Aller au contenu

Chaumot (Yonne)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Chaumot
Chaumot (Yonne)
La Mairie de Chaumot depuis la place Saint-Louis
Blason de Chaumot
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Yonne
Arrondissement Sens
Intercommunalité Communauté de communes du Gâtinais en Bourgogne
Maire
Mandat
Sylvie Guilpain
2020-2026
Code postal 89500
Code commune 89094
Démographie
Population
municipale
697 hab. (2021 en évolution de −10,76 % par rapport à 2015)
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 04′ 54″ nord, 3° 13′ 07″ est
Altitude Min. 90 m
Max. 201 m
Superficie 14,86 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Sens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Villeneuve-sur-Yonne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Chaumot
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Chaumot
Géolocalisation sur la carte : Yonne
Voir sur la carte topographique de l'Yonne
Chaumot
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Voir sur la carte administrative de Bourgogne-Franche-Comté
Chaumot
Liens
Site web chaumot-yonne.fr

Chaumot est une commune française située dans le département de l'Yonne et la région de Bourgogne-Franche-Comté, bien que n'appartenant pas historiquement à la Bourgogne, mais à la Champagne. Son clocher massif perché sur la Montagne marque l'entrée de la région naturelle du Gâtinais.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

Chaumot se trouve dans le canton de Villeneuve-sur-Yonne et le village domine les alentours sur une très haute colline dite la Montagne dont la pente sud est flanquée de falaises de craie percée de vinées. Son point le plus haut est à 201 mètres (hameau du Moulin à Vent), le plus bas à 90 mètres (Préaux), au château d'eau à proximité du hameau de la Guetterie, sur un plateau datant de l'ère tertiaire, au sol gras rouge et gris à silex, avec des argiles jaunâtres et du sable blanc siliceux. La commune est parsemée de grands bois et autrefois d'arbres à cidre; dans le vallon-gorge, on voit à nu la craie blanche à silex, avec deux puits de 40 mètres de profondeur; les deux puits du village (sur le plateau) tarissent lorsque le temps est sec. Ils mesurent d'abord 16 mètres de profondeur pour atteindre 72 m dans la craie.

Des sols de grès sauvages se trouvent au lieu-dit des Pieds-Gras et aux Roux et des amas pauvres d'argile jaunâtre et de sable à Mardelin. D'anciennes marnières sont situées sur le plateau et dans le vallon. Elles servaient à amender les terres autrefois. Les côtes sont de terre rouge caillouteuse et crayeuse et avant la crise du phylloxéra à la fin du XIXe siècle étaient recouvertes de vignobles. La nature des sols se retrouve dans les constructions. En effet, traditionnellement les longères, fermes et anciennes maisons de vignerons sont construites en cailloux et grès sauvages avec des chemins en silex, aujourd'hui recouverts de macadam.

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Dans le vallon trois belles sources donnent naissance au ru de Chaumot. Elles alimentaient autrefois trois étangs au lieu d'un aujourd'hui. La source principale, dite la Fontaine-Rouge se trouve près du Moulin Neuf, entouré de grandes prairies sur un sol d'alluvions glaiseux d'un gris noirâtre ; un lac dit étang de 35 arpents (presque 18 hectares) se trouvait jadis aux Lagneaux, d'autres lacs plus petits, mais pas moins immenses se trouvaient à Mardelin : étang des Madeaux, à Tourneboules : étang des Tourneboules, aux Taffoireaux: étang des Taffoureux, les deux chapelets d'étangs aux Garangers : étangs des Garangères, mais aussi des étangs à proprement parler à la Fontaine-Rouge : étang des Préaux, et le chapelet d'étangs d'agrément de l'ancien château : le grand miroir d'eau des fontaines de Bourienne et son réservoir inférieur toujours existant où se situe le lavoir construit par Paul Delpech en 1736 sur l'emplacement d'un ancien moulin à eau, et en face duquel est l'actuel moulin de tournebride (XIXe s).

Une grande machine à roue et pompes hydrauliques construite par Paul Delpech en 1714 était derrière ce lavoir dans une cave à étages. Détruite en 1792 au moment du sac du château de Chaumot avant que ces éléments ne soient entreposés et vendus à Villeneuve-sur-Yonne, cet important dispositif de pompage des eaux des fontaines de Bourienne était destiné à alimenter en eau les jardins du château et le parc de Chaumot, en tout cinq imposants jets d'eau.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 721 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Savigny-sur-Clairis », sur la commune de Savigny-sur-Clairis à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 732,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,9 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −21 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Chaumot est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,7 %), forêts (14 %), zones agricoles hétérogènes (10,3 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Chaumot se nommait Chaumoth et plus anciennement Calmottum : calm de kal et de calmis signifiant roche ou hauteur dénudée, ce qui s'accorde bien avec l'apparence du site. Les correspondances germanophone et italophone du prince François-Xavier de Saxe et son épouse la comtesse Claire Spinucci présentent parfois "Chaumote", indiquant ainsi la manière orale de prononcer Chaumot sous l'Ancien Régime.

Cette commune, à l'origine trois fois moindre et morcelée, a été fondée à la Révolution française sur le regroupement de trois seigneuries : Chaumot, Mardelin et Préaux, qui avaient chacune leur château, prison, colombier, fiscalité, contributions directes et juridiction.

La seigneurie de Chaumot devint, de loin, la plus considérable. Le fermier général Paul Delpech de Chaumot fit reconstruire le château, puis ses héritiers le vendirent en 1771 au prince François-Xavier de Saxe, oncle de Louis XVI, Louis XVIII et Charles X.

Selon les travaux historiques de Mathieu Couty et de Patricia Colfort, la population de Chaumot (environ 350 habitants) fut dans son âge d'or à partir de 1771, et durant plusieurs années, à 25% germanophone grâce à la courte installation au château de Chaumot de la cour des princes et princesses de Saxe, qui comprenait "120 personnes et 60 chevaux".

Le château fut mis à sac sous la Révolution, puis rapidement dépecé et détruit sous l'Empire, en 1809. Mais son grand parc subsiste malgré la disparition des jardins.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Les maires de Chaumot

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1790 1792 Le citoyen Rossignol[13] Révolutionnaire Premier maire de Chaumot
1792 1794 François Genty   Cultivateur
1794 1795 Pierre Lanoux   Laboureur
1795 1796 Jean Vieillard   Vigneron
1796 1797 Jacques Leriche    
1797 1798 Pierre Lanoux   Laboureur
1799 1801 Philibert Mayet    
1801 1813 Jean Vieillard   Vigneron
1813 1814 Jean Brissot   Propriétaire laboureur
1815 1832 Jules de Boisperré    
1832 1843 Claude Pesloux   Propriétaire
1844 1847 Jean Brissot   Propriétaire laboureur
1847 1849 Etienne Lasseron   Propriétaire cultivateur
1850 1870 François Landrier   Propriétaire cultivateur
1871 1872 François Vieillard   Propriétaire charron
1872 1874 Pierre Creuzard   Vigneron
1874 1878 Romain Labbé   Propriétaire vigneron
1879 1900 Auguste-Antoine Richet   Rentier
1900 1904 Louis-Charles Piat   Propriétaire tonnelier
1904 1911 Louis-Aléxis Piédalet   Tonnelier
1912 1914 Alfred Favereau   Propriétaire cultivateur
1915 1918 Jules Fromageot, Adjoint faisant fonctions de maire   Meunier du Moulin de la Fontaine
1919 192? Alfred Favereau   Propriétaire cultivateur
avant 1988 ? Andrée Tonnelier    
mars 2001 2008 Jean-François Grégoire DVD  
mars 2008 En cours Sylvie Guilpain[14] DVD Fonction publique

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[16].

En 2021, la commune comptait 697 habitants[Note 3], en évolution de −10,76 % par rapport à 2015 (Yonne : −2,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
602618572558613654705748717
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
728795772774705665686682642
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
608588523433397413409387366
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
325388385406464503608635686
2014 2019 2021 - - - - - -
773708697------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]
François-Xavier de Saxe et sa propriété du château de Chaumot, 1772.
Vue en été.

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • Le château de Chaumot fut édifié au cours du Xe siècle et reconstruit à la moderne au XVIe siècle dans le creux du vallon, au sud-est du hameau des Vinées. La légende raconte que Saint Louis aurait fait jaillir de sa lance les trois sources du château.
    Après avoir appartenu au prince François-Xavier de Saxe où il logeait sa cour et sa famille, oncle de Louis XVI, il fut détruit et pillé après la Terreur. Louis Jacques Thénard en avait déplacé les deux tourelles et les a rattachées à sa ferme ; il n'en reste qu'une seule. Il ne subsiste du château que ruines, aqueducs souterrains, parc, sources, traces de bassins et jardins, caves, quelques communs.

Deux princesses ont été baptisées dans la chapelle Sainte-Marie-Madeleine du château de Chaumot : Béatrix de Saxe épouse Rario-Sforza di Corleto en 1772, et Cunégonde de Saxe épouse Patrizi Naro Montoro en 1774.

  • L'église Saint-Louis, dresse la masse imposante de son clocher au cœur du village, érigé par Paul Delpech de 1723 à 1725.
  • Il existe (non à l'air libre) entre le village et les Vinées, une nécropole mérovingienne et carolingienne, située sur un terrain pentu et en bord de falaise, jadis recouverte par les vignes.
  • Le lavoir, le mardelin, le tourne-bride, les caves du château, le moulin vieux en ruines et sa cascade, le moulin neuf ayant appartenu à l'actrice et danseuse Leslie Caron (dit moulin de la Fontaine-Rouge), le moulin de Tournebride et sa roue, les digues d'anciens étangs, les grandes sources l'étang et le parc, les bois du legs Thénard, la jardinerie et la serrurerie du château, le vieux café, le presbytère, la mairie et l'école. L'artiste Berthold Mahn avait sa dernière maison au hameau des Lorris où il finit ses jours.
  • L'actuel n°32 rue Louise Thénard, place Saint Louis, abritait pendant l'occupation nazie une Ortskommandantur et ses officiers allemands logeant chez l'habitant, vis-à-vis la façade nord de l'église sur laquelle pendait un grand drapeau rouge avec croix gammée.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Chaumot Blason
Coupé émanché ondé de deux pièces et deux demi d'azur sur trois pièces d'argent, celle du milieu plus élevée, chaque émanché d'argent surmontée d'une fleur de lys au pied nourri du même, celle du chef surchargée d'une fleur de lys d'or ; l'argent chargé d'un tunnel de sinople mouvant de la pointe et surchargé d'un fer de moulin d'argent ; à deux têtes de dragon affrontées d'or mouvant des flancs et engoulant une divise de sable chargée d'un cœur d'or accosté de six besants du même ordonnés 2 et 1 de chaque côté, le tout brochant[23].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Victor Petit, Lithographie "Restes du Chaumot", dans Les Châteaux de France, par Victor Petit, 1840.
  • Victor Petit, "Chaumot", dans Annuaire Historique du Département de l'Yonne, 1845.
  • Jules Vernier, Correspondance inédite du prince Xavier de Saxe, connu en France sous le nom de Comte de Lusace, précédé d'une notice sur sa vie, Librairie historique et archéologique Dumoulin, 1874.
  • Valérie d'Anglejan Chatillon, Deux éducations aristocratiques à la fin du XVIIIe siècle : les princes Louis et Joseph de Saxe, College royal de Navarre, 1981.
  • Jacques Gyssels, Un inventaire du château de Chaumot en 1699, les Amis du Vieux Villeneuve, Etudes villeneuviennes n°9, 1986.
  • Jean-Luc Dauphin, L’église Saint-Louis de Chaumot, les Amis du Vieux Villeneuve, Collection "Terres d'Histoire", 1986, réédition 1996.
  • Mathieu Couty, Le château de Chaumot au temps de Xavier de Saxe: un domaine rural en Villeneuvien au crépuscule de l'Ancien Régime, Les Amis du Vieux Villeneuve, Collection "Terres d'Histoire", 1996.
  • Mathieu Couty, Chaumot, 1775 : scandale au château, les Amis du Vieux Villeneuve, Etudes villeneuvienne n°24, 1996.
  • Guillaume Cardascia, Les terrasses de Chaumot, ou les rêves de Xavier de Saxe, un oncle maternel de Louis XVI, Editions Tarmeye, 2002.
  • Etienne Meunier, Notes pour servir à l'histoire des seigneurs de Chaumot de 1493 à 1634, les Amis du Vieux Villeneuve, Etudes villeneuviennes n° 36.
  • Jacques Gyssels et Mathieu Couty, De quelques aménagements au château de Chaumot, les Amis du Vieux Villeneuve, Etudes villeneuviennes n°40, 2009.
  • Jim Serre Djouhri, Le savant et les chenilles : Chaumot 1838-1839, les Amis du Vieux Villeneuve, Etudes villeneuviennes n°44, 2011.
  • Jim Serre Djouhri, préface de Jacques Gyssels, Le château de Chaumot en Champagne au temps de Paul Delpech, financier général de Paris en Limagne : un grand domaine féodal au XVIIIe siècle avant le prince Xavier de Saxe, Edition Jim Serre Djouhri, 2021.
  • Recherches et conservation des ouvrages de la bibliothèque du prince Xavier de Saxe à la Bibliothèque Mazarine (Paris)
  • Recherches et conservation des archives de Xavier de Saxe, aux Archives Départementales de l'Aube (Troyes)
  • Colloques et travaux universitaires actuels :
  1. Christian Terraux, Correspondance et réseaux d'une maison princière dans l'Europe du XVIIIe siècle, Université Paris-Sorbonne, 2005.
  2. Patricia Colfort, Le château de Chaumot à la veille de la Révolution française, Université de Reims Champagne-Ardenne, 2006.
  3. Vincent Dupanier, Les résidences de Xavier de Saxe : un prince allemand en France (1758-1791), Université Paris Nanterre, 2019.
  4. D'Allemagne en Champagne : Xavier de Saxe (1730-1806), seigneur de Pont-sur-Seine, actes du colloque, 6 et , textes réunis par Jean-Luc Liez, Troyes, Communauté de l'agglomération troyenne (CAT) et Archives de l'Aube, 2008. Programme
  5. Colloque à Chemnitz en et exposition au Schlossbergmuseum de Chemnitz à l'automne 2009. Catalogue de l'exposition : Die Gesellschaft des Fürsten. Prinz Xaver von Sachsen und seine Zeit. Programme
  6. Exposition à l'Université de Reims Champagne-Ardenne (Bibliothèque universitaire Robert de Sorbon), du au  : Sur les traces de Xavier de Saxe (1730-1806) : un prince européen en Champagne

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Chaumot et Savigny-sur-Clairis », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Savigny-sur-Clairis », sur la commune de Savigny-sur-Clairis - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Savigny-sur-Clairis », sur la commune de Savigny-sur-Clairis - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Chaumot ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Sens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Patricia Colfort, Le Château de Chaumot à la veille de la Révolution française, Université de Reims Champagne-Ardenne, 2006, p.172.
  14. Conseil général de l’Yonne, Ma Commune, consulté le 15 décembre 2013.
  15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  19. a b c et d Mathieu Couty, Le château de Chaumot au temps de Xavier de Saxe : un domaine rural en Villeneuvien au crépuscule de l'Ancien Régime, Villeneuve-sur-Yonne, Amis du Vieux Villeneuve-sur-Yonne, Société Historique, Archéologique, Artistique et Culturelle du canton de Villeneuve-sur-Yonne, , 128 p.
  20. dir. Benoît Yvert, Premiers ministres et présidents du Conseil depuis 1815 : Histoire et dictionnaire raisonné, Perrin, , 730 p., p. 99
  21. On le donne souvent à tort comme étant né en 1893, probablement à cause de références bibliographiques non vérifiées. Par ex. dans RKDartists.
    Le 25 décembre 1881 est la date qui figure dans la notice d'autorité du catalogue général de la BnF
  22. Jim Serre Djouhri, "De Hollywood au Moulin Neuf, dans les pas de l'actrice Leslie Caron", Bulletin des Etudes Villeneuviennes n °57, Société Historique, Archéologique, Artistique et Culturelle des Amis du Vieux Villeneuve-sur-Yonne, 2022.
  23. « Chaumot (Yonne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).