« Famille de Perier » : différence entre les versions
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* '''[[Étienne de Perier]]''' dit ''Perier l'Aîné'' est né en 1687 à [[Dunkerque]] et mort le {{date|31|mars|1766}} au [[château de Tréoudal]] à [[Saint-Martin-des-Champs (Finistère)|Saint-Martin-des-Champs]] près de [[Morlaix]]<ref>{{Ouvrage|langue=français|auteur1=Louis Le Guennec|titre=Morlaix et sa région|passage=Page 55|éditeur=Amis de Louis Le Guennec|date=1979|pages totales=413}}</ref>. Il est [[Liste des gouverneurs coloniaux de la Louisiane française|gouverneur de la Louisiane française]] de [[1726]] à [[1733]]<ref>{{Ouvrage|langue=français|auteur1=Bernard Lugan|titre=Histoire de la Louisiane française: 1682-1804|éditeur=Perrin|pages totales=298|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=eM1XDwAAQBAJ&dq=%22périer+de+salvert%22&hl=fr&source=gbs_navlinks_s}}</ref>'', « Perier avait été gouverneur de la colonie durant plus de 6 ans et s'en était allé avec la réputation d'un homme d'intégrité et de talent, mais de disposition très sévère »''<ref>{{Ouvrage|langue=anglais|auteur1=Charles Gayarre, E. Bunner|titre=History of Louisiana|passage=Page 448|éditeur=Applewood Books|date=2010|pages totales=542|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=PNIkt_J_pMAC&dq=governor+perier}}</ref>. En 1757, il est fait [[Lieutenant général|lieutenant général des armées navales du roi]]''<ref name=":39">{{Ouvrage|langue=français|auteur1=Laure Andry|titre=Histoire de la Louisiane: racontée aux enfants Louisianais|passage=Page 42 et autres|éditeur=Imprimerie Franco-Américaine|date=1882|pages totales=169|isbn=|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=poouAAAAMAAJ&pg=PA42&dq=%22gouverneur+périer%22&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwizqJuGpqDuAhWHzYUKHdldAggQ6AEwAnoECAEQAg#v=onepage&q=%22gouverneur%20périer%22&f=false}}</ref>'', puis est décoré [[Ordre royal et militaire de Saint-Louis|grand-croix de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis]] le {{date|23 août 1765}}<ref name=":20" />. Le {{date-|21 septembre 1719}}, il épouse Catherine Le Chibelier<ref name="Roussel"> {{Ouvrage | langue= fr | auteur1= Claude-Youenn Roussel| titre= Esclaves, café et belle-mère, de Brest à Saint-Domingue| éditeur= SPM| date= 2015| passage= 22| lire en ligne= https://www.google.fr/search?biw=1366&bih=620&tbm=bks&ei=yayIX73yENPh-gSxsrGQAg&q=%22Catherine+Le+Chibelier%2C+veuve+Chambellan%22&oq=%22Catherine+Le+Chibelier%2C+veuve+Chambellan%22&gs_l=psy-ab.12...66285.96459.0.99374.72.48.4.5.5.0.260.5038.20j24j2.46.0....0...1c.1.64.psy-ab..22.11.912...0.0.xyKvGSTmEhw#spf=1602792750546}}.</ref>, d'où quatre enfants''<ref name="p96" />'' : |
* '''[[Étienne de Perier]]''' dit ''Perier l'Aîné'' est né en 1687 à [[Dunkerque]] et mort le {{date|31|mars|1766}} au [[château de Tréoudal]] à [[Saint-Martin-des-Champs (Finistère)|Saint-Martin-des-Champs]] près de [[Morlaix]]<ref>{{Ouvrage|langue=français|auteur1=Louis Le Guennec|titre=Morlaix et sa région|passage=Page 55|éditeur=Amis de Louis Le Guennec|date=1979|pages totales=413}}</ref>. Il est [[Liste des gouverneurs coloniaux de la Louisiane française|gouverneur de la Louisiane française]] de [[1726]] à [[1733]]<ref>{{Ouvrage|langue=français|auteur1=Bernard Lugan|titre=Histoire de la Louisiane française: 1682-1804|éditeur=Perrin|pages totales=298|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=eM1XDwAAQBAJ&dq=%22périer+de+salvert%22&hl=fr&source=gbs_navlinks_s}}</ref>'', « Perier avait été gouverneur de la colonie durant plus de 6 ans et s'en était allé avec la réputation d'un homme d'intégrité et de talent, mais de disposition très sévère »''<ref>{{Ouvrage|langue=anglais|auteur1=Charles Gayarre, E. Bunner|titre=History of Louisiana|passage=Page 448|éditeur=Applewood Books|date=2010|pages totales=542|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=PNIkt_J_pMAC&dq=governor+perier}}</ref>. En 1757, il est fait [[Lieutenant général|lieutenant général des armées navales du roi]]''<ref name=":39">{{Ouvrage|langue=français|auteur1=Laure Andry|titre=Histoire de la Louisiane: racontée aux enfants Louisianais|passage=Page 42 et autres|éditeur=Imprimerie Franco-Américaine|date=1882|pages totales=169|isbn=|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=poouAAAAMAAJ&pg=PA42&dq=%22gouverneur+périer%22&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwizqJuGpqDuAhWHzYUKHdldAggQ6AEwAnoECAEQAg#v=onepage&q=%22gouverneur%20périer%22&f=false}}</ref>'', puis est décoré [[Ordre royal et militaire de Saint-Louis|grand-croix de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis]] le {{date|23 août 1765}}<ref name=":20" />. Le {{date-|21 septembre 1719}}, il épouse Catherine Le Chibelier<ref name="Roussel"> {{Ouvrage | langue= fr | auteur1= Claude-Youenn Roussel| titre= Esclaves, café et belle-mère, de Brest à Saint-Domingue| éditeur= SPM| date= 2015| passage= 22| lire en ligne= https://www.google.fr/search?biw=1366&bih=620&tbm=bks&ei=yayIX73yENPh-gSxsrGQAg&q=%22Catherine+Le+Chibelier%2C+veuve+Chambellan%22&oq=%22Catherine+Le+Chibelier%2C+veuve+Chambellan%22&gs_l=psy-ab.12...66285.96459.0.99374.72.48.4.5.5.0.260.5038.20j24j2.46.0....0...1c.1.64.psy-ab..22.11.912...0.0.xyKvGSTmEhw#spf=1602792750546}}.</ref>, d'où quatre enfants''<ref name="p96" />'' : |
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** Étienne Louis de Perier<ref>Etienne Louis de Perier est souvent confondu avec son frère François Alexis. C'est par exemple le cas dans {{Ouvrage|langue=Français|auteur1=Anne Mézin|titre=CORRESPONDANCE DES CONSULS DE FRANCE À CADIX (1666-1792), |
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** Étienne Louis de Perier est né le 30 juin 1725 au [[Le Havre|Havre]] et mort le 1<sup>er</sup> août 1756 au [[Cap-Haïtien|Cap-Français]] à [[Saint-Domingue (colonie française)|Saint-Domingue]]<ref name=":51">{{Ouvrage|langue=français|auteur1=Alain Boulaire|titre=Kerguelen: Le phénix des mers australes|passage=Trois pages (section trois)|éditeur=France-Empire|date=1996|pages totales=248|isbn=2307181326|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=neIfEAAAQBAJ&dq=%22perrier+de+salvert%22+&lr=&hl=fr&source=gbs_navlinks_s}}</ref>. Il s'engage comme volontaire dans la Marine à bord du ''Fleuron'' en 1734. [[Garde-marine]] à [[Brest]] le 3 juillet 1735, il est promu garde du pavillon le 1er août 1735. Il s'embarque sur la ''Somme'' de 1736 à 1737, sur le ''Griffon'' en 1738, sur l'<nowiki/>''Atlas'' en 1739 en [[Louisiane]], et sur le ''Dauphin Royal'' de 1740 à 1741. Sous-brigadier le 1er mai 1742, il [[Enseigne (grade militaire)|enseigne]] de port le 1er septembre de la même année. Il s'embarque sur le ''Mars'' de 1743 à 1744 et sur le ''[[HMS Northumberland (1705)|HMS Northumberland]]'' dont il assiste à la [[Combat du 19 mai 1744|capture le 19 mai 1744]] aux côtés de son père. Embarqué sur le ''Trident'' en 1746. De 1747 à 1748, il commande la ''Palme'', prise le 2 février 1748, puis prend la mer sur la ''Carpe'' en 1749, et sur le ''Dragon'' en 1751. [[Lieutenant (grade militaire)|Lieutenant]] de port le {{date-|9 juillet 1751}}, puis [[lieutenant de vaisseau]]<ref>{{Ouvrage|langue=français|titre=L'Intermédiaire des chercheurs et curieux, Numéros 508 à 518|éditeur=L'Université du Michigan|date=1994|lire en ligne=https://www.google.fr/books/edition/L_Intermédiaire_des_chercheurs_et_curie/dTtcAAAAMAAJ?hl=fr&gbpv=0&bsq=%22Cette%20décoration%20honorera%20sa%20vieillesse%22}}</ref> et [[Ordre royal et militaire de Saint-Louis|chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis]] le {{date-|25 juillet 1754}}. Il s'embarque sur l'<nowiki/>''Aigle'' en 1755 avant de commander l'''Émeraude'' en 1756<ref>{{Ouvrage|langue=Français|auteur1=Anne Mézin|titre=CORRESPONDANCE DES CONSULS DE FRANCE À CADIX (1666-1792), |
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Inventaire analytique des articles AE/B/I/211 à AE/B/I/300 |
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(Du fonds dit des affaires étrangères)|passage=493 et 494|éditeur=Archives nationales françaises|pages totales=636|lire en ligne=https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/mm/media/download/FRAN_ANX_011407.pdf}}</ref> |
(Du fonds dit des affaires étrangères)|passage=493 et 494|éditeur=Archives nationales françaises|pages totales=636|lire en ligne=https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/mm/media/download/FRAN_ANX_011407.pdf}}.</ref> est né le 30 juin 1725 au [[Le Havre|Havre]] et mort le 1<sup>er</sup> août 1756 au [[Cap-Haïtien|Cap-Français]] à [[Saint-Domingue (colonie française)|Saint-Domingue]]<ref name=":51">{{Ouvrage|langue=français|auteur1=Alain Boulaire|titre=Kerguelen: Le phénix des mers australes|passage=Trois pages (section trois)|éditeur=France-Empire|date=1996|pages totales=248|isbn=2307181326|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=neIfEAAAQBAJ&dq=%22perrier+de+salvert%22+&lr=&hl=fr&source=gbs_navlinks_s}}</ref>. Il s'engage comme volontaire dans la Marine à bord du ''Fleuron'' en 1734. [[Garde-marine]] à [[Brest]] le 3 juillet 1735, il est promu garde du pavillon le 1er août 1735. Il s'embarque sur la ''Somme'' de 1736 à 1737, sur le ''Griffon'' en 1738, sur <nowiki/>l'<nowiki/>''Atlas'' en 1739 en [[Louisiane]], et sur le ''Dauphin Royal'' de 1740 à 1741. Sous-brigadier le 1er mai 1742, il [[Enseigne (grade militaire)|enseigne]] de port le 1er septembre de la même année. Il s'embarque sur le ''Mars'' de 1743 à 1744 et sur le ''[[HMS Northumberland (1705)|HMS Northumberland]]'' dont il assiste à la [[Combat du 19 mai 1744|capture le 19 mai 1744]] aux côtés de son père. Embarqué sur le ''Trident'' en 1746. De 1747 à 1748, il commande la ''Palme'', prise le 2 février 1748, puis prend la mer sur la ''Carpe'' en 1749, et sur le ''Dragon'' en 1751. [[Lieutenant (grade militaire)|Lieutenant]] de port le {{date-|9 juillet 1751}}, puis [[lieutenant de vaisseau]]<ref>{{Ouvrage|langue=français|titre=L'Intermédiaire des chercheurs et curieux, Numéros 508 à 518|éditeur=L'Université du Michigan|date=1994|lire en ligne=https://www.google.fr/books/edition/L_Intermédiaire_des_chercheurs_et_curie/dTtcAAAAMAAJ?hl=fr&gbpv=0&bsq=%22Cette%20décoration%20honorera%20sa%20vieillesse%22}}</ref> et [[Ordre royal et militaire de Saint-Louis|chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis]] le {{date-|25 juillet 1754}}. Il s'embarque sur <nowiki/>l'<nowiki/>''Aigle'' en 1755 avant de commander l'<nowiki/>''Émeraude'' en 1756<ref>{{Ouvrage|langue=Français|auteur1=Anne Mézin|titre=CORRESPONDANCE DES CONSULS DE FRANCE À CADIX (1666-1792), |
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Inventaire analytique des articles AE/B/I/211 à AE/B/I/300 |
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(Du fonds dit des affaires étrangères)|passage=493 et 494|éditeur=Archives nationales françaises|pages totales=636|lire en ligne=https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/mm/media/download/FRAN_ANX_011407.pdf}}</ref>. Il participe à de nombreuses campagnes militaires. Il décède au [[Cap-Haïtien|Cap-Français]] à [[Saint-Domingue (colonie française)|Saint-Domingue]], à seulement 36 ans<ref>{{Ouvrage|langue=français|auteur1=Philippe Haudrère|titre=Les flottes des Compagnies des Indes: 1600-1857|passage=Page 96|éditeur=Service historique de la marine|date=1996|pages totales=346|isbn=2110899220}}</ref> emporté par une [[épidémie]] à bord de <nowiki/>l'<nowiki/>''Émeraude<ref name=":51" />'', qu'il commande au sein de la [[Division (militaire)|division navale]] de son [[Étienne de Perier|père]]<ref>Archives navales, marine ancienne, B4.68, 18 octobre 1755.</ref>. |
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** François Alexis de Perier est né en 1724 et mort la même année<ref name=":25">{{Ouvrage|langue=français|auteur1=Claude-Youenn Roussel|titre=Esclaves, café et belle-mère: de Brest à Saint-Domingue : l'amiral Le Dall de Tromelin : une correspondance coloniale inédite : 1769-1851|passage=Page 22|éditeur=SPM|date=2015|pages totales=325|isbn=2917232277|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=Oxp-BwAAQBAJ&dq=François+Alexis+Périer+de+salvert&hl=fr&source=gbs_navlinks_s}}</ref>. |
** François Alexis de Perier est né en 1724 et mort la même année<ref name=":25">{{Ouvrage|langue=français|auteur1=Claude-Youenn Roussel|titre=Esclaves, café et belle-mère: de Brest à Saint-Domingue : l'amiral Le Dall de Tromelin : une correspondance coloniale inédite : 1769-1851|passage=Page 22|éditeur=SPM|date=2015|pages totales=325|isbn=2917232277|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=Oxp-BwAAQBAJ&dq=François+Alexis+Périer+de+salvert&hl=fr&source=gbs_navlinks_s}}</ref>. |
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** Antoine Louis de Perier de Montplaisir<ref>{{Ouvrage|titre=Le chevalier de Pradel: vie d'un colon français en Louisiane au XVIIIe siécle d'après sa correspondance et celle de sa famille|date=1928|pages totales=464|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=RPIyAQAAIAAJ&q=%22Perier+de+Monplaisir%22&dq=%22Perier+de+Monplaisir%22&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwiOu4Hzh7DtAhUExYUKHcIOA2IQ6AEwAHoECAAQAg}}</ref>{{,}}<ref name=":25" />{{,}}<ref name=":26">{{Ouvrage|langue=français|auteur1=Archives départementales du Finistère|titre=Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Articles B 1332-2657. Inventaire des fonds de la Cour royale de Brest et Saint-Renan et de la juridiction du Châtel à Brest. Rédigé par F.-M. Luzel, H. Bourde de La Rogerie and H. Waquet|passage=Page 405|éditeur=Typographie A. Jaouen|date=1889|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=1O07AAAAMAAJ&q=%22perrier+de+moros%22&dq=%22perrier+de+moros%22&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwiI_rKAwbLtAhWTAmMBHfIeA9IQ6AEwAHoECAAQAg}}</ref> est né en 1728 à [[La Nouvelle-Orléans]]''.'' [[Lieutenant de vaisseau]], il est [[Noyade|noyé]] le {{date-|21 novembre 1759}} au cours du naufrage du [[Juste (1725)|Juste]], au large de [[Nantes]]<ref>{{Ouvrage|langue=français|auteur1=Léon Guérin|titre=Histoire maritime de France: contenant l'histoire des provinces et villes maritimes, des combats de mer depuis la fondation de Marseille, 600 ans avant J.-C., de la flibuste, des navigations, voyages autour du monde, naufrages, célèbres, découvertes, colonisations, de la marine en général, avant, pendant et depuis le règne de Louis XIV jusqu'à l'année 1850, Volume 4|passage=Page 515|éditeur=Dufour et Mulat|date=1851|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=m-sJAAAAIAAJ&dq=%22perier+de+Montplaisir%22&hl=fr&source=gbs_navlinks_s}}</ref>, lors de la [[bataille des Cardinaux]] : ''« M. de Perier de Montplaisir [...] brave officier et excellent citoyen, ne voulut pas survivre à la disgrâce de la Marine. Il se banda les yeux de son mouchoir, et se laissa tomber à la renverse dans la mer »''<ref>{{Ouvrage|langue=français|auteur1=J. Forest ainé|titre=Revue de Bretagne et de Vendée, Volumes 3 à 4|passage=Page 463|éditeur=|date=1878|isbn=|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=KH8DAAAAYAAJ&pg=RA1-PA464&dq=%22perier%22+bretagne&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjcl6vkpofuAhUEyYUKHaY_Bx04ChDoATABegQIAxAC#v=onepage&q=de%20perier&f=false}}</ref>''.'' Il laisse derrière lui une jeune veuve de 15 ans<ref>{{Ouvrage|langue=français|auteur1=Philippe Haudrère|titre=Les flottes des Compagnies des Indes: 1600-1857|passage=Page 96|éditeur=Service historique de la marine|date=1996|pages totales=346}}</ref>, Elisabeth Marie de Perreau<ref name=":48">{{Ouvrage|langue=français|auteur1=Société des amis du Bazadais|titre=Les cahiers du Bazadais, Numéros 84 à 91|passage=Page 44|date=1989|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=iAZoAAAAMAAJ&q=%22perrier+de+montplaisir%22&dq=%22perrier+de+montplaisir%22&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjNzPO5jLLtAhVDzoUKHS8WBCcQ6AEwAXoECAEQAg}}</ref>. |
** Antoine Louis de Perier de Montplaisir<ref>{{Ouvrage|titre=Le chevalier de Pradel: vie d'un colon français en Louisiane au XVIIIe siécle d'après sa correspondance et celle de sa famille|date=1928|pages totales=464|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=RPIyAQAAIAAJ&q=%22Perier+de+Monplaisir%22&dq=%22Perier+de+Monplaisir%22&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwiOu4Hzh7DtAhUExYUKHcIOA2IQ6AEwAHoECAAQAg}}</ref>{{,}}<ref name=":25" />{{,}}<ref name=":26">{{Ouvrage|langue=français|auteur1=Archives départementales du Finistère|titre=Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Articles B 1332-2657. Inventaire des fonds de la Cour royale de Brest et Saint-Renan et de la juridiction du Châtel à Brest. Rédigé par F.-M. Luzel, H. Bourde de La Rogerie and H. Waquet|passage=Page 405|éditeur=Typographie A. Jaouen|date=1889|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=1O07AAAAMAAJ&q=%22perrier+de+moros%22&dq=%22perrier+de+moros%22&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwiI_rKAwbLtAhWTAmMBHfIeA9IQ6AEwAHoECAAQAg}}</ref> est né en 1728 à [[La Nouvelle-Orléans]]''.'' [[Lieutenant de vaisseau]], il est [[Noyade|noyé]] le {{date-|21 novembre 1759}} au cours du naufrage du [[Juste (1725)|Juste]], au large de [[Nantes]]<ref>{{Ouvrage|langue=français|auteur1=Léon Guérin|titre=Histoire maritime de France: contenant l'histoire des provinces et villes maritimes, des combats de mer depuis la fondation de Marseille, 600 ans avant J.-C., de la flibuste, des navigations, voyages autour du monde, naufrages, célèbres, découvertes, colonisations, de la marine en général, avant, pendant et depuis le règne de Louis XIV jusqu'à l'année 1850, Volume 4|passage=Page 515|éditeur=Dufour et Mulat|date=1851|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=m-sJAAAAIAAJ&dq=%22perier+de+Montplaisir%22&hl=fr&source=gbs_navlinks_s}}</ref>, lors de la [[bataille des Cardinaux]] : ''« M. de Perier de Montplaisir [...] brave officier et excellent citoyen, ne voulut pas survivre à la disgrâce de la Marine. Il se banda les yeux de son mouchoir, et se laissa tomber à la renverse dans la mer »''<ref>{{Ouvrage|langue=français|auteur1=J. Forest ainé|titre=Revue de Bretagne et de Vendée, Volumes 3 à 4|passage=Page 463|éditeur=|date=1878|isbn=|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=KH8DAAAAYAAJ&pg=RA1-PA464&dq=%22perier%22+bretagne&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjcl6vkpofuAhUEyYUKHaY_Bx04ChDoATABegQIAxAC#v=onepage&q=de%20perier&f=false}}</ref>''.'' Il laisse derrière lui une jeune veuve de 15 ans<ref>{{Ouvrage|langue=français|auteur1=Philippe Haudrère|titre=Les flottes des Compagnies des Indes: 1600-1857|passage=Page 96|éditeur=Service historique de la marine|date=1996|pages totales=346}}</ref>, Elisabeth Marie de Perreau<ref name=":48">{{Ouvrage|langue=français|auteur1=Société des amis du Bazadais|titre=Les cahiers du Bazadais, Numéros 84 à 91|passage=Page 44|date=1989|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=iAZoAAAAMAAJ&q=%22perrier+de+montplaisir%22&dq=%22perrier+de+montplaisir%22&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjNzPO5jLLtAhVDzoUKHS8WBCcQ6AEwAXoECAEQAg}}</ref>. |
Version du 15 mai 2021 à 15:05
La famille de Perier est une famille française, originaire de la ville du Havre, située dans le département de la Seine-Maritime, en France.
Elle compte parmi ses membres nombre d'officiers de marine et d'infanterie. Au début du XVIIe siècle, elle se divise en deux branches principales, toutes deux subsistantes :
La branche aînée, anoblie par lettres patentes en octobre 1726, fut notamment illustrée par deux frères : Étienne de Perier (1687-1766), gouverneur de la Louisiane française de 1726 à 1733 et lieutenant général des armées navales, et Antoine Alexis de Perier de Salvert (1691-1757), chef d'escadre et directeur du Dépôt des cartes et plans de la Marine.
La branche cadette se distingua quant à elle par de nombreux officiers supérieurs et un général de division des troupes de marine, Pierre Étienne de Perier (1893-1968).
Histoire
Anthroponymie
Selon le site Filae, entre 1891 et 1990, le patronyme Perier a été au 1 244e rang des noms les plus portés en France, ce qui en fait un nom peu populaire à échelle nationale[13]. Sur cette période, on le rencontre surtout dans la partie nord-ouest de la France[13] et les départements où il est le plus représenté sont, dans l'ordre décroissant : la Seine-Maritime, la Gironde, la Manche, le Rhône, l'Isère, etc[13].
La signification du patronyme Perier varie selon les sources :
- Perier est une forme régionale de poirier, arbre caractéristique de la propriété, nom de domaine - aussi nom de lieu d'origine (Isère)[14].
- Peirier, ou périer, avec un seul r, est la forme normande du mot poirier ; du bas-latin perarius, qui se rattache au latin pirus, poirier[15].
- Le nom désigne en général un lieu planté de poiriers. Une variante Perrier est cependant parfois possible.
- Perier est une personne habitant un endroit planté de poiriers[16].
Le patronyme Perier précédé d'une particule a été porté par d'autres familles : de Perier (Provence), de Périer de Gurat, du Périer de Larsan, de Saint-Périer, du Perrier du Mouriez, du Perier de la Hitole, ou encore la maison du Perier (ou de Perier[17]) issue de la branche cadette des Comtes de Cornouailles[17]. Une origine commune n'est à ce jour pas prouvée[18].
Dans le cas de la famille de Perier, le patronyme est souvent écrit, à tort « Périer », voire « Perrier »[19]. À titre d'exemple, dans leur Grand Armorial de France, Tome V, Henri Jougla de Morenas et Raoul de Warren nomment cette famille « de Perrier »[2] puis rectifient leur erreur dans leur Tome VII[1].
Origines
La famille de Perier est originaire du Havre (paroisse Notre-Dame puis paroisse Saint-François) où ses membres étaient officiers de marine au moins depuis le milieu du XVIIe siècle.
La ville du Havre est fondée en 1517, sous le règne de François Ier. Dès 1524 Jehan Perier (non relié à la filiation qui suit) y possède une maison de 67 pieds carrés[20], rue de la Fontaine[21]. Il est ainsi l'un des premiers habitants de cette ville[20] ; il y habite toujours en 1532[22],[21].
Le premier membre connu de la famille de Perier est David Perier[23]. En 1615 il a pour épouse Marie Beaufils, marraine de Marie Perier[24]. Il est parrain le 19 juillet 1617 au baptême de David Perier, fils d'Étienne Perier[25].
L'ancêtre commun auteur des deux branches de cette famille est Étienne Perier († après 1632)[23], qui épousa Jeanne Reculard, fille de Jehan Reculard (maître boulanger du Havre en 1619), le 27 janvier 1614 en la cathédrale Notre-Dame du Havre[26]. Le 13 février 1619, Étienne Perier, bourgeois du Havre, prête 88 livres tournois à son beau-père Jehan Reculard qui s’engage en retour à lui payer chaque année une rente de 115 sols tournois[27]. À la suite du décès de sa première femme, il épouse en secondes noces Marie Lambert, elle aussi veuve, le 6 janvier 1627 en la cathédrale Notre-Dame du Havre[28]. Le 27 mai 1632, il assiste au mariage de son fils aîné, Marie Jean Perier, avec Anne Le Dentu en la cathédrale Notre-Dame du Havre[29].
Les deux principales branches, issues de Étienne Perier, comptent parmi leurs membres de nombreux officiers de marine et d'infanterie, tous au service de la France[3]. En effet, dans son ouvrage Se battre en Algérie, Patrick-Charles Renaud dit de la famille de Perier : « une famille où les vertus militaires se transmettent de génération en génération »[30]. Ci-après, son histoire.
Généalogie simplifiée
Cette généalogie historiée et non-exhaustive est tirée des différentes sources citées dans la bibliographie du présent article.
La branche aînée
La branche aînée est subsistante[12]. Elle a été anoblie par Louis XV en 1726[31],[32]. Elle est issue de Jean Perier (premier fils de Étienne Perier) marié le 27 mai 1632 à Anne Le Dentu[29], officier qui commandait déjà des vaisseaux de commerce dans le Levant en 1654. Il fut notamment le père d'Étienne de Perier qui suit[33] :
Étienne de Perier olim Étienne Perier, né le 29 mars 1644 au Havre, et décédé le 30 novembre 1726 dans la même ville. À l'âge de dix ans, il commence à servir comme volontaire sur les vaisseaux armés et commandés par son père[33]. D'abord armateur et marchand au Havre[33], il entre au service de la marine du roi en 1665, alors que Colbert cherchait à recruter des cadres. En 1677 il est fait lieutenant de frégate au Havre[33] et devient ensuite capitaine de vaisseau[34] puis capitaine du port de Dunkerque[35] et chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis. Il est un grand ami du corsaire Jean Bart[36],[37],[38]. Ayant sollicité, alors qu'il était mourant, des lettres d'anoblissement[34], il est anobli par lettres patentes d'octobre 1726 avec ses deux fils Étienne de Perier et Antoine Alexis de Perier de Salvert[39],[1],[31]. De son mariage avec Marie de Launay, il a notamment Étienne et Antoine Alexis qui suivent :
- Étienne de Perier dit Perier l'Aîné est né en 1687 à Dunkerque et mort le au château de Tréoudal à Saint-Martin-des-Champs près de Morlaix[40]. Il est gouverneur de la Louisiane française de 1726 à 1733[41], « Perier avait été gouverneur de la colonie durant plus de 6 ans et s'en était allé avec la réputation d'un homme d'intégrité et de talent, mais de disposition très sévère »[42]. En 1757, il est fait lieutenant général des armées navales du roi[43], puis est décoré grand-croix de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis le [1]. Le , il épouse Catherine Le Chibelier[44], d'où quatre enfants[45] :
- Étienne Louis de Perier[46] est né le 30 juin 1725 au Havre et mort le 1er août 1756 au Cap-Français à Saint-Domingue[47]. Il s'engage comme volontaire dans la Marine à bord du Fleuron en 1734. Garde-marine à Brest le 3 juillet 1735, il est promu garde du pavillon le 1er août 1735. Il s'embarque sur la Somme de 1736 à 1737, sur le Griffon en 1738, sur l'Atlas en 1739 en Louisiane, et sur le Dauphin Royal de 1740 à 1741. Sous-brigadier le 1er mai 1742, il enseigne de port le 1er septembre de la même année. Il s'embarque sur le Mars de 1743 à 1744 et sur le HMS Northumberland dont il assiste à la capture le 19 mai 1744 aux côtés de son père. Embarqué sur le Trident en 1746. De 1747 à 1748, il commande la Palme, prise le 2 février 1748, puis prend la mer sur la Carpe en 1749, et sur le Dragon en 1751. Lieutenant de port le , puis lieutenant de vaisseau[48] et chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis le . Il s'embarque sur l'Aigle en 1755 avant de commander l'Émeraude en 1756[49]. Il participe à de nombreuses campagnes militaires. Il décède au Cap-Français à Saint-Domingue, à seulement 36 ans[50] emporté par une épidémie à bord de l'Émeraude[47], qu'il commande au sein de la division navale de son père[51].
- François Alexis de Perier est né en 1724 et mort la même année[52].
- Antoine Louis de Perier de Montplaisir[53],[52],[54] est né en 1728 à La Nouvelle-Orléans. Lieutenant de vaisseau, il est noyé le au cours du naufrage du Juste, au large de Nantes[55], lors de la bataille des Cardinaux : « M. de Perier de Montplaisir [...] brave officier et excellent citoyen, ne voulut pas survivre à la disgrâce de la Marine. Il se banda les yeux de son mouchoir, et se laissa tomber à la renverse dans la mer »[56]. Il laisse derrière lui une jeune veuve de 15 ans[57], Elisabeth Marie de Perreau[58].
- Marie Catherine de Perier est née en 1730[52]. Elle est baptisée en 1731[59] à la cathédrale Saint-Louis de La Nouvelle-Orléans[60]. Elle épouse en 1755 Henry Jean François du Plessis, écuyer, chevalier de Tréoudal et lieutenant de vaisseau[61], d'où deux filles[61], dont Marie Louise Françoise du Plessis de Tréoudal, décédée en 1826[52].
- Antoine Alexis de Perier de Salvert dit Perier le Cadet ou Perier jeune[62], seigneur de Moros et de Kervichard, est né le à Dunkerque et mort le à Versailles. Il est chef d'escadre des armées navales du roi[63], directeur du Dépôt des cartes et plans de la Marine et commandeur de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis[1]. Grand marin[64], il est dit de lui : « si Dieu ne l'avait pas si prématurément enlevé de ce monde, on aurait vu M. de Perier de Salvert devenir successivement, en peu d'années, lieutenant-général des armées navales du roi, vice-amiral et ministre de la Marine »[62]. Il épouse en 1729 Marie-Françoise Piotard, puis en 1749 Angélique-Rosalie de Laduz[65], d'où quatre fils[45],[62] :
- Antoine François de Perier de Moros, fils aîné, est né en 1723[52],[66],[54].
- Étienne Alexis de Perier de Salvert est né en 1724[52]. Il est d'abord officier de plume dans la Marine royale, puis tombé en démence, il est enfermé dans le couvent des chanoines de la Sainte-Trinité à Rouen, où il décède sans postérité[45],[62],[67],[68].
- Louis Alexis de Perier de Salvert[69] est né le 30 mai 1730 au manoir du Moros, à Concarneau et mort le 27 juin 1803[70]. D'abord capitaine de vaisseau, il participe à la guerre d'indépendance des États-Unis[71] : il est fait chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis en 1763[70].Second du Languedoc de 1778 à 1779 dans l'escadre de l'amiral d'Estaing[70], il est promu chef d'escadre[45] le 14 décembre 1787[72]. Émigrant lors de la Révolution française[73],[74], il épouse Catherine de Gervais le 11 juillet 1758 à Toulon, d'où, notamment :
- Louis François Achille de Perier de Salvert est né le 25 août 1764 à Toulon et mort le 19 août 1834 à Pointe-à-Pitre . Il est capitaine de vaisseau, commissaire aux armements de Cherbourg, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis[75], chevalier de la Légion d'Honneur[75], chevalier des ordres russes de Sainte-Anne du 1er degré et de Saint Vladimir du 3e degré[75]. En 1792, après avoir pris part à la guerre d'indépendance de États-Unis[71], il fait la campagne des princes français dans l'armée des émigrés[75]. Il épouse Ellen Goostry vers 1810, d'où, notamment :
- Charles Eugène Édouard Léon de Perier de Salvert est né le 13 septembre 1818 à Cherbourg et mort le 28 août 1904. Il est juge du canton de Basse-Terre, en Guadeloupe[76].
- Louis François Achille de Perier de Salvert est né le 25 août 1764 à Toulon et mort le 19 août 1834 à Pointe-à-Pitre . Il est capitaine de vaisseau, commissaire aux armements de Cherbourg, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis[75], chevalier de la Légion d'Honneur[75], chevalier des ordres russes de Sainte-Anne du 1er degré et de Saint Vladimir du 3e degré[75]. En 1792, après avoir pris part à la guerre d'indépendance de États-Unis[71], il fait la campagne des princes français dans l'armée des émigrés[75]. Il épouse Ellen Goostry vers 1810, d'où, notamment :
- Éléonor Jacques Marie Stanislas de Perier de Salvert dit Perier de Salvert est un lieutenant de vaisseau, membre adjoint de l'Académie royale de marine, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis[77] et franc-maçon Souverain Prince Rose-Croix[78],[79] fondateur de la loge de La Triple Espérance à Port-Louis, sur l'île Maurice[80]. Il est né le 14 octobre 1748 à Brest, du 2e mariage d'Antoine Alexis de Perier de Salvert. En 1770, il épouse Marie Bigot de Morogues, fille du lieutenant général des armées navales Sébastien-François Bigot de Morogues[81],[82], mariage sans postérité[77]. Après avoir pris part aux batailles de Provédien et de Négapatam en 1782, sous les ordres de Pierre-André de Suffren, Perier de Salvert est emporté par un boulet de canon[83], à bord de son bâtiment le Flamand le 20 juin 1783[84], au cours de la bataille de Gondelour. Il sera dit de lui : « Fils d’un bon marin de l’Académie. Audacieux, vaniteux ; des faiblesses, mais quand même un nouveau type de jeune marin »[85].
La branche cadette
La branche cadette est également subsistante[9]. Représentée notamment au Jockey Club de Paris[10], elle n'a pour sa part pas été anoblie en 1726[9]. Elle a donné de nombreux officiers supérieurs et un général de division[86]. Elle est issue de Jean Perier (troisième fils de Étienne Perier), capitaine de navires dans la Marine de commerce du Levant, né le 22 septembre 1619 au Havre et marié à Marguerite Melun le 17 février 1648.
Antoine Daniel de Perier d'Oudalle est né le 2 janvier 1751 au Havre (paroisse Saint François)[89] et décédé le 26 mars 1844[90] chez son fils, au château de la Madeleine à Pressagny-l'Orgueilleux[91]. Il est le frère cadet de Henriette Catherine de Perier, devenue comtesse de Blanchetti[92]. D'abord capitaine d'infanterie[93],[94], il devient par la suite colonel de la première brigade de la Garde nationale sédentaire de Rouen[95],[96],[97]. Il émigre en 1792, lors de la Révolution[98],[99]. Du fait de ses longs services, il reçoit en 1815 la décoration du Lys[100]. Le 6 janvier 1797, il épouse Éléonore Félicité Sophie Letellier de Brothonne à Rouen[1],[101].
- Antoine René de Perier est né le 22 mai 1800 à Rouen et décédé le 27 janvier 1880 à Tours[102],[103]. Fils de Antoine Daniel de Perier d'Oudalle, il est garde du corps surnuméraire de 1818 à 1819 au sein de la Maison militaire du roi Louis XVIII (compagnie d'Havré)[104], propriétaire du château de la Madeleine[105],[106],[107],[6], auteur de l'ouvrage Histoire du chemin de fer de Paris à Rouen, description historique, critique et monumentale des lieux, situés sur cette ligne (1844)[108], président de la Société des peintres de Rouen et maire de Pressagny-l'Orgueilleux de 1848 à 1865[109]. Le 9 septembre 1839, il épouse Marie Louise Augustine Espérance Bassompierre-Sewrin[110] à Paris, fille de Charles-Augustin Bassompierre dit Sewrin[111], chevalier de la Légion d'honneur[112], et de Louise Julie des Acres de l'Aigle[112],[113],[111].
- Antoine Léonor de Perier est né le 4 mars 1842 au château de la Madeleine à Pressagny l’Orgueilleux et décédé le 24 juin 1908 à Tours. Il est un des fils de Antoine René de Perier et de Marie-Louise Augustine Espérance Bassompierre-Sewrin. Engagé comme soldat à la Légion étrangère en 1859, il devient sous-lieutenant en 1867[114], lieutenant en 1870[115], chef de bataillon d'Infanterie[116] lors de l'expédition du Tonkin, puis achève sa carrière en tant que colonel[1]. Il est fait officier de la Légion d’honneur en 1889[117], commandeur de l'Ordre Impérial du dragon de l'Annam[118], commandeur de l'Ordre Royal du Cambodge[118], reçoit la médaille de l'Ordre du Mérite Militaire du Mexique[119]. Il est également promu au sein d'autres ordres étrangers[119]. En 1886, il épouse Louise-Marie Loubère à Azay-sur-Indre, fille du colonel Jean-Louis Loubère, gouverneur de la Guyane de 1870 à 1877 et commandeur de la Légion d'honneur[120], et de Marie-Jeanne-Amédée Masson de Longpré[121]. Dès lors la branche cadette se divise en trois rameaux[1] :
- Antoine Pierre Étienne de Perier, né le 31 octobre 1893 à Laghouat en Algérie, et décédé le 22 juin 1968 à Paris[122], est le premier fils de Antoine Léonor de Perier et de Louise-Marie Loubère. Il est général de division des troupes de marine[123] et grand officier de la Légion d’honneur[124],[122], croix de guerre 14-18, 39-45 et des T.O.E[125] , médaille des évadés etc, ainsi que propriétaire du château du Cluzeau à Estivareilles[126]. Admis à l'ESM Saint-Cyr en 1913, il est issu de la promotion de Montmirail[127]. Jeune sous-lieutenant, il est grièvement blessé au visage le 28 août 1914, au commencement des affrontements avec les Allemands[128], ce qui lui vaut une première citation : « Belle conduite au combat du 28 août 1914, a brillamment chargé à la baïonnette en tête de sa section, a été grièvement blessé »[129]. En 1916, il est affecté à l'Armée d'Orient, au sein de laquelle il finit la Grande guerre. Il est promu capitaine dans les zouaves en 1917[130],[131] et sert au Maroc de 1919 à 1921[132], puis en Allemagne de 1921 à 1923[131] et dans l'armée française du Rhin de 1921 à 1925[133]. De 1932 à 1934, il est en tant que commandant, l'aide de camp du maréchal Franchet d'Espérey[134],[135]. En juin 1940, sous-chef de l'état-major de la 3e armée, il est capturé par les Allemands et parvient à s'évader[136] : « s'est particulièrement signalé par son initiative, son énergie et son courage pendant la période du 1er juin au 22 juin 1940. Fait prisonnier après l'encerclement de son armée, s'est évadé et a réussi à échapper aux cavaliers lancés à sa poursuite et a rejoint la zone non occupée du territoire français après avoir circulé huit jours dans les lignes allemandes »[137],[138]. Il reçoit la médaille des évadés par décret en 1945[137]. De septembre 1940 à mai 1942, promu colonel, il est chef d'état-major de Maxime Weygand, généralissime des armées françaises[139],[140],[141]. Il lutte contre l'Axe lors de la campagne de Tunisie à partir de 1942[142] et devient par la suite inspecteur des Troupes coloniales[143],[144] et adjoint au commandant supérieur des troupes d'Indochine[145],[146]. À partir de 1952, le général de Perier dirige la Revue économique française[147]. Il est dit de lui : « le Général de Perier, vaillant soldat aux multiples campagnes, blessures et citations, brillant officier d'État-major qui a su remplir des fonctions particulièrement délicates auprès de très grands Chefs, et non moins brillant chef d'une famille de onze enfants, parmi lesquels deux jeunes lieutenants ont donné leur vie pour la patrie, l'un en Indochine, l'autre en Algérie »[148]. En 1921, il épouse Alix de Place de Bouchard d'Aubeterre à Blois, d'où 11 enfants qui continuent[126],[148].
- Antoine Yves Adjutor de Perier[149], né le 14 juillet 1924 à Paris et décédé en 1973 à Montluçon[150], fils du général de division Antoine Pierre Étienne de Perier. Il est issu de la promotion Nouveau Bahut de l'ESM Saint-Cyr (1945-1947)[151]. Par décret du 8 octobre 1948 et à la suite de ses actes de bravoure durant la Seconde guerre mondiale, il reçoit la médaille des évadés[152]. En 1970, il préside le Rotary à Montluçon[150].
- Antoine Philippe Étienne de Perier, né le 19 août 1925 à Montluçon et tué le 2 mars 1949 à Tiên-Lang au Viêt Nam[151], fils du général de division Antoine Pierre Étienne de Perier. Il est issu de la promotion Rome et Strasbourg de l'ESM Saint-Cyr de 1944[151],[153]. Lieutenant au sein de la 9e compagnie du régiment d'Infanterie Coloniale du Maroc, il meurt au combat au Tonkin en 1949[30],[154],[151]. Décoré de la croix de guerre des T.O.E avec palmes[155], il est fait chevalier de l'ordre national de la Légion d'honneur à titre posthume, avec citation à l'ordre de l'Armée : « Jeune chef de peloton présentant les plus belles qualités de courage, d'autorité, de sentiment élevé du devoir. Engagé du 27 février au 1er mars 1949 dans un raid sur Vin-Bao (Tonkin), s'est fait remarquer par son ardeur dans le mouvement en avant et la précision de ses manoeuvres. Le 2 mars, au cours du nettoyage de Tien-Lang, est tombé alors qu'il entraînait son peloton contre une forte résistance rebelle. Bien que mortellement atteint a jusqu'à son dernier souffle donné des ordres pour la poursuite de sa mission »[153].
- Antoine Alexis Pierre Michel de Perier, né le 5 septembre 1929 à Damas en Syrie[156]et décédé le 26 septembre 2018 à Saint-Parres-aux-Tertres[157], fils du général de division Antoine Pierre Étienne de Perier. Il est issu de la promotion Extrême-Orient de l'ESM Saint-Cyr[151], il est chef de bataillon d'infanterie. Alors au 5e régiment étranger d'infanterie, il est cité pour ses actes de bravoure au combat[156]en Algérie : « Jeune officier ardent et courageux, le 10 avril 1956 au Dahr Djerf El Kebir, région de Nedroma, a entraîné sa section à l'assaut de la cote 608 fortement tenue par les rebelles, auxquels il a infligé des pertes sévères »[158]. Il est décoré de la croix de la Valeur militaire avec étoile de vermeil[158].
- Antoine Hugues René Léonor de Perier, né le 28 juillet 1931 à Damas en Syrie et tué le 22 juillet 1956 à Marnia en Algérie[151], fils du général de division Antoine Pierre Étienne de Perier. Il rejoint la Légion étrangère à la sortie de l'ESM Saint-Cyr (promotion Union Française de 1952 à 1954[151]). Sous-lieutenant au 5e régiment étranger d’infanterie, il tombe au champ d'honneur lors de son baptême du feu au sud-est de Turenne, au cours d'un violent accrochage avec les fellagas sur les pentes du Djebel El-Khoun en 1956[30]. « Le Lieutenant de Périer, du 5e Etranger, tué à la tête de ses hommes lors de l'assaut d'un piton dans la région de Marnia. Son père, notre ami le Général de Périer, a déjà donné un de ses fils[159] à la France en Indochine »[160]. Il est nommé chevalier de l'ordre national de la Légion d’honneur à titre posthume par décret du 18 mars 1957[161], avec citation à l'ordre de l'Armée : « Jeune officier ardent et généreux, animé du plus pur idéal et digne des traditions légendaires de la Légion et de Saint-Cyr. Lors de son premier combat, le 22 juillet 1956, au Djebel Kouhn (région de Turenne), a, au mépris du danger, entraîné irrésistiblement ses hommes à l'assaut d'un adversaire qui arrêtait sa section, donnant ainsi le plus bel exemple de courage audacieux et de volonté de vaincre. Très grièvement blessé, est mort des suites de ses blessures »[162],[163].
- Antoine François Philippe de Perier, né le 17 décembre 1894 à Laghouat en Algérie, et décédé le 15 janvier 1938 à Paris[164], est le deuxième fils de Antoine Léonor de Perier et de Louise-Marie Loubère. Engagé volontaire en août 1914, il est incorporé comme soldat au 66e régiment d’infanterie[165] puis il intègre l'ESM Saint-Cyr , promotion de la Grande Revanche[165]. En juin 1915, alors sous-lieutenant au 135e régiment d'infanterie[166], il est grièvement blessé par éclat d’obus à l’épaule gauche. Il est cité le même mois à l’ordre de sa division: « Le 28 avril a brillamment entraîné sa section en s’élançant à sa tête à l’attaque des tranchées ennemies »[164],[165],[167]. Décoré de la croix de guerre 1914-1918 en 1916, il est fait chevalier de la Légion d’honneur : « Officier plein de courage et de sang-froid. Belle conduite au cours de la campagne. A reçu une blessure grave (a déjà reçu La Croix de guerre) »[166],[165]. Intégré au 50e régiment d'infanterie en 1929, il est détaché à la direction du contrôle général des armées (CGA)[168]. Il décède alors qu'il est tout juste promu chef de bataillon d'infanterie[164]. En 1928, il épouse Françoise de Berthen de Pommery à Nantes[169],[170], d'où 4 enfants qui continuent[171].
- Antoine Luc Alexis de Perier, né le 18 novembre 1902 à Tours et décédé le 4 octobre 1984 à Paris, est le troisième fils de Antoine Léonor de Perier et de Louise-Marie Loubère. Issu de la promotion de l'ESM Saint-Cyr La Devise du Drapeau (1920-1922)[151], il est officier de la Légion d'honneur, décoré de la croix de guerre 1939-1945 et de plusieurs ordres étrangers[172], et commandeur de l'Ordre équestre du Saint-Sépulcre de Jérusalem[172],[173]. En 1933, alors au 146e régiment d'infanterie, il est promu au sein de l'état-major du gouvernement militaire de Metz et de la 6e région[174]. Le 1er novembre 1937, en tant que capitaine au 91e régiment d'infanterie, il est affecté à l'état-major de la 9e région à Tours, aux côtés du général Laure[175]. En 1946, il a à son actif 25 ans de service et 10 campagnes militaires[176]. Chef de bataillon d'infanterie, il est détaché à la Direction générale des prisonniers de guerre de l'Axe (DGPG)[176]. Il achève sa carrière militaire en tant que colonel d'infanterie[177]. En 1931, il épouse Marie-Thérèse Habault[171] à Paris, d'où 3 enfants qui continuent[171].
- Antoine Pierre Étienne de Perier, né le 31 octobre 1893 à Laghouat en Algérie, et décédé le 22 juin 1968 à Paris[122], est le premier fils de Antoine Léonor de Perier et de Louise-Marie Loubère. Il est général de division des troupes de marine[123] et grand officier de la Légion d’honneur[124],[122], croix de guerre 14-18, 39-45 et des T.O.E[125] , médaille des évadés etc, ainsi que propriétaire du château du Cluzeau à Estivareilles[126]. Admis à l'ESM Saint-Cyr en 1913, il est issu de la promotion de Montmirail[127]. Jeune sous-lieutenant, il est grièvement blessé au visage le 28 août 1914, au commencement des affrontements avec les Allemands[128], ce qui lui vaut une première citation : « Belle conduite au combat du 28 août 1914, a brillamment chargé à la baïonnette en tête de sa section, a été grièvement blessé »[129]. En 1916, il est affecté à l'Armée d'Orient, au sein de laquelle il finit la Grande guerre. Il est promu capitaine dans les zouaves en 1917[130],[131] et sert au Maroc de 1919 à 1921[132], puis en Allemagne de 1921 à 1923[131] et dans l'armée française du Rhin de 1921 à 1925[133]. De 1932 à 1934, il est en tant que commandant, l'aide de camp du maréchal Franchet d'Espérey[134],[135]. En juin 1940, sous-chef de l'état-major de la 3e armée, il est capturé par les Allemands et parvient à s'évader[136] : « s'est particulièrement signalé par son initiative, son énergie et son courage pendant la période du 1er juin au 22 juin 1940. Fait prisonnier après l'encerclement de son armée, s'est évadé et a réussi à échapper aux cavaliers lancés à sa poursuite et a rejoint la zone non occupée du territoire français après avoir circulé huit jours dans les lignes allemandes »[137],[138]. Il reçoit la médaille des évadés par décret en 1945[137]. De septembre 1940 à mai 1942, promu colonel, il est chef d'état-major de Maxime Weygand, généralissime des armées françaises[139],[140],[141]. Il lutte contre l'Axe lors de la campagne de Tunisie à partir de 1942[142] et devient par la suite inspecteur des Troupes coloniales[143],[144] et adjoint au commandant supérieur des troupes d'Indochine[145],[146]. À partir de 1952, le général de Perier dirige la Revue économique française[147]. Il est dit de lui : « le Général de Perier, vaillant soldat aux multiples campagnes, blessures et citations, brillant officier d'État-major qui a su remplir des fonctions particulièrement délicates auprès de très grands Chefs, et non moins brillant chef d'une famille de onze enfants, parmi lesquels deux jeunes lieutenants ont donné leur vie pour la patrie, l'un en Indochine, l'autre en Algérie »[148]. En 1921, il épouse Alix de Place de Bouchard d'Aubeterre à Blois, d'où 11 enfants qui continuent[126],[148].
- Antoine Léonor de Perier est né le 4 mars 1842 au château de la Madeleine à Pressagny l’Orgueilleux et décédé le 24 juin 1908 à Tours. Il est un des fils de Antoine René de Perier et de Marie-Louise Augustine Espérance Bassompierre-Sewrin. Engagé comme soldat à la Légion étrangère en 1859, il devient sous-lieutenant en 1867[114], lieutenant en 1870[115], chef de bataillon d'Infanterie[116] lors de l'expédition du Tonkin, puis achève sa carrière en tant que colonel[1]. Il est fait officier de la Légion d’honneur en 1889[117], commandeur de l'Ordre Impérial du dragon de l'Annam[118], commandeur de l'Ordre Royal du Cambodge[118], reçoit la médaille de l'Ordre du Mérite Militaire du Mexique[119]. Il est également promu au sein d'autres ordres étrangers[119]. En 1886, il épouse Louise-Marie Loubère à Azay-sur-Indre, fille du colonel Jean-Louis Loubère, gouverneur de la Guyane de 1870 à 1877 et commandeur de la Légion d'honneur[120], et de Marie-Jeanne-Amédée Masson de Longpré[121]. Dès lors la branche cadette se divise en trois rameaux[1] :
Alliances
Quelques dates de mariages au sein de la famille de Perier : Beaufils (XVIe siècle), Reculard (XVIIe siècle, 1614), Lambert (1627), Le Dentu (1632), Melun Le Run (1648)[178], Boissaye du Bocage[179] (1661)[180],[33], Gohon (1678), de Launay (1684)[1],[181], Renoult de Saint Aubin (v.1685), Louvet (XVIIIe siècle, 1718)[1], Le Chibelier (1719)[1], Piotard (1729), Morin d'Oudalle (1748)[1],[182], de Laduz de Vieuxchamps (1749), du Plessis de Tréoudal (1755), de Perreau[58],[183], de Gervais (1758)[1], Bigot de Morogues[184] (1770), de Blanchetti[92] (1773)[185],[87],[88], Letellier de Brothonne[186] (1797)[101],[91], Goostry (XIXe siècle, v.1810), Le Hayer de Bimorel (1818)[187], Bassompierre-Sewrin (1839)[1],[188], Loubère de Longpré (1886), Barré de Saint Venant[189] (1897)[190], de Place de Bouchard d'Aubeterre[191] (XXe siècle, 1921), de Berthen de Pommery[192] (1928)[169],[170], Habault (1931), de Gaillard de Lavaldène de Talode du Grail[193], Jouan de Kervenoaël[194], Despaigne[195],[196](1958), Busquet de Caumont[197] (1959)[169],[170], de Vienne[198] (1966)[125], de Froment, Le Moniès de Sagazan, de Villèle (1989)[169], de Couëspel (XXIe siècle, 2010)[169], etc.
Châteaux et demeures
Liste non-exhaustive des possessions de la famille de Perier :
- Branche aînée
- Manoir du Moros, à Concarneau (1728-1810)[199],[200],[201].
- Terre de Montplaisir, près de La Nouvelle Orléans, à McDonoghville (après 1726-1737)[202].
- Branche cadette
- Terre de Marfauville, à Cauville-sur-Mer (1701-1850).
- Manoir d'Oudalle dit de Verguetot, à Oudalle (1748-1850).
- Château de la Madeleine, à Pressagny-l'Orgueilleux (1839-1864)[105].
- Château du Cluzeau, à Estivareilles[126].
-
Manoir d'Oudalle dit de Verguetot, à Oudalle.
-
Gravure du château de la Madeleine, à Pressagny-l'Orgueilleux, milieu du XIXe siècle.
Postérité
Cette famille a laissé divers souvenirs pour la postérité :
- Dans la ville de la Nouvelle-Orléans, en Louisiane : une rue appelée Perrier street et dans cette même rue[203] un hôtel Maison Perrier sont inaugurés en 1890 et 1892, en référence à Étienne de Perier (1687-1766), gouverneur de la Louisiane française de 1726 à 1733[19],[204],[205].
- Dans la ville de Saint-Denis, à La Réunion : fondé en 1958, un temple maçonnique appartenant à la loge L'Amitié du Grand Orient de France porte le nom Éléonore Perier de Salvert[206], en référence à Éléonor Jacques Marie Stanislas de Perier de Salvert (1748-1783), franc-maçon au grade de Souverain Prince Rose-Croix[78],[79] et fondateur de la loge de La Triple Espérance sur l'Ile Maurice[80].
- Dans la commune d'Estivareilles, dans l'Allier : le monument aux morts rend notamment hommage à Antoine Philippe Étienne de Perier (1925-1949) et Hugues Antoine René Léonor de Perier (1931-1956), tous deux tombés pour la France, en Indochine et en Algérie[148].
-
La Perrier Street à la Nouvelle-Orléans.
-
Plaque de la Perrier Street à la Nouvelle-Orléans.
-
Plaque de l'hôtel Maison Perrier à La Nouvelle Orléans.
-
Plaque du temple Eléonor Jacques de Perier de Salvert à Saint-Denis.
-
Le monument aux morts d'Estivareilles.
Notes et références
- Henri Jougla de Morenas & Raoul de Warren, Grand Armorial de France, Supplément Tome VII, Paris, Société du Grand Armorial de France (lire en ligne), Page 413 : "DE PERIER"
- Henri Jougla de Morenas, Grand Armorial de France, Tome V, Paris, Société du Grand Armorial de France (lire en ligne), Page 248 : "PERIER ou PERRIER ou DE PERRIER : 26.108. - D'argt à la fasce de sin., accompagnato; de 4 quintefeuilles du messe cantonnées."
- Robert Busquet de Caumont, Busquet de Caumont: Histoire culturelle, sociologique et patrimoniale d'une ancienne famille, Editions Publibook, , 320 pages (lire en ligne), Page 217 - 12) de Perier : " D’argent, à une fasce de sinople accompagnée de quatre quintefeuilles de mesme posées une à chaque canton de l’écu. "
- E. de Sereville, F. de Saint Simon, Dictionnaire de la noblesse française, Paris, La société française au XXe siècle, de PERIER Provence, Touraine. D'argent à une fasce de sinople accompagnée de 4 quinte-feuilles du mesme contournées. Anobli et confirmé noble 21 juin 1726.
- Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, Paris, Editions Robert Laffont, (ISBN 2-221-05925-5), PERIER (de) d'argent à une fasce de sinople accompagnée du même de 4 quintefeuilles du même contournées : anobli (confirmé) en 1726 (20).
- Charles Emmanuel Joseph Poplimont, Patras de Campaigno - Ruzé, Volume 7, Saint-Germain, Imprimerie Eugène Heutte et Cie, , 330 p. (lire en ligne), Page 19 : PERIER, France, "d'argent à la fasce de sinople accompagné de quatre quintefeuilles du même. Cette famille est représentée par de Perier, au château de la Madeleine, par Vernon, département de l'Eure."
- Louis de Magny, La science du blason accompagnée d'un armorial général des familles nobles de l'Europe, Bibliothèque municipale de Lyon, A. Aubry, , 329 p. (lire en ligne), Page 255 : "PERIER (de), Normandie - D'argent à une farce de sinople accompagnée de quatre quintefeuilles du même, 3 et 2 - Couronne de comte. - Supports : deux lions.
- Luc Boisnard, Dictionnaire des anciennes familles de Touraine, Mayenne, Floch, (lire en ligne), Page 312 : "DE PERIER : R Tours, rue de l'Hospitalité DP...1867-1880... PN a) Cit.XIIIe - Ext. chev. ou b) An.-conf. 1726 A D'argt. à la fasce de sin., accomp de quatre quintefeuilles de mesme."
- Arnaud Clément, La noblesse française, Academia, 2020, page 439.
- Bottin Mondain 2019, Page 1150
- Bottin Mondain 2013, p. 1217
- « Sa sœur Andrée Ninine (née de Perier de Salvert) est encore en vie en 2018. » La branche aînée de la famille de Perier est aujourd'hui représentée au moins par Madame Andrée née de Perier de Salvert, épouse de Monsieur Ninine dont elle porte le nom.
- « PERIER : Nom de famille », sur Filae (consulté le )
- « Signification du patronyme Perier »
- Henri Moisy, Noms de famille normands: étudiés dans leurs rapports avec la vieille langue et spécialement avec le dialecte normand ancien et moderne, (lire en ligne), p. 347
- « signification du nom »
- Recueil de Généalogies, pour servir de suite ou de supplément au Dictionnaire de la noblesse, tom. XV et III des Suppléments, Paris, Badier, (lire en ligne), Page 369 et suivantes : du Périer
- Bien que la maison du Perier (ou de Perier) de Bretagne, issue des Comtes de Cornouailles, ait fait souche dans l'Eure (Normandie) dès le XIVe siècle (voir ici) et qu'elle se soit faite appeler Perier ou Periou (voir ici), la filiation prouvée de cette famille de Perier olim Perier, démarre au début du XVIIe siècle au Havre (Normandie).
- (en) Sally Asher, Hope & New Orleans: A History of Crescent City Street Names, La Nouvelle-Orléans, The History Press, (lire en ligne), "PERRIER : Etienne de Perier was a French naval officer (...). In 1890 the city named a street after Perier, which somehow picked up an extra r along the way."
- A. E. Borély, Histoire de la ville du Havre et de son ancien gouvernement, Volume I, Lepelletier, (lire en ligne), Page 188 : Jehan Perier est cité parmi les premiers, suivi de Jehan Le Dentu (le 27 mai 1632, Marie Jean Perier - auteur de la branche aînée de la famille de Perier - épouse Anne Le Dentu).
- Stéphane de Merval, Documents relatifs à la fondation du Havre, Le Havre, (Page 232 ; https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k331713/f248.item.texteImage Page 361 ; https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k331713/f377.item.texteImage), Pages 232 et 361
- Alphonse Martin, « Plan de la ville françoise du Havre de Grâce en 1524. », sur Gallica
- Arnaud Clément, La noblesse française, , p. 446
- « Acte de baptême de Marie Perier, du 9 novembre 1615. », sur Archives départementales de Seine-Maritime
- « Acte de baptême de David Perier du 19 juillet 1617 », sur Archives départementales de Seine-Maritime
- Archives départementales de Seine-Maritime, « Acte de mariage entre Etienne Perier et Jeanne Reculard, du 27 janvier 1614 en l'église Notre-Dame du Havre. », sur Archives départementales de Seine-Maritime
- « Constitution de rente entre Etienne Perier et Jehan Reculard du 13 février 1619. », sur Archives départementales de Seine-Maritime
- « Acte de mariage entre Etienne Perier et Marie Lambert. », sur Archives départementales de Seine-Maritime
- « Acte de mariage entre Marie Jean Perier et Anne Le Dentu du 27 mai 1632. », sur Archives départementales de Seine-Maritime
- Patrick-Charles Renaud, Se battre en Algérie, Grancher, , 452 pages (lire en ligne), Page 28 et suivantes
- Bibliothèque nationale, Manuscrits, "Nouveau d'Hozier" n° 262, cote 5990, article "de PERIER" : « en considération des services rendus pendant plus de 50 années sur les vaisseaux du Roy, en qualité de lieutenant, capitaine, commandant et autres et de ceux actuellement rendus par les Sieurs Estienne et Antoine Alexis de Perier de Salvert, ses enfants, le premier en qualité de garde de la Marine depuis 1704 et aujourd'hui dans la place de Gouverneur général de la Louisiane et l'autre en qualité de garde de la Marine depuis ladite année 1704 et depuis l'année 1721 en celle d'enseigne de vaisseau. »
- Ministère des armées., Revue historique des armées Numéros 170-173, Ministère des armées., (lire en ligne)
- Philippe Haudrère, Les flottes des Compagnies des Indes: 1600-1857, Service historique de la marine, (lire en ligne), p. 89.
- Philippe Haudrère, Les flottes des Compagnies des Indes: 1600-1857, Service historique de la marine, (lire en ligne), p. 93.
- Khalil Saadani, La Louisiane française dans l'impasse: 1731-1743, Harmattan,, (lire en ligne), p. 32.
- L'Intermédiaire des chercheurs et curieux, Numéros 508 à 518, (lire en ligne), "Étienne de Perier fils d'Étienne Périer , capitaine de vaisseau et de port au Havre puis à Dunkerque - qui fut un grand ami de Jean Bart - et de Marie de Launay..."
- Michel Vergé-Franceschi, Les officiers généraux de la marine royale, 1715-1774: Annexes, Librairie de l'Inde, , 3469 p. (ISBN 2905455047), Page 192
- Revue maritime et coloniale, Volume 62, France, Le Ministère de la Marine, (lire en ligne), Page 665 : "...la Méduse, frégate commandée par Périer de Salvert, l'un des deux fils de l'ancien capitaine de port de Dunkerque, ami de Jean Bart."
- Intermédiaire des chercheurs et curieux, t. Numéros 508 à 518, ICC, (lire en ligne).
- Louis Le Guennec, Morlaix et sa région, Amis de Louis Le Guennec, , 413 p., Page 55
- Bernard Lugan, Histoire de la Louisiane française: 1682-1804, Perrin, 298 p. (lire en ligne)
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- Claude-Youenn Roussel, Esclaves, café et belle-mère, de Brest à Saint-Domingue, SPM, (lire en ligne), p. 22.
- Philippe Haudrère, Les flottes des Compagnies des Indes: 1600-1857, Service historique de la marine, (lire en ligne), p. 96.
- Etienne Louis de Perier est souvent confondu avec son frère François Alexis. C'est par exemple le cas dans Anne Mézin, CORRESPONDANCE DES CONSULS DE FRANCE À CADIX (1666-1792), Inventaire analytique des articles AE/B/I/211 à AE/B/I/300 (Du fonds dit des affaires étrangères), Archives nationales françaises, 636 p. (lire en ligne), p. 493 et 494.
- Alain Boulaire, Kerguelen: Le phénix des mers australes, France-Empire, , 248 p. (ISBN 2307181326, lire en ligne), Trois pages (section trois)
- L'Intermédiaire des chercheurs et curieux, Numéros 508 à 518, L'Université du Michigan, (lire en ligne)
- Anne Mézin, CORRESPONDANCE DES CONSULS DE FRANCE À CADIX (1666-1792), Inventaire analytique des articles AE/B/I/211 à AE/B/I/300 (Du fonds dit des affaires étrangères), Archives nationales françaises, 636 p. (lire en ligne), p. 493 et 494
- Philippe Haudrère, Les flottes des Compagnies des Indes: 1600-1857, Service historique de la marine, , 346 p. (ISBN 2110899220), Page 96
- Archives navales, marine ancienne, B4.68, 18 octobre 1755.
- Claude-Youenn Roussel, Esclaves, café et belle-mère: de Brest à Saint-Domingue : l'amiral Le Dall de Tromelin : une correspondance coloniale inédite : 1769-1851, SPM, , 325 p. (ISBN 2917232277, lire en ligne), Page 22
- Le chevalier de Pradel: vie d'un colon français en Louisiane au XVIIIe siécle d'après sa correspondance et celle de sa famille, , 464 p. (lire en ligne)
- Archives départementales du Finistère, Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Articles B 1332-2657. Inventaire des fonds de la Cour royale de Brest et Saint-Renan et de la juridiction du Châtel à Brest. Rédigé par F.-M. Luzel, H. Bourde de La Rogerie and H. Waquet, Typographie A. Jaouen, (lire en ligne), Page 405
- Léon Guérin, Histoire maritime de France: contenant l'histoire des provinces et villes maritimes, des combats de mer depuis la fondation de Marseille, 600 ans avant J.-C., de la flibuste, des navigations, voyages autour du monde, naufrages, célèbres, découvertes, colonisations, de la marine en général, avant, pendant et depuis le règne de Louis XIV jusqu'à l'année 1850, Volume 4, Dufour et Mulat, (lire en ligne), Page 515
- J. Forest ainé, Revue de Bretagne et de Vendée, Volumes 3 à 4, (lire en ligne), Page 463
- Philippe Haudrère, Les flottes des Compagnies des Indes: 1600-1857, Service historique de la marine, , 346 p., Page 96
- Société des amis du Bazadais, Les cahiers du Bazadais, Numéros 84 à 91, (lire en ligne), Page 44
- Celestin M. Chambon, In and Around the Old St. Louis Cathedral of New Orleans, Philippe's Printery, , 181 p. (lire en ligne), Page 97
- Mid-America: An Historical Review, Volume 21, Loyola University Institute of Jesuit History, (lire en ligne), Page 129
- Archives départementales du Finistère, Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Articles B 1332-2657. Inventaire des fonds de la Cour royale de Brest et Saint-Renan et de la juridiction du Châtel à Brest. Rédigé par F.-M. Luzel, H. Bourde de La Rogerie and H. Waquet, Typographie A. Jaouen, imprimeur de la Préfecture, (lire en ligne), Page 158
- Raymond de Bertrand, Mémoires de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts : Notice historique sur Antoine-Alexis Perier de Salvert, chef d'escadre, natif de Dunkerque, t. 8, Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, (lire en ligne), p. 229-263.
- Michel Aumont, Les corsaires de Granville: Une culture du risque maritime (1688-1815), Presses universitaires de Rennes, , 560 p. (lire en ligne), Page 154
- Alain Cabantous et Jacky Messiaen, Gens de mer à Dunkerque aux XVIIe et XVIIIe siècles, Éditions Kim, , 131 p. (lire en ligne), p. 26
- Sir Peter Warren, The Royal Navy and North America: The Warren Papers, 1736-1752, Navy Records Society, (lire en ligne), p. 438.
- Archives départementales du Finistère, Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Articles B 1332-2657. Inventaire des fonds de la Cour royale de Brest et Saint-Renan et de la juridiction du Châtel à Brest. Rédigé par F.-M. Luzel, H. Bourde de La Rogerie and H. Waquet, Typographie A. Jaouen, (lire en ligne), Page 158
- Archives départementales du Finistère, Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Articles B 1332-2657. Inventaire des fonds de la Cour royale de Brest et Saint-Renan et de la juridiction du Châtel à Brest. Rédigé par F.-M. Luzel, H. Bourde de La Rogerie and H. Waquet, Typographie A. Jaouen, , Page 159
- Série B - Cours royale de Brest et de Saint-Renan (lire en ligne), Page 159
- (en) Martinus Nijhoff, Mexico and Central America (lire en ligne)
- Christian de La Jonquière, Les Marins français sous Louis XVI: guerre d'indépendance américaine, Muller, , 294 p. (lire en ligne)
- Archives de la Loire-Inférieure, Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Loire-Inférieure : Série B : Cours et juridictions d'Ancien Régime. Série B : Chambre des comptes de Bretagne art. B 1953 - B 2447, Volume 2, Imprimerie Chiffoleau, , 253 p. (lire en ligne), Page 228
- Comptes rendus par les ministres, volume 39 (lire en ligne), p. 6
- Louis Richaud et Raoul Busquet, Mémoire de Louis Richaus sur la révolte de Toulon et l'émigration, Éditions Rieder, , 251 p. (lire en ligne), p. 241
- Dossier Base Léonor de Louis François Achille de Perier de Salvert
- Almanach national: annuaire officiel de la République française, Berger-Levrault, 1877, page 972.
- Louis Pierre d' Hozier, Armorial général de la France, Firmin Didot frères et fils, (lire en ligne), Page 680 et 681
- Hervé Perret, « De l'amour impossible d'un franc-maçon pour une esclave à l'Ile Bourbon ou le procès d'un transgresseur », Dix-Huitième Siècle, n°36, (lire en ligne)
- Alain Junot, « À Bourbon, très tôt, les loges ont diffusé des idées nouvelles », Clicanoo, (lire en ligne)
- Martine Acerra, Guy Martinière, Guy Saupin, Laurent Vidal, Les villes et le monde: Du Moyen Âge au XXe siècle, Presses universitaires de Rennes, , 464 p. (lire en ligne), Page 88
- France. États Généraux, 1789, France. Assemblée nationale constituante (1789-1791), France. Chambre des députés, France. Chambre des pairs, France. Corps Législatifs, 1852-1870, France. Sénat, Archives parlementaires de 1787 à 1860: recueil complet des débats législatifs et politiques des chambres françaises, (lire en ligne), Page 743 : "PERIER DE SALVERT (Demoiselle de Morogues, veuve du sieur), 35. M. 1° 1782, 500 ; 2° 1784, 1200. La première, sans retenue, en considération des services de son père, lieutenant-général des armées navales. La seconde, aussi sans retenue, en considération des services de son mari, tué dans le combat du 20 janvier 1783."
- Jean Mascart, La vie et les travaux du chevalier Jean-Charles de Borda, 1733-1799: épisodes de la vie scientifique au XVIIIe siècle, A. Rey, imprimeur-éditeur, , 821 p., Page 455 : "Périer de Salvert : gendre de Bigot de Morogues ; garde 5 avril 1762 ; lieutenant de vaisseau , le 14 février 1778 . Avec la Fine, prend part aux combats des 17 février, 12 avril, 6 juillet 1782."
- Mémoires de la Société Royale des Sciences, Belles lettres et arts, Tome cinquième, Orléans, Imprimerie de Danicourt et Pagnerre, (lire en ligne), Page 117
- Lacour-Gayet, Georges, La marine militaire de la France sous le règne de Louis XV, Paris, Honoré Champion, (lire en ligne), Page 546
- Jean de La Varende, Suffren et ses ennemis, Flammarion, , 344 p. (lire en ligne), "2° : La Fine, lancée en 79, de grande marche, avec M. de Salvert, lieutenant- commandant. Fils d'un bon marin de l'Académie. Audacieux, vaniteux ; des faiblesses, mais quand même, un beau type de jeune marin."
- Robert Busquet de Caumont, Busquet de Caumont: Histoire culturelle, sociologique et patrimoniale d'une ancienne famille, Editions Publibook,, , 320 pages (lire en ligne), Page 217,12. de Perier
- Le Bulletin héraldique de France: ou, Revue historique de la noblesse ..., Volumes 7 à 8, (lire en ligne), Page 387 : "François Marie Stanislas comte de Blanchetti , patrice de Bologne, sgr de gués, et de Marguerite Gravelotte . la Mothe, colonel des chevaux légers du comtat Venaissin, marié à Paris en 1773 à Catherine-Henriette de Périer, dame du Breil, en Normandie..."
- Société héraldique et généalogique de France, Paris, Bulletin de la Société héraldique etʹgenéalogique de France, Volume 8, Société héraldique et généalogique de France, Paris, (lire en ligne), Page 387 : "comte de Blanchetti, patrice de Bologne, sgr de la Motte, colonel des chevau-légers du comtat Venaissin, marié à Paris en 1773 à Catherine-Henriette de Périer, dame du Breil, en Normandie, dont : ..."
- Archives départementales de Seine-Maritime, Registres paroissiaux et d'état civil du Havre, paroisse Saint François, 1751, folio 2/148.
- Archives de l’Eure, registres de l’état-civil de Pressagny-l'Orgueilleux 1842 folio 343/599.
- Charles-Théodore Vesque, Histoire des Rues du Havre (Tome Ier : le Vieux Havre), Editions des Régionalismes, , 330 p. (lire en ligne), Page 163, no.31 : "M. Antoine Daniel de Perier, mort le 26 mars 1844, au château de la Madeleine, commune de Pressagny-l'Orgueilleuse, veuf d'Eléonore-Félicité-Sophie Letellier de Brothonne."
- Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, (lire en ligne), p. 351-352
- Rondonneau et Dècle, Collection générale des lois: décrets, arrêtés, sénatus-consultes, avis du Conseil d'Etat et règlemens d'administration, publiés depuis 1789 jusqu'au 1er avril 1814[ -1819] et insérés dans la collection du Louvre in-4°, dans la collection in-8°, de l'Imprimerie nationale et dans les ... séries du Bulletin des lois, Volume 16, (lire en ligne), "Vu la requête à nous présentée au nom du sieur Antoine de Périer , ancien capitaine d'infanterie, demeurant à Rouen..."
- Ch. M. Galisset, Corps du droit français ou recueil complet des lois, décrets, ordonnances, sénatusconsultes, règlements ... publiés depuis 1789 jusqu'à nos jours, Volume 4, Ch. M. Galisset, (lire en ligne), Page 2036 : article relatif au sieur Antoine de Périer, ancien capitaine d'infanterie demeurant à Rouen.
- Le Commandant Souillard, Des milices aux régiments territoriaux et historique du 40e regiment d'infanterie territoriale, Dulois & Bauer, (lire en ligne), Page 178
- Contrôle des officiers des brigades et bataillons de la Garde nationale sédentaire de Rouen, , "Première brigade : Citoyen de Perier, colonel chef de la brigade, demeurant rue du Contrat-Social "
- Archives de la Guerre, Dossier 2991 du classement général alphabétique, "de Perier, Antoine Daniel"
- France. Administrateur des domaines nationaux, Les émigrés de 1793, Volume 3, Publications Micheline Vallée, (ISBN 2950628605, lire en ligne), Page 40
- M - Z Dressée en exécution de l'article 16 de la Loi du 28 mars 1792, et de l'article premier du §. 2 de celle du 25 juillet de la même année, première de la République Française une et indivisible, Volume 3, De L'Imprimerie De L'Administration Des Domaines Nationaux, (lire en ligne), Page 40
- Ordonnance du 9 mai 1814 : "L'attribution de la Décoration du Lys est étendue à l’ensemble des gardes nationales de France". (cf. décoration du Lys) Antoine Daniel de Perier d'Oudalle était alors colonel de la 1re brigade de la garde nationale sédentaire de Rouen.
- « Acte de mariage entre Antoine Daniel de Perier d'Oudalle et Eleonore Félicité Sophie Letellier de Brothonne de 1797 », sur Archives départementales de Seine-Maritime
- http://recherche.archivesdepartementales76.net/?id=viewer&doc=accounts%2Fmnesys_ad76%2Fdatas%2Fir%2Fserie_E_seigneuries_familles_notaires_etat_civil%2FFRAD076_IR_E_etat_civil%2Exml&page_ref=2913774&lot_num=1&img_num=1&index_in_visu=
- https://archives.touraine.fr/ark:/37621/xl5c7wqf6k04/74915c53-9155-4914-8c44-3280400ed392
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- Édouard Benjamin FRÈRE, Voyage historique et pittoresque de Rouen à Paris sur la Seine ... Troisième édition, (lire en ligne), Page 75
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- M. Borel d'Hauterive, Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, Volume 43, Paris, Typographie de E. Plon, Nourrit et Cie, (lire en ligne), Page 248
- Société d'émulation du Bourbonnais, Les Cahiers bourbonnais et du centre, Volume 12, (lire en ligne), Page XXI : "Le 22 juin, décès à Paris dans sa 75e année, d'Antoine de PÉRIER, général de division des troupes de marine, grand officier de la Légion d'Honneur. Après ses obsèques célébrées aux Invalides, il fut inhumé à Estivareilles où il avait sa résidence."
- Société de géographie commerciale de Paris, Revue économique française, Volume 91, (lire en ligne), Page 43
- Revue Économique Francaise, Volumes 88 à 91, France, (lire en ligne), Page 70
- Jacques Lafitte, Stephen Taylor, Qui est qui en France, , Page 1240, "de PERIER"
- L'Intermédiaire des chercheurs et curieux, Volume 4, Numéros 34 à 45, (lire en ligne), Page 471 : "N. de Place mariée à N. de Périer, général, inspecteur des troupes coloniales, châtelain actuel du Cluzeau dont 9 enfants."
- « Promotion de Montmirail », sur www.saint-cyr.org
- Armand Plat, Deux Français libres sur les traces de Paul Déroulède, Nouvelles Éditions latines, , 222 p., Page 121
- Ordre N° 54 du 63ème Régiment d'Infanterie du 17 février 1915.
- Société de géographie commerciale de Paris, Revue économique française, Volume 90, Société de géographie commerciale de Paris, (lire en ligne), Page 71
- Service historique de l'Armée de terre, La Guerre d'Indochine, 1945-1954: textes et documents, Volume 2, Service historique de l'Armée de terre, , 493 p. (lire en ligne), Page 154
- France, Journal officiel de la République franc̜aise, Numéros 79 à 102, (lire en ligne), "M. de Perier ( A.-P.-E. ), capitaine au 21° régiment . res indigènes du Maroc."
- Société de géographie commerciale de Paris, Revue économique française, Volume 90, , page 71
- Institut archéologique liégeois, Bulletin, Volumes 57 à 60, (lire en ligne), Page 16 : "Parmi les personnalités qui ont honoré le Musée de leur visite il faut citer : Le maréchal Franchet d'Espérey , et son aide de camp , le commandant de Périer".
- Paul Azan, Franchet d'Espérey, Flammarion, , 305 p. (lire en ligne), Page 269 et autres
- Société de géographie commerciale de Paris, Revue économique française - Volume 90, Paris, , Page 71 : "Le Général de Périer...au cours de laquelle, fait prisonnier avec l'Etat-Major d'une Armée dont il est le Sous-Chef, il parvient à s'évader."
- Décret du 21 mai 1945. Médaille des évadés. « de PERIER (Antoine-Pierre-Étienne) : Général de Brigade, Inspecteur des troupes coloniales, ministère de la guerre. Déjà cité pour le même motif par ordre général n*153c en date du 20 août 1940 du général commandant en chef ministre secrétaire d'État à la défense nationale : après avoir rempli avec autorité, depuis le début de la campagne les fonctions de sous-chef de l'État-major de la 3e armée, s'est particulièrement signalé par son initiative, son énergie et son courage pendant la période du 1er juin au 22 juin 1940. Fait prisonnier après l'encerclement de son armée, s'est évadé et a réussi à échapper aux cavaliers lancés à sa poursuite et a rejoint la zone non occupée du territoire français après avoir circulé huit jours dans les lignes allemandes.»
- André Gaston Prételat, Le destin tragique de la ligne Maginot, Berger-Levrault, , 277 p., Page 241 et suivantes
- Jacques Cantier, L' Algérie sous le régime de Vichy, Odile Jacob, , 416 pages (lire en ligne), Page 102
- Jean-Christophe Notin, Maréchal Juin, Tallandier, 688 pages (ISBN 9791021007376, lire en ligne)
- Claude Faure, Aux Services de la République: du BCRA à la DGSE, Fayard, , 786 p. (lire en ligne), Chapitre 6 - Renseignement et résistance en Afrique du Nord
- Jean-Noël Vincent, Marcel Spivak, Armand Léoni, Les forces françaises dans la lutte contre l'Axe en Afrique: La campagne de Tunisie, 1942-1943, Ministère de la défense, Etat-major de l'Armée de terre, Service historique, , 471 p. (lire en ligne), Page 24
- Jean-Claude Catherine, La captivité des prisonniers de guerre: Histoire, art et mémoire, 1939-1945. Pour une approche européenne, Presses universitaires de Rennes, , 240 p. (lire en ligne), "29. CAOM DAM 3 dos. 8, rapport du général de Périer, inspecteur des troupes coloniales"
- Armelle Mabon, « La tragédie de Thiaroye, symbole du déni d'égalité », Hommes & Migrations, , p. 86-95 (lire en ligne)
- Maxime Weygand, Rappelé au service, volume 3 de Mémoires, Flammarion, (lire en ligne), Page 354
- Raoul Salan, Le Viêt-minh mon adversaire, Presses de la Cité, (lire en ligne), Page 128
- Georges Chabot, « Revue économique française. Bull, trimestriel de la Société de Géographie », L'Information Géographique, , p. 78-79 (lire en ligne)
- Société de géographie commerciale de Paris, Revue économique française, Volumes 71 à 74, (lire en ligne)
- Journal officiel de la République française, (lire en ligne), Page 792
- Société d'émulation du Bourbonnais, Les Cahiers bourbonnais et du centre, Volume 17, (lire en ligne), Page XXV - Yves de Périer
- Liste non-exhaustive des des promotions de Saint-Cyr
- Journal officiel de la République française, France, (lire en ligne), Page 9869 - de Périer (Yves-Antoine)
- La Saint-Cyrienne, « Lieutenant Antoine de PERIER », sur https://saint-cyr-memorial.alumnforce.org (consulté le )
- La Nouvelle critique, Numéros 107 à 111, , Page 52
- Journal officiel de la République française, France, , Page 6803, DE PERIER (Antoine-Philippe-Etienne)... (lire en ligne)
- France, Journal officiel de la République française: Lois et décrets, (lire en ligne), Page 7244 : "De Perier (Antoine - Alexis - Pierre), 5 septembre 1929, chef de bataillon ; 21 ans 3 mois de services , 9 mois de bonifications. Cité .
- Avis de décès M.Pierre-Michel de PERIER
- Ordre général n°984. Citation validée par décision ministérielle n°23 du 30.06.1956 du Secrétariat d'État à la guerre : Le général commandant la 10e Région militaire cite à l'ordre du Corps d'Armée : de PERIER. Antoine Alexis Pierre Michel, du 5e Régiment étranger pour le motif suivant : « Jeune officier ardent et courageux, le 10 avril 1956 au Dahr Djerf El Kebir, région de Nedroma, a entraîné sa section à l'assaut de la cote 608 fortement tenue par les rebelles, auxquels il a infligé des pertes sévères. » Cette citation comporte l'attribution de la médaille de la Valeur militaire avec étoile de vermeil. Pour le Général LORILLOT, le Général de division KIENTZ.
- En référence à Antoine Philippe Étienne de Perier, tué au Tonkin en 1949.
- Cahiers Charles de Foucauld, Les missions catholiques dans le monde, Cahiers Charles de Foucauld, , 281 p. (lire en ligne), Page 276
- « Hugues de Perier », sur Ministère de la Culture - Base Léonor
- Extrait du décret du 18 mars 1957 portant nominations dans la Légion d'honneur ; est nommé dans l'Ordre National de la Légion d'honneur au grade de chevalier à titre posthume ; de PERIER, Hugues, sous-lieutenant au 5e Régiment étranger d'infanterie ; « Jeune officier ardent et généreux, animé du plus pur idéal et digne des traditions légendaires de la Légion et de Saint-Cyr. Lors de son premier combat, le 22 juillet 1956, au Djebel Kouhn (région de Turenne), a, au mépris du danger, entraîné irrésistiblement ses hommes à l'assaut d'un adversaire qui arrêtait sa section, donnant ainsi le plus bel exemple de courage audacieux et de volonté de vaincre. Très grièvement blessé, est mort des suites de ses blessures. »
- La Saint-Cyrienne, « DE PERIER Hugues, Antoine, René », sur https://saint-cyr-memorial.alumnforce.org/ (consulté le )
- « Antoine François Philippe de Perier », sur Ministère de la Culture - Base Léonor
- Lt. Campana, secrétaire de la promotion, Livre d'or de la promotion de la Grande Revanche. Saint-Cyr 1914, Yvelines, Officiers de la Promotion de la Grande Revanche, , 224 p., de PERIER (Antoine, François, Philippe)
- Ministère de la guerre, Bulletin des armées de la République, Volume 4, France, (lire en ligne), "M. DE PERIER (Antoine-François-Philippe), sous-lieutenant au 135ème régiment d'Infanterie : officier plein de courage et de sang-froid. Belle conduite au cours de la campagne. A reçu une blessure grave (a déjà reçu La Croix de guerre).
- Librairie Felix Alcan, Revue des sciences politiques, Paris, Librairie Felix Alcan, (lire en ligne), Page 46
- France, Journal officiel de la République française, (lire en ligne), Page 1422
- Robert Busquet de Caumont, Busquet de Caumont: Histoire culturelle, sociologique et patrimoniale d'une ancienne famille, Editions Publibook, , 320 pages (lire en ligne), Page 211 - a,b,c
- Henri Frotier de La Messelière, Filiations bretonnes. 1650-1912, recueil des filiations directes des représentants actuels des familles nobles, de bourgeoisie armoriée ou le plus fréquemment alliées à la noblesse, d'origine bretonne ou résidant actuellement en Bretagne, depuis leur plus ancien auteur vivant en 1650, Volume 6, impr. J. Floch, (lire en ligne), Page 85
- Bottin Mondain 1984 (lire en ligne), Page 1083
- Bottin Mondain 1984, (lire en ligne), PERIER (Cle Luc de)
- Annonce du décès du colonel Luc de Perier de la promotion LA DEVISE DU DRAPEAU (1920-1922). Par les secrétaires de cette dernière : général Nerot, général Paquette. Page 78, revue des anciens de Saint-Cyr, octobre 1984.
- Journal officiel de la République française, France, (lire en ligne), Page 9602 : "de Périer (A.-L.-A.), état-major du gouvernement militaire de Metz et de la 6e région."
- Journal officiel de la République française, France, (lire en ligne), Page 10439 : "M. de Perier (A.-L.-A.), capitaine au 91e rég d'infanterie, breveté d'état-major... est affecté à l'état-major de la 9e région (service). Rejoindra le 1er novembre 1937."
- France, Journal officiel de la République française, (lire en ligne), Page 9882 : "DE PERIER (Antoine-Luc-Alexis), chef de bataillon, direction générale des prisonniers de guerre de l'axe ; 25 ans de services, 10 campagnes."
- Jacques Lafitte, Stephen Taylor, Qui est qui en France, Autres éditions, , Page 1351
- « Acte de mariage entre Jean Perier et Marguerite Melun Le Run du 17 février 1648 », sur Archives départementales de Seine-Maritime
- « Georges Boissaye du Bocage », sur Orange
- « Acte de mariage entre Anne Perier et George Boissaye du Boccage du 27 février 1661. », sur AD Seine Maritime
- « Acte de décès de Marie de Launay "épouse du sieur Étienne de Perier". », sur AD Seine Maritime
- « Acte de mariage entre Pierre Etienne Perier du Petit Bois et Anne Henriette Morin d'Oudalle », sur Archives départementales de Seine Maritime
- « Famille de Perreau », sur Oniros
- Bigot de Morogues.
- Ludovic de Magny, Le nobiliaire universel: ou, Recueil général des généalogies historiques et veridiques des maisons nobles de l'Europe, Volume 4, Institut Heraldique, (lire en ligne), Page 170 : "La branche de France a contracté des alliances directes, depuis son établissement dans le Comtat, avec les maisons : ... , de Périer, ... , etc."
- Philippe Lamarque, La figure héraldique du cheval, Cheminements, , 292 p. (ISBN 9782844780768, lire en ligne), p. 88-89
- Pierre de l’Estourmy, La recherche de noblesse de 1666 pour la généralité de Rouen dité : recherche de la Galissonnière : élection de Rouen., Letourmy, (lire en ligne), Page 50
- « Acte de mariage entre Antoine René de Perier et Marie Louise Augustine Espérance Bassompierre Sewrin de 1839 », sur Archives de Paris
- La famille actuelle appartient à l'ancienne bourgeoisie française, elle ne descend pas de la branche du secrétaire du roi dont parle Gustave Chaix d'Est-Ange Barré de Saint-Venant.
- « Acte de mariage entre Antoine Adjutor Joseph de Perier et Marie Élisabeth Barré de Saint Venant de 1897 », sur Archives départementales de la Sarthe
- Notice sur la famille de Place dans le Simili-nobiliaire français de Pierre-Marie Dioudonnat : « PLACE (de), PLACE-BISSERET (de). Ancienne famille originaire du Forez dont la généalogie s’établit sûrement à partir de Claude, marié en 1695 à Chauffailles, en Bourgogne (dép. actuel de Saône-et-Loire), avec Jacqueline Jolivet. Deux de leurs petits-fils sont les auteurs de deux lignes subdivisées en plusieurs branches et rameaux. L’un d’eux, sorti de la ligne cadette, est issu de Bertrand de Place (1896-1991), fils d’Henri Clément Gaston et de sa femme Élisabeth de Bouchard d’Aubeterre : adopté en vertu d’un jugement du tribunal civil de Montluçon du 20 décembre 1923 par sa tante Claire de Bouchard d’Aubeterre, veuve Louis François Deschamps, comte de Bisseret, il devient de Place de Bouchard d’Aubeterre ; mais sa descendance porte à l’état civil de Place d’Aubeterre de Bisseret et de Place-Bisseret dans le monde. ». Une branche de cette famille a reçu un titre de comte romain héréditaire en 1891 et a été admise au sein de la Réunion de la Noblesse Pontificale en 1993.
- Berthe de Pommery.
- Avis de décès de Marie-Solange de PERIER, née de Gaillard de Lavaldène de Talode du Grail.
- Avis de décès de Anne France de Kervenoaël, née de Perier.
- Jacques de Cauna, « Empreinte de l’esclavage et destinées de familles coloniales françaises à Cuba », Études caribéennes, (lire en ligne)
- Annarosa Poli, Présences françaises dans la Vénétie : avec des inédits de Gabriele d'Annunzio, , 126 p. (lire en ligne), Page 39 : "Les Despaigne étaient une famille de Nantes, transplantée à Cuba. Marguerite pourrait être la fille d'un frère de Mme José-Maria de Hérédia. Léonce, demi-frère de Hérédia, épousera une Mlle Despaigne."
- Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 8 (lire en ligne), p. 6 à 8
- Pierre-Marie Dioudonnat dans le Simili-nobiliaire français écrit : « VIENNE (de). Famille picarde, issue de Quentin Devienne, laboureur à Neuville-Saint-Amand (actuel dép. de l’Aisne), marié en 1750. Au XIXe siècle, c’est à partir d’un jugement rectificatif du tribunal de Saint-Quentin, daté du 19 mars 1869, que le nom s’orthographie en deux mots. Les fils de Jean-Baptiste Amand (1783-1875) ont donné naissance à plusieurs rameaux. Alliances : Serpette, Boudoux d’Hautefeuille, Lefebvre, Miot-Pérard (1905), Hurault de Vibraye (1908), Costa de Beauregard (1940), de Laubespin, de Lobkowicz, de Villeneuve Bargemon (1981), de La Cropte de Chantérac ». De plus, cette famille revendique un titre de comte romain accordé par bref du 11 juin 1900 mais elle n'appartient pas à la Réunion de la noblesse pontificale (RNP). Enfin Pierre-Marie Dioudonnat ajoute que « parmi les familles de la noblesse subsistante, les seuls Vienne nobles ont un patronyme; ce sont les Mathieu de Vienne ».
- Jean Tosti, « Le Moros, ses manoirs et son histoire », sur Généanet
- Association bretonne, Saint-Brieuc. Classe d'archéologie, Bulletin archéologique de l'Association bretonne, Imprimerie-Librarie-Lithographie de René Prud'homme, (lire en ligne), Page 211
- Pol Potier de Courcy, Nobiliaire et armorial de Bretagne, Volume 1, Forest et Grimaud, , 471 p. (lire en ligne), Page 157
- (en) Betsy Swanson, Historic Jefferson Parish: From Shore to Shore, Pelican publishing company, , page 110
- (en) Conde Nast Johansens, Recommended Hotels, lnns, Ressorts & Spas, the Americas, Atlantic, Carribean, Pacific, , p. 103
- (en) John Churchill Chase, Frenchmen, Desire, Good Children: ...and Other Streets of New Orleans !, Simon and Schuster, , 208 p. (lire en ligne), Page 52 : "Perrier replaced him. There is a Perrier Street in New Orleans, but in times of governor Perrier all there seemed to be was Indian trouble (...)"
- (en) « Maison Perrier »
- L'Eco austral, « Inquiétudes au Grand Orient De France », N°342, (lire en ligne)
Bibliographie
Principaux ouvrages
- Raymond de Bertrand, Notice historique sur Antoine-Alexis Perier de Salvert dans Mémoires de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, (lire en ligne), p. 229 à 263
- Robert Busquet de Caumont, Busquet de Caumont: Histoire culturelle, sociologique et patrimoniale d'une ancienne famille, Editions Publibook, 29 novembre 2012, 320 pages, p. 217
- Henri Jougla de Morenas, Grand Armorial de France, Tome V, Paris, Société du Grand Armorial de France, p. 248
- Henri Jougla de Morenas & Raoul de Warren, Grand Armorial de France, Supplément Tome VII, Paris, Société du Grand Armorial de France, p. 413
- Louis Drigon de Magny, La science du blason accompagnée d'un armorial général des familles nobles de l'Europe, Bibliothèque municipale de Lyon, A. Aubry, 1858, 329 p, p. 255
- Charles Poplimont, La France héraldique, Volume 4, Heutte, 1874, p.19
- Luc Boisnard, Dictionnaire des anciennes familles de Touraine, Mayenne, Floch, 1992, p. 312 (cette source ne donne aucune preuve (filiation, généalogie, preuves de noblesse) d'une noblesse chevaleresque du XIIIe siècle qui est de surcroît contredite par l'histoire de cette famille)
- Étienne de Séréville, Fernand de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, Paris, La société française au XXe siècle, de PERIER
- Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, Paris, Editions Robert Laffont, 1989, PERIER (de)
- Henri Moisy, Noms de famille normands : étudiés dans leurs rapports avec la vieille langue et spécialement avec le dialecte normand ancien et moderne, 1876, p. 347
- Sally Asher, Hope & New Orleans: A History of Crescent City Street Names, La Nouvelle-Orléans, The History Press, 2014
- John Churchill Chase, Frenchmen, Desire, Good Children : ...and Other Streets of New Orleans !, Simon and Schuster, 1997, p. 52
- A. E. Borély, Histoire de la ville du Havre et de son ancien gouvernement, Volume I, Lepelletier, 1881, p. 188
- Arnaud Clément, La noblesse française, 2020, p. 446
- Philippe Haudrère, Les flottes de la Compagnie des Indes: 1600-1857, Service historique de la marine, 1996, p. 89
- Khalil Saadani, La Louisiane française dans l'impasse: 1731-1743, Harmattan, 2008, p. 32
- Michel Vergé-Franceschi, Les officiers des vaisseaux issus de la Compagnie des Indes : l'exemple des frères Périer, Les Flottes des Compagnies des Indes, SHM, 1996, p. 87 et 98
- Michel Vergé-Franceschi, La Marine française au XVIIIe siècle : guerres, administration, exploration, Paris, SEDES, coll. « Regards sur l'histoire », 1996, 451 p. (ISBN 2-7181-9503-7)
- Michel Vergé-Franceschi, Les Officiers généraux de la Marine royale : 1715-1774, Librairie de l'Inde, 1990, p. 268 et suivantes
- Michel Vergé-Franceschi, Marine et éducation sous l'Ancien Régime, éditions du CNRS, 496 pages, consulter passages sur les Perier et Perier de Salvert
- Michel Aumont, Les corsaires de Granville: Une culture du risque maritime (1688-1815), Presses universitaires de Rennes, 12 juillet 2019, 560 p, p. 154
- Claude-Youenn Roussel, Esclaves, café et belle-mère, de Brest à Saint-Domingue, SPM, 2015, p. 22
- Bernard Lugan, Histoire de la Louisiane française : 1682-1804, Perrin, 298 p (consulter toute la partie sur le mandat d'Étienne de Perier - de 1726 à 1733)
- Laure Andry, Histoire de la Louisiane: racontée aux enfants Louisianais, Imprimerie Franco-Américaine, 1882, 169 p., p. 42 et suivantes
- Charles Gayarre, E. Bunner, History of Louisiana, Applewood Books, 2010, p. 448, lire en ligne
- Sir Peter Warren, The Royal Navy and North America: the Warren Papers, 1736-1752 , Navy Records Society, 1973, p. 438
- Georges Lacour-Gayet, La Marine militaire de la France sous le règne de Louis XV, Paris, Honoré Champion, 1910, p. 546
- Olivier Chapuis, À la mer comme au ciel, Presses Paris Sorbonne, 1999, 1060 p, p. 775
- Rémi Monaque, Une histoire de la marine de guerre française, Paris, Éditions Perrin, 2016, 526 p. (ISBN 978-2-262-03715-4), (BNF 45021390)
- Alain Cabantous, Jacky Messiaen, Gens de mer à Dunkerque aux XVIIe et XVIIIe siècles, Éditions Kim, 1977, p. 26 notamment
- Léon Guérin, Histoire maritime de France: contenant l'histoire des provinces et villes maritimes, des combats de mer depuis la fondation de Marseille, 600 ans avant J.-C., de la flibuste, des navigations, voyages autour du monde, naufrages, célèbres, découvertes, colonisations, de la marine en général, avant, pendant et depuis le règne de Louis XIV jusqu'à l'année 1850, Volume 4, Dufour et Mulat, 1851, p. 515
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- Louis Pierre d'Hozier, Armorial général de la France, Firmin Didot frères et fils, 1873, p. 680 et 681
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- Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, 1905, p. 352
- Charles-Théodore Vesque, Histoire des rues du Havre, Le vieux Havre Tome 1, Editions des Régionalismes, 2020, 330 p., p. 163
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- Édouard Benjamin FRÈRE, Voyage historique et pittoresque de Rouen à Paris sur la Seine, en bateau à vapeur, Troisième édition, 1842, p. 75
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- Gustave Chaix d'Est-Ange, Volume 11 de Dictionnaire Des Familles Franc̦aises Anciennes Ou Notables À la Fin Du XIXe Siècle - Additions et corrections, Éditions Vendôme, 1983, p. 46
- Paul Azan, Franchet d'Espérey, Flammarion, 1949, 305 p, p. 269 et autres
- Jacques Cantier, L'Algérie sous le régime de Vichy, Odile Jacob, 1er mars 2002, 416 pages, p. 102
- André Gaston Prételat, Le destin tragique de la ligne Maginot, Berger-Levrault, 1950, 277 p., p. 241 et suivantes
- Jean-Christophe Notin, Maréchal Juin, Tallandier, 688 pages
- Armand Plat, Deux Français libres sur les traces de Paul Déroulède, Nouvelles Éditions latines, 1960, 222 p., p. 121 et suivantes
- Claude Faure, Aux Services de la République: du BCRA à la DGSE, Fayard, 29 septembre 2004, 786 p, Chapitre 6 - Renseignement et résistance en Afrique du Nord
- Jean-Noël Vincent, Marcel Spivak, Armand Léoni, Les forces françaises dans la lutte contre l'Axe en Afrique: La campagne de Tunisie, 1942-1943, Ministère de la défense, État-major de l'Armée de terre, Service historique, 1985, 471 p, p. 24
- Jean-Claude Catherine, La captivité des prisonniers de guerre: Histoire, art et mémoire, 1939-1945. Pour une approche européenne, Presses universitaires de Rennes, 6 février 2015
- Raffael Scheck, French Colonial Soldiers in German Captivity during World War II, Cambridge University Press, 15 déc. 2014, p. 265
- Maxime Weygand, Rappelé au service, Volume 3 de Mémoires, Flammarion, 1950, p. 354
- Raoul Salan, Le Viêt-minh mon adversaire, Presses de la Cité, 1971, p. 128
- Patrick-Charles Renaud, Se battre en Algérie, Grancher, 2008, 452 pages, p. 28 et suivantes
- Lt. Campana, secrétaire de la promotion, Livre d'or de la promotion de la Grande Revanche. Saint-Cyr 1914, Yvelines, Officiers de la Promotion de la Grande Revanche, 1923
- Henri Frotier de La Messelière, Filiations bretonnes. 1650-1912, recueil des filiations directes des représentants actuels des familles nobles, de bourgeoisie armoriée ou le plus fréquemment alliées à la noblesse, d'origine bretonne ou résidant actuellement en Bretagne, depuis leur plus ancien auteur vivant en 1650, Volume 6, impr. J. Floch, 1976, p. 85
- Pierre de l’Estourmy, La recherche de noblesse de 1666 pour la généralité de Rouen dité: recherche de la Galissonnière : élection de Rouen, Letourmy, 1999, p. 50
- Betsy Swanson, Historic Jefferson Parish: From Shore to Shore, Pelican publishing company, 2004, p. 110
- Étienne Taillemite, Dictionnaire des marins français, Tallandier, mai 2002, voir notices sur Étienne de Perier et Antoine Alexis de Perier de Salvert p. 414 et 415
- Michel Vergé-Franceschi, Dictionnaire d'histoire maritime, Robert Laffont, 2002
- J. Forest aîné, Revue de Bretagne et de Vendée, volumes 3 à 4, 1878, p. 463
- Who's Who in France
- Bottin mondain
Principaux articles
- Rev. John Delanglez, S. J, The Natchez massacre and governor Perier, Georgetown University, Washington D.C, lire en ligne
- Michel Vergé-Franceschi, Les Normands officiers généraux de la Marine Royale aux XVIIe et XVIIIe siècles, Études normandes, 1991, 40-3, p. 5 à 16, lire en ligne
- Hervé Perret, De l'amour impossible d'un franc-maçon pour une esclave à l'Ile Bourbon ou le procès d'un transgresseur, Dix-Huitième Siècle, n°36, 2004, Page 1 et autres, lire en ligne
- Jean-Yves Guengant, Histoire abrégée de l’affiliation des loges des 5 ports militaires de la France, Humanisme, 2010/3 (n°289), p. 82 à 86, lire en ligne
- Cure de jouvence pour le temple Perrier de Salvert, Clicanoo, 15 février 2012, lire en ligne
- La Dépêche du Midi, François de Périer, numéro 2 du groupement, LaDépêche.fr, 26 août 2015, lire en ligne
- Alain Junot, À Bourbon, très tôt, les loges ont diffusé des idées nouvelles, Clicanoo, 16 mai 2016, lire en ligne
- Bérénice Beaufils, Le dîner idéal de Charlotte de Perier, Point de vue, 16 janvier 2018, lire en ligne
- Philippe Dossal, Antoine de Perier, le dernier des Mohicans, Nantes Privilège, 2020.
- Rédaction Cahors, Gendarmerie. Les adieux du lieutenant-colonel François De Périer, à Cahors et au Lot, Actu.fr, 3 juillet 2019, lire en ligne
- Inquiétude au Grand Orient de France, L'Eco austral, N°342, 1er août 2019, lire en ligne
Cinématographie
Principaux documentaires
- Louisiana Public Broadcasting, Louisiana : A History, épisode 1, chapitre The Indian Wars, 32:41 à 34:00
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des familles de la noblesse française d'Ancien Régime (L à Z)
- Armorial des familles de France
- Armorial des familles de Normandie
- Dextera Domini
- Combat du 19 mai 1744
Liens externes
- http://www.france-phaleristique.com/accueil.htm
- Signification du patronyme Perier
- « Plan de la ville françoise du Havre de Grâce en 1524. », sur Gallica
- Membres de la famille de Perier sur la Base Léonor
- Faire-part de décès de la comtesse de Perier de Salvert
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