Montigny-lès-Cherlieu
Montigny-lès-Cherlieu | |||||
Vue en contre-plongée du village. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Haute-Saône | ||||
Arrondissement | Vesoul | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Hauts du Val de Saône | ||||
Maire Mandat |
Martine Moll 2020-2026 |
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Code postal | 70500 | ||||
Code commune | 70362 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
124 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 5,9 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 47′ 59″ nord, 5° 48′ 44″ est | ||||
Altitude | Min. 227 m Max. 369 m |
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Superficie | 20,98 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Vesoul (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Jussey | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Saône
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Montigny-lès-Cherlieu est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.
Géographie
[modifier | modifier le code]Une vallée, où coule la rivière Ougeotte, au sud du village. Un plateau à l'est, et un autre au sud-est.
L'Ougeotte coule d'ouest en est ; elle a pour affluents le ruisseau de la Couaz et le ruisseau des Écrevisses. Elle se jette dans la Saône.
Dépendances :
- hameau de Cherlieu avec les restes de l'abbaye cistercienne ;
- moulin d'Agneaucourt ;
- moulin du Ferry ;
- ferme de Marlay ;
- moulin du Battant en ruines.
Situé à environ 90 km de Nancy, Besançon ou Dijon, le village est limitrophe des communes de Melin, Oigney, Preigney, Bougey, Saint-Marcel, Vitrey-sur-Mance, Chauvirey-le-Châtel, Chauvirey-le-Vieil et du village de Noroy-lès-Jussey, désormais rattaché à la commune de Jussey.
Le village est situé à 8 km du bourg commercial de Jussey. Un centre médical et quelques petits commerces sont implantés au chef-lieu de canton Vitrey-sur-Mance.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 916 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Quarte », sur la commune de La Quarte à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 026,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Montigny-lès-Cherlieu est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vesoul, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (53,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,7 %), terres arables (20,3 %), prairies (17,9 %), zones agricoles hétérogènes (6,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,9 %), zones urbanisées (1,6 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire du village
[modifier | modifier le code]Situé à la lisière de la forêt domaniale de Cherlieu, et sur le passage de l'ancienne voie romaine allant du Rhin à Langres, le village de Montigny-lès-Cherlieu doit son origine à un petit prieuré d'Antonins mentionné en 1127.
En 1131, saint Bernard de Clairvaux y fit construire une abbaye cistercienne qui prospéra rapidement grâce à la protection des comtes de Bourgogne. Au XVe siècle, cette abbaye étendit sa seigneurie sur 32 villages alentour. Ses plus anciennes propriétés furent celles de la ferme de Marlay et du moulin d'Agneaucourt.
Aujourd'hui, il ne reste de l'abbaye de Cherlieu que des vestiges, les pierres ayant été remployées pour construire les maisons du village.
Montigny-lès-Cherlieu (Montagne, Montigne dans les vieux documents, Montigny-le-Libre pendant la Révolution française) forme paroisse depuis le XIIe siècle. Après le concordat, la paroisse se compose de l'ancien territoire de Montigny et des fermes et dépendances de la vieille abbaye cistercienne et de ce qui fut l’église de Notre-Dame-de-Cherlieu.
Au civil, Montigny ressortissait au duché de Bourgogne. Dans la première moitié du XIIe siècle, par donation du duc Renaud III de Bourgogne, Montigny passe sous la juridiction du monastère de Cherlieu, auquel les sires de Fouvent, Gérard en 1160 et Henri en 1224, concèdent aussi les propriétés et vignes qu'ils possèdent sur le territoire. La terre de Marlay était déjà en possession des religieux, par donation de Gislebert, gouverneur et seigneur de Jussey.
Vers l'an 1200, la discussion s'engage entre la branche cadette des ducs de Bourgogne, représentée par Étienne II et la branche aînée représentée par Othon II. Celui-ci dépouille les religieux de la jouissance de Montigny, mais à sa mort, il reconnaît ses torts et recommande à sa femme Marguerite de Blois de rendre Montigny à l'abbaye de Cherlieu. Bien loin d'exécuter les dernières volontés de son mari, Marguerite de Blois passe Montigny en fief à Hugues II comte de Vaudemont. Instruit de cette injustice, l'empereur Philippe de Souabe, par un rescrit signé à Spire (1202) ordonne de remettre Montigny au monastère. Cet ordre n'est pas exécuté par les officiers de Bourgogne.
Un nouvel édit impérial signé à Strasbourg (1204) par Conrad de Schaeffernach, commande aux habitants de Montigny de jurer fidélité et obéissance aux religieux. Marguerite de Blois se soumet (1205), mais ce n'est qu'en 1211, que Hugues II de Vaudémont, abandonne Montigny et le rend à ses légitimes propriétaires. À partir de ce moment, malgré quelques légères contestations, Montigny reste sous la dépendance du monastère.
Son sort fut joint au sien, et jusqu'à la Révolution, il passa par les mêmes péripéties que l'abbaye.
Montigny subit les pillages accomplis par les bandes dites des Écorcheurs, aux environs de 1437-1439, et les guerres et dévastations sous Louis XI alors que celui-ci cherchait à s'emparer du duché de Bourgogne en 1476.
À cette époque le seigneur de ces terres était Imbert de La Platière de Bourdillon (1516 - 1567), un militaire français du XVIe siècle, maréchal de France le .
En 1569, Wolfgang de Bavière, duc des Deux-Ponts, incendie l'église de Cherlieu avec ses huguenots. Les Lorrains de Tremblecourt achèvent le désastre en 1595.
La peste fit aussi deux fois son apparition en 1349 et 1364.
La désolation fut à son comble pendant les invasions des Suédois sous la conduite de Saxe-Weimar, au cours de la guerre de Dix Ans. En 1636, le pays fut presque entièrement incendié (il restait seulement deux maisons) ; la population en 1654 n'était plus que de 32 ménages. L’abbaye fut à nouveau pillée en 1641 par les Français de Du Hallier.
Enfin, Montigny eut à souffrir des armées de Louis XIV lors de sa conquête de la Franche-Comté en 1668.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune fait partie de l'arrondissement de Vesoul du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la première circonscription de la Haute-Saône.
Montigny-lès-Cherlieu faisait partie depuis 1801 du canton de Vitrey-sur-Mance. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Jussey.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune était membre de la petite communauté de communes des vertes vallées (Haute-Saône), intercommunalité créée en 1997 et qui regroupait environ 1 500 habitants en 2009.
L'article 35 de la loi n° 2010-1563 du [13] « de réforme des collectivités territoriales » prévoyait d'achever et de rationaliser le dispositif intercommunal en France, et notamment d'intégrer la quasi-totalité des communes françaises dans des EPCI à fiscalité propre, dont la population soit normalement supérieure à 5 000 habitants.
Dans ce cadre, le schéma départemental de coopération intercommunale a prévu la fusion cette intercommunalité avec d'autres, et l'intégration à la nouvelle structure de communes restées jusqu'alors isolées[14]. Cette fusion, effective le , a permis la création de la communauté de communes des Hauts du val de Saône, à laquelle la commune est désormais membre.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]En 2021, la commune de Montigny-lès-Cherlieu comptait 124 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Les autres « recensements » sont des estimations.
Enseignement
[modifier | modifier le code]Les écoles sont implantées dans le village limitrophe de Vitrey-sur-Mance.
Sport et loisirs
[modifier | modifier le code]L'association Vivre à Montigny propose des animations tout au long de l'année.
Économie
[modifier | modifier le code]Activité essentiellement agricole : élevage et céréales. Une grande forêt, communale et domaniale. Une entreprise de bâtiments-travaux publics, une entreprise d'exploitation forestière.
Le tissu commercial qui, dans les années 1970, comptait 2 épiceries, 1 boucherie et 2 cafés, n'est constitué, en 2015, que par une boulangerie comprenant un rayon d'épicerie, fruits et légumes et produits frais, et qui assure des tournées dans les villages voisins[20].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Les ruines de l'abbaye de Cherlieu, construite entre 1150 et 1220, et dont l'église abbatiale avait des dimensions comparables à celles de la basilique Sainte-Marie-Madeleine de Vézelay, mais dont il ne subsiste qu'un pan de mur[21],[22]
- Le village est resté sous la dépendance de l'Abbaye, tout au long de son existence.
- L’église de l'Assomption, siège de la paroisse, succède à une première église, bâtie au XIIe siècle. Elle est remplacée en 1752 par une construction de style roman à trois nefs. Il en reste le clocher. En 1854, construction de l'église actuelle, de proportion plus vaste, de style roman-byzantin, où l'on remarque surtout l'autel en pierre sculptée et polychrome, don du cardinal Gousset, les peintures et les vitraux. Elle fut consacrée par le cardinal Gousset et monseigneur Guerrin.
- La chaire de bois sculpté date du XVIIe siècle ; des boiseries, toiles et autres statues du XVIIIe siècle, et un buste du cardinal Gousset ; la porte et la table de communion en fer forgé sont remarquables et proviendraient de Cherlieu.
- Une statue de la Vierge surplombe le village. Elle fut érigée en reconnaissance à la Vierge car le choléra avait épargné le village en 1854. Elle a été consacrée le par le cardinal Gousset.
- Sept fontaines - toujours en eau - dont cinq avec lavoir associé ; deux lavoirs sont couverts.
- Des croix dans le village et au sein du finage.
- Le monument aux morts
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]- Un étang ouvert à la pêche en pleine forêt, un terrain de tennis.
- Un circuit de randonnée[23] balisé, au départ de Montigny, permet de rejoindre Cherlieu (8 ou 18 km) à travers la forêt.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Cardinal Gousset (1792-1866), archevêque de Reims.
- Georges Cogniot (1901-1978), parlementaire.
- Joseph Gérard (1821-1880), protonotaire apostolique, doyen du chapitre de Reims.
- Thierry, seigneur de Montigny (1148-1195), fils de Girard de Fouvent et de Clémence de Montfaucon.
- Patricia Gavoille-Bouérat, poète contemporain.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes de la Haute-Saône
- Comté de Bourgogne
- Histoire de la Franche-Comté
- La coutume du mai
- Liste des anciennes communes de la Haute-Saône
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Le site de Jean-René
- La communauté de communes du pays jusséen
- Montigny-lès-Cherlieu sur le site de l'Institut géographique national
- Un peu de patois, avec l'ouvrage Vocabulaire de Français Régional du Révérend Père Henri Fleisch de Jonvelle
- Villages de Saint Marcel - avec la notice historique de Jules Roy, de La Roche-Morey, de Chauvirey-le-Vieil et de Chauvirey-le-Châtel - avec le mémoire historique et généalogique de Marie-Antoine-Alphonse du Bouvot de Chauvirey, de Jonvelle - avec l'Histoire de Jonvelle des abbés Coudriet et Chatelet
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Montigny-lès-Cherlieu et La Quarte », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « La Quarte », sur la commune de La Quarte - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « La Quarte », sur la commune de La Quarte - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Montigny-lès-Cherlieu ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vesoul », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Loi n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance.
- « Arrêté préfectoral du 23 décembre 2011, portant définition du schéma départemental de coopération intercommunale du département de la Haute-Saône » [PDF], Préfecture de la Haute-Saône (consulté le ), p. 5.
- « Les maires de Montigny-lès-Cherlieu », sur francegenweb.org (consulté le ).
- Préfecture de Haute-Saône, Liste des communes de Haute-Saône, publiée le 23 janvier 2013, consultée le 18 juillet 2013
- « Liste des maires de la Haute-Saône » [PDF], Liste des maires de la Haute-Saône et des présidents de communautés de communes, Préfecture de la Haute-Saône, (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « La boulangerie, cœur du village », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne).
- « Visite de l’abbaye », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, 6/9/2015 / (lire en ligne).
- Jean-René Gousset, « L'Abbaye de Cherlieu »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Le site de Jean-René (consulté le ).
- http://www.paysjusseen.org/sentiers/cherlieu.zip