre interlocuteur fait allusion aux années 1950 à l'époque du film Gas-Oil. Là l'ouvrier et sa femme donnent les épluchures au lapin, puis 1 de ces 4, un coup du plat de la main sur la nuque du lapin, un coup de schlass, et hop dans la cocotte avec les petits oignons. Ça doit pouvoir se faire dans une cité aujourd'hui Mike Coppolano (d) 15 avril 2011 à 21:23 (CEST)Répondre
CQui (d) Cela date de l'époque ou les emballage de nourriture étaient des épluchures, pas des bac plastiques, maintenant, je ne suis pas sur que l'on trouverait des lapins a engraisser aussi facilement qu'a l´époque. --CQui (d) 23 avril 2011 à 02:32 (CEST)Répondre

Maths

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2+2=5 pour des valeurs suffisamment grandes de 2, non? Mais alors, comment faire que 250+250=600? Merci d'avance.15 avril 2011 à 19:41 (CEST)

L'équation « 2 + 2 = 5 (pour des valeurs suffisamment grandes de 2) » est une simple blague d'informaticiens qu'on retrouve sur des tee-shirt fantaisie. Lisez ceci. Agrafian (me parler) 15 avril 2011 à 19:48 (CEST)Répondre
Je croyais que c'était de la pataphysique: il nous revient donc d'aller vérifier!15 avril 2011 à 19:50 (CEST)
Pour en revenir à la question, il est impossible de dire que 250 + 250 = 600 en utilisant la même astuce, car le nombre de chiffres significatifs n'est pas le même ; il n'est donc pas possible, en tronquant à l'inférieur, d'obtenir plus que 250 + 250 = 501. Agrafian (me parler) 15 avril 2011 à 19:55 (CEST)Répondre
Oui, mais n'est il pas possible d'y arriver en disant que 250=125*2 ou 250=25*5*2 ou quelque chose comme ça et ensuite d'utiliser les valeurs suffisamment grandes de 2?15 avril 2011 à 19:58 (CEST)
Non. Parce qu'à ce moment-là, 25 × 5 × 2 ne serait plus égale à 250 (mais à 300 dans notre cas). Agrafian (me parler) 15 avril 2011 à 20:04 (CEST)Répondre
Bon, alors là! Ca devient hard! il faut résoudre 2((250/2)x)=600 et là en résolvant, ça marche (et en plus on trouve la fameuse valeur de 2), arrêtez moi si je me trompe encore plus que l'équation de départ n'est fausse!15 avril 2011 à 20:43 (CEST)
  Pour la raison décrite ci-après, une des Pythies a estimé que cette question ne peut pas conduire à une réponse pertinente, et que son maintien sur la page ne présente pas un intérêt collectif. Pour la bonne tenue des lieux, si la question n'évolue pas, l'ensemble sera effacé d'ici 24 h. Badinage sans potentiel encyclopédique
rv1729 15 avril 2011 à 23:36 (CEST)Répondre
Pas d'accord avec le nettoyage, la question a reçu sa réponse : "Voir 2 + 2 = 5 pour comprendre que ça ne marche pas pour 250". C'est essayer quand même qui n'est pas pertinent. Fin de discussion Bertrouf 19 avril 2011 à 04:57 (CEST)Répondre

La liaison dans le vers

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Bonsoir mes amis. Si l'on s'en rappelle, j'ai posé une question concernante la liaison (qui peut-être demeure encore plus haut sur cette page) il y a quelques jours. J'ai demandé, y a-t-il un liaison entre le x et le é dans la phrase « Ses yeux étaient bleu » ; la réponse était indisputablement, non. Maintentant je voudrais éloigner (si c'est le mot juste) ma question de haut en demandant, si cette même phrase se trouvait dans le vers (un poème ou une chanson), y aurait-il une liaison dans la même place ? (entre le x de yeux et le é de étaient) Mercis profuses en avance. PS: S'il vous plaît ne mergez pas cette question avec l'autre ; ces deux sont des questions distinctes, et chacune reflète une curiosité discrète. Merci de nouveau. 72.128.95.0 (d) 16 avril 2011 à 02:22 (CEST)Répondre

Oui ou non, ça dépend si le y subit une diérèse. Ses zieux étaient bleus en cinq syllabes, parce que l'hiatus est moins fâcheux que le zézaiement ; ses zi-eux zétaient bleus serait probablement acceptable en six syllabes pour la raison contraire. Mais on vous répondrait plus formellement sur des vers d'auteurs reconnus que sur une proposition qui n'aurait d'existence crédible que dans une chanson de boys band de troisième catégorie. S.M. | D.S.M. 16 avril 2011 à 08:26 (CEST)Répondre
ne mergez pas = ne merdez pas ?! Mike Coppolano (d) 16 avril 2011 à 08:46 (CEST)Répondre
Non : merge est un mot anglais signifiant « fusionner ». Agrafian (me parler) 16 avril 2011 à 09:03 (CEST)Répondre
(conflict) Allons, allons Mike cette personne est étrangère, oui c'est la même personne qui nous a envoyé l'autre jour une jolie photo d'une plage d'Atlantic City sur laquelle figurait une paire de jeunes filles dont l'une avec ou sans paire de lunettes, donc merger=fusionner. Voici un poème chanté figurant dans cet album Bouleversifiant !, d'une très grande tenue d'où j'ai extrait quelques vers: Isabelle a les (z)yeux bleus, bleus les (z)yeux Isabelle a et une variante, Isa bleus belle a les (z)yeux. --Doalex (d) 16 avril 2011 à 09:22 (CEST)Répondre
mea culpa, mea maxima culpa ... Mike Coppolano (d) 16 avril 2011 à 09:32 (CEST)Répondre
(conflit d'édith) Si je ne m'abuse, le questionneur n'est autre que notre étudiante américaine qui apprend le français, et qui merge parfois certains mots ;) S.M. | D.S.M. 16 avril 2011 à 09:28 (CEST)Répondre
Arrêtez de ne me mergez comme ça Monsieur, je vous ai rien fait ... D'ailleurs faudrait pas merger les torchons et les serviettes, hein, ô ! Mike Coppolano (d) 16 avril 2011 à 09:34 (CEST)_Pô pô pô pôôô dis ! Manque juste un u pour les merguez, toi.--Doalex (d) 16 avril 2011 à 09:43 (CEST)Répondre
À mon avis, la prononciation avec liaison est possible en poésie, vu que les liaisons y sont bien plus fréquentes que dans le langage courant. Cependant, elle n'est pas obligatoire et ne change rien au comptage des syllabes (toujours 5 syllabes quelle que soit la prononciation). La diérèse dans le mot yeux est à mon avis incorrecte, puisque la voyelle i est absente dans l'écriture. Rāvən (d) 16 avril 2011 à 10:12 (CEST)Répondre
Je ne sais pas quelle était la réponse à la première question mais en tout cas la réponse est obligatoirement la même dans les deux cas : il n'y a pas et il ne peut pas y avoir de liaison entre « ses » et « étaient » dans la phrase « Ses yeux étaient bleus » (préférable à « Ses yeux était bleu ») pour une raison simple : la liaison n'a lieu qu'entre deux mots consécutifs, que ce soit en prose ou en vers. Par contre il peut y avoir une liaison entre « ses » et « yeux » (en fait, cette liaison est obligatoire) et entre « yeux » et « étaient » (liaison facultative en français contemporain). Par contre oui : dans un texte en vers réguliers, on prononce le plus souvent des liaisons qui en prose non soutenue ne le sont pas, mais je le reprécise, seulement entre mots consécutifs. Pour exemple d'une prononciation qu'on trouvera rarement en prose, dans le vers « Qu'un sang impur abreuve nos sillons » on prononce parfois la liaison entre « sang » et « impur » (ce qui sonne comme « sanguimpur ») mais en aucun cas entre « sang » et abreuve », qui donnerait « impur gabreuve ». -O.--M.--H.- 16 avril 2011 à 15:36 (CEST)Répondre
À la réflexion, je pense que la diérèse est possible dans yeux, mais ça doit quand même être assez rare. Je n'ai pas pu trouver d'exemple, que ce soit avec yeux ou un mot similaire (moyen par exemple). Rāvən (d) 16 avril 2011 à 23:08 (CEST)Répondre
Désolée, j'ai fait une petite erreur dans la question que ceux qui ont vu ma première question n'ont pas discernée ; la bonne question c'est, y a-t-il une liaison entre le x de yeux et le é de étaient. 72.128.95.0 (d) 17 avril 2011 à 02:59 (CEST)Répondre
Il y a un cas équivoque (deux diérèses possibles dans l'hémistiche) mais probable, dans Voyelles de Rimbaud :
- O l'Oméga, rayon violet de Ses Yeux ! -
Probable à cause du vers à la rime, où la diérèse est bien sur la finale :
Que l'alchimie imprime aux grands fronts studieux ;
En même temps, pour l'euphonie la diérèse sonnerait mieux avec « violet » mais serait moins logique. Et il y a aussi la question de la composition du vers : une ou deux césures ? Si on le lit en trois groupes de quatre pieds, ce qui semble requis pour ne pas séparer « rayon violet »,
- O l'Oméga, / rayon violet / de Ses Yeux ! -
la diérèse est obligatoirement sur « Yeux ». -O.--M.--H.- 17 avril 2011 à 01:26 (CEST)Répondre
Si si ! La liaison entre deux mots non-consécutifs est fréquente en français courant, comme dans la phrase célèbre « qu'as-tu fait de tes vingt z-euros ? » S.M. | D.S.M. 17 avril 2011 à 08:40 (CEST)Répondre
Là c'est autre chose, qu'on peut appeler le « sentiment du pluriel » : la liaison ne se fait pas avec l'article mais avec le numéral, comme quand (fait réel) une caissière te dit « Ça fait cinq z'euros six » (j'ai mis un certain temps à décoder...). Le numéral est « pluriel » pour son sens donc la liaison intuitive est celle habituelle pour le pluriel grammatical. À l'époque des francs ça ne fonctionnait pas mais avec les zeuros ça se voit, ou plutôt ça s'entend. Il y a peu, j'ai entendu un journaliste parler, sur France Culture, de l'envoi de cent z'avions je ne sais plus où... -O.--M.--H.- 17 avril 2011 à 10:54 (CEST)Répondre

Une réponse sérieuse : oui, en poésie ou bien dans une chanson, on peut prononcer "Ses z'yeux z'étaient bleus", et cela ne choque personne. mais dans le "français parlé de tous les jours", on dit "Ses z'yeux étaient bleus" sans faire la liaison sur "yeux-z'étaient". C'est l'usage. Des gens qui veulent "parler comme des poètes" (meeting politique, examen à l'université, etc...) pourraient faire la liaison dans une discussion, mais ce serait pour suggérer leur haut niveau culturel, pour intimider les gens qui les écoutent. Amicalement Aluminium (d)

Probabilité généalogique

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Évolution du territoire français de 985 à 1947

Bonjour. Sachant la population de la France vers Louis IX, ce qui est une première question. Est-ce qu'il y aurait un calcul mathématique pour pouvoir dire la probabilité d'avoir un individu de cette époque comme ancêtre ? Cela fait, à peu près, un ascendant à la 28ème génération. Merci d'avance. Philippe Nusbaumer (d) 16 avril 2011 à 02:22 (CEST)Répondre

En 1328, soit presque 50 ans après la mort de Louis IX selon notre article, la France comptait 18 à 20 millions d'habitants. Mais sa superficie était plus petite qu'actuellement (à peu près toute la partie à l'est d'une ligne Sedan-Arles manquait). Dhatier jasons-z-en 16 avril 2011 à 03:07 (CEST)Répondre
La probabilité est énorme, si tu penses pouvoir considérer que la plupart de tes ancêtres trainaient dans cette région au moyen-âge (peau rose ? long nez ?). Mais les apparences physiques sont - heureusement - souvent trompeuses sur les origines familiales à moyen ou long terme. La probabilité est très faible si toute ta famille est constituée de Papous. En bref : tu veux savoir qui tu es ? Ne demande pas au moyen-âge, ou aux mathématiques, de te répondre clairement. Vu les transferts de population et les histoires d'amour des humains, bien malin qui prétend déterminer ce genre de choses... Amicalement Aluminium (d) 17 avril 2011 à 03:35 (CEST)Répondre
Non, la probabilité n'est pas si grande. S'il n'y a pas de croisements consanguins, on a 2^28 = 270 millions d'ancêtres 28 générations en arrière, pour une population environ 10 fois plus petite. Si l'on considère la France comme un système fermé, on peut classer cette population en deux catégories : les gens qui sont les ancêtres de tous les français actuels, et les gens qui ne sont les ancêtres de personne. Or, il y a probablement beaucoup plus de gens qui n'ont pas laissé de descendants que de gens qui en ont laissé 28 générations plus tard. La réponse à question initiale, telle qu'elle est posée, est donc : faible. Arnaudus (d) 17 avril 2011 à 14:32 (CEST)Répondre
Pour la question inverse (la probabilité pour un individu du XIVe siècle d'avoir un descendant aujourd'hui) j'aurais dit comme Arnaudus ; la question étant « la probabilité d'avoir un individu de cette époque comme ancêtre », je dis : très grande, même si on se limite à la population de la France de l'époque – ce que ne précise pas la question, si on la prend au pied de la lettre, 100% des vivants actuels ont au moins un ancêtre ayant vécu durant la période de règne de Louis XI. Une part importante des habitants actuels de la France a des ascendants « de souche » dont une partie de la lignée locale remonte loin en arrière. Pas sûr qu'il y ait une manière probabiliste de calculer ça, plutôt une manière statistique. -O.--M.--H.- 17 avril 2011 à 16:59 (CEST)Répondre
On n'a pas compris la question de la même manière on dirait. Je comprends «la probabilité d'avoir un individu de cette époque comme ancêtre» comme «la probabilité qu'un individu quelconque de cette époque soit un de mes ancêtes», et pas «la probabilité qu'au moins un français de cette époque soit un de mes ancêtres», ce qui serait une question assez absurde, non? Arnaudus (d) 18 avril 2011 à 10:02 (CEST)Répondre
En mettant de côté les consanguins, on a 2^28 sur 65,8 millions = 410% des français vivants ont Louis IX pour grand-grand-père. On en déduit que la consanguinité n'est pas négligeable sur 28 générations mais en l'absence de méthode de calcul, retenons 100%. Pour un autre contemporain choisi arbitrairement, il faut d'abord qu'il ait eu des enfants, les statistiques sont difficiles à trouver. Aujourd'hui on parle de 10% des femmes sans enfant, admettons ce chiffre pour les hommes aussi et pour l'année 1300. A la deuxième génération, c'est déjà négligeable. Restent ceux dont les ancêtres ne vivaient pas en France à cette époque c'est-à-dire seulement les immigrés pure souche, 11% d'après l'article France. Conclusion, environ 79% de chance d'être le descendant d'un français donné au 12ème siècle. Bertrouf 19 avril 2011 à 06:20 (CEST)Répondre
Certaines populations ont vécu en n'échangeant que très peu de gènes avec l'extérieur jusqu'aux quinzième, dix-septième ou dix-neuvième siècle, selon les régions. Si l'on pouvait représenter sur une carte d'une couleur différente les descendants de chaque sujet de Louis neuf,on verrait des taches localisées, des gosses taches diffuses, et d'autres couvrant presque toute la planète. Je ne vois pas trop comment donner un sens à une probabilité uniforme d'être le descendant de n'importe lequel de ces sujets. Mais c'est à peu près sûr, on descend de quelqu'un. Colo (d) 20 avril 2011 à 12:00 (CEST)Répondre

François Gernoud ?

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Bonjour
J'aimerais avoir des renseignements sur François Gernoud (Je ne suis pas certain de l'orthographe), personnage occulte qui soutint des groupuscules terroristes. Merci

Je pense qu'il s'agit de François Genoud. Rāvən (d) 16 avril 2011 à 15:56 (CEST)Répondre
Je le pense aussi (grillé !). -O.--M.--H.- 16 avril 2011 à 15:57 (CEST)Répondre

Prix littéraire : Prix Georges

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Bonjour à toutes les pythies,

ma requête est la suivante : je m'occupe assez fréquemment de l'article consacré à Guillaume Dustan et dans son ouvrage Génie divin il est fait mention d'un prix littéraire auquel il aurait donné naissance au début des années 2000 : le prix « Georges » visant à récompenser des œuvres LGBT. La liste des jurés stipule par exemple la présence de Geneviève Pastre et d'autres personnalités. J'aimerai citer cette information dans l'article or je n'ai trouvé aucune références, ni dans la presse ni sur Internet, aucune liste de lauréats, aucune description du prix, d'articles sur son lancement et peut-être sur sa disparition. Toutes infos est donc la bienvenue. Merci d'avance. Bien à vous. --GoAskAlice (d) 16 avril 2011 à 17:18 (CEST)Répondre

Peut-être en allant sur les pages de ceux qui ont obtenu le prix spécial comme ici [4] que l'on retrouve ici Fabrice Neaud, et en espérant qu'il puisse être contacté ou son éditeur, ou alors en interrogeant l'éditeur de Guillaume Dustan pour Génie divin les Éditions Balland et ici [5] .--Doalex (d) 16 avril 2011 à 18:39 (CEST)Répondre
Merci beaucoup pour les pistes de recherche, je vais regarder tout ça  . --GoAskAlice (d) 17 avril 2011 à 12:49 (CEST)Répondre

Ambassadeurs de France aux U.S.A nommés par Mitterand

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J'ai lu dans un livre de D. de VILLEPIN que F.MITTERRAND aurait nommé un valet de chambre ambassadeur aux U.S.A . Si cela est vrai qui est cet homme? Merci de votre réponse

Il s'agissait d'une boutade ou bien le valet de chambre (si tant est que la fonction existe encore !) devait être sacrément diplomé. Je propose de nommer son sommelier à la circulation aux feux rouges près de l'Arc de Triomphe dans la rue Pergolèse entre Minuit et 3 heures du matin. Mike Coppolano (d) 16 avril 2011 à 18:18 (CEST) c'est bizarre ces questions sur l'Iran, la Démocratie, les ambassadeurs ; toussa comme ça d'un coup ! Et on voudrait qu'on soit bien sagement assises sur nos trépieds à mâcher nôtre laurier pour rendre nos sentences ... Répondre

en:Demolition belt

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Bonsoir,

ma question est simple, comment appelle-t-on une "demolition belt" en français? Skiff (d) 17 avril 2011 à 22:44 (CEST)Répondre

Salut. Peut-être champ de mines ou (en français dans le texte) no man's land ? Ou alors, pas de traduction, ça arrive. -O.--M.--H.- 18 avril 2011 à 02:13 (CEST)Répondre
Copiée en semaine 16. Agrafian (me parler) 18 avril 2011 à 07:29 (CEST)Répondre
  1. tautologie