« Triguères » : différence entre les versions
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De trois, le nombre de cloches est passé à une, le bourdon. Dans leur enthousiasme de célébrer l'armistice de 1945, les habitants la brisèrent et durent la faire refondre en 1946. Mais lors de la remise en place de la nouvelle cloche, fut découverte la statue d'une Vierge royale en bois du XVe siècle cachée dans le mur (probablement à la Révolution)<ref name="violas"/>. |
De trois, le nombre de cloches est passé à une, le bourdon. Dans leur enthousiasme de célébrer l'armistice de 1945, les habitants la brisèrent et durent la faire refondre en 1946. Mais lors de la remise en place de la nouvelle cloche, fut découverte la statue d'une Vierge royale en bois du XVe siècle cachée dans le mur (probablement à la Révolution)<ref name="violas"/>. |
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Le premier document historique connu la concernant est une charte d'octobre 1258, qui utilise la forme latine du nom de Triguères : Trigorria<ref name="violas"/>. |
Le premier document historique connu la concernant est une charte d'octobre 1258, qui utilise la forme latine du nom de Triguères : Trigorria. Les patrons de l'église sont Saint Louis et Saint Martin. Elle possède des reliques de sainte Alpais, célébrée le premier dimanche de juillet<ref name="violas"/>. |
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La construction appelée "le château", au long de la route menant à Courtenay, est une maison de belle apparence qui fut construite aux alentours de 1750 comme maison de retraite (religieuse) pour les Bénédictines de Montargis, qui possédaient alors pratiquement tout le pays de Triguères<ref name="socagri147"/>. |
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Les patrons de l'église sont Saint Louis et Saint Martin. Elle possède des reliques de sainte Alpais, célébrée le premier dimanche de juillet<ref name="violas"/>. |
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La paroisse de Villargis est réunie à celle de Triguères à la fin [[XIVe]] ou début {{s-|XV|e}}. |
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=== Héraldique === |
=== Héraldique === |
Version du 7 février 2013 à 08:24
Triguères | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Centre-Val de Loire |
Département | Loiret |
Arrondissement | Montargis |
Intercommunalité | Communauté de communes de Château-Renard |
Maire Mandat |
Michel Raigneau 2001-présent |
Code postal | 45220 |
Code commune | 45329 |
Démographie | |
Gentilé | Triguerois[1] |
Population municipale |
1 338 hab. (2014) |
Densité | 37 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 47° 56′ 21″ nord, 2° 58′ 54″ est |
Altitude | Min. 112 m Max. 192 m |
Superficie | 35,78 km2 |
Élections | |
Départementales | Château-Renard |
Localisation | |
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Triguères est une commune française située dans le département du Loiret et la région Centre.
Géographie
Triguères se situe dans la région naturelle du Gâtinais, à l'est du Loiret et est limitrophe du département de l'Yonne.
La rivière Ouanne, les routes départementales 35, 162 et 943 traversent le territoire de la commune.
Lieux-dits et écarts
Les Raignaults ; Les Grands Moreaux ; Les Grands Salmons.
Communes limitrophes
Château-Renard, Chuelles | Chuelles, Courtenay | Montcorbon | ||
Château-Renard | N | Douchy | ||
O TRIGUÈRES E | ||||
S | ||||
Château-Renard, Melleroy | Fontenouilles, Melleroy | Douchy, Chêne-Arnoult |
Toponymie
Trig, racine inconnue, et uère, gaulois o-durum = porte, avec disparition de la consonne sonore intervocalique d.
Trigorre, 1218 (forme française dans l’acte latin) ;
In parrochia de Trigorria, 1258 ;
Triguères, mai 1318 (Archives Nationles-JJ 58, fol. 105, no 233) ;
Trigorre en Gastinoys, septembre 1391[2] ;
Triguères, novembre 1409[3] ;
Triguerre, 1692[4] ; Triguères, 1740[5] ;
Triguerres, XVIIIe siècle[6].
Histoire
Depuis les temps pré-romains et jusqu'en 1825, Triguères a été un point essentiel de surveillance de la route allant de Sens à Gien. Elle fut une ville celte avant de devenir gallo-romaine. Sur 9 hectares de la colline du Donjon (là où se trouve le lieu-dit le Chatelet sur la carte de Cassini), s'étendait un oppidum surveillant le "chemin Perré", empierré de silex selon la mode celte - et non pavé de type romain[7]. L'endroit est particulièrement adapté au contrôle des passages et autres activités : la colline du Donjon formant l'éperon de la Garenne, est limitée à l'ouest par la vallée du ru de la Dardenne, au sud par la vallée de l'Ouanne, et à l'est par une vallée sèche.
Gisement du Moustérien
Un riche gisement d'artéfacts datant du Moustérien a été découvert en 1922 au nord-est du lieudit la Garenne[Note 1], dans un terrain constitué d'une mince couche de terre arable recouvrant un sous-sol d'argile mêlé de silex. Les outils trouvés vont du moustérien de tradition acheuléenne (de 500 000 à 300 000 ans B.P. - couteaux quadrangulaires à dos naturel ou abattu, pointes triangulaires de type abri Audi) au moustérien final (pointes triangulaires avec retouches marginales alternées sur faces opposées, pointes à pédoncules et burins). Le tout est en silex blond et gris moucheté du pays, sauf une lame dont le silex semble provenir de l'Yonne, et un gros racloir en roche jaspée d'origine inconnue[8].
Trilithe du Vieux-Garçon
Dans le bois de la Garenne se trouvait un dolmen en grès, dit dolmen du Vieux-Garçon. Le plus proche gisement de grès est à 60 km de là, à Souppes. Au début du XXe siècle, l'agriculteur lassé des curieux creusa une fosse pour y enterrer le dolmen[7].
Epoque celte
En 1862 on a découvert un puits funéraire celte dans le bourg, lors du creusement d'une cave. De forme elliptique, le puis mesurait plus de 5 m de profondeur. Il contenait des cendres mêlées d'os, des mâchoires de porc, des cornes de bélier et un pot. Cependant le propriétaire fait immédiatement combler le puits pour construire sa cave par-dessus[7].
Une grande levée a été érigée de main d'homme au nord de la colline du donjon, fermant ainsi l'éperon de la Garenne. Elle n'a pu servir qu'à protéger ladite colline contre des assauts éventuels de ce côté - ce qui, tenant compte de l'escarpement des trois autres côtés, en faisait un lieu bien fortifié. Le mot donjon pourrait n'être qu'une forme francisée du mot dunum, attendu qu'il n'y a à Triguères aucune trace historique d'un quelconque château fortifié, fortification ou donjon[9].
Epoque romaine
Triguères est un candidat de choix pour être le Vellaunodunum mentionné par Jules César dans ses Commentaires[10],[11].
Découvert peu après 1850, un amphithéâtre se trouvait au lieudit de la Mardelle, derrière l'ancienne gare de trains[Note 2]. Il mesurait 71 m de longueur sur 56 m de profondeur, et pouvait accueillir environ 8000 personnes[7].
En 1857 le propriétaire du château du Donjon découvrit un cimetière gallo-romain dans son jardin (avec épées, ceinturons de bronze, bijoux, etc)[7].
En 1858 un sanctuaire de source fut mis à jour du côté du moulin du Chemin[Note 3],[7]. Suivant le plan classique des sanctuaires de source de cette époque, il s'agissait d'une grande enceinte rectangulaire à ciel ouvert enclose d'un péribole, donnant une cour entourée d'un portique à colonnade formant galerie. A l'intérieur, trois constructions furent trouvées ; elles contenaient une grande quantité de colonnes brisées, des chapiteaux corinthiens, de statues en morceaux[7].
Peu après, au lieudit Les Vallées[Note 4] une grande villa gallo-romaine fut découverte, mesurant 50 m de long sur 20 m de large. Une autre partie de la villa est enfouie sous la route menant de Triguères aux Vallées[7].
Suit la découverte de thermes au lieudit les Monts[Note 5], sur la commune de Château-Renard mais à seulement 1,5 km à vol d'oiseau des Vallées. Ces thermes des Monts étaient ceux d'une riche maison particulière, et seulement une partie en fut dégagée par les fouilles[7].
Ayant constaté la relative infertilité de la terre au pied du trilithe, des fouilles eurent lieu là aussi et l'on trouva un temple gallo-romain avec des statuettes consacrées, des médailles et des monnaies romaines[7].
Puis une conduite d'eau fut découverte en bas du Donjon, qui s'avéra être une canalisation rejoignant la fontaine Sainte-Anne de Douchy[Note 6], à six km de là et comblée depuis le début du XIXe siècle. L'aqueduc s'interrompait brusquement au pied du donjon. Subséquemment cherchant des thermes, les investigateurs trouvèrent de petites maisons gallo-romaines, ainsi que de nombreuses figurines et pièces de monnaie. Une voie romaine les traversait en direction du moulin du Chemin. Les thermes recherchés furent trouvés en suivant cette direction. D'une surface de 100 mètres de longueur sur 35 mètres de large, un bâtiment luxueux était donc fourni en eau par la fontaine Sainte-Anne de Douchy et offrait un système de chauffage de l'eau perfectionné, ainsi que des salles de massage et de repos[7].
La grande destruction
451 : c'est en toute vraisemblance l'année où la grande Triguères cessa d'exister. Attila ayant levé le siège d'Orléans est en route pour son échec aux champs Catalauniques près de Troyes, et très clairement il est passé par Triguères : fidèle à sa légende, la ville est littéralement massacrée sur le passage de ses 500 000 guerriers. On l'a vu aux amas de colonnes, de murs et de statues brisées dans le sanctuaire de source et partout ailleurs où il restait quelque chose à voir de cette époque gallo-romaine : ces ravages ne sont pas ceux du temps, mais d'un anéantissement sauvage et délibéré. Et rapide : le four à briques découvert à la ferme de la Mardelle était encore plein de briques crues, et le four prêt pour la cuisson. Les pièces de monnaie trouvées retracent une continuité d'occupation ininterrompue jusqu'à Arcadius (377-408 : de même que de nos jours, les monnaies continuent de circuler après que leur émetteur aie été succédé par un autre). Aucune médaille plus récente n'a été découverte. Il a fallu six siècles pour que Triguères renaisse, sans jamais retrouver le faste qu'elle avait connu[7].
Moyen-Âge
Au XIe siècle une église romane est construite sous l'égide de son prêtre Aymery[Note 7]. D'elle il ne reste que le porche et le clocher, le reste ayant été détruit sans que l'on sache exactement quand ni comment. Vers le milieu du XIIe siècle elle est reconstruite mais dans le style gothique, comme on peut le voir pour le choeur et la grande nef.
Les bas-côtés et la sacristie datent du XVIe siècle. L'autel Renaissance, avec son retable et tabernacle en bois et pâte dorés, vient du couvent des Bénédictines de Gy-les-Nonains.
De trois, le nombre de cloches est passé à une, le bourdon. Dans leur enthousiasme de célébrer l'armistice de 1945, les habitants la brisèrent et durent la faire refondre en 1946. Mais lors de la remise en place de la nouvelle cloche, fut découverte la statue d'une Vierge royale en bois du XVe siècle cachée dans le mur (probablement à la Révolution)[7].
Le premier document historique connu la concernant est une charte d'octobre 1258, qui utilise la forme latine du nom de Triguères : Trigorria. Les patrons de l'église sont Saint Louis et Saint Martin. Elle possède des reliques de sainte Alpais, célébrée le premier dimanche de juillet[7].
La construction appelée "le château", au long de la route menant à Courtenay, est une maison de belle apparence qui fut construite aux alentours de 1750 comme maison de retraite (religieuse) pour les Bénédictines de Montargis, qui possédaient alors pratiquement tout le pays de Triguères[9].
La paroisse de Villargis est réunie à celle de Triguères à la fin XIVe ou début XVe siècle.
Héraldique
Les armoiries de Triguères se blasonnent ainsi : D'azur à la divise ondée d'argent accompagnée, en chef à dextre, d'une croisette ancrée du même, à senestre, du buste de Sainte-Alpais diadémée portant une houlette contournée en barre, le tout d'or, et, en pointe, d'une roue de moulin de huit rayons aussi d'argent[12]. |
Administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[14],[Note 8].
En 2014, la commune comptait 1 338 habitants, en évolution de −1,91 % par rapport à 2009 (Loiret : +2,48 %, France hors Mayotte : +2,49 %).
Patrimoine
Le village compte deux monuments inscrits à l'inventaire des monuments historiques français :
L’église Saint-Martin des XIe, XIIe et XVIe siècles inscrite à l'inventaire des monuments historiques le [17]. L'église contient plusieurs objets classés Monuments historiques au titre d'objet : deux reliquaires du XIIIe siècle, l'un en argent et en cristal[18], l'autre en cuivre[19] ; un tableau de l'école flamande du XVIe siècle représentant le Christ de pitié[20] ; un autel daté de 1673 signé du sculpteur Vatimel[21] ; une statue du XVe siècle représentant la Vierge à l'Enfant[22] ; une cloche en bronze datée de 1692[23] ; une plaque en pierre du XIe siècle commémorant la construction de l'église[24].
Le manoir du Grand-Courtoiseau des XVIIe et XVIIIe siècles inscrit à l'inventaire des monuments historiques le [25]. Le manoir est situé à l'emplacement d'une ancienne forteresse qui avait été construite vers 1480. Parmi les hôtes célèbres du manoir, on note le miniaturiste Jean-Baptiste Augustin qui y vécut de 1819 jusqu'à 1832, année de sa mort ; le naturaliste Auguste-Henri Cornut de la Fontaine de Coincy (1837-1903) ; à partir de 1906, le journaliste et homme politique Alfred-Léon Gérault-Richard ; à partir de 1946, s'y sont succédé notamment l'écrivain Hervé Bazin qui y vécu en autarcie et y écrit ses dernières œuvres, et le chanteur compositeur Marcel Mouloudji. Depuis 1991 on puet visiter le jardin du Grand Courtoiseau, créé par Alain Richer[26].
Personnalités liée à la commune
- Alpais, née à Triguères en 1150 au hameau de la Mardelle[7], visionnaire lépreuse qui mourut à Cudot le et fut canonisée par le pape Pie IX en 1874. Elle est la patronne des astronautes.
Enseignement
Triguères est situé dans l'académie d'Orléans-Tours et dans la circonscription de Montargis-Est. La commune possède une école maternelle et une école primaire[27].
Notes et références
Notes
- Le gisement du Moustérien a été découvert par Mr Aurèle Chevillon en 1922 ; Mr. Chevillon l'a régulièrement exploré jusqu'en 1939. Il se trouve près du croisement des coordonnées 648 long. et 328 lat. sur la carte d'état-major. Ses limites sont : à l'Est-Nord-Est, le chemin Perré ; au Nord-Ouest, la route de Triguères à Chuelles ; au Sud-Sud-Ouest, le bois de la Garenne.
- Coordonnées de l'emplacement de l'amphithéâtre : 47° 56′ 29,45″ N, 2° 58′ 48,26″ E. Il est encore bien visible en vue aérienne sur un site de cartes comme google maps par exemple (même si une maison a été construite à l'emplacement de l'arène), et l'on voit bien le relief de son arc de cercle sur une carte d'état-major.
- Coordonnées du moulin du Chemin : 47° 56′ 18,88″ N, 2° 58′ 48,98″ E.
- Coordonnées du lieudit Les Vallées : 47° 55′ 55,73″ N, 2° 58′ 21,75″ E
- Coordonnées du lieudit Les Vallées : 47° 56′ 07,13″ N, 2° 57′ 02,28″ E
- Coordonnées de la fontaine Sainte-Anne à Douchy : 47° 56′ 43,62″ N, 3° 03′ 06,3″ E. Elle est encore indiquée sur la carte d'état-major de Géoportail.
- Une inscription gravée dans une pierre du porche indique : VIII IDUS IVNII OBIIT AIMERIDVS SACERDOS QVI FECIT ISTAM (Le 8 des ides de juin mourut Aimeridus prêtre qui fit celle-ci)
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
- « Gentilés des communes du Loiret », sur www.habitants.fr
- A.N.-JJ 141, no 124, fol. 69
- Archives Nationles-JJ 164, no 28, fol. 17
- E. Jarry, Notice archéologique sur l’église de Triguères, annales de la société historique et archéologique du Gâtinais, t. 24, 1906.
- bibliothèque municipale d’Orléans, manuscrit 995, fol. 251.
- carte de Cassini.
- Triguères. Liliane Violas.
- La station moustérienne de la Garenne, commune de Triguères (Loiret). Aurèle Chevillon. Bulletin de la Société préhistorique de France, 1950, Vol. 47, N° 6-8, pp. 372-375.
- Etude sur les expéditions de Jules César dans les Carnutes. De Monvel. Mémoire de la Société d'Agriculture, Sciences Belles-Lettres et Arts d'Orléans, tome 7, 1863. p. 147.
- M.A. Bréan, Itinéraire de l'expédition de César, 1865.
- Etude sur les expéditions de Jules César dans les Carnutes. De Monvel. Mémoire de la Société d'Agriculture, Sciences Belles-Lettres et Arts d'Orléans, tome 7, 1863.
- Le blason de la commune sur Gaso. Consultation : avril 2010.
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
- « L'église Saint-Martin », notice no PA00099035, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Reliquaire en argent », notice no PM45000859, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Reliquaire en cuivre », notice no PM45000858, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Tableau du Christ de pitié », notice no PM45000717, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Autel », notice no PM45000716, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Statue de la Vierge à l'Enfant », notice no PM45000715, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Cloche », notice no PM45000714, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Plaque commémorative », notice no PM45000713, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Le manoir du Grand-Courtoiseau », notice no PA45000019, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Les jardins du Grand Courtoiseau », sur www.grand-courtoiseau.fr (consulté le )
- « liste des écoles de la circonscription de Montargis-Est », sur www.ac-orleans-tours.fr (consulté le )