« Sindika Dokolo » : différence entre les versions
Dès le départ, SummerRos a cherché à éliminer toute critique sur Dokolo, alors même que ce que j'écris est amplement sourcé. Par ailleurs, les textes qu'il écrit sont trop détaillés, mal sourcés et hagiographiques. |
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'''Sindika Dokolo''', né le {{date|16|mai|1972}}<ref name="Fondation Sindika Dokolo">{{Lien web|titre=Sindika Dokolo|url=http://www.fondation-sindikadokolo.com/fr/sindika-dokolo/|site=Fondation Sindika Dokolo|consulté le=7 avril 2016}}.</ref> à [[Kinshasa]] au [[Zaïre]] (actuelle [[République démocratique du Congo]]), est un collectionneur d'art et un homme d'affaires |
'''Sindika Dokolo''', né le {{date|16|mai|1972}}<ref name="Fondation Sindika Dokolo">{{Lien web|titre=Sindika Dokolo|url=http://www.fondation-sindikadokolo.com/fr/sindika-dokolo/|site=Fondation Sindika Dokolo|consulté le=7 avril 2016}}.</ref> à [[Kinshasa]] au [[Zaïre]] (actuelle [[République démocratique du Congo]]), est un collectionneur d'art et un homme d'affaires controversé. |
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== Famille et éducation == |
== Famille et éducation == |
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Sindika Dokolo a grandi en suivant ses parents en [[Belgique]] et en [[France]]. Son père, Augustin Dokolo, fut le propriétaire de |
Sindika Dokolo a grandi en suivant ses parents en [[Belgique]] et en [[France]]. Son père, Augustin Dokolo, fut le propriétaire de la défunte Banque de Kinshasa et un passionné d'art africain{{Référence nécessaire}}. Sa mère, Hanne Kruse, était d'origine [[Danemark|danoise]]. Il a fréquenté le [[Lycée Saint-Louis-de-Gonzague]] à [[Paris]] où il a obtenu son bac. Il a ensuite étudié l'économie, le commerce et les langues étrangères à l'[[université Pierre-et-Marie-Curie]]<ref>{{Lien web|titre=Sa Famille - Sindika Dokolo|url=http://www.dokolo.com/Sa%20famille.html|site=La Famille Dokolo|consulté le=7 avril 2016}}.</ref>.{{Référence nécessaire}} |
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En [[2002]], il s'est marié avec [[Isabel dos Santos]], la fille aînée du président angolais, [[José Eduardo dos Santos]]<ref>{{Lien web|titre=Isabel dos Santos: l’Africaine la plus influente de l’année?|url=http://www.africatopsuccess.com/2015/12/21/isabel-dos-santos-lafricaine-la-plus-influente-de-lannee/|auteur1=Roger ADZAFO|date=21 décembre 2015|site=Africa Top Success|consulté le=7 avril 2016}}.</ref>. |
En [[2002]], il s'est marié avec [[Isabel dos Santos]], la fille aînée du président angolais, [[José Eduardo dos Santos]]<ref>{{Lien web|titre=Isabel dos Santos: l’Africaine la plus influente de l’année?|url=http://www.africatopsuccess.com/2015/12/21/isabel-dos-santos-lafricaine-la-plus-influente-de-lannee/|auteur1=Roger ADZAFO|date=21 décembre 2015|site=Africa Top Success|consulté le=7 avril 2016}}.</ref>. |
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== Collectionneur d'art == |
== Collectionneur d'art == |
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Sindika Dokolo a |
Sindika Dokolo a lancé la ''Fondation Sindika Dokolo''<ref name="Fondation Sindika Dokolo"/> dans le but de promouvoir de nombreux festivals artistiques et culturels. Sa mission est de bâtir un centre d'[[art contemporain]] à [[Luanda]] qui ne servirait pas seulement à l'exposition d’œuvres, mais également à l'incubation d'artistes locaux et internationaux. Sa collection réunit 3 000 œuvres d'art<ref>{{Lien web|titre=Collectionneurs – Sindika Dokolo : l’art comme une arme|url=http://www.jeuneafrique.com/139339/culture/collectionneurs-sindika-dokolo-l-art-comme-une-arme/|auteur1=Nicolas Michel|date=13 novembre 2012|site=Jeune Afrique|consulté le=7 avril 2016}}.</ref>. |
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Afin d'exposer au public africain la production artistique contemporaine, Sindika Dokolo a conduit sa collection à Luanda, à des événements réguliers{{Référence nécessaire}}, en particulier avec la Triennale de Luanda en [[2006]]. La ''Fondation Sindika Dokolo'' est responsable pour la participation de l'Angola à la [[Biennale de Venise]] en [[2007]]<ref>{{Lien web|titre=Sindika Dokolo : « Nous, Africains, allons intégrer le monde de l’art sans baisser notre pantalon »|url=http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/03/20/sindika-dokolo-nous-africains-allons-integrer-le-monde-de-l-art-sans-baisser-notre-pantalon_4598180_3212.html|auteur1=Olivia Marsaud|date=20 mars 2015|site=Le Monde Afrique|consulté le=7 avril 2016}}.</ref>. La fondation prête des œuvres de la collection à un musée international depuis ce musée présente la même exposition dans un pays africain. |
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»<ref>{{Lien web|langue=pt|titre=Collectionneur angolais invite les autorités Sao Tomé pour la prochaine Biennale de Luanda|url=http://noticias.sapo.pt/internacional/artigo/colecionador-angolano-convida-autoridades-sao-tomenses-para-a-proxima-bienal-de-luanda_16996120.html|auteur=Agência Lusa|date=30 novembre 2013|site=Sapo|consulté le=7 avril 2016}}.</ref>. |
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⚫ | En [[décembre]] [[2013]], Dokolo assisté à l'ouverture de la VII Biennale de [[Sao Tomé-et-Principe]], exposition internationale d'art dans ce pays, où sont exposées les œuvres d'art de la ''Fondation Sindika Dokolo''<ref>{{Lien web|langue=pt|titre=VII Biennale Internationale d'Art et de la Culture de Sao Tomé-et-Principe ouverts au public|url=http://www.panapress.com/Vii-Bienal-internacional-de-Arte-e-Cultura-de-Sao-Tome-e-Principe-abriu-ao-publico---3-888100-43-lang1-index.html|date=1 décembre 2013|site=Panapress|consulté le=7 avril 2016}}.</ref>. En [[2014]], Sindika Dokolo a participé en le plus grand salon d'art africain du monde, ''1:54'', organisée à [[Londres]] entre le 16 et le 19 [[octobre]]<ref>{{Lien web|titre=Art contemporain : 1:54, la petite foire qui monte, qui monte…|url=http://www.jeuneafrique.com/42129/culture/art-contemporain-1-54-la-petite-foire-qui-monte-qui-monte/|auteur1=Nicolas Michel|date=16 octobre 2014|site=Jeune Afrique|consulté le=7 avril 2016}}.</ref>. |
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Afin d'exposer au public africain la production artistique contemporaine, Sindika Dokolo a conduit sa collection à Luanda, à des événements réguliers, en particulier avec la Triennale de Luanda en [[2006]]. La ''Fondation Sindika Dokolo'' est responsable pour la participation de l'Angola à la [[Biennale de Venise]] en [[2007]]<ref>{{Lien web|titre=Sindika Dokolo : « Nous, Africains, allons intégrer le monde de l’art sans baisser notre pantalon »|url=http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/03/20/sindika-dokolo-nous-africains-allons-integrer-le-monde-de-l-art-sans-baisser-notre-pantalon_4598180_3212.html|auteur1=Olivia Marsaud|date=20 mars 2015|site=Le Monde Afrique|consulté le=7 avril 2016}}.</ref>. La fondation prête des œuvres de la collection à un musée international depuis ce musée présente la même exposition dans un pays africain. |
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⚫ | En [[mars (mois)|mars]] [[2015]], la mairie de Porto a décerné à Sindika Dokolo la médaille du Mérite à l’occasion de l’exposition d’art contemporain ''You Love Me, You Love Me Not''<ref>{{Lien web|titre=La fondation Sindika Dokolo s’expose à Porto|url=http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20150305114659/|auteur1=Nicolas Michel|date=5 mars 2015|site=Jeune Afrique|consulté le=7 avril 2016}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=pt|titre=Médaille du Mérite distingué collectionneur d'art|url=http://jornaldeangola.sapo.ao/cultura/medalha_de_merito_distingue_coleccionador_de_arte|auteur1=Jomo Fortunato|date=9 mars 2015|site=Jornal de Angola|consulté le=7 avril 2016}}.</ref>. Cet hommage témoigne de la reconnaissance de la ville vis-à-vis de Sindika Dokolo pour sa contribution, qui a permis à la ville de [[Porto]] de mener à bien l’un des plus importants projets de l’actualité dans le domaine de l’art contemporain, et ce en aidant à construire un pont original entre la ville et le reste du monde<ref>{{Lien web|langue=pt|titre=Sindika Dokolo reçoit la Médaille du Mérite de Porto|url=http://www.jornalbriefing.co.ao/media-comunicacao/28679-sindika-dokolo-recebe-medalha-de-merito-da-cidade-do-porto.html|date=11 mars 2015|site=Briefing Angola|consulté le=7 avril 2016}}.</ref>. |
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⚫ | En [[décembre]] [[2013]], Dokolo assisté à l'ouverture de la VII Biennale de [[Sao Tomé-et-Principe]], exposition internationale d'art dans ce pays, où sont exposées les œuvres d'art de la ''Fondation Sindika Dokolo''<ref>{{Lien web|langue=pt|titre=VII Biennale Internationale d'Art et de la Culture de Sao Tomé-et-Principe ouverts au public|url=http://www.panapress.com/Vii-Bienal-internacional-de-Arte-e-Cultura-de-Sao-Tome-e-Principe-abriu-ao-publico---3-888100-43-lang1-index.html|date=1 décembre 2013|site=Panapress|consulté le=7 avril 2016}}.</ref>. |
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Sindika Dokolo s'est donné pour mission de restituer des œuvres d'[[art africain]] volées à leur musée d'origine<ref>{{Lien web|titre=Le Robin des Bois de l'art africain|url=http://www.lecho.be/sabato/art/Le_Robin_des_Bois_de_l_art_africain.9750896-7800.art?ckc=1&ts=1460391945|date=4 avril 2016|site=L'Echo|consulté le=9 avril 2016}}.</ref>. « Le moment est venu pour toutes les œuvres perdues de rentrer à la maison, où elles pourront jouer pleinement leur rôle, un rôle qui aidera à renforcer notre culture et notre savoir, qui permettra de compléter notre patrimoine », soutient Dokolo<ref>{{Lien web|titre=Angola : Sindika Dokolo à la poursuite des œuvres volées|url=http://www.jeuneafrique.com/314995/culture/angola-sindika-dokolo-a-poursuite-oeuvres-volees/|auteur1=Nicolas Michel|date=1 avril 2016|site=Jeune Afrique|consulté le=7 avril 2016}}.</ref>. |
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⚫ | En [[mars (mois)|mars]] [[2015]], la mairie de Porto a décerné à Sindika Dokolo la médaille du Mérite à l’occasion de l’exposition d’art contemporain ''You Love Me, You Love Me Not''<ref>{{Lien web|titre=La fondation Sindika Dokolo s’expose à Porto|url=http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20150305114659/|auteur1=Nicolas Michel|date=5 mars 2015|site=Jeune Afrique|consulté le=7 avril 2016}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=pt|titre=Médaille du Mérite distingué collectionneur d'art|url=http://jornaldeangola.sapo.ao/cultura/medalha_de_merito_distingue_coleccionador_de_arte|auteur1=Jomo Fortunato|date=9 mars 2015|site=Jornal de Angola|consulté le=7 avril 2016}}.</ref>. Cet hommage témoigne de la reconnaissance de la ville vis-à-vis de Sindika Dokolo pour sa contribution, qui a permis à la ville de [[Porto]] de mener à bien l’un des plus importants projets de l’actualité dans le domaine de l’art contemporain, et ce en aidant à construire un pont original entre la ville et le reste du monde<ref>{{Lien web|langue=pt|titre=Sindika Dokolo reçoit la Médaille du Mérite de Porto|url=http://www.jornalbriefing.co.ao/media-comunicacao/28679-sindika-dokolo-recebe-medalha-de-merito-da-cidade-do-porto.html|date=11 mars 2015|site=Briefing Angola |
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Sindika Dokolo s'est donné pour mission de restituer des œuvres d'[[art africain]] volées à leur musée d'origine<ref>{{Lien web|titre=Le Robin des Bois de l'art africain|url=http://www.lecho.be/sabato/art/Le_Robin_des_Bois_de_l_art_africain.9750896-7800.art?ckc=1&ts=1460391945|date=4 avril 2016|site=L'Echo|consulté le=9 avril 2016}}.</ref>. « Le moment est venu pour toutes les œuvres perdues de rentrer à la maison, où elles pourront jouer pleinement leur rôle, un rôle qui aidera à renforcer notre culture et notre savoir, qui permettra de compléter notre patrimoine », soutient Dokolo<ref>{{Lien web|titre=Angola : Sindika Dokolo à la poursuite des œuvres volées|url=http://www.jeuneafrique.com/314995/culture/angola-sindika-dokolo-a-poursuite-oeuvres-volees/|auteur1=Nicolas Michel|date=1 avril 2016|site=Jeune Afrique|consulté le=9 avril 2016}}.</ref>. |
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== Homme d'affaires == |
== Homme d'affaires == |
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Installé à [[Luanda]] depuis [[1999]], il rejoint les fonctions d’homme d'affaires, d’opérateur culturel et de président de la ''Fondation Sindika Dokolo''<ref name="Fondation Sindika Dokolo"/>. |
Installé à [[Luanda]] depuis [[1999]], il rejoint les fonctions d’homme d'affaires, d’opérateur culturel{{Référence nécessaire}} et de président de la ''Fondation Sindika Dokolo''<ref name="Fondation Sindika Dokolo"/>. |
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Sindika Dokolo possède plusieurs entreprises en Angola. Il siège au conseil d'administration de l'entreprise de ciment ''Nova Cimangola''; il est un membre du conseil d'administration d'''Amorim Energia'', entreprise qui possède un tiers de la compagnie pétrolière [[Galp Energia]] via la ''Esperanza Holding''<ref>{{Lien web|titre=Sindika Dokolo|url=http://www.jeuneafrique.com/206452/archives-thematique/sindika-dokolo/|date=4 novembre 2008|site=Jeune Afrique|consulté le=7 avril 2016}}.</ref>. |
Sindika Dokolo possède plusieurs entreprises en Angola. Il siège au conseil d'administration de l'entreprise de ciment ''Nova Cimangola''; il est un membre du conseil d'administration d'''Amorim Energia'', entreprise qui possède un tiers de la compagnie pétrolière [[Galp Energia]] via la ''Esperanza Holding''<ref>{{Lien web|titre=Sindika Dokolo|url=http://www.jeuneafrique.com/206452/archives-thematique/sindika-dokolo/|date=4 novembre 2008|site=Jeune Afrique|consulté le=7 avril 2016}}.</ref>. |
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== Controverses == |
== Controverses == |
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⚫ | En 2007, à l'occasion de la présentation d’œuvres africaines contemporaines de la collection de Sindika Dokolo à la 52ème biennale de Venise, le magazine artistique ''Artnet'' fait état du malaise suscité par l'exposition<ref>http://www.artnet.com/magazineus/news/artnetnews/artnetnews2-23-07.asp</ref>, qui pousse notamment l'artiste camerounais [[Barthelemy Toguo]] à s'en retirer, car il ne désire pas que son nom soit associé à celui de Dokolo<ref>http://www.artnet.com/magazineus/news/artnetnews/artnetnews5-18-07.asp</ref>. ''Artnet'' attribue ce malaise à l'origine de la fortune de Sindika Dokolo. D'autre part, Sindika Dokolo est marié à [[Isabel dos Santos]], la femme la plus riche d'Afrique<ref>http://www.forbes.com/sites/kerryadolan/2013/08/14/how-isabel-dos-santos-took-the-short-route-to-become-africas-richest-woman/</ref>{{,}}<ref>http://www.theguardian.com/world/2013/jan/25/isobel-dos-santos-africas-first-female-billionaire</ref>{{,}}<ref>http://www.courrierinternational.com/article/2012/07/05/au-royaume-de-la-princesse-isabel</ref>, et par ailleurs fille aînée du président angolais [[José Eduardo dos Santos]]. Depuis qu'il est entré dans la famille de José Eduardo dos Santos, Sindika Dokolo a été accusé de bénéficier de népotisme en se faisant nommer à la tête<ref>https://www.globalwitness.org/fr/archive/link-between-angolan-presidents-son-law-and-state-oil-company-raises-questions-about/</ref> de la compagnie pétrolière nationale, dont une enquête du [[Fonds monétaire international]] a montré qu'une partie notable des profits disparaissait<ref>http://www.dailyfinance.com/2013/08/16/african-princess-isabel-dos-santos-billionaire-kleptocrat-angola/</ref>. Sindika Dokolo est également accusé de mettre à profit ses relations avec l'État angolais afin de récupérer abusivement les biens cédés par son père à l’État congolais en remboursement des dettes de la Banque de Kinshasa<ref>http://www.lesoftonline.net/articles/la-succession-dokolo-court-derri%C3%A8re-le-vent</ref>. |
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=== Origine de la fortune === |
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⚫ | Le 3 février 2016, le journaliste angolais Rafael Marques de Morais a introduit une action en justice portant sur l'acquisition par Sindika Dokolo de 7 632 hectares constructibles en Angola pour 10 000 dollars. Il semblerait que le gouverneur de la province de Cuanza Sul ait outrepassé ses droits en effectuant cette transaction, par ailleurs à un prix largement inférieur à celui du marché<ref>http://makaangola.org/index.php?option=com_content&view=article&id=11848:sindika-dokolo-chronicle-of-a-crime-foretold&catid=26&Itemid=230&lang=en</ref>. Sindika Dokolo a nié « formellement » ces allégations, ajoutant que le terrain dont il est question n'existe même pas<ref>{{Lien web|langue=pt|titre=Sindika Dokolo nie le contenu de la plainte de Rafael Marques|url=http://www.rtp.pt/noticias/mundo/sindika-dokolo-nega-conteudo-da-queixa-apresentada-por-rafael-marques_n893407|auteur1=Agência Lusa|date=4 février 2016|site=RTP|consulté le=8 avril 2016}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=pt|titre=Sindika Dokolo nie le contenu de la plainte de Rafael Marques|url=http://noticias.sapo.ao/info/artigo/1465372.html|auteur1=Agência Lusa|date=3 février 2016|site=Sapo Angola|consulté le=8 avril 2016}}.</ref>. Il a également expliqué que la plainte est diffamatoire car elle n'a aucune base<ref>{{Lien web|langue=pt|titre=Sindika Dokolo dément Lusa nouvelles|url=http://www.cmjornal.xl.pt/mundo/detalhe/genro_do_presidente_angolano_desmente_noticia_da_lusa.html|date=3 février 2016|site=Correio da Manhã|consulté le=8 avril 2016}}.</ref>. |
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⚫ | En 2007, à l'occasion de la présentation d’œuvres africaines contemporaines de la collection de Sindika Dokolo à la 52ème biennale de Venise, le magazine artistique ''Artnet'' fait état du malaise suscité par l'exposition<ref>http://www.artnet.com/magazineus/news/artnetnews/artnetnews2-23-07.asp</ref>, qui pousse notamment l'artiste camerounais [[Barthelemy Toguo]] à s'en retirer, car il ne désire pas que son nom soit associé à celui de Dokolo<ref>http://www.artnet.com/magazineus/news/artnetnews/artnetnews5-18-07.asp</ref>. ''Artnet'' attribue ce malaise à l'origine de la fortune de Sindika Dokolo. D'une part, le père de Sindika, Sanu Dokolo, a créé la [[Banque de Kinshasa]] avec l'appui de [[Mobutu Sese Seko]] et a détourné 80 millions de dollars sur les dépôts des épargnants, qu'il a placés au nom de son fils. La banque fit faillite en 1986, poussant l'État congolais à racheter ses dettes afin de protéger le capital des épargnants. D'autre part, Sindika Dokolo est marié à [[Isabel dos Santos]], la femme la plus riche d'Afrique<ref>http://www.forbes.com/sites/kerryadolan/2013/08/14/how-isabel-dos-santos-took-the-short-route-to-become-africas-richest-woman/</ref>{{,}}<ref>http://www.theguardian.com/world/2013/jan/25/isobel-dos-santos-africas-first-female-billionaire</ref>{{,}}<ref>http://www.courrierinternational.com/article/2012/07/05/au-royaume-de-la-princesse-isabel</ref>, et par ailleurs fille aînée du président angolais [[José Eduardo dos Santos]], dont le régime figure parmi les plus corrompus au monde (163<sup>ème</sup> sur 167 d'après le classement 2015 de Transparency International<ref>http://www.transparency.org/cpi2015#results-table</ref>). Depuis qu'il est entré dans la famille de José Eduardo dos Santos, Sindika Dokolo a été accusé de bénéficier de népotisme en se faisant nommer à la tête<ref>https://www.globalwitness.org/fr/archive/link-between-angolan-presidents-son-law-and-state-oil-company-raises-questions-about/</ref> de la compagnie pétrolière nationale, dont une enquête du [[Fonds monétaire international]] a montré qu'une partie notable des profits disparaissait<ref>http://www.dailyfinance.com/2013/08/16/african-princess-isabel-dos-santos-billionaire-kleptocrat-angola/</ref>. Sindika Dokolo est également accusé de mettre à profit ses relations avec l'État angolais afin de récupérer abusivement les biens cédés par son père à l’État congolais en remboursement des dettes de la Banque de Kinshasa<ref>http://www.lesoftonline.net/articles/la-succession-dokolo-court-derri%C3%A8re-le-vent</ref>. |
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⚫ | Le 3 février 2016, le journaliste angolais {{lien|Rafael Marques de Morais|trad=Rafael Marques (journalist)}} a introduit une action en justice portant sur l'acquisition par Sindika Dokolo de 7 632 hectares constructibles en Angola pour 10 000 dollars. Il semblerait que le gouverneur de la province de {{lien|Kwanza Sul|trad=Cuanza Sul Province}} ait outrepassé ses droits en effectuant cette transaction, par ailleurs à un prix largement inférieur à celui du marché<ref>http://makaangola.org/index.php?option=com_content&view=article&id=11848:sindika-dokolo-chronicle-of-a-crime-foretold&catid=26&Itemid=230&lang=en</ref>. Sindika Dokolo a nié « formellement » ces allégations, ajoutant que le terrain dont il est question n'existe même pas<ref>{{Lien web|langue=pt|titre=Sindika Dokolo nie le contenu de la plainte de Rafael Marques|url=http://www.rtp.pt/noticias/mundo/sindika-dokolo-nega-conteudo-da-queixa-apresentada-por-rafael-marques_n893407|auteur1=Agência Lusa|date=4 février 2016|site=RTP|consulté le=8 avril 2016}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=pt|titre=Sindika Dokolo nie le contenu de la plainte de Rafael Marques|url=http://noticias.sapo.ao/info/artigo/1465372.html|auteur1=Agência Lusa|date=3 février 2016|site=Sapo Angola|consulté le=8 avril 2016}}.</ref>. Il a également expliqué que la plainte est diffamatoire car elle n'a aucune base<ref>{{Lien web|langue=pt|titre=Sindika Dokolo dément Lusa nouvelles|url=http://www.cmjornal.xl.pt/mundo/detalhe/genro_do_presidente_angolano_desmente_noticia_da_lusa.html|date=3 février 2016|site=Correio da Manhã|consulté le=8 avril 2016}}.</ref>. |
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=== Constitution de la collection === |
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Les pièces maîtresses de la collection d'art africain contemporain de Sindika Dokolo ne sont pas le fruit de recherches personnelles mais ont été achetées en bloc à Hans Bogatzke, un homme d'affaires allemand qui avait passé près de quinze ans à rassembler ces 500 oeuvres<ref>http://www.ken-art.com/blog/post/12/five-of-the-most-famous-african-art-collectors</ref>. Par ailleurs, l'artiste béninois [[Romuald Hazoumè]] reproche à Sindika Dokolo un manque d'éthique dans son rapport à l'art, l'accusant de chercher à imposer ses propres prix aux artistes, de vouloir contrôler le marché de l'art africain contemporain, de servir son orgueil plutôt que de promouvoir l'éducation à l'art, et de nier la contribution des Occidentaux à la préservation et la mise en valeur de l'art africain, qu'il soit traditionnel ou contemporain<ref>http://www.boully.org/article.php?art=8453</ref>. |
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== Liens externes == |
== Liens externes == |
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* [http://www.fondation-sindikadokolo.com/fr/ Fondation Sindika Dokolo] |
* [http://www.fondation-sindikadokolo.com/fr/ Fondation Sindika Dokolo] |
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* [http://www.dokolo.com/Sa%20famille.html La Famille Dokolo] |
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== Références == |
== Références == |
Version du 15 avril 2016 à 08:14
Naissance |
Kinshasa, Zaïre |
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Nationalité | Congolais |
Pays de résidence | Angola |
Diplôme |
Économie, commerce et langues étrangères |
Activité principale |
Collectionneur d'art, Homme d'affaires |
Formation | |
Conjoint |
Sindika Dokolo, né le [1] à Kinshasa au Zaïre (actuelle République démocratique du Congo), est un collectionneur d'art et un homme d'affaires controversé.
Famille et éducation
Sindika Dokolo a grandi en suivant ses parents en Belgique et en France. Son père, Augustin Dokolo, fut le propriétaire de la défunte Banque de Kinshasa et un passionné d'art africain[réf. nécessaire]. Sa mère, Hanne Kruse, était d'origine danoise. Il a fréquenté le Lycée Saint-Louis-de-Gonzague à Paris où il a obtenu son bac. Il a ensuite étudié l'économie, le commerce et les langues étrangères à l'université Pierre-et-Marie-Curie[2].[réf. nécessaire]
En 2002, il s'est marié avec Isabel dos Santos, la fille aînée du président angolais, José Eduardo dos Santos[3].
Collectionneur d'art
Sindika Dokolo a lancé la Fondation Sindika Dokolo[1] dans le but de promouvoir de nombreux festivals artistiques et culturels. Sa mission est de bâtir un centre d'art contemporain à Luanda qui ne servirait pas seulement à l'exposition d’œuvres, mais également à l'incubation d'artistes locaux et internationaux. Sa collection réunit 3 000 œuvres d'art[4].
Afin d'exposer au public africain la production artistique contemporaine, Sindika Dokolo a conduit sa collection à Luanda, à des événements réguliers[réf. nécessaire], en particulier avec la Triennale de Luanda en 2006. La Fondation Sindika Dokolo est responsable pour la participation de l'Angola à la Biennale de Venise en 2007[5]. La fondation prête des œuvres de la collection à un musée international depuis ce musée présente la même exposition dans un pays africain.
En décembre 2013, Dokolo assisté à l'ouverture de la VII Biennale de Sao Tomé-et-Principe, exposition internationale d'art dans ce pays, où sont exposées les œuvres d'art de la Fondation Sindika Dokolo[6]. En 2014, Sindika Dokolo a participé en le plus grand salon d'art africain du monde, 1:54, organisée à Londres entre le 16 et le 19 octobre[7].
En mars 2015, la mairie de Porto a décerné à Sindika Dokolo la médaille du Mérite à l’occasion de l’exposition d’art contemporain You Love Me, You Love Me Not[8],[9]. Cet hommage témoigne de la reconnaissance de la ville vis-à-vis de Sindika Dokolo pour sa contribution, qui a permis à la ville de Porto de mener à bien l’un des plus importants projets de l’actualité dans le domaine de l’art contemporain, et ce en aidant à construire un pont original entre la ville et le reste du monde[10].
Sindika Dokolo s'est donné pour mission de restituer des œuvres d'art africain volées à leur musée d'origine[11]. « Le moment est venu pour toutes les œuvres perdues de rentrer à la maison, où elles pourront jouer pleinement leur rôle, un rôle qui aidera à renforcer notre culture et notre savoir, qui permettra de compléter notre patrimoine », soutient Dokolo[12].
Homme d'affaires
Installé à Luanda depuis 1999, il rejoint les fonctions d’homme d'affaires, d’opérateur culturel[réf. nécessaire] et de président de la Fondation Sindika Dokolo[1].
Sindika Dokolo possède plusieurs entreprises en Angola. Il siège au conseil d'administration de l'entreprise de ciment Nova Cimangola; il est un membre du conseil d'administration d'Amorim Energia, entreprise qui possède un tiers de la compagnie pétrolière Galp Energia via la Esperanza Holding[13].
Controverses
Origine de la fortune
En 2007, à l'occasion de la présentation d’œuvres africaines contemporaines de la collection de Sindika Dokolo à la 52ème biennale de Venise, le magazine artistique Artnet fait état du malaise suscité par l'exposition[14], qui pousse notamment l'artiste camerounais Barthelemy Toguo à s'en retirer, car il ne désire pas que son nom soit associé à celui de Dokolo[15]. Artnet attribue ce malaise à l'origine de la fortune de Sindika Dokolo. D'une part, le père de Sindika, Sanu Dokolo, a créé la Banque de Kinshasa avec l'appui de Mobutu Sese Seko et a détourné 80 millions de dollars sur les dépôts des épargnants, qu'il a placés au nom de son fils. La banque fit faillite en 1986, poussant l'État congolais à racheter ses dettes afin de protéger le capital des épargnants. D'autre part, Sindika Dokolo est marié à Isabel dos Santos, la femme la plus riche d'Afrique[16],[17],[18], et par ailleurs fille aînée du président angolais José Eduardo dos Santos, dont le régime figure parmi les plus corrompus au monde (163ème sur 167 d'après le classement 2015 de Transparency International[19]). Depuis qu'il est entré dans la famille de José Eduardo dos Santos, Sindika Dokolo a été accusé de bénéficier de népotisme en se faisant nommer à la tête[20] de la compagnie pétrolière nationale, dont une enquête du Fonds monétaire international a montré qu'une partie notable des profits disparaissait[21]. Sindika Dokolo est également accusé de mettre à profit ses relations avec l'État angolais afin de récupérer abusivement les biens cédés par son père à l’État congolais en remboursement des dettes de la Banque de Kinshasa[22].
Le 3 février 2016, le journaliste angolais Rafael Marques de Morais (en) a introduit une action en justice portant sur l'acquisition par Sindika Dokolo de 7 632 hectares constructibles en Angola pour 10 000 dollars. Il semblerait que le gouverneur de la province de Kwanza Sul (en) ait outrepassé ses droits en effectuant cette transaction, par ailleurs à un prix largement inférieur à celui du marché[23]. Sindika Dokolo a nié « formellement » ces allégations, ajoutant que le terrain dont il est question n'existe même pas[24],[25]. Il a également expliqué que la plainte est diffamatoire car elle n'a aucune base[26].
Constitution de la collection
Les pièces maîtresses de la collection d'art africain contemporain de Sindika Dokolo ne sont pas le fruit de recherches personnelles mais ont été achetées en bloc à Hans Bogatzke, un homme d'affaires allemand qui avait passé près de quinze ans à rassembler ces 500 oeuvres[27]. Par ailleurs, l'artiste béninois Romuald Hazoumè reproche à Sindika Dokolo un manque d'éthique dans son rapport à l'art, l'accusant de chercher à imposer ses propres prix aux artistes, de vouloir contrôler le marché de l'art africain contemporain, de servir son orgueil plutôt que de promouvoir l'éducation à l'art, et de nier la contribution des Occidentaux à la préservation et la mise en valeur de l'art africain, qu'il soit traditionnel ou contemporain[28].
Liens externes
Références
- « Sindika Dokolo », sur Fondation Sindika Dokolo (consulté le ).
- « Sa Famille - Sindika Dokolo », sur La Famille Dokolo (consulté le ).
- Roger ADZAFO, « Isabel dos Santos: l’Africaine la plus influente de l’année? », sur Africa Top Success, (consulté le ).
- Nicolas Michel, « Collectionneurs – Sindika Dokolo : l’art comme une arme », sur Jeune Afrique, (consulté le ).
- Olivia Marsaud, « Sindika Dokolo : « Nous, Africains, allons intégrer le monde de l’art sans baisser notre pantalon » », sur Le Monde Afrique, (consulté le ).
- (pt) « VII Biennale Internationale d'Art et de la Culture de Sao Tomé-et-Principe ouverts au public », sur Panapress, (consulté le ).
- Nicolas Michel, « Art contemporain : 1:54, la petite foire qui monte, qui monte… », sur Jeune Afrique, (consulté le ).
- Nicolas Michel, « La fondation Sindika Dokolo s’expose à Porto », sur Jeune Afrique, (consulté le ).
- (pt) Jomo Fortunato, « Médaille du Mérite distingué collectionneur d'art », sur Jornal de Angola, (consulté le ).
- (pt) « Sindika Dokolo reçoit la Médaille du Mérite de Porto », sur Briefing Angola, (consulté le ).
- « Le Robin des Bois de l'art africain », sur L'Echo, (consulté le ).
- Nicolas Michel, « Angola : Sindika Dokolo à la poursuite des œuvres volées », sur Jeune Afrique, (consulté le ).
- « Sindika Dokolo », sur Jeune Afrique, (consulté le ).
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- http://www.artnet.com/magazineus/news/artnetnews/artnetnews5-18-07.asp
- http://www.forbes.com/sites/kerryadolan/2013/08/14/how-isabel-dos-santos-took-the-short-route-to-become-africas-richest-woman/
- http://www.theguardian.com/world/2013/jan/25/isobel-dos-santos-africas-first-female-billionaire
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- http://www.lesoftonline.net/articles/la-succession-dokolo-court-derri%C3%A8re-le-vent
- http://makaangola.org/index.php?option=com_content&view=article&id=11848:sindika-dokolo-chronicle-of-a-crime-foretold&catid=26&Itemid=230&lang=en
- (pt) Agência Lusa, « Sindika Dokolo nie le contenu de la plainte de Rafael Marques », sur RTP, (consulté le ).
- (pt) Agência Lusa, « Sindika Dokolo nie le contenu de la plainte de Rafael Marques », sur Sapo Angola, (consulté le ).
- (pt) « Sindika Dokolo dément Lusa nouvelles », sur Correio da Manhã, (consulté le ).
- http://www.ken-art.com/blog/post/12/five-of-the-most-famous-african-art-collectors
- http://www.boully.org/article.php?art=8453