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'''Louis-Philibert Brun d'Aubignosc''', (1774–1847) est un officier de cavalerie passé dans l'artillerie de marine, qui par décret du 29 janvier 1811, il est nommé directeur général de la police à [[Hambourg]], chargé de lutter contre la contre-Bande<ref>{{Ouvrage |auteur= Eugéne Plantet|titre=Correspondance des beys de Tunis et des consuls de France avec la cour, 1577-1830: 1770-1830|éditeur=F. Alcan, |lieu=Paris |année=1899|isbn= |issn=|lire en ligne=|numéro=|passage=689}}</ref>.
'''Louis-Philibert Brun d'Aubignosc''', (1774–1847) est un officier de cavalerie passé dans l'artillerie de marine, qui par décret du 29 janvier 1811, il est nommé directeur général de la police à [[Hambourg]], chargé de lutter contre la contre-Bande<ref>{{Ouvrage |auteur= Eugéne Plantet|titre=Correspondance des beys de Tunis et des consuls de France avec la cour, 1577-1830: 1770-1830|éditeur=F. Alcan, |lieu=Paris |année=1899|isbn= |issn=|lire en ligne=|numéro=|passage=689}}</ref>.

Version du 19 mars 2013 à 17:49

Louis-Philibert Brun d'Aubignosc, (1774–1847) est un officier de cavalerie passé dans l'artillerie de marine, qui par décret du 29 janvier 1811, il est nommé directeur général de la police à Hambourg, chargé de lutter contre la contre-Bande[1].

Biographie

Fils de Laurent-Jacques Brun seigneur d'Aubignosc 1746-1822 et d'Anne Benoîte Fério, Louis-Philibert s'engage comme officier de cavalerie, puis passe dans l'artillerie de marine. Nommé administrateur général de l'armée d'Italie, puis présent à la campagne d'Égypte, il sera prisonnier des Turcs. En 1808, il est nommé commissaire-administrateur des domaines, des forêts et de la contribution foncière en Russie. Vers la fin du 1er empire, il est nommé par décret du 29 janvier 1811, commissaire général de police, puis directeur général de la police à Hambourg, chargé de lutter contre la contre-bande[2].

Famille

Il épouse Joséphine Antoinette Victoire de Latour Varan, demoiselle de Saint-Cyr. Il aura un enfant Alfred Frédéric Brun d'Aubignosc (1804-1858)

Décorations

Bibliographie

  • Louis-Philibert Brun d'Aubignosc, La Turquie nouvelle: jugée au point où l'ont amenée les réformes du sultan Mahmoud, Paris, La Librairie de Delloye, , chap. 2

Notes et références

  1. Eugéne Plantet, Correspondance des beys de Tunis et des consuls de France avec la cour, 1577-1830: 1770-1830, Paris, F. Alcan,, , p. 689
  2. Gabriel Monod, Charles Bémont, Sébastien Charléty, Pierre Renouvin, Revue historique, Paris, Librairie G. Baillère, , chap. 286, p. 84