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Daniel Costelle

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Daniel Costelle
Description de cette image, également commentée ci-après
Daniel Costelle à la Foire du livre de Brive-la-Gaillarde en 2010.
Naissance (88 ans)
Livry-Gargan (France)
Nationalité Drapeau de la France Français
Profession Documentariste
Réalisateur
Films notables Apocalypse, la Première Guerre mondiale
Apocalypse, la Seconde Guerre mondiale
Apocalypse, Hitler

Daniel Costelle, né le à Livry-Gargan, est un documentariste et auteur qui a réalisé plus de 180 documentaires pour la télévision française et un long-métrage, Apparition à Fatima (Aparição), en 1991.

Il a reçu les insignes de chevalier de la Légion d'honneur des mains du ministre de la Culture, Jean-Jacques Aillagon, le .

En recevant cette distinction, Daniel Costelle a tenu à préciser qu'« à travers lui, ce sont tous ceux qui se préoccupent de conserver les archives filmées de ce siècle qui sont récompensés »[1].

Vie privée

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Daniel Costelle est né le [2] à Livry-Gargan[3].

Daniel Costelle est en secondes noces marié à Isabelle Clarke, avec qui il a coréalisé de nombreux documentaires[4],[5],[6],[7],[8].

Depuis 1991, le nom de Daniel Costelle est toujours professionnellement associé à celui de sa femme, la réalisatrice Isabelle Clarke, qui a notamment réalisé: Les Greniers la découverte (grand prix du film de patrimoine), Le Louvre des techniques, Paul Éluard, Lawrence Durrell, La Nuit parisienne, Axel Ganzetc.

Vie professionnelle

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Début de carrière

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En 1955, il entre au Centre d'Etudes de Radio-Télévision[9], où il rencontre Maurice Pialat et Claude Lelouch, qui sont dans la même promotion.

À ses débuts, il commence par réaliser des courts métrages de fiction, dont son premier en 1957[10], Le Jeu de la Nuit, avec Stéphane Audran et Maurice Pialat, suscite l’intérêt d’Henri-Georges Clouzot. Daniel Costelle travaille avec lui, en qualité d’assistant réalisateur, pendant deux ans sur Les Espions. En 1962, il réalise Croquis d'Islande, Coups de feu à dix-huit heures tout en continuant à travailler comme assistant réalisateur de longs métrages avec Alexandre Astruc, Bernard Borderie, Georges Lacombe. Il travaille aussi pour le Service Cinéma des armées en Algérie.[réf. nécessaire]

En 1966, il réalise Verdun, à l’occasion du cinquantième anniversaire de la bataille. Le film remporte le Grand Prix de la Critique de la télévision et enchaîne les séries et les émissions. Son leitmotiv est d’être un passeur d’histoires. Il s'engage donc à raconter l’Histoire en dévoilant les archives filmées.

Apprécié par la critique en France et à l’étranger, en 1970, il reçoit la Nymphe d'or du Festival de télévision de Monte-Carlo et la Nymphe d'argent du meilleur réalisateur pour La Bataille de Moscou en 1969, dans la série Les Grandes Batailles. En 1972, il reçoit à nouveau le prix pour La Bataille de Stalingrad. Son film Le Procès de Nuremberg remporte plusieurs prix comme la Victoire de la télévision française en 1974, le prix Ondas en 1976 et la médaille d’or de la Société pour l’encouragement au progrès.

Au cours du tournage de cette série, il a l’idée du sujet de son livre-enquête Les Prisonniers (1975), qui traite des prisonniers allemands transférés aux États-Unis, un sujet alors peu connu ni approfondi par les historiens[11].

Entre 1964 et 1989, il produit des grandes séries d’histoire, comme celles sur la Marine, la conquête de l'Himalaya, les Trains, les grandes inventions, les Jeux Olympiques, les grands criminels, les grandes batailles du passé… La série culte Histoire de l’Aviation (1978) sera rediffusée quarante ans plus tard, sur RMC Découverte[12], dans une version restaurée et colorisée.

Il travaille depuis les années 1990 avec la réalisatrice, chef-opérateur et monteuse Isabelle Clarke, notamment sur le film Christophe Colomb ou la Découverte, Aigle d’Argent au Festival International du Film d’Histoire de Rueil en 1994. Mais aussi sur la série Les Oubliés de la Libération, réalisée entre 1994 et 1995 pour TF1, qui rencontre un succès important à l’international. Le dernier épisode, La victoire en Couleurs, est nommé aux Emmy Awards en tant que meilleur film étranger[13]. La musique est composée par Richard Sanderson, connu pour avoir interprété le single Reality figurant dans la bande originale du film La Boum (1980). À cette époque, Daniel Costelle fait également partie de l’équipe dirigeante de l’Institut national de l'audiovisuel (INA).

Clarke, Costelle & Cie

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En 2001, Daniel Costelle et Isabelle Clarke fondent avec le producteur Louis Vaudeville leur propre société de production, Clarke Costelle & Cie (CC&C). Ils innovent et développent avec François Montpellier une technique pour coloriser les archives noir et blanc. Les Ailes des Héros (2003) deviendra le premier documentaire composé d’archives colorisées[14].

Dès lors, les projets à succès se multiplient, à commencer par La Traque des Nazis (sélectionné au FIPA en 2007). Ce documentaire diffusé sur France 2 est un hommage aux hommes et aux femmes qui, comme Simon Wiesenthal, Serge et Beate Klarsfeld, ont consacré leur vie à la traque d'anciens nazis. Daniel Costelle et Isabelle Clarke réalisent ensuite deux autres grands succès en 2007 : Eva Braun, dans l’intimité d’Hitler (Lauriers de la radio et de la télévision, en 2007) et Lindbergh, L’Aigle Solitaire (nommé aux Globes de Cristal en 2008).

En 2009, Daniel Costelle réalise avec Isabelle Clarke l’un de ses principaux succès avec Apocalypse, la Seconde Guerre mondiale. La série documentaire de six épisodes apparaît comme une révolution dans les codes du documentaire historique[6]. Pour Philippe Chevilley des Échos, il s’agit d’un des « documentaires les plus ambitieux réalisés par la télévision française ».

Apocalypse, qui deviendra une collection, se distingue d’abord par sa forme, n’utilisant ni interviews d’historiens, ni reconstitutions mais uniquement des images d'archives intégralement restaurées, sonorisées en 5.1 par Gilbert Courtois et mises en couleurs par François Montpellier avec l’aide d’une équipe d’historiens[15]. La création de la première saison a nécessité le visionnage de 700 heures d’archives, puisées dans 46 fonds documentaires du monde entier. Près de 50% des images montées sont inédites. Le choix de la mise en couleur intégrale est alors un parti pris artistique et historique controversé parmi les historiens[16] mais assumé par les réalisateurs, qui la jugent indispensable à l’accessibilité de la série[15]. La seule exception concerne les images de la Shoah et des massacres civils, « pour ne pas donner prise au négationnisme » selon Daniel Costelle[17]. Ce travail de colorisation a notamment influencé Albert Dupontel et le directeur de la photographie Vincent Mathias, qui se sont inspirés d'Apocalypse, la Première Guerre mondiale pour le long-métrage césarisé, Au revoir là-haut[18],[19] .

Apocalypse utilise des codes résolument cinématographiques (suspens, caractérisation…), avec pour objectif de mettre au service du propos une narration dynamique, plus proche d’une œuvre de fiction qu’un documentaire classique. Cette intention se retrouve aussi bien dans le choix inattendu pour la musique du compositeur japonais Kenji Kawai[15], célèbre au Japon pour ses bandes-originales d’anime et de jeux vidéos, que dans le commentaire dit par Mathieu Kassovitz[20]. Celui-ci déclare que son modèle de narration est Daniel Costelle : « Il a une façon de commenter très particulière. Il écrit comme ça. Moi, je colle très fort à cette manière de faire, j’essaie de l’imiter »[21].

Ces éléments concourent à réaliser l’ambition du couple de réalisateurs de montrer la guerre par ceux qui l’ont vécue, « les chefs comme les sans-grade »[22] . Pour Marianne[23], « Ici la guerre n’est plus une fiction, elle est réelle. C’est une affaire d’hommes, et pas seulement de décisions gouvernementales, d’actes d’état-majors et de batailles, comme les documentaires le montrent trop souvent [...] Les auteurs d’Apocalypse [...] ont fait, plus qu’un devoir de mémoire, “un devoir d’histoire” selon la formule chère à Simone Veil ».

Pour Daniel Costelle, cette perspective doit permettre de rendre l’histoire de la Seconde Guerre mondiale accessible plus largement, surtout auprès des jeunes générations, afin de lutter contre l’oubli : « L’origine des guerres, c’est toujours l’amnésie collective, l’oubli des conflits précédents. Nous avons voulu rappeler l’horreur pour sensibiliser les plus jeunes et combattre encore et toujours la violence et le négationnisme »[23]. Le réalisateur raconte d’ailleurs avoir eu l’idée de la mise en couleurs en voyant sa fille Clémentine s’ennuyer devant Les Grandes batailles la série d’émissions à succès qu’il avait réalisée dans les années 1960-1970[24].

Cette ambition pédagogique, largement saluée, permet aux professeurs d’utiliser la série documentaire comme support pédagogique[25].

La série est un énorme succès d’audience. La diffusion des deux derniers épisodes sur France 2 a été suivie par près de 8 millions de téléspectateurs. Prix de l’export 2010, la série a été vendue dans plus de 165 pays. La série a également reçu le prix de la meilleure utilisation des archives aux History Makers Awards 2009, un Globe de Cristal[26], un Laurier d’Or et le prix de la meilleure audience TV aux Sunny Side doc Awards. Vendu à plus de 500 000 exemplaires, la série est triple DVD de diamant[27]. Il s’agit du premier documentaire historique à être commercialisé en Blu-Ray[28].

Cette série possède plusieurs opus : Apocalypse, Hitler ; Apocalypse la Première Guerre mondiale ; Apocalypse Staline ; Apocalypse Verdun - réalisé à l'occasion du centenaire du début de la bataille de Verdun ; Apocalypse, la paix impossible 1918-1926 ; Apocalypse La Guerre des Mondes 1945-1991 ; soit au total 26 épisodes.

Ces autres saisons de la collection Apocalypse réalisent d’excellentes audiences auprès de tous les publics. Près de 11 millions de Français ont vu au moins un épisode d’Apocalypse, la Première Guerre mondiale (Best History Documentary Program aux Canada Screen Awards 2015) avec une part d’audience de 22,7% sur les cinq épisodes lors de sa première diffusion sur France 2 en 2014[29]. Présente dans plus de 170 pays, la collection documentaire est la production française la plus distribuée dans le monde après le dessin animé, Paf le chien[28],[30]. En 2016, la collection est également diffusée sur les plateformes Netflix[31], puis Salto[32]

En 2017, Clarke Costelle & Cie est achetée par le groupe Mediawan, l’un des principaux studios européens de contenu audiovisuel. En plus de la collection Apocalypse, la société a produit plus de 30 films pour une variété de diffuseurs, dont Arte (Tokyo, Cataclysmes et renaissances), TF1 (Sacrifice), France 5 et National Geographic International (Les Américains dans la grande guerre). D’après Realscreen, CC&C figure dans le Top 100 des meilleures sociétés internationales de production de documentaires[33].

Controverses

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En , l'historien Lionel Richard révélait dans un article du Le Monde diplomatique que la série Apocalypse présentait de nombreuses insinuations non justifiées, d'omissions et d'erreurs. L'analyse de M. Richard cherche à mettre en garde le téléspectateur et promeut les recherches universitaires sur le sujet qui sont « plus sûres et plus avancées ». Par ailleurs, la plupart des images d'archives utilisées relèveraient de la propagande car filmées par des professionnels travaillant pour les armées[34].

Les propos de Costelle lors d'une émission de France Culture en au sujet du documentaire Apocalypse, la guerre des mondes font polémique. Le réalisateur affirme à l'occasion de cette émission « [qu'] il n’y a jamais eu ce qu’on appelle l’impérialisme américain ». Costelle déclare également que « les historiens communistes sont les complices du goulag » [35],[36].

Distinctions

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Filmographie

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Courts-métrages de fiction

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Long-métrage de fiction

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Assistant réalisateur

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Documentaires

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Daniel Costelle est l’auteur de plus de 180 documentaires[réf. nécessaire] pour l’ensemble des grandes chaînes de télévisions françaises. Ses principales séries et émissions sont les suivantes :

Publications

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    • Les Prisonniers, Flammarion, 1975
    • Histoire de L'Aviation, Larousse, 1978 (Ouvrage couronné par l'Académie Française)
    • Histoire des Trains, Larousse, 1979
    • Histoire des Jeux Olympiques, Larousse, 1980
    • Histoire de la Marine, Larousse, 1981
    • Ma Vie Pleine de Trous (av. Alphonse Boudard), Plon, 1986
    • Une Sacrée Guerre (En coll. av. Pierre Clostermann), Flammarion, 1989
    • Fatima, Un Miracle et Trois Secrets, François Bourin, 1991
    • Lorsque Marie Parait, Robert Laffont, 1993
    • Le XXème Siècle raconté à Clémentine, Editions du Rocher, 1999
    • Images Inconnues de l’Aviation, Le Cherche-Midi éditeur, 2003
    • , images inconnues, Les Éditions de l’Archipel, 2005
    • Eva Braun, dans l’intimité d’Hitler, L’Archipel, 2007
    • Apocalypse - la 2e Guerre mondiale, Acropole, 2010
    • La Traque des Nazis (avec Isabelle Clarke, Beate et Serge Klarsfeld), Acropole, 2010
    • La Tragédie des Harkis (avec Isabelle Clarke), Acropole, 2010
    • Apocalypse – Hitler (avec Isabelle Clarke), Acropole, 2011
    • Apocalypse - la 1re Guerre mondiale (avec Isabelle Clarke), Flammarion, 2014
    • Sacrifice : Du Débarquement à la Libération de Paris (avec Isabelle Clarke et Frédéric Lumière), Acropole, 2014
    • Apocalypse – Staline (avec Isabelle Clarke), Acropole, 2015
    • Apocalypse – Verdun (avec Isabelle Clarke), Flammarion, 2016

Références

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  1. « Brève : Daniel Costelle] », Journal de 13 heures de France 2, présentation Daniel Bilalian, 17 juin 2003,, sur INA.
  2. Costelle, Daniel (1936-....), notice d'autorité personne no FRBNF11897814, catalogue général de la BnF. Créée le 23 janvier 1976, mise à jour le 17 février 2006. Consultée le 26 septembre 2009.
  3. Daniel Costelle (1936 - ...), sur Bibliopoche.com. Consulté le 26 septembre 2009.
  4. Daniel Costelle et Isabelle Clarke, le couple d’« Apocalypse », La Croix, 18 mars 2014.
  5. Daniel Costelle (Apocalypse Staline) : « Isabelle Clarke n’est pas mon épouse, c’est moi qui suis son mari ! », TéléZ, 20 mai 2019.
  6. a et b Pierre Hedrich, « Clarke et Costelle, un couple haut en couleur », sur L'Obs, .
  7. « Apocalypse », c'est eux !, Le Parisien, .
  8. Vous avez interviewé Daniel Costelle et Isabelle Clarke, auteurs du livre « Apocalypse Hitler », 20 minutes, 4 novembre 2011.
  9. « Daniel Costelle », sur Babelio (consulté le ).
  10. « Daniel Costelle », sur Evene.fr (consulté le ).
  11. « Prisonniers nazis en Amérique », sur lagrandeoursedieppe.fr/.
  12. « RMC Découverte retrace l'histoire de l'aviation dans un documentaire restauré et colorisé », Ouest-France,‎ .
  13. « Biographie | Richard Sanderson | Chanteur Compositeur Producteur », sur Richard Sanderson (consulté le ).
  14. Mireille Parailloux, « Il a donné des couleurs aux héros de l'aviation », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  15. a b et c Isabelle Hanne, « La guerre un ton au-dessus », sur Libération (consulté le ).
  16. « « Apocalypse » ravive la Grande Guerre en couleurs », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. Franck Nouchi, « Redonner des couleurs à l'Histoire ?, par Franck Nouchi », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. Académie des César, « Remerciements, Vincent Mathias, César 2018 de la meilleure photo pour Au revoir la-haut », (consulté le ).
  19. « Au revoir là-haut par Pierre Quefféléan - ADC », sur www.adcine.com (consulté le ).
  20. Interview de Mathieu Kassovitz dans Aujourd’hui en France , septembre 2009.
  21. Pierre Hedrich, « Mathieu Kassovitz, la voix d'"Apocalypse" », sur teleobs.nouvelobs.com, (consulté le ).
  22. Jean-Luc Bertet, « Une remarquable Apocalypse », sur lejdd.fr, (consulté le ).
  23. a et b Myriam Perfetti, « France 2 franchit la ligne de démarcation », sur www.marianne.net, 2009-09-05utc10:00:00+0200 (consulté le ).
  24. Paris Match, « “Sacrifice” - Isabelle Clarke et Daniel Costelle: l'histoire d'une passion », sur parismatch.com (consulté le ).
  25. « « Apocalypse » passionne les ados », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  26. Marie Desnos, « Le palmarès des Globes de Cristal », sur parismatch.com, 19 févier 2010.
  27. « La série documentaire Apocalypse triple DVD de diamant », Le Blog TV News,‎ .
  28. a et b « Apocalypse : La série documentaire se vend bien à l'étranger », sur Premiere.fr, (consulté le ).
  29. Communiqué de presse de France 2 « France 2 se félicite du succès de sa série événement, Apocalypse la première guerre mondiale », 10 avril 2014.
  30. « Les plus beaux succès français à l’international de ces 25 dernières années | CNC », sur www.cnc.fr (consulté le ).
  31. Jules, « Les documentaires à voir absolument sur Netflix », sur Journal du Geek, (consulté le ).
  32. Candice Dupret, « Salto : les 10 meilleurs documentaires à ne surtout pas rater ! », sur www.programme-tv.net, (consulté le ).
  33. « CC&C | A propos », sur www.cccprod.com (consulté le ).
  34. Lionel Richard, « « Apocalypse » ou l’histoire malmenée », sur Le Monde diplomatique, (consulté le ).
  35. « Actualités : "1989" et "Apocalypse, la guerre des mondes" », sur France Culture (consulté le ).
  36. Pierre Rimbert, « L’histoire en roue libre », sur Le Monde diplomatique, (consulté le ).
  37. Décret du 31 décembre 2002 portant promotion et nomination, JORF no 1 du 1er janvier 2003, p. 9, texte no 3, NOR PREX0206237D, sur Légifrance. Consulté le 26 septembre 2009.
  38. [vidéo] « Apparitions à Fatima Le Film », sur YouTube.

Liens externes

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