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Aubière

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Aubière
Aubière
Campus universitaire des Cézeaux.
Blason de Aubière
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Clermont-Ferrand
Intercommunalité Clermont Auvergne Métropole
Maire
Mandat
Sylvain Casildas
2020-2026
Code postal 63170
Code commune 63014
Démographie
Gentilé Aubiérois
Population
municipale
10 211 hab. (2021 en évolution de +1,99 % par rapport à 2015)
Densité 1 335 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 45′ 06″ nord, 3° 06′ 42″ est
Altitude Min. 343 m
Max. 467 m
Superficie 7,65 km2
Élections
Départementales Canton d'Aubière
(bureau centralisateur)
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Aubière
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Aubière
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Aubière
Liens
Site web ville-aubiere.fr

Aubière (Aubèira en occitan) est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Intégrée dans l'aire urbaine de Clermont-Ferrand, la ville, peuplée de 10 211 habitants en 2021, abrite notamment le campus des Cézeaux, un grand nombre d'équipements sportifs ainsi qu'une vaste zone commerciale.

Géographie

Localisation

Aubière se situe dans l'agglomération sud de Clermont-Ferrand, au cœur du Puy-de-Dôme, à 3,7 km au sud-est du chef-lieu du département Clermont-Ferrand[1],[2].

Elle jouxte les communes de Clermont-Ferrand, de Beaumont, de Romagnat, de Pérignat-lès-Sarliève et de Cournon-d'Auvergne[3].

Géologie et relief

La commune s'étend sur 768 hectares ; son altitude varie entre 343 et 467 mètres[4]. Cette altitude maximale correspond au sommet du Puy, où le chemin des Gravins franchit le col du Puy, au sud de la commune[3].

Hydrographie

L'Artière à Aubière
L'Artière à 200 m de la place des Ramacles.

La commune est traversée par l'Artière, affluent de l'Allier, un cours d'eau l'irriguant d'est en ouest.

Néanmoins, cette rivière, qui coule en grande partie en souterrain, « partiellement canalisée[AUB 1] », peut entrer en crue à tout moment. La qualité de l'eau s'altère dès la confluence avec un de ses affluents, la Gazelle, provenant de Romagnat. Celle-ci est aussi due à l'urbanisation autour de la place des Ramacles et de la ZAC des Sauzes[AUB 1].

Climat

Relevés météorologiques de la station de Clermont-Ferrand (1981-2010, sauf ensoleillement 1991-2010)
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,1 0,3 2,7 4,7 8,7 11,9 14 13,7 10,6 7,9 3,3 0,8 6,6
Température maximale moyenne (°C) 7,6 9,2 13,1 15,7 19,9 23,4 26,5 26,1 22,3 17,6 11,3 8 16,8
Ensoleillement (h) 88,9 108,4 161,4 173,5 197,9 225,2 249,2 234,8 185,4 135,1 84 69,2 1 913
Précipitations (mm) 26,7 21,8 25,8 53,4 76,8 72,9 54,9 61,9 65,6 49 39,5 30,6 578,9
Source : Météo-France[5]


Voies de communication et transports

Réseau routier

La ville d'Aubière est desservie par l'autoroute A75 reliant Clermont-Ferrand à Béziers, qui traverse l'est de son territoire. Deux échangeurs la desservent :

  • l'échangeur no 1, débouchant sur la route métropolitaine 765 (M 765) desservant le parc technologique de la Pardieu et sa zone commerciale, ainsi que Cournon-d'Auvergne et Billom ;
  • l'échangeur no 2, desservant le sud de l'agglomération, débouche sur un grand giratoire où partent les routes métropolitaines 2009 (l'ancienne route nationale 9) par l'avenue du Roussillon, et 978 (desservant Pérignat-lès-Sarliève), ainsi que la route départementale 2089 (en direction de Bordeaux, La Bourboule, Mont-Dore, Romagnat et Beaumont).

La route métropolitaine (M) 2009, ancienne route nationale 9, traverse l'agglomération clermontoise du nord au sud. Elle passe sur le territoire de la commune comme un axe urbain à deux fois deux voies, nommée avenue du Roussillon, et desservant la zone commerciale Plein Sud. Après l'échangeur de Pérignat-lès-Sarliève, elle se raccorde à l'autoroute. À hauteur du Pont d'Aubière, la M 2099 se raccorde au centre de Clermont-Ferrand, en longeant la frontière communale[3] et croise la ligne de tramway à la station Margeride.

C'est dans cette commune que débute la M 212, desservant la zone commerciale et industrielle des Ribes, nommée avenue de Cournon (appelée localement « kilomètre lancé »[réf. souhaitée]). La M 765, ou avenue Ernest-Cristal, longe la frontière administrative avec Clermont-Ferrand en desservant le parc technologique de la Pardieu et d'autres zones commerciales.

Autour du centre-ville, la M 21 relie la zone commerciale Plein Sud à Romagnat. Le territoire communal est également desservi par les routes métropolitaines 69a (rue Pasteur), 777 (vers Beaumont), 779b et 805 (avenue Jean-Noëllet)[3].

La commune a instauré une zone de rencontre dans le centre historique en [6].

Néanmoins, les entrées d'agglomération sont saturées, car fréquentées par des usagers se rendant à leur travail ou dans une zone commerciale[AUB 1].

Aménagements cyclables

Les aménagements cyclables sont rares, comme sur l'avenue de la Margeride[AUB 1] (route métropolitaine 2099), ou autour du parc de l'Europe[AUB 1].

Transport ferroviaire

Les gares les plus proches sont situées sur la commune limitrophe de Clermont-Ferrand : la gare principale, desservie par des trains TER Auvergne-Rhône-Alpes et grandes lignes vers Paris, ainsi que la gare de Clermont-La Pardieu (pour la desserte régionale, essentiellement vers le sud de la région).

Transports en commun

Un tramway à la station Fontaine du Bac (commune limitrophe de Clermont-Ferrand)
La commune est desservie par le tramway (ici près de la station Fontaine du Bac, hors des limites communales d'Aubière), ainsi que des bus du réseau T2C.

Depuis le , la commune d'Aubière est desservie par trois arrêts du tramway (Cézeaux Pellez, Campus et Margeride), exploité par T2C, afin de desservir le campus des Cézeaux. En outre, elle est desservie par quatre lignes de bus.

La ligne 3 relie le nord de Clermont-Ferrand (stade Gabriel-Montpied ou quartier des Vignes) à la place des Ramacles et à Romagnat. Venant du centre-ville de Clermont-Ferrand, cette ligne plonge vers le sud après avoir traversé le quartier Saint-Jacques. Certaines courses sont prolongées à Romagnat. Cette ligne est la seule, avec le tramway, à circuler les dimanches et les jours fériés, les trois autres lignes suivantes ne circulant que du lundi au samedi.

La ligne 12 relie la place Delille (arrêt Delille Montlosier) au quartier Chambon. Cette ligne dessert aussi le centre-ville et se termine au droit de la zone commerciale Plein Sud.

La ligne 13, venant des hauts de Chamalières, dessert le quartier Chambon, terminus partiel (certains bus continuent, aux heures de pointe, jusqu'au terminus des Horts à Pérignat-lès-Sarliève).

La ligne 21, venant de Cébazat, se termine au quartier Chambon ; certaines courses sont prolongées jusqu'à la zone commerciale du kilomètre lancé et la zone industrielle des Ribes.

Urbanisme

Zonages d'études

Selon les zonages d'étude définis par l'Insee, Aubière fait partie de l'unité urbaine, de l'aire urbaine, du bassin de vie et de la zone d'emploi de Clermont-Ferrand[7].

Morphologie urbaine

Entrée sud d'Aubière
Entrée sud d'Aubière.

L'urbanisation est limitée au sud du centre-ville par le puy d'Aubière, espace naturel de 1,1 km2, et au nord par le plateau des Cézeaux[AUB 1].

Celle-ci est plus importante dans la zone commerciale bordant les routes départementales 2009 et 212.

Toutefois, les entrées de ville sont peu attrayantes, notamment l'entrée sud de l'agglomération par l'avenue du Roussillon[AUB 1].

Logement

L'offre en petits logements est très concentrée sur le secteur d'Aubière[8].

En 2013, la commune comptait 5 296 logements, contre 5 226 en 2008. Parmi ces logements, 90,2 % étaient des résidences principales, 1,8 % des résidences secondaires et 8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 53,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 45 % des appartements[INS 1].

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 51,4 %, soit autant qu'en 2008. La part de logements HLM loués vides était de 9,1 % (contre 6,8 %)[INS 2].

Planification de l'aménagement

Le plan local d'urbanisme (PLU) a été approuvé par délibération du conseil municipal du et révisé le [AUB 2].

Depuis le , Clermont Auvergne Métropole est compétente en matière d'élaboration des plans locaux d'urbanisme. Les PLU des communes de la métropole sont valables jusqu'à l'approbation d'un plan local d'urbanisme métropolitain (PLUM)[9].

Projets d'aménagement

Risques naturels et technologiques

Aubière est soumise aux risques naturels de feu de forêt, d'inondation, de mouvement de terrain, de phénomènes liés à l'atmosphère et météorologique, ainsi que de séisme, ainsi qu'aux risques technologiques de transport de matières dangereuses. Elle a élaboré un DICRIM[10].

Le risque d'inondation (et de crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau) concerne le bassin de la rivière Artière. Un plan de prévention des risques naturels (PPRn) inondation sur le bassin de l'Artière, concernant cinq communes, a été prescrit par un arrêté du 27 décembre 1999 et approuvé le 6 mars 2002[11],[12]. Un PPRNPi étendu à l'agglomération clermontoise a été prescrit le 24 juillet 2014[10].

La commune est également exposée au risque mouvement de terrain (par affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[11] ou par tassements différentiels[10]).

Treize arrêtés de catastrophe naturelle ont également été reconnus, depuis les tempêtes de 1982 jusqu'aux inondations et coulées de boue survenues en 2000[10],[13].

La commune est soumise au risque de transport de matières dangereuses, sur l'autoroute A75 et les axes structurants (avenue de Cournon, contournement sud, etc.)[13]. Il existe aussi des conduites de gaz naturel[11].

Toponymie

Les habitants de la commune sont appelés les Aubiérois et les Aubiéroises.

La commune s'appelait Aubieres sous l'an II. Le Bulletin des lois modifie son nom : Aubière et Pérignat, nom proche de la municipalité de 1793 (Aubieres et Perrignat). Elle retrouve sa dénomination actuelle après la scission de Pérignat-lès-Sarliève en 1873[14].

Histoire

Les premières traces de la commune remontent au XIIe siècle, où elle se développa dans l'enceinte du château[AUB 1]. Jusqu'à la fin du XIXe siècle, Aubière abritait une forte activité viticole qui a cessé à la suite de l'épidémie de phylloxéra. Témoins de cette activité, la plupart des maisons du bourg sont pourvues d'un cuvage, et de nombreuses caves construites sur les flancs nord et sud de la vallée de l'Artière qui traverse le bourg. Il ne reste aujourd'hui qu'un seul viticulteur installé sur la commune d'Aubière.

La particularité de ces caves est qu'elles sont construites en hauteur, en raison de la présence d'une nappe phréatique causant une trop forte humidité en sous-sol. Une légende urbaine veut donc, que l'on parle alors de « monter à la cave » plutôt que de « descendre à la cave ».

Le Musée de la vigne et du vin conserve les outils traditionnels utilisés pour la viticulture et des documents d'archives. La portée de ce musée ne se limite pas à la commune d'Aubière, mais s'étend aux vins d'Auvergne.

L'expansion urbaine se confirme dans les années 1960 ; dans les années 1970 sont construits les premiers bâtiments du campus des Cézeaux et les zones commerciales en bordure de la nationale 9[AUB 1].

Politique et administration

Découpage territorial

Aubière faisait partie du district de Clermont-Ferrand en 1793, lequel deviendra l'arrondissement de Clermont-Ferrand en 1801. Depuis l'an II, elle est membre du canton d'Aubieres, puis en 1801 du canton de Clermont-Ferrand-Sud ; elle redevient chef-lieu de canton[14] par un décret de 1982. Ce canton n'est pas modifié en 2015.

Tendances politiques et résultats

Élections nationales

Aux élections élections présidentielles de 2002, le président sortant Jacques Chirac (UMP) a recueilli 88,95 % des suffrages exprimés, contre 11,05 % pour Jean-Marie Le Pen (FN) ; au premier tour, Lionel Jospin (PS) arrivait en deuxième position avec 18,77 % des voix (Chirac atteignait alors 20,23 %)[MIN 1]. En 2007, c'est Ségolène Royal (PS) qui obtient le plus de voix dans la commune (53,03 %) alors que Nicolas Sarkozy remportait l'élection au niveau national (au premier tour, François Bayrou recueillait même 23,97 % des suffrages)[MIN 2]. En 2012, François Hollande recueille 59,86 % des suffrages[MIN 3]. Le taux de participation dépasse 80 % pour ces trois élections au second tour (respectivement 80,77 %[MIN 1], 84,75 %[MIN 2] et 80,91 %[MIN 3]).

Aux élections législatives de 2002, dans la 2e circonscription du Puy-de-Dôme, le député Alain Néri a recueilli 52,67 % des suffrages exprimés[MIN 4] — celui-ci est élu dans la circonscription[MIN 5] — ; Paul Suss est battu avec 47,33 % des voix. En 2007, Alain Néri est réélu avec 57,42 % des voix[MIN 6], y compris dans la circonscription[MIN 7]. Le redécoupage des circonscriptions législatives de 2010 affecte la commune qui se retrouve dans la 4e circonscription : Jean-Paul Bacquet recueille 42,69 % des suffrages exprimés[MIN 8] et est élu au premier tour en 2012[MIN 9]. Les taux de participation sont globalement moyens (respectivement 61,85 %[MIN 4], 60,36 %[MIN 6] et 56,57 %[MIN 8]).

Aux élections européennes de 2004, Catherine Guy-Quint recueillait 35,97 % des voix et Brice Hortefeux 21,38 %[MIN 10]. En 2009, Jean-Pierre Audy obtient 26,80 % et Henri Weber 20,33 %[MIN 11]. En 2014, la liste UMP menée par Brice Hortefeux a recueilli 22,54 % des voix, suivie par la liste UG avec 16,24 %, puis la liste FN avec 14,49 %[MIN 12]. Le taux de participation est inférieur à 50 % pour les 3 élections (47,75 % en 2004[MIN 10], 42,23 % en 2009[MIN 11] et 45,95 % en 2014[MIN 12]).

Élections locales

Aux élections régionales de 2004, Pierre-Joël Bonté a recueilli 54,25 % des suffrages exprimés tandis que le président sortant Valéry Giscard d'Estaing n'obtient que 45,75 % des voix ; le premier est élu ; le taux de participation s'élevait à 68,94 %[MIN 13]. En 2010, René Souchon obtient 63,12 % des voix (il est élu dans la région), mais seulement 52,15 % des électeurs ont voté[MIN 14]. En décembre 2015, les listes de Laurent Wauquiez et de Jean-Jack Queyranne sont arrivées à égalité avec 43,91 % des suffrages exprimés chacune ; 61,85 % des électeurs ont voté[MIN 15].

Aux élections cantonales de 2008 : Laurence Mioche obtient 52,20 % des voix[MIN 16] — elle est élue dans le canton[MIN 17] — et Hubert Tarrérias 47,80 % ; 66,15 % des électeurs ont voté[MIN 16]. Ces élections deviennent départementales où en 2015, le binôme Pierre Riol - Éléonore Szczepaniak a recueilli 51,20 % des voix[MIN 18], élu dans le canton[MIN 19]. 51,28 % des électeurs ont voté[MIN 18], taux légèrement supérieur à la moyenne du canton[MIN 19].

Aux élections municipales de 2008, Christian Sinsard, de la liste « La gauche unie »[MIN 20],[Note 1], sort vainqueur d'une triangulaire avec 49,22 % des suffrages exprimés et 22 sièges gagnés au conseil municipal[MIN 21]. Pierre-Jean Bargnoux (« Pour Aubière aujourd'hui »[MIN 20]) et Jérôme Girard-Liovingut (liste « Un seul parti pris Aubier »[MIN 20]) sont battus avec respectivement 6 et 1 sièges[MIN 21]. 63,80 % des électeurs ont voté[MIN 21]. En 2014, Christian Sinsard (liste « Aubière, un bilan, un projet, une équipe »[MIN 22]) est réélu au second tour avec 43,42 % des voix et 21 sièges[MIN 23] ; Sylvan Casildas (UMP, « Ensemble pour l'avenir d'Aubière »[MIN 22]) et Nicole Lozano (DVG, « Nouvelle donne pour Aubière »[MIN 22]) sont battus (respectivement 6 et 2 sièges[MIN 23]). 64,43 % des électeurs ont voté[MIN 23]. Un nouveau maire est élu en 2020.

Administration municipale

Le conseil municipal, réuni le pour élire le nouveau maire, Sylvain Casildas, a désigné sept adjoints[15].

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1800 1812 Guillaume Girard - Notaire
1812 1827 Louis Voiret - Médecin
1827 1848 Jean Foulhouze - Notaire
1848 1854 Michel Noëllet dit Lacourtière - Agriculteur
1854 1855 François Casière - Agriculteur
1855 1867 Pierre Henri Daumas-Foulhouze - Notaire
1867 1870 Martin Gioux-Chatagnier - Agriculteur
1870 1874 Michel Roche-Chaduc - Agriculteur
1874 1876 François Cassière-Noëllet - Agriculteur
1876 1896 Michel Roche-Chaduc - Agriculteur
1896 1900 Michel Bourcheix - Agriculteur
1900 1912 Francisque Noellet-Roche - Agriculteur
1912 1929 Jean Noellet-Degironde - -
1929 1935 Jean Carsac - -
1935   Eugène Martin - -
1947 1965 Ernest Cristal - -
Georges Digue PS puis DVG Médecin
Jean Drouin   Imprimeur
Hubert Tarrérias UDF puis UMP Pharmacien
Christian Sinsard[16] PCF puis DVG puis DVD Cadre de la Sécurité sociale
En cours
(au )
Sylvain Casildas[15] LR/LREM[réf. nécessaire] 14e vice-président de Clermont Auvergne Métropole chargé des zones d'activités économiques (depuis 2020)[17]

Finances locales

Jumelages

Au 21 juillet 2015, selon le site France-Diplomatie du ministère des Affaires étrangères, il existe trois projets de coopération décentralisée avec Aubière[18].

Elle est jumelée avec Grevenmacher (Luxembourg), depuis 1981, et Sperlonga (Italie) depuis 1987, dans la thématique de la culture, du tourisme et du patrimoine.

Par ailleurs, elle mène des actions de coopération décentralisée dans le domaine de l'éducation, de l'enseignement et de la formation avec Rollo (Burkina Faso) depuis 2009.

Équipements et services publics

Eau et déchets

La gestion des déchets est assurée par la métropole. La déchèterie la plus proche est à Romagnat[AUB 3].

Espaces publics

Parc Franck Bayle
Parc Franck-Bayle.

Depuis 2009, la commune d'Aubière a amélioré les pratiques d'entretien des espaces verts, en acquérant du matériel électrique pour réduire la pollution, des broyeurs de végétaux, ou encore des fleurs moins consommatrices d'eau et d'une durée de vie plus élevée par rapport à des fleurs traditionnelles[AUB 1].

En , la commune a initié un Agenda 21[AUB 1].

Enseignement

Aubière dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère les deux écoles maternelle et élémentaire publiques Beaudonnat et Vercingétorix[19].

Le conseil départemental du Puy-de-Dôme gère de son côté le collège public Joliot-Curie[19]. Tous les élèves sont scolarisés par défaut dans ce collège, conformément à la carte scolaire en vigueur dans le département, à l'exception des habitants du quartier du Mirondet fréquentant le collège de Beaumont[20].

Le groupe scolaire Saint-Joseph, composé de l'école élémentaire et du collège, est un établissement d’enseignement privé[19].

Les lycéens se rendent à Clermont-Ferrand, au lycée Jeanne-d'Arc ou à lycée Blaise-Pascal pour les filières générales. Les premières et terminales STI2D sont scolarisés aux lycées Lafayette ou Roger-Claustres à Clermont-Ferrand et les STMG au lycée Sidoine-Apollinaire[21].

Le campus des Cézeaux abrite plusieurs composantes de l'université Blaise-Pascal, dont l'unité de formation et de recherche (UFR) Sciences et Technologies (ST), comptant 4 313 étudiants en 2014-2015[22], Sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS, 1 149 étudiants[22])[23], l'institut français de mécanique avancée (IFMA) ou l'institut supérieur d'informatique, de modélisation et de leurs applications (ISIMA) ; l'institut universitaire de technologie de Clermont-Ferrand dépendant de l'université d'Auvergne.

Santé

L'hôpital le plus proche est le CHU Gabriel-Montpied, dans le quartier Saint-Jacques, au sud de Clermont-Ferrand, non loin d'Aubière.

Justice, sécurité, secours et défense

Aubière dépend du conseil de prud'hommes, des tribunaux judiciaire, de commerce, paritaire des baux ruraux et pour enfants de Clermont-Ferrand, de la cour d'appel de Riom et de la cour d'assises du Puy-de-Dôme[24].

Population et société

Démographie

Évolution de la population

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[25],[Note 2].

En 2021, la commune comptait 10 211 habitants[Note 3], en évolution de +1,99 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Néanmoins, en 2006, Aubière comptait 10 065 habitants et bénéficiait d'une enquête par sondage. La population 2012 étant passée sous les 10 000 habitants, le décret no 2015-379 du place Aubière avec les communes recensées en 2007[26].

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4912 9483 1063 4873 5133 7533 7753 5823 780
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 8393 9553 9203 7673 2603 3523 2893 2653 248
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 0322 8602 8613 2683 4063 4743 4334 0634 725
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
6 8207 8449 1908 6749 1069 89810 0659 47510 185
2021 - - - - - - - -
10 211--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Les ménages

La commune comptait, en 2013, 4 780 ménages totalisant 9 002 habitants. 47,6 % des ménages ne comptent qu'une personne. Cette part est en hausse par rapport à 2008[INS 3].

Parmi les 2 418 ménages avec famille, 37,2 % étaient des couples avec enfants, 12,2 % des familles monoparentales et 50,6 % des couples sans enfant[INS 4].

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à soixante ans (23,4 %)[INS 5] est en effet inférieur au taux national (24 %) et au taux départemental (26,2 %). Celui d'un âge inférieur à trente ans (42,3 %) est supérieur aux taux national et départemental (respectivement 36,5 % et 34,5 %).

À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Toutefois, le taux (50,7 %), est inférieur au taux national (51,6 %).

Pyramides des âges en 2013 en pourcentage
Commune d'Aubière[INS 6]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ans ou +
1,3 
6,2 
75 à 89 ans
9,8 
14,3 
60 à 74 ans
14,6 
17,2 
45 à 59 ans
20,8 
15,4 
30 à 44 ans
15 
33,9 
15 à 29 ans
26,2 
12,3 
0 à 14 ans
12,3 
Département du Puy-de-Dôme[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ans ou +
1,5 
75 à 89 ans
10,6 
16 
60 à 74 ans
16,6 
20,8 
45 à 59 ans
20,1 
19,5 
30 à 44 ans
18,1 
19 
15 à 29 ans
17,5 
17,1 
0 à 14 ans
15,6 

Manifestations culturelles et festivités

  • La fête de la Rosière a lieu au printemps. C'est à cette occasion qu'est élue la rosière.
  • Chaque année en septembre (ou fin août comme en 2016), Aubière organise la Foire de la Saint-Loup. Il s'agit d'un grand vide-grenier[AUB 5].

Sports

L'intérieur du stadium Jean-Pellez
Le stadium Jean-Pellez en janvier 2011 lors du Perche Élite Tour.

Aubière compte un club de football aux couleurs jaune et bleu de la ville, qui joue et s'entraîne au stade Beaudonnat, ainsi qu'une Amicale laïque (basket, tennis, handball…) des associations de danse, un gymnase pour la pratique du judo/karaté, un club d'athlétisme.

Depuis 2002, le stadium Jean-Pellez accueille des compétitions d'athlétisme.

Médias

Les kiosques proposent La Montagne (éditions de Clermont-Ferrand).

Économie

Revenus de la population et fiscalité

En 2011, le revenu fiscal médian par ménage s'élevait à 28 663 , ce qui plaçait Aubière au 18 330e rang des communes de plus de 49 ménages en métropole[29].

Emploi

En 2013, la population âgée de quinze à soixante-quatre ans s'élevait à 6 853 personnes, parmi lesquelles on comptait 63,9 % d'actifs dont 55,7 % ayant un emploi et 8,2 % de chômeurs[INS 7].

On comptait 9 068 emplois dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone étant de 3 849, l'indicateur de concentration d'emploi est de 235,6 %, ce qui signifie que la commune offre plus de deux emplois par habitant actif[INS 8].

Sur les 9 117 emplois, la commune compte plus d'employés (2 616, 26,7 %) que de cadres ou professions intellectuelles supérieures (2 544, 27,9 %) ou de professions intermédiaires (2 379, 26,1 %) ou encore d'ouvriers (1 262, 13,8 %)[INS 9].

3 508 des 3 849 personnes âgées de quinze ans ou plus (soit 91,1 %) sont des salariés[INS 10]. Plus d'un quart des actifs (26,6 %) travaillent dans la commune de résidence[INS 11].

Entreprises

La commune abrite le siège social de seize grandes entreprises, réalisant plus de dix millions d'euros de chiffre d'affaires[30].

Agriculture

L'agriculture représente une part marginale dans l'économie de la commune. En 2013, elle ne comptait que trois agriculteurs exploitants (contre aucun en 2008)[INS 12] et douze emplois, soit 0,1 %[INS 12].

Le recensement agricole de 2010 faisait état de sept exploitations agricoles, contre huit en 2000 et onze en 1988[31].

La superficie agricole utilisée sur ces exploitations est de 69 hectares en 2010. Ces exploitations sont individuelles ; il n'existe aucun GAEC[31].

On trouve sur le territoire de la commune de nombreux jardins potagers privés, toutefois la pression démographique et foncière voit peu à peu se réduire la superficie de ces terrains.

Industrie

L'industrie représente 619 emplois sur la commune (soit 6,8 %)[INS 13]

Commerce et services

Le commerce représente la majorité des emplois dans la commune : 5 712 emplois (62,7 %) en 2013[INS 13].

La zone commerciale Plein Sud, à l'est du centre-ville, et bordée par les routes départementales 21 et 2009, comprend soixante boutiques, dont l'hypermarché Auchan[32].

Au sud de ce centre commercial, un fast-food à l'enseigne Burger King est implanté depuis 2017, à côté de Auchan Drive. Son installation était sujette à polémique. Le chantier, dont le permis de construire a été déposé en 2012[33], a été arrêté en 2016 en raison de sa non-conformité au code de l'urbanisme, le maire invoquant les conditions de circulation autour du restaurant, notamment concernant le drive[34]. Il ouvre finalement au public le 5 décembre 2017[35].

Tourisme

Au , la commune comptait sept hôtels, totalisant 377 chambres : un hôtel trois étoiles, trois classés deux étoiles, deux classés une étoile et un autre non classé[INS 14].

Il n'existe aucun camping[INS 15], résidence de tourisme, village vacances ou autre hébergement collectif dans la commune[INS 16].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monument

Menhir de La Pardieu.
Menhir de La Pardieu.
  • Le menhir du Pont d'Aubière, dressé allée Bourbaki, au lieu-dit des Sauzes, fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques le [36].
  • Caves sur les coteaux dominant la ville. Elles ont été construites entre le XVIe siècle et la fin du XIXe et témoignent du passé viticole de la commune ; certaines sont encore utilisées pour l'affinage du fromage ou la conservation du vin. On dénombre environ 900 caves, accessibles par 180 entrées différentes[AUB 6].

Personnalités liées à la commune

  • Christian Forestier (né à Aubière le 8 décembre 1944),ancien élève de l'école primaire Vercingétorix , président de l'université de Saint-Étienne, recteur des académies de Reims, Dijon, Créteil et Versailles, directeur des enseignements secondaires puis des enseignements supérieurs au ministère de l'Éducation nationale, directeur de cabinet de Jack Lang, administrateur général du CNAM, aujourd'hui président de la Fondation Santé des Étudiants de France et des ESPÉ de Versailles et Guyane et aussi président du comité d'organisation des concours « Un des meilleurs ouvriers de France ». Christian Forestier est commandeur de la Légion d'honneur et des palmes académiques. Il est le fils de Denise Geilhes née à Aubière (1922-1998) et de Auguste Forestier (1919-2015).
  • André Chassaigne (1950-), député de la cinquième circonscription du Puy-de-Dôme depuis 2002[37], a passé son enfance à Aubière.
  • Renaud Lavillenie, champion olympique de la perche et détenteur du record du monde à 6,16 m le , s'entraîne au stadium Jean-Pellez à Aubière.
  • Anna Livebardon (1910-2001), poétesse qui a reçu le Prix Auguste-Capdeville de l'Académie Française en 1982, est née à Aubière.

Héraldique

Blason Blasonnement :
D'azur à la fasce d'or.

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Au 1er tour des municipales de 2008, la liste de Christian Sinsard était de nuance communiste et s'appelait « Un souffle nouveau »[MIN 20]. Monique Guyot-Berini ayant été éliminée au 1er tour, la liste est renommée « La gauche unie », de nuance Union de la gauche[MIN 20].
  2. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

Insee

Dossier local établi par l'Insee :

  1. LOG T2 – Catégories et types de logements.
  2. LOG T7 – Résidences principales selon le statut d'occupation.
  3. FAM T1 – Ménages selon leur composition.
  4. FAM T3 – Composition des familles.
  5. POP T0 – Population par grandes tranches d'âges.
  6. POP T3 – Population par sexe et âge en 2013.
  7. EMP T1 – Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  8. EMP T5 – Emploi et activité.
  9. EMP T7 – Emplois selon la catégorie socioprofessionnelle en 2013.
  10. ACT T1 – Population de 15 ans ou plus ayant un emploi selon le statut en 2013.
  11. ACT T4 – Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.
  12. a et b EMP T3 – Population de 15 à 64 ans selon la catégorie socioprofessionnelle.
  13. a et b EMP T8 – Emplois selon le secteur d'activité.
  14. TOU T1 – Nombre et capacité des hôtels au .
  15. TOU T2 – Nombre et capacité des campings au .
  16. TOU T3 – Nombre d'autres hébergements collectifs au .

Ministère de l'Intérieur

  1. a et b « Résultats de l'élection présidentielle de 2002 », (consulté le ).
  2. a et b « Résultats de l'élection présidentielle de 2007 », (consulté le ).
  3. a et b « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 » (consulté le ).
  4. a et b « Résultats des élections législatives de 2002 » (consulté le ).
  5. « Résultats des élections législatives de 2002 - 2e circonscription du Puy-de-Dôme » (consulté le ).
  6. a et b « Résultats des élections législatives de 2007 » (consulté le ).
  7. « Résultats des élections législatives de 2007 - 2e circonscription du Puy-de-Dôme » (consulté le ).
  8. a et b « Résultats des élections législatives de 2012 » (consulté le ).
  9. « Résultats des élections législatives de 2012 - 4e circonscription du Puy-de-Dôme » (consulté le ).
  10. a et b « Résultats des élections européennes de 2004 ».
  11. a et b « Résultats des élections européennes de 2009 ».
  12. a et b « Résultats des élections européennes de 2014 » (consulté le ).
  13. « Résultats des élections régionales de 2004 ».
  14. « Résultats des élections régionales de 2010 ».
  15. « Résultats des élections régionales de 2015 » (consulté le ).
  16. a et b « Résultats des élections cantonales de 2008 » (consulté le ).
  17. « Résultats des élections cantonales de 2008 - canton d'Aubière » (consulté le ).
  18. a et b « Résultats des élections départementales de 2015 », sur le site Élections (consulté le ).
  19. a et b « Résultats des élections départementales 2015 - canton d'Aubière », sur le site Élections (consulté le ).
  20. a b c d et e « Résultats des élections municipales de 2008 - Listes » (consulté le ).
  21. a b et c « Résultats des élections municipales de 2008 » (consulté le ).
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Site de la mairie

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  2. « Plan Local d'Urbanisme » (consulté le ).
  3. « Aubière, ville propre & belle », Cadre de Vie & Environnement (consulté le ).
  4. a et b « Les espaces verts » (consulté le ).
  5. « Foire de la Saint-Loup » (consulté le ).
  6. « Le site des caves » (consulté le ).

Autres références

  1. « Aubière », sur Lion 1906.
  2. « Orthodromie entre Aubière et Clermont-Ferrand », sur Lion 1906.
  3. a b c et d Carte d'Aubière sur Géoportail.
  4. « Répertoire géographique des communes », Institut national de l'information géographique et forestière.
  5. « Données climatiques de la station de Clermont-Ferrand », sur Météo-France (consulté le ).
  6. « Observatoire national des aménagements – Aubière », sur Voirie pour tous, (consulté le ).
  7. « Commune d'Aubière (63014) », sur insee.fr (consulté le ).
  8. « SCoT du Grand Clermont. Rapport de présentation » [PDF], Grand Clermont (consulté le ).
  9. « PLU - Plan local d'urbanisme », sur clermontmetropole.eu, Clermont Auvergne Métropole (consulté le ).
  10. a b c et d « Rapport », sur georisques.gouv.fr, Ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
  11. a b et c « Dossier départemental sur les risques majeurs dans le Puy-de-Dôme » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  12. « Arrêté préfectoral d'approbation du Plan de Prévention des Risques Naturels Prévisibles : Risque Inondation sur le territoire des communes de Aubière, Aulnat, Clermont-Ferrand, Beaumont et Romagnat pour les risques liés à l'Artière et son affluent la Gazelle. » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  13. a et b « Information communale sur les risques majeurs » [PDF], sur macommune.prim.net, Ville d'Aubière, (consulté le ).
  14. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  15. a et b Fabrice Mina, « Sylvain Casildas devient le nouveau maire d'Aubière (Puy-de-Dôme) mais l'opposition a déposé un recours », La Montagne, (consulté le ).
  16. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  17. Philippe Cros, « Le maire de Clermont-Ferrand a été réélu à la tête de Clermont Auvergne Métropole », La Montagne, (consulté le ).
  18. « Atlas de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », Ministère des Affaires étrangères (consulté le ) ; rechercher « Aubière ».
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  20. « SECTORISATION - DEPARTEMENT du PUY-DE-DÔME » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  21. « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
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  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Chiffres clés Évolution et structure de la population - Département du Puy-de-Dôme (63) », Insee (consulté le ).
  29. Revenus fiscaux localisés des ménages [zip], Insee, données 2011.
  30. « Créer des listes personnalisées d'entreprises avec Verif.com », sur verif.com (consulté le ).
  31. a et b Résultats du recensement agricole (cadrage) sur le site du ministère de l'Agriculture.
  32. Site du centre commercial Plein Sud (consulté le 21 juillet 2015).
  33. Claudie Hamon et Eric Le Bihan, « Info France Bleu : médiation de la préfecture pour le Burger King d'Aubière », sur francebleu.fr, France Bleu Pays d'Auvergne, (consulté le ).
  34. Alexandre Chatenet, « Les travaux du Burger King à Aubière suspendus », sur La Montagne, (consulté le ).
  35. « Le Burger King d'Aubière est officiellement ouvert », sur La Montagne, (consulté le ).
  36. Notice no PA00091873, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Seul monument d'Aubière faisant l'objet d'une protection.
  37. « M. André Chassaigne », Assemblée nationale (consulté le ).