« Lucien Saint » : différence entre les versions

Fonctions
Sénateur de la Troisième République; Haute-Garonne
10 janvier 1933 - 24 février 1938
Maire de Marignac
1933-1938
Résident général de France au Maroc
2 janvier 1929 - 29 juillet 1933
Théodore Steeg Henri Ponsot
Résident général de France en Tunisie
1er janvier 1921 - 2 janvier 1929
Étienne Flandin François Manceron
Préfet de l'Aisne
1919-1921
Préfet des Bouches-du-Rhône
1918-1919
Préfet de la Haute-Garonne; Haute-Garonne
1915-1918
Préfet d'Ille-et-Vilaine; Ille-et-Vilaine
1909-1915
Préfet de la Nièvre; Nièvre
1906-1909
Sous-préfet de Rochefort
à partir de 1903
Sous-préfet de Saint-Marcellin
à partir de 1899
Naissance	26 avril 1867; Évreux
Décès	24 février 1938 (à 70 ans); Marignac
Nationalité	française
Formation	Faculté de droit et des sciences économiques de Paris (d)
Activités	Homme politique, haut fonctionnaire
Distinctions	Grand-croix de l'ordre d'Alphonse XII (1929); Grand officier de la Légion d'honneur‎
Archives conservées par	Archives nationales (F/1bI/841)

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Lucien Saint, né le 26 avril 1867 à Évreux (Eure) et mort le 24 février 1938 à Marignac (Haute-Garonne), est un haut fonctionnaire et homme politique français.

Biographie

Carrière préfectorale

Lucien Charles Xavier Saint, après avoir obtenu sa licence en droit, se consacre au métier d'avocat puis entame une carrière préfectorale comme chef de cabinet du préfet de l'Aube puis comme sous-préfet de Rochefort et préfet de la Nièvre (juin 1906-juin 1909), d'Ille-et-Vilaine, de la Haute-Garonne (vers 1915), des Bouches-du-Rhône (1918-1919), préfet hors classe des régions libérées et préfet de l'Aisne (1920).

Résident général en Tunisie

Nommé ministre plénipotentiaire de première classe, Lucien Saint occupe la fonction de résident général de France en Tunisie du 1^er janvier 1921 au 2 janvier 1929. Il est à l'origine de la création de quatre types de conseils électifs en Tunisie :

les conseils de caïdats réservés pour l'essentiel aux Tunisiens et investis d'un rôle consultatif en matière économique ;
les conseils de régions, composés de Français et de Tunisiens, investis d'un rôle consultatif en matière économique mais aussi chargés de répartir certains subsides entre les différentes composantes régionales (caïdats et municipalités) ;
le Grand Conseil, composé d'une section française et d'une section tunisienne, examinant le budget de la régence ;
la commission arbitrale du Grand Conseil qui règle les différends éventuels entre les deux sections du Grand Conseil.

Ces réformes marquent une forme de décentralisation par le biais des conseils territoriaux, un relatif partage des seules compétences budgétaires entre le gouvernement tunisien et des représentants élus et enfin une certaine association des notables tunisiens aux notables français dans l'exercice de ces nouvelles prérogatives financières. Par la suite, le résident général invite Habib Bey et ses deux fils dans sa propriété à Marignac, en 1923 et 1924, comme le rappelle la signature en caractères arabes du bey dans le registre des délibérations du Conseil municipal.

Résident général au Maroc

Lucien Saint est ensuite nommé résident général de France au Maroc du 2 janvier 1929 au 29 juillet 1933. Dans le cadre de ces fonctions, il s'attache à parachever l'œuvre du maréchal Hubert Lyautey en étendant l'autorité du makhzen ainsi que l'occupation française à l'ensemble du territoire. C'est donc pendant sa résidence qu'est rallié au makhzen l'un des derniers bastions de résistance berbère encore actif au Maroc à l'époque : celui des Aït Atta réfugiés dans le djebel Saghro sous la houlette du cheikh Assou Oubasslam. En tant que résident général, Lucien Saint invite le sultan du Maroc, Moulay Mohammed (futur Mohammed V), son grand vizir et son interprète à Marignac le 26 juillet 1929 dans le cadre de leur séjour à Luchon ; ils ont apposé leurs signatures en caractères arabes dans le registre des délibérations de la commune.

En 1933, Édouard Daladier, alors président du Conseil, adresse à Lucien Saint une citation à l'ordre de l'Armée pour son œuvre accomplie à la suite du maréchal Lyautey dans la « pacification » du Maroc :

« Le président du Conseil, ministre de la Guerre,
Cite à l'ordre de l'Armée,
Monsieur Lucien Saint, commissaire résident général de la République française au Maroc, du 2 janvier 1929 au 29 juillet 1933, a rendu dans ses hautes fonctions, les plus éminents services, déployant notamment une activité fructueuse dans la préparation politique de la soumission des confins algéro-marocains du Tafilalet, du Drâa, du djebel Saghro et du Haut Atlas, exerçant avec une impulsion personnelle des plus heureuses et usant constamment de sa haute autorité pour faciliter la tâche du commandement et des troupes, a ainsi définitivement attaché son nom à l'achèvement de la pacification du Maroc.
Cette citation comporte attribution de la Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieures avec palme.
Paris, le 27 juillet 1933
Édouard Daladier. »

Maire et sénateur

Il devint par la suite maire de Marignac de 1933 à 1938. En effet, pendant la Première Guerre mondiale, lors d'une de ses tournées de préfet, il est séduit par le site de la ville et y achète la propriété de Sacère. Le nom de Lucien Saint reste attaché au groupe scolaire qu'il fait acheter à la commune en 1935. Il est ensuite élu sénateur de la Haute-Garonne le 10 janvier 1933^[2].

Il est inhumé au cimetière de Marignac ; sur sa stèle est retranscrit le discours qu'Édouard Daladier avait prononcé en 1933 pour lui rendre hommage.

Distinctions

Notes et références

↑ « http://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/UD/FRAN_IR_001514/d_1736 »
↑ « Saint Lucien », sur senat.fr (consulté le 26 février 2017).
↑ « Recherche - Base de données Léonore », sur www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le 23 juin 2023)

Sources

« Lucien Saint », dans le Dictionnaire des parlementaires français (1889-1940), sous la direction de Jean Jolly, PUF, 1960 [détail de l’édition].
Eugène Guernier, Tunisie, Paris, Encyclopédie coloniale et maritime, 1948, 505 p.
Qui êtes-vous ? : annuaire des contemporains, notices biographiques, Paris, Delagrave, 1924, p. 142-143.

Liens externes

Ressources relatives à la vie publique :
Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- Britannica
Notices d'autorité :
- VIAF
- ISNI
- BnF (données)
- IdRef
- Belgique

[wikidata-30d98d419d35c5428b110195888cc012e20f3f33-1] « http://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/UD/FRAN_IR_001514/d_1736 »

[2] « Saint Lucien », sur senat.fr (consulté le 26 février 2017).

[3] « Recherche - Base de données Léonore », sur www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le 23 juin 2023)

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+{{Infobox Biographie2}}
-[[Image:Lucien Saint.jpg|thumb|right|Lucien Saint en [[1930]], lors de la foire de [[Meknès]]]]
-'''Lucien Saint''', de son nom complet Lucien Charles Xavier Saint, né le [[26 avril]] [[1867]] à [[Évreux]] et décédé le [[24 février]] [[1938]] à [[Marignac (Haute-Garonne)|Marignac]], était un [[Fonction publique|haut fonctionnaire]] et [[Personnalité politique|homme politique]] [[France|français]].
+'''Lucien Saint''', né le {{date de naissance|26 avril 1867}} à [[Évreux]] (Eure) et mort le {{date de décès|24 février 1938}} à [[Marignac (Haute-Garonne)|Marignac]] (Haute-Garonne), est un [[Fonction publique|haut fonctionnaire]] et [[Personnalité politique|homme politique]] [[France|français]].
 == Biographie ==
+=== Carrière préfectorale ===
-Lucien Saint, après avoir obtenu sa [[Licence (grade universitaire)|licence]] en [[droit]], se consacre au métier d'[[Avocat (métier)|avocat]] puis entame une carrière préfectorale comme chef de cabinet du [[préfet (France)|préfet]] de l'[[Aube (département)|Aube]] puis comme [[sous-préfet]] de Rochefort et préfet de la [[Nièvre (département)|Nièvre]] (juin [[1906]]-juin [[1909]]), d'[[Ille-et-Vilaine]], de la [[Haute-Garonne]] (vers [[1915]]), des [[Bouches-du-Rhône]] ([[1918]]-[[1919]]), [[préfet (France)|préfet]] hors classe des régions libérées et préfet de l'[[Aisne (département)|Aisne]] ([[1920]]).
+Lucien Charles Xavier Saint, après avoir obtenu sa [[Diplôme national de licence (France)|licence]] en [[droit]], se consacre au métier d'[[Avocat (métier)|avocat]] puis entame une carrière préfectorale comme chef de cabinet du [[Préfet (France)|préfet]] de l'[[Aube (département)|Aube]] puis comme [[Sous-préfet (France)|sous-préfet]] de Rochefort et préfet de la [[Nièvre (département)|Nièvre]] ({{date-|juin 1906}}-{{date-|juin 1909}}), d'[[Ille-et-Vilaine]], de la [[Haute-Garonne]] (vers 1915), des [[Bouches-du-Rhône]] (1918-1919), [[préfet (France)|préfet]] hors classe des régions libérées et préfet de l'[[Aisne (département)|Aisne]] (1920).
+=== Résident général en Tunisie ===
-Nommé [[ministre plénipotentiaire]] de première classe, Lucien Saint occupa la fonction de [[résident général de France en Tunisie]] du {{1er janvier}} [[1921]] au [[2 janvier]] [[1929]]. Il est à l'origine de la création de quatre types de conseils électifs en Tunisie :
+Nommé [[ministre plénipotentiaire]] de première classe, Lucien Saint occupe la fonction de [[résident général de France en Tunisie]] du {{date-|1 janvier 1921}} au {{date-|2 janvier 1929}}. Il est à l'origine de la création de quatre types de conseils électifs en Tunisie :
 * les conseils de [[caïd]]ats réservés pour l'essentiel aux Tunisiens et investis d'un rôle consultatif en matière économique ;
 * les conseils de régions, composés de Français et de Tunisiens, investis d'un rôle consultatif en matière économique mais aussi chargés de répartir certains subsides entre les différentes composantes régionales (caïdats et [[Liste des municipalités de Tunisie|municipalités]]) ;
-* le [[Grand Conseil (Tunisie)|Grand Conseil]], composé d'une section française et d'une section tunisienne, examinant le budget de la régence ;
+* le [[Conférence consultative tunisienne#Grand Conseil (1922-1951)|Grand Conseil]], composé d'une section française et d'une section tunisienne, examinant le budget de la régence ;
 * la commission arbitrale du Grand Conseil qui règle les différends éventuels entre les deux sections du Grand Conseil.
 Ces réformes marquent une forme de décentralisation par le biais des conseils territoriaux, un relatif partage des seules compétences budgétaires entre le gouvernement tunisien et des représentants élus et enfin une certaine association des notables tunisiens aux notables français dans l'exercice de ces nouvelles prérogatives financières. Par la suite, le résident général invite [[Habib Bey]] et ses deux fils dans sa propriété à [[Marignac (Haute-Garonne)|Marignac]], en [[1923]] et [[1924]], comme le rappelle la signature en caractères arabes du bey dans le registre des délibérations du Conseil municipal.
+=== Résident général au Maroc ===
-Lucien Saint est ensuite nommé [[résident général de France au Maroc]] du [[2 janvier]] [[1929]] au [[29 juillet]] [[1933]]. Dans le cadre de ces fonctions, il s'attache à parachever l'œuvre du maréchal [[Hubert Lyautey]] en étendant l'autorité du [[Makhzen (Maroc)|makhzen]] ainsi que l'occupation française à l'ensemble du territoire. C'est donc pendant sa résidence qu'est rallié au makhzen l'un des derniers bastions de résistance berbère encore actif au [[Maroc]] à l'époque : celui des [[Aït Atta]] réfugiés dans le [[djebel Saghro]] sous la houlette du cheikh [[Assou Oubasslam]]. En tant que résident général, Lucien Saint invite le sultan du Maroc, Moulay Mohammed (futur [[Mohammed V (roi du Maroc)|Mohammed V]]), son grand vizir et son interprète à Marignac le [[26 juillet]] [[1929]] dans le cadre de leur séjour à [[Bagnères-de-Luchon|Luchon]] ; ils ont apposé leurs signatures en caractères arabes dans le registre des délibérations de la commune.
+[[Fichier:Lucien Saint.jpg|vignette|gauche|redresse|Lucien Saint en 1930 à la foire de [[Meknès]].]]
+Lucien Saint est ensuite nommé [[résident général de France au Maroc]] du {{date-|2 janvier 1929}} au {{date-|29 juillet 1933}}. Dans le cadre de ces fonctions, il s'attache à parachever l'œuvre du maréchal [[Hubert Lyautey]] en étendant l'autorité du [[Makhzen (Maroc)|makhzen]] ainsi que l'occupation française à l'ensemble du territoire. C'est donc pendant sa résidence qu'est rallié au makhzen l'un des derniers bastions de résistance berbère encore actif au [[Maroc]] à l'époque : celui des [[Aït Atta]] réfugiés dans le [[djebel Saghro]] sous la houlette du cheikh [[Assou Oubasslam]]. En tant que résident général, Lucien Saint invite le sultan du Maroc, Moulay Mohammed (futur [[Mohammed V (roi du Maroc)|Mohammed V]]), son grand vizir et son interprète à Marignac le {{date-|26 juillet 1929}} dans le cadre de leur séjour à [[Bagnères-de-Luchon|Luchon]] ; ils ont apposé leurs signatures en caractères arabes dans le registre des délibérations de la commune.
-En [[1933]], [[Édouard Daladier]], alors [[président du Conseil]], adresse à Lucien Saint une citation à l'ordre de l'Armée pour son œuvre accomplie à la suite du maréchal Lyautey dans la « pacification » du Maroc : {{Début citation}}Le président du Conseil, ministre de la Guerre,<br />Cite à l'ordre de l'Armée,<br />Monsieur Lucien Saint, commissaire résident général de la République française au Maroc, du 2 janvier 1929 au 29 juillet 1933, a rendu dans ses hautes fonctions, les plus éminents services, déployant notamment une activité fructueuse dans la préparation politique de la soumission des confins algéro-marocains du [[Tafilalet]], du [[Drâa]], du djebel Saghro et du [[Haut Atlas]], exerçant avec une impulsion personnelle des plus heureuses et usant constamment de sa haute autorité pour faciliter la tâche du commandement et des troupes, a ainsi définitivement attaché son nom à l'achèvement de la pacification du Maroc.<br />Cette citation comporte attribution de la Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieures avec palme.<br />Paris, le 27 juillet 1933<br />Édouard Daladier.{{Fin citation}}
+[[Fichier:Lucien Saint 1932.jpg|vignette|redresse|Lucien Saint à [[Rabat]] en 1932.]]
-Il devint par la suite maire de Marignac de [[1933]] à [[1938]]. En effet, pendant la [[Première Guerre mondiale]], lors d'une de ses tournées de préfet, il fut séduit par le site de la ville et y achète la propriété de Sacère. Le nom de Lucien Saint reste attaché au groupe scolaire qu'il fait acheter à la commune en [[1935]]. Il est ensuite élu [[Sénat (France)|sénateur]] de la [[Haute-Garonne]] le [[10 janvier]] [[1933]]<ref>[http://www.senat.fr/sen3Rfic/saint_lucien0089r3.html Fiche de Lucien Saint (Sénat français)]</ref>.
+En 1933, [[Édouard Daladier]], alors [[Président du Conseil (France)|président du Conseil]], adresse à Lucien Saint une citation à l'ordre de l'Armée pour son œuvre accomplie à la suite du maréchal Lyautey dans la « pacification » du Maroc : {{Début citation}}Le président du Conseil, ministre de la Guerre,<br />Cite à l'ordre de l'Armée,<br />Monsieur Lucien Saint, commissaire résident général de la République française au Maroc, du {{date-|2 janvier 1929}} au {{date-|29 juillet 1933}}, a rendu dans ses hautes fonctions, les plus éminents services, déployant notamment une activité fructueuse dans la préparation politique de la soumission des confins algéro-marocains du [[Tafilalet]], du [[Drâa]], du djebel Saghro et du [[Haut Atlas]], exerçant avec une impulsion personnelle des plus heureuses et usant constamment de sa haute autorité pour faciliter la tâche du commandement et des troupes, a ainsi définitivement attaché son nom à l'achèvement de la pacification du Maroc.<br />Cette citation comporte attribution de la Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieures avec palme.<br />Paris, le {{date-|27 juillet 1933}}<br />Édouard Daladier.{{Fin citation}}
+=== Maire et sénateur ===
+Il devint par la suite maire de Marignac de 1933 à 1938. En effet, pendant la [[Première Guerre mondiale]], lors d'une de ses tournées de préfet, il est séduit par le site de la ville et y achète la propriété de Sacère. Le nom de Lucien Saint reste attaché au groupe scolaire qu'il fait acheter à la commune en 1935. Il est ensuite élu [[Sénat (France)|sénateur]] de la [[Haute-Garonne]] le {{date-|10 janvier 1933}}<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=Saint Lucien|url=http://www.senat.fr/sen3Rfic/saint_lucien0089r3.html|site=senat.fr|consulté le=26 février 2017}}.</ref>.
 Il est inhumé au cimetière de Marignac ; sur sa stèle est retranscrit le discours qu'Édouard Daladier avait prononcé en 1933 pour lui rendre hommage.
 == Distinctions ==
+* {{déco|GOLH}} (23 juillet 1930)<ref>{{Lien web |titre=Recherche - Base de données Léonore |url=https://www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr/ui/#show |site=www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr |consulté le=2023-06-23}}</ref>
-* [[Ordre national de la Légion d'honneur|Grand officier de la Légion d'honneur]]
+* {{déco|CGTOE}}
-* [[Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs]]
+* {{Déco Officier de l'Instruction publique}}
-* [[préfet (France)|Préfet]] honoraire de la [[Haute-Garonne]]
+* {{Déco Officier de l'ordre du Mérite agricole}}
 == Notes et références ==
-{{références}}
+{{Références}}
 == Sources ==
+* {{DicoParlement1889}}.
-* Eugène Guernier [sous la dir. de], « Tunisie », ''L'Encyclopédie coloniale et maritime'', 1948
+* {{Ouvrage|langue=fr|auteur1=Eugène Guernier|titre=Tunisie|lieu=Paris|éditeur=Encyclopédie coloniale et maritime|année=1948|pages totales=505|passage=}}
-* ''Qui êtes-vous ? : annuaire des contemporains : notices biographiques'', 1924, pp. 142-143
+* {{Ouvrage|langue=fr|titre=Qui êtes-vous ?|sous-titre=annuaire des contemporains, notices biographiques|lieu=Paris|éditeur=Delagrave|année=1924|pages totales=|passage=142-143}}.
-== Lien externe ==
+== Liens externes ==
+{{liens}}
-* [http://www.sante.gov.ma/Departements/INH/Discours%20inauguration/Discours%20Saint.htm Discours de Lucien Saint pour l'inauguration de l'Institut d'hygiène du Maroc tenu le 30 décembre 1930]
+{{Palette|Résident général de France au Maroc}}
+{{Portail|politique française|Eure|Maghreb|Haute-Garonne}}
-{{Début dynastie}}
-{{Insérer dynastie|nom =[[Résident général de France en Tunisie]]|avant =[[Étienne Flandin]]|après =[[François Manceron]]|période =1921-1929}}
-{{Insérer dynastie|nom =[[Résident général de France au Maroc]]|avant =[[Théodore Steeg]]|après =[[Henri Ponsot]]|période =1929-1933}}
-{{Fin dynastie}}
-{{Portail|Tunisie|Maroc|politique française}}
 {{DEFAULTSORT:Saint, Lucien}}
 [[Catégorie:Résident général de France en Tunisie]]
 [[Catégorie:Résident général de France au Maroc]]
-[[Catégorie:Ancien sénateur de la Haute-Garonne]]
+[[Catégorie:Sénateur de la Haute-Garonne]]
+[[Catégorie:Préfet de la Nièvre]]
+[[Catégorie:Préfet d'Ille-et-Vilaine]]
+[[Catégorie:Préfet de l'Aisne]]
+[[Catégorie:Préfet de la Haute-Garonne]]
+[[Catégorie:Préfet des Bouches-du-Rhône]]
 [[Catégorie:Grand officier de la Légion d'honneur]]
+[[Catégorie:Grand-croix de l'ordre du Nichan Iftikhar]]
 [[Catégorie:Naissance en avril 1867]]
 [[Catégorie:Naissance à Évreux]]
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 [[Catégorie:Décès en Haute-Garonne]]
 [[Catégorie:Décès à 70 ans]]
-[[Catégorie:Préfet de la Nièvre]]
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-[[Catégorie:Préfet de l'Aisne]]
-[[Catégorie:Préfet de la Haute-Garonne]]
-[[Catégorie:Préfet des Bouches-du-Rhône]]