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Utilisateur:Colocho/Babillard

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"The most effective way to restrict democracy is to transfer decision-making from the public arena to unaccountable institutions: kings and princes, priestly castes, military juntas, party dictatorships, or modern corporations."
-Noam Chomsky
Prenez votre quatre-temps et un petit thé, avec un nuage de mousse.

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  À á Æ æ È É í Ñ ñ Œ œ ó ÿ ß ± † Θ
alt + 0192 0225 0198 0230 0200 0201 237 0209 0241 0140 0156 0243 0255 0223 0177 0134  

Tableau de défilement

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Boîte déroulante
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Ébauches par pays
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Portail Québec

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Flag of the United States of America
Flag of the United States of America
Location on the world map

Le Québec (prononcé "keh-beck", API : /kebɛk/) est une province canadienne dont la population compte près de 7 598 100 habitants [1], les Québécois et Québécoises. Le français y est la langue majoritaire et officielle, faisant du Québec le seul état majoritairement francophone en Amérique du Nord. La répartition de la population y est très inégale, la plupart résidant près du fleuve Saint-Laurent au sud tandis que les régions du nord restent très peu peuplées.

La province est bordée à l'ouest par l'Ontario, au sud par les États-Unis d'Amérique et à l'est par les provinces du Nouveau-Brunswick, de l'Île-du-Prince-Édouard et de Terre-Neuve-et-Labrador. La capitale est la ville de Québec et son agglomération principale est Montréal.

Des fouilles archéologiques permettent d'estimer le peuplement du territoire à environ 12 000 ans av. J.-C., des populations paléo-amérindiennes précèdant l'arrivée des peuples algonquiens et iroquoiens dans le sud de la province il y a quelques 8 000 ans.

Ancienne colonie française puis britannique, le territoire devient partie intégrante de la Confédération du Canada en 1867.

Références

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  • ({{{1}}}) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en langue non reconnue : {{{1}}} intitulé « [[:{{{1}}}:|]] » ([{{fullurl::{{{1}}}:|action=history}} voir la liste des auteurs]).

Premiers ministres Canada-Uni

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# Nom (Haut-Canada) Nom (Bas-Canada) Début du mandat Fin du mandat
1. Robert Baldwin 1 /
William Henry Draper 2 		Samuel Bealey Harrison 5 février 1841 12 janvier 1842
2. Charles Richard Ogden 2 12 janvier 1842 13 septembre 1842
3. Robert Baldwin Sir Louis-Hippolyte Lafontaine 16 septembre 1842 27 novembre 1843
4. Sir Dominick Daly (provisoire) 3 27 novembre 1843 12 décembre 1843
5. William Henry Draper Denis-Benjamin Viger 12 décembre 1843 17 juin 1846
6. Denis-Benjamin Papineau 17 juin 1846 28 mai 1847
7. Henry Sherwood 28 mai 1847 11 mars 1848
Formant un gouvernement responsable
8. Robert Baldwin Sir Louis-Hippolyte Lafontaine 11 mars 1848 28 octobre 1851
9. Sir Francis Hincks Augustin-Norbert Morin 28 octobre 1851 11 septembre 1854
10. Sir Allan Napier MacNab 11 septembre 1854 27 janvier 1855
11. Sir Étienne-Paschal Taché 27 janvier 1855 24 mai 1856
12. Sir John Alexander Macdonald Sir Étienne-Paschal Taché 24 mai 1856 26 novembre 1857
13. Sir John Alexander Macdonald Sir George-Étienne Cartier 26 novembre 1857 2 août 1858
14. George Brown Sir Antoine-Aimé Dorion 2 août 1858 6 août 1858
15. Sir John Alexander Macdonald Sir George-Étienne Cartier 6 août 1858 24 mai 1862
16. John Sandfield Macdonald Louis-Victor Sicotte 24 mai 1862 15 mai 1863
17. Sir Antoine-Aimé Dorion 15 mai 1863 30 mai 1864
18. Sir John Alexander Macdonald Sir Étienne-Paschal Taché 30 mai 1864 30 juillet 1865
19. Sir Narcisse-Fortunat Belleau 30 juillet 1865 30 juin 1867
Légende

* Vert - Réformistes (Parti réformiste, Parti patriote, Parti rouge etc.)
* Jaune - Conservateurs (voir Family Compact et la Clique du Château)
* Rouge - Parti libéral
* Bleu - Parti libéral-conservateur (Coalition formée en 1854, composée de quelques membres du Parti bleu au Bas-Canada et de libéraux-conservateurs du Haut-Canada).

Notes

(1) Aux élections de 1841, Robert Baldwin retira sa candidature mais fut finalement élu dans la circonscription de Hastings, à Toronto. Il fut nommé sollicitateur général du Haut-Canada le 10 février 1841. Cependant, le gouverneur Charles Edward Poulett Thomson le démit de ses fonctions le 13 juin 1841, considérant qu'il avait remis sa démission. Il fut remplacé par William Henry Draper.
(2) L'administration Draper-Ogden est démise de ses fonctions par le gouverneur Bagot le 13 septembre. Il faudra attendre le 16 septembre pour que l'administration Baldwin-Lafontaine soit nommée.
(3) L'ensemble des membres du gouvernement de coalition Lafontaine-Baldwin, à l'exception de Daly, démissionnèrent en protestation à des accusations d'abus de pouvoir de la part du gouverneur-général: la "Crise Metcalfe". Daly continuera comme membre du cabinet suivant, dirigé par Draper.

Cinéma

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Environnement / écologie

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Conflits / enjeux sociaux

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Peuples autochtones

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Économie et altermondialisme

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Itinérance et jeunes de la rue

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Autres

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Projets LEED au Québec (à compléter)

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Nom Lieu Certification visée Score Commentaires
Maison du développement durable Montréal NC Platine inconnu Prévu pour 2008, voir la fiche descriptive
Université de Montréal, campus Outremont Montréal NC-ND Or inconnu À l'état de projet, voir le rapport final
Édifice Normand-Maurice, 740 Bel-Air Montréal NC Or inconnu Abritera la Défense nationale, la GRC, l'Agence du revenu et des douanes Canada ainsi que Ressources humaines et Développement Canada, voir la page liée
Le Vistal Montréal NC Or inconnu Prévu à l'automne 2008, voir la page liée
Hagen Industries Montréal NC Argent inconnu Voir la page liée
UQÀM, îlot Voyageur Montréal NC inconnu Voir le communiqué de presse
Université McGill, pavillons Francesco Bellini des Sciences de la vie et du Cancer Montréal NC inconnu Prévu pour 2008, voir la fiche descriptive
Centre universitaire de santé McGill Montréal NC inconnu À l'état de projet, campus de la Montagne et Glen, voir le communiqué de presse
Le Casse-tête Montréal NC inconnu Architectes Rayside
Project Z.O.O. Montréal NC inconnu En attente de certification, voir la fiche descriptive
Centre Jeunesse de la Montérégie Longueuil NC inconnu Voir la fiche descriptive
Logistik Unicorp Saint-Jean-sur-Richelieu NC inconnu Voir la fiche descriptive
Ville de Montréal, 31 Duke Montréal IC inconnu Voir la fiche descriptive
Gaz Metro, siège social Montréal IC inconnu Voir la fiche descriptive

Fort de la Montagne

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Les vestiges de l'un des bastions de l'ancien fort de la Montagne, en face du Collège de Montréal.
La tour est, depuis la rue Sherbrooke.

Le fort de la Montagne (aussi appelé fort des Messieurs ou encore fort Belmont) est une ancienne place fortifiée située sur la rue Sherbrooke à Montréal, au Québec. Les vestiges de ce domaine, construit vers 1685, forment les plus anciennes structures de l'île de Montréal[2].

Historique

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La mission d'évangélisation, destinée à convertir et franciser les amérindiens, fut établie dès 1675 au pied de la Montagne. François Vachon de Belmont est envoyé en Nouvelle-France vers 1680 par le supérieur de la Compagnie des prêtres de Saint-Sulpice à Paris afin de dissimuler l'affaire des sorciers et des visions survenue à la mission. En 1683, environ 210 amérindiens (Iroquois, Hurons et Algonquins) vivent sur le site[3]. Afin de protéger le domaine des Iroquois, il fait construire vers 1685 le fort de la Montagne, à ses frais.

En 1696, un incendie majeur se déclare dans le fort et accélère le transfert des habitants vers la mission amérindienne du Sault-au-Récollet (emplacement de l'actuel quartier d'Ahuntsic-Cartierville), où sera construit le fort Lorette. La mission de la Montagne sera définitivement fermée dès 1705: les terres sont alors louées à des paysans, dont certains logeront temporairement dans les fortifications. En 1825, un étage est ajouté à la résidence principale, le château des Messieurs alors qu'on aménage une chapelle dans la tour est.

Le domaine comptait à l'origine (outre les habitations) quatre bastions ainsi qu'une série de remparts et de palissades qui furent tous détruits en 1854 à l'exception des deux tours sud, lors de la construction de l'édifice de l'actuel collège de Montréal (qui abritait alors le séminaire)[4]. En 1867 est construit édifice qui abrite aujourd'hui le grand séminaire de Montréal, adjacent au collège.

Trois bassins furent successivement construits sur le domaine des sulpiciens: le premier aurait été aménagé avant même la construction des tours, lors de l'établissement de la mission vers 1675[5].

De 1984 à 1986, des travaux de restauration sont entrepris sur les deux tours; elles seront classées monuments historiques en 1982.

Annexes

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Voir aussi

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Notes et références

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  1. ↑ Statistique Canada, juillet 2005
  2. ↑ (fr) « Chapelle du Grand Séminaire », Université du Québec
  3. ↑ (fr) « L'implication et l'empreinte des Sulpiciens français à Montréal dès 1657 (Concours franco-québecois d'histoires croisées), RÉCIT, mai 1998 »
  4. ↑ (fr) « Inventaire des lieux de mémoire de la Nouvelle-France », Université Laval, 2001-2004
  5. ↑ (fr) « Lieux historiques », Grand séminaire de Montréal

Sources et informations à intégrer

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« Cinq compagnies de soldats sont établies dans l'île de Montréal, dont deux à Ville-Marie. Un corps de garde est construit sur la rue Saint-Joseph 'tant pour la discipline des troupes que pour la seureté et le maintient de la police parmy le peuple'. 6 octobre : Jacques-René de Brisay de Denonville, gouverneur de la Nouvelle- France, ordonne que soient coupés tous les arbres et buissons entre Ville- Marie et la mission de la montagne de manière à faire 'une terre plaine découverte'. » [1]

[2] et [3]

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