Sahune
Sahune | |||||
Vue sur l'église paroissiale et le vieux Sahune | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Nyons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Baronnies en Drôme Provençale | ||||
Maire Mandat |
Marc Bompard 2020-2026 |
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Code postal | 26510 | ||||
Code commune | 26288 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Sahunais, Sahunaises | ||||
Population municipale |
302 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 18 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 24′ 56″ nord, 5° 16′ 05″ est | ||||
Altitude | Min. 331 m Max. 1 000 m |
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Superficie | 16,55 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Nyons (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Nyons et Baronnies | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Sahune est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Sahune est situé à 12 km à l'ouest de Rémuzat (chef-lieu du canton) et à 15 km au nord-est de Nyons.
Eyroles | Villeperdrix | Saint-May | ||
Eyroles Curnier |
N | Montréal-les-Sources | ||
O Sahune E | ||||
S | ||||
Curnier | Arpavon | Arpavon |
Relief et géologie
[modifier | modifier le code]Sahune est situé à l'entrée occidentale des gorges de l'Eygues, dites aussi gorges de Saint-May[1].
Sites particuliers[1] :
- Col de Corbière
- Col des Évêques
- Combe Sambonnière
- Montagne du plus Haut Laup (922 m)
- Roc de l'Aiguille
- Roche Longue
- Rocher de Bramard (936 m)
- Rocher de Gournier
- Rocher des Fées
- Rocher Roux (936 m)
- Serre Eynard
Géologie
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 930 mm, avec 7,2 jours de précipitations en janvier et 4,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Remuzat », sur la commune de Rémuzat à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 889,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par la route départementale 94[1].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Sahune est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nyons, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (66,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (36,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (28,8 %), zones agricoles hétérogènes (25,4 %), cultures permanentes (8,2 %), prairies (0,7 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Vieux village (abandonné) perché[13].
Quartiers, hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]Site Géoportail (carte IGN)[1] :
- Ancien village
- Baridier
- Berges
- Chapelle Saint-Joseph
- Clot d'Eve
- Fenestrelle
- Ferme de Fontbarno
- Ferme de Romezelier
- Ferme du Bois Chabert
- Ferme du Laup
- Ferme du plus Haut Laup
- Forêt Domaniale du Coucou
- la Barthalasse
- la Basse Caisse
- la Bergerie
- la Buse
- la Casse
- la Chapelle
- la Colombine
- l'Adret de la Lauze
- la Fontaine du Chien
- la Lauze
- la Lavine
- la Plaine Louvard
- le Bas Devès
- le Bramard
- le Châtelard
- le Colombier
- le Devès
- le Moulin
- le Perréras
- le Petit Laup
- les Crapoux
- le Serre
- les Flas
- les Grandes Blaches
- les Hermasses
- Pierre Maille
- Plamia
- Pont de la Tune
- Reillane
- Sainte-Colombe
- Saint-Jean
- Trépoul
Logement
[modifier | modifier le code]Projets d'aménagement
[modifier | modifier le code]Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]Attestations
[modifier | modifier le code]Dictionnaire topographique du département de la Drôme[14] :
- 1183 : mention de l'église Saint-Pierre : ecclesia Sancti Petri Assedunae (Masures de l'Isle-Barbe, 117).
- 1238 : Aseduna (inventaire des dauphins, 241).
- 1247 : Asseuna (J. Chevalier, Hist. de Die, 474).
- 1256 : Ansaduna (inventaire Morin-Pons, 410).
- 1284 : castrum de Anseduna (Valbonnais, II, 118).
- 1293 : Asseduna (inventaire des dauphins, 221).
- 1430 : Anssedunum (choix de documents, 334).
- 1459 : Sahuna (archives de la Drôme, E 1648).
- 1597 : Ancehune (archives de la Drôme, E 5187).
- 1624 : Sehune (archives de la Drôme, E 4409).
- 1891 : Sahune, commune du canton de Rémuzat.
Étymologie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Du Moyen Âge à la Révolution
[modifier | modifier le code]La première mention du castrum de Sahune (Anseduna) datent du début du XIe siècle (cartulaire du chapitre de Vaison). Il relevait alors du diocèse de Die. Plusieurs manses sont donnés par une famille présente le long de la vallée de l'Eygues[réf. nécessaire].
XIIe siècle : la paroisse relève du diocèse de Sisteron[réf. nécessaire].
Les plus anciens vestiges du château et du village datent du XIIIe siècle. Une chapelle, dédiée à saint Michel, était accolée au château[réf. nécessaire].
La seigneurie :
- Au point de vue féodal, Sahune relevait du domaine des Mévouillon ; les seigneurs, portant le nom de Sahune (ou Ancezune), leur en rendait hommage[réf. nécessaire].
- Les évêques de Die y avait également des droits dès le XIIIe siècle[réf. nécessaire].
- 1231 : au point de vue féodal, Sahune était une terre appartenant aux Ancezune[14].
- 1249 : les deux tiers de la terre passent aux Adhémar qui en font hommage aux dauphins puis les rendent aux Ancezune[14].
- Les Ancezune forment une baronnie avec Sahune, Arpavon, Curnier, Montréal et Marsoin[14].
- Autre version : au XIVe siècle, à la suite de la disparition des Mévouillon et des Montauban (qui dominaient la région des Baronnies), Jean de Sahune rassemble plusieurs seigneuries autour de Sahune et prend le titre de baron[réf. nécessaire].
- 1336 : la baronnie passe (par héritage) aux dauphins[14].
- Autre version : endetté et sans enfant, Jean de Sahune vend ses droits aux dauphins[réf. nécessaire].
- 1341 : elle est vendue aux princes d'Orange (de la maison de Baux)[14].
- 1389 : les princes dotent, de cette terre, l'épouse de Juel Rolland[14].
- Les princes d'Orange recouvrent cette terre[14].
- 1501 : elle passe aux Poitiers d'Allan[14].
- 1545 : elle passe (par mariage) aux Pape-Saint-Auban[14].
- 1739 : passe (par mariage) aux Bimard[14].
- 1763 : vendue aux Pourcet, derniers seigneurs[14].
1654 : pendant les guerres de Religion, le village est détruit par Montbrun[15][source insuffisante].
1680 (démographie) : 102 habitants. Quatre avaient une certaine fortune, douze vivaient en travaillant et le reste était pauvre[14].
XVIIe siècle : le village est détruit sur ordre de Richelieu par le comte de Montoison[15][source insuffisante].
Avant 1790, Sahune était une communauté de l'élection de Montélimar, de la subdélégation et du bailliage du Buis.
Elle formait une paroisse du diocèse de Sisteron dont l'église, dédiée à saint Pierre puis à saint Michel et saint Georges, était celle d'un prieuré de bénédictins (filiation de l'Île-Barbe) dont le titulaire présentait à la cure et prenait les dîmes de cette paroisse (voir Saint-Jean)[14].
Saint-Jean
[modifier | modifier le code]Dictionnaire topographique du département de la Drôme[16] :
- 1183 : ecclesia Sancti Johannis Assedune (Masures de l'Isle-Barbe, 119).
- 1891 : Saint-Jean, ferme et quartier de la commune de Sahune.
Emplacement d'un prieuré de l'ordre de Saint-Benoît (filiation de l'Île-Barbe et de la dépendance du prieuré de Saint-May). Il fut supprimé au XVIe siècle et, en 1637, il n'en restait que des ruines appartenant au seigneur de Sahune.
De la Révolution à nos jours
[modifier | modifier le code]En 1790, la commune est comprise dans le canton de Sainte-Jalle. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Rémuzat[14].
À partir de la Révolution, l'enceinte du vieux village sert de carrière de pierre[15][source insuffisante].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendance politique et résultats
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections législatives, la commune fait partie de la troisième circonscription de la Drôme. Avant mars 2015, elle faisait partie du canton de Rémuzat.
Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Finances locales
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[19].
En 2021, la commune comptait 302 habitants[Note 2], en évolution de −3,21 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Services et équipements
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Sahune dépend de l'académie de Grenoble.
Les élèves commencent leur scolarité à l'école maternelle du village, composé d'une classe de 24 enfants[22].
Ils poursuivent leurs études à l'école élémentaire de la commune, composée d'une classe de 19 élèves[23].
Les collèges et lycées les plus proches se situent à Nyons.
Santé
[modifier | modifier le code]Les professionnels de santé les plus proches se trouvent à Nyons.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Fête : le premier dimanche de juillet[13].
Loisirs
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]Médias
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]La paroisse catholique de Sahune dépend du diocèse de Valence, doyenné de Sahune[24].
Économie
[modifier | modifier le code]L'économie du village repose en grande partie sur l'activité agricole et notamment arboricole.
Agriculture
[modifier | modifier le code]En 1992 : lavande, vignes, vergers, ovins[13].
- Foire : le [13].
Cerises, abricots, raisins et olives y sont notamment cultivés. Les arboriculteurs qui récoltent l'abricot se sont regroupés en un syndicat et ont entrepris des démarches pour obtenir le label IGP[25].
La commune serait le berceau d'une race de brebis : la « race de Sahune ». Cette particularité était à l'origine, il y a quelques siècles, d'une foire intercommunale durant laquelle les éleveurs vendaient quelques bêtes de leur troupeau[26].
Commerce
[modifier | modifier le code]- bistrot restaurant La Forge[réf. nécessaire] ;
- boulangerie Paris[réf. nécessaire] ;
- épicerie Cocci Market Easy[réf. nécessaire] ;
- salon Virginie coiffure[réf. nécessaire] ;
- station service Total et garagiste Rasclard[réf. nécessaire].
-
Le bistrot La Forge a ouvert en mai 2019.
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Syndicat d'initiative (en 1992)[13].
- Gîtes et chambres d'hôtes[réf. nécessaire].
- Trois campings : les Oliviers, la Vallée bleue, Les Ramières.
- Le camping municipal est classé une étoile ; il est ouvert de début juin à début septembre. Il accueille touristes et travailleurs saisonniers qui viennent au village pour la cueillette des cerises et des abricots. Avant d'être utilisé pour accueillir des touristes, le terrain était un champ de lavande au début du XXe siècle. Il a ensuite servi de « parcours du combattant » pour les participants aux chantiers de jeunesse pendant la Seconde Guerre mondiale. Au moment de sa création en 1963, il était l'un des premiers campings municipaux du département[réf. nécessaire].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Les vestiges du vieux village, abandonné à partir du XIXe siècle, ont été dégagés par une équipe de bénévoles : restes du château féodal et de la chapelle castrale Saint-Michel (XIIIe siècle (propriété privée), ancienne église paroissiale (XVIIe siècle), anciennes ruelles, vestiges de quelques ateliers de cordonniers[27],[28].
- Au pied du Bramard, au quartier Saint-Jean, les restes de la chapelle du même nom ont été intégrés à un bâtiment agricole. Il en subsiste le chœur à chevet plat bien appareillé. Cette chapelle est citée dès le XIIe siècle et relevait en 1183 du prieuré de Saint-May et, par cet intermédiaire, de l'abbaye de l'Île Barbe à Lyon.
- Église Saint-Michel de Sahune (XIXe siècle)[13].
- Église Saint-Nicolas-et-Saint-Georges de Sahune.
- Chapelle Saint Joseph à Sahune.
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]Sahune fait partie du Parc naturel régional des Baronnies provençales créé en 2015. Elle abrite d'ailleurs le siège de ce parc[réf. nécessaire].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jean Besson (1948-) : sénateur de la Drôme (1989-2014), domicilié à Sahune, commune de l'ancien Canton de Rémuzat dont il a été le Conseiller général de 1979 à 2004.
Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Sahune possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Article connexe
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Site officiel
- Sahune sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2007.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- https://www.geoportail.gouv.fr/
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Sahune et Rémuzat », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Remuzat », sur la commune de Rémuzat - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Remuzat », sur la commune de Rémuzat - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nyons », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Sahune.
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 326 (Sahune, commune).
- « Sortie à Montréal-Les-Sources et Sahune 29 août 2009 », sur Patrimoine Histoire et Culture des…, (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 342 (Saint-Jean).
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- école maternelle.
- école primaire.
- paroisse de Sahune.
- « Abricot des Baronnies », sur abricotdesbaronnies.com (consulté le ).
- « Elevage ovin. La race Préalpes du Sud, performante et bien ancrée dans son terroir », sur Réussir Pâtre : Le média des éleveurs de moutons (consulté le ).
- « Les Amis du Vieux Sahune: conservation du patrimoine du village », sur Les amis du vieux Sahune (consulté le ).
- « Sahune | La Drôme Tourisme », sur ladrometourisme.com, (consulté le ).