Glisy
Glisy | |||||
Église Saint-Léger. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Amiens | ||||
Intercommunalité | CA Amiens Métropole | ||||
Maire Mandat |
Guy Penaud 2020-2026 |
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Code postal | 80440 | ||||
Code commune | 80379 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Gliséins | ||||
Population municipale |
842 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 152 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 52′ 42″ nord, 2° 23′ 57″ est | ||||
Altitude | Min. 21 m Max. 70 m |
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Superficie | 5,55 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Amiens-4 | ||||
Législatives | 2e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.ville-glisy.fr/ | ||||
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Glisy est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Séparée d'Amiens par Camon, Longueau et Cagny, Glisy n'est éloignée de l'agglomération amiénoise que de quelques kilomètres. Le viaduc Jules-Verne passe à l'ouest du territoire communal et la route départementale d'Amiens à Péronne traverse la commune. À l'est, les bois de Trouville et de l'Abbé matérialisent les limites de la collectivité.
Camon | Lamotte-Brebière | |||
Longueau | N | Blangy-Tronville | ||
O Glisy E | ||||
S | ||||
Boves |
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Somme canalisée, la Cité du Château[1] et un autre petit cours d'eau[Carte 1].
Le canal de la Somme, construit entre 1770 et 1827, et mis au gabarit Freycinet en 1880, est long 170 km. Il débute à Saint-Simon où il touche au canal de Saint-Quentin et débouche dans la baie de Somme[2].
Deux plans d'eau complètent le réseau hydrographique : le Grand étang (4,4 ha) et le Petit étang (2,1 ha)[Carte 1],[3].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Somme aval et Cours d'eau côtiers ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[4].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 683 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 646,6 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,6 | 1,6 | 3,4 | 5,1 | 8,4 | 11,4 | 13,4 | 13,3 | 10,7 | 8 | 4,7 | 2,2 | 7 |
Température moyenne (°C) | 4,2 | 4,7 | 7,5 | 10,1 | 13,5 | 16,5 | 18,7 | 18,7 | 15,6 | 11,8 | 7,6 | 4,7 | 11,1 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,7 | 7,8 | 11,5 | 15,2 | 18,5 | 21,6 | 23,9 | 24 | 20,5 | 15,6 | 10,5 | 7,1 | 15,2 |
Record de froid (°C) date du record |
−14,6 10.01.09 |
−12,7 07.02.1991 |
−10 04.03.05 |
−3,9 08.04.03 |
−1,2 07.05.1997 |
0,1 05.06.1991 |
4,5 04.07.1990 |
5,2 08.08.1990 |
1,1 27.09.1990 |
−5,4 30.10.1997 |
−9,5 24.11.1998 |
−13,5 29.12.1996 |
−14,6 2009 |
Record de chaleur (°C) date du record |
15,8 09.01.15 |
19,4 24.02.1990 |
24,1 31.03.21 |
26,7 19.04.18 |
31,5 27.05.05 |
36 27.06.11 |
41,7 25.07.19 |
38,1 10.08.03 |
34,2 15.09.20 |
28 10.10.23 |
20,7 07.11.15 |
17,1 07.12.00 |
41,7 2019 |
Ensoleillement (h) | 637 | 865 | 1 469 | 2 063 | 2 027 | 2 203 | 224 | 1 881 | 168 | 1 169 | 711 | 665 | 17 609 |
Précipitations (mm) | 48,8 | 45 | 45,3 | 39,4 | 55,9 | 54,6 | 58,9 | 59,9 | 48,4 | 57,7 | 60,4 | 72,3 | 646,6 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Glisy est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (48,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (23,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (41,3 %), terres arables (31,1 %), zones humides intérieures (20,6 %), zones urbanisées (6,8 %), eaux continentales[Note 3] (0,2 %)[14]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Glissy en 1105 (Fondat. de l'abbaye de St.-Fuscien. Gallia Christiana) ; Glisy en 1145. (Sanson, arch. de Reims. Cartulaire de Saint-Acheul) ; Glisi en 1147. (Thierry, évêque d'Amiens) ; Glisiacum en 1218. (Everard, évêque d'Amiens. Cart. de Fouilloy) ; Glysys en 1579 (Ortelius.) ; Glissi en 1648. (Pouillé) ; Glizy en 1753. (Doisy)[15].
Albert Dauzat qui ne connaît pas de forme ancienne, identifie correctement un toponyme en -(i)acum[16], suffixe d'origine gauloise de localisation, puis de propriété. Selon lui, le premier élément Glis- représenterait l'anthroponyme latin Glitius[16]. L'aspect originel du toponyme serait *Glitiacum au sens global de « propriété de Glitius ». Ernest Nègre, qui ne cite pas de forme ancienne non plus, contrairement à son habitude, reprend presque mot pour mot l'explication de Dauzat, en précisant que le nom de personne est roman[17]. Xavier Delamarre leur emboîte le pas, mais considère que le nom de personne est celtique (gaulois) et le cite sous la forme Glitios[18].
Remarque : la forme Glysys du XVIe siècle sur laquelle s'est fondé un instituteur du XIXe siècle pour formuler une hypothèse, est isolée et sa graphie fantaisiste.
Histoire
[modifier | modifier le code]Protohistoire
[modifier | modifier le code]Des enclos protohistoriques ont été mis au jour sur le territoire de la commune. Des silos, des vestiges d'habitats et de sépultures, des poteries datant du premier âge du fer (Civilisation de Hallstatt) ont été retrouvés.
Antiquité
[modifier | modifier le code]Des vestiges de villa gallo-romaine ont été mis au jour.
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Des pièces mérovingiennes ont été découvertes dans les tourbières ; elles sont déposées au musée de Picardie à Amiens.
Un château commandait la Somme. Il était tenu par la branche des Louvel de Glisy dont les armoiries se blasonnaient ainsi : « d'argent à la bande fuselée de gueules de cinq pièces : trois losanges entières et deux demies[19] ;
Époque moderne
[modifier | modifier le code]En 1636, les Espagnols brûlent Glisy[19].
Les terres du marquis de Caussam, seigneur du lieu émigré, sont vendues le 4 nivôse an II[19].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Première Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Sept soldats étrangers, australiens ou britanniques, sont enterrés dans le cimetière communal. Ils sont morts en avril ou à la bataille de Villers-Bretonneux[20].
Seconde Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]L'aérodrome servit de base aérienne aux Allemands durant la Seconde Guerre mondiale.
Le monument aux morts évoque deux déportés politiques et un déporté du travail comme « victimes de la barbarie nazie »[20].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Distinctions et labels
[modifier | modifier le code]Au classement du concours des villes et villages fleuris, trois fleurs récompensent les efforts locaux en faveur de l'environnement[28],[29].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].
En 2021, la commune comptait 842 habitants[Note 18], en évolution de +18,76 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Pour l'année scolaire 2016-2017, l'école fait partie d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec celle de Blangy-Tronville depuis 1994 et comporte quatre classes.
La garderie et la restauration scolaire sont installées sur la commune[34].
Cultes
[modifier | modifier le code]- Pour le culte catholique, Glisy fait partie de la paroisse Saint-Domice.
Économie
[modifier | modifier le code]Sur le territoire de la commune, se trouve l'aérodrome d'Amiens. Celui-ci est géré par la chambre de commerce et d'industrie d'Amiens.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Eglise Saint-Léger
[modifier | modifier le code]Edifice tout en brique construit dans la seconde moitié du XIXe siècle.
Monument aux morts
[modifier | modifier le code]Le monument aux morts de Glisy a la forme d'obélisque gravé d'une Croix de guerre, inauguré en 1930[20].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'argent à la bande fuselée de gueules de cinq pièces, accompagnée d'une aigle du même au canton senestre du chef[35]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Inventaire général du Patrimoine culturel. Églises et chapelles des XIXe et XXe siècles (Amiens métropole). Textes : Isabelle Barbedor. Photographies : Thierry Lefébure. Lyon : Lieux-Dits, 2008, 72 pages. (ISBN 978-2-914528-47-4).
- Glisy (Somme) : les terres de ville, une riche ferme gauloise, Amiens, DRAC Picardie, 2003, Collection Archéologie en Picardie, 27, 8 p.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Antoine Corbillon était agent municipal.
- V est décédé le 11 fructidor an IX (29 août 1801).
- François Bauduin, décédé le 15 mai 1809, étant maire.
- Honoré Corbillon, décédé le 4 mai 1816, étant maire.
- Pierre Saguier, né à Villers-Bocage le 29 juin 1755.
- Frédéric Bellenger, né à Glisy le 30 novembre 1799.
- Alexandre Boullé, né le 17 décembre 1806.
- Isidore Cresson, né le 18 juillet 1807.
- Lucien Guérin, né à Glisy le 2 juillet 1846, décédé le 1er octobre 1910, étant maire.
- Né le 20 mai 1842.
- Né à Glisy le 15 juillet 1873, décédé à Glisy le 30 août 1920, étant maire.
- Décédé le 11 mai 1926, étant maire.
- , nOvide Poiré, né à Glisy le 11 septembre 1884, décédé à l'hôpital de Corbie (Somme) le 14 janvier 1943.
- Théodore Sueu, né à Verton (Pas-de-Calais) le 13 mars 1867. Conseiller municipal de Glisy à partir de 1926. Nommé les 11 mai 1941 et 22 janvier 1945 président de la délégation spéciale remplaçant le conseil municipal, alors dissout.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Glisy » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Sandre, « la Cité du Château »
- Sandre, « le canal de la Somme »
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- « SAGE Somme aval et Cours d'eau côtiers », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Méaulte) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Glisy ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, T 1, Paris / Amiens, 1867 - 1878, p. 426. (lire en ligne sur DicoTopo) [1]
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 322b.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, Genève, p. 560, n° 9128 (lire en ligne) [2]
- Xavier Delamarre, Noms de lieux celtiques de l'Europe ancienne : Dictionnaire, éditions Errance, Actes Sud, 2012 (lire en ligne) [3]
- Notice géographique et historique rédigée par l'instituteur, M. Debéthune, 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens.
- Courrier picard, 18 décembre 2016, « Glisy, le monument aux morts », p. 8.
- Source pour la période 1800-1945 : Archives départementales de la Somme, dossiers 3 M 79, 147, 282, 378, 460, 1269.
- 1er messidor an VIII.
- 19 fructidor an IX.
- Le Courrier picard, édition Région d'Amiens du 1er avril 2008
- « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, .
- Térézinha Dias, « Le maire de Glisy briguera bien un deuxième mandat : Fin du suspens à Glisy, où l'actuel maire Guy Penaud vient d'officialiser sa candidature aux municipales de mars prochain », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Le maire Guy Penaud (67 ans), à la tête de Glisy depuis 2014 après 39 années à occuper les fonctions de secrétaire de mairie, sollicitera bien le suffrage des Gliséens en mars prochain lors de l'élection municipale ».
- « Un second mandat pour Guy Penaud à Glisy », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des localités figurant au palmarès des villes et villages fleuris », sur Villes et villages fleuris (consulté le ).
- Classement 2016 sur Courrier picard du 21 novembre 2016.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Site communal
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).