Saint-Auban
Saint-Auban | |||||
Saint-Auban. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-Maritimes | ||||
Arrondissement | Grasse | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays de Grasse | ||||
Maire Mandat |
Claude Ceppi 2020-2026 |
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Code postal | 06850 | ||||
Code commune | 06116 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Aubanais | ||||
Population municipale |
213 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 5 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 50′ 57″ nord, 6° 43′ 38″ est | ||||
Altitude | Min. 899 m Max. 1 689 m |
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Superficie | 42,54 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Grasse-1 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Saint-Auban est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les saint-aubanais ou aubanais.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Le chef-lieu de Saint-Auban est situé à 29 kilomètres de Castellane, 60 kilomètres de Grasse et 31 kilomètres de Puget-Théniers[1].
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Commune située dans le parc naturel régional des Préalpes d'Azur[2], et limitrophe du parc naturel régional du Verdon.
La forêt domaniale[3] représente 1 691 hectares, se situant principalement dans les massifs du Pensier et de Bleine[4].
Sismicité
[modifier | modifier le code]Commune située dans une zone de sismicité moyenne[5].
Hydrographie et eaux souterraines
[modifier | modifier le code]Cours d'eau sur la commune ou à son aval[6] :
- rivière l'Estéron, la Gironde,
- ruisseaux de la Faye, du col des lattes, des lones,
- torrent de la sagne,
- vallons du riou, de la baume, de l'abey,
- ravin de verraillon.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (8 °C) et peu de brouillards[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 994 mm, avec 5,6 jours de précipitations en janvier et 5,1 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Mas », sur la commune du Mas à 11 km à vol d'oiseau[9], est de 9,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 236,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 32,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −13,5 °C, atteinte le [Note 1],[10],[11].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]Village desservi par la départementale D2211 depuis Puget-Théniers.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Village desservi par le Réseau régional de transport et le réseau Lignes d'Azur[14].
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Commune membre de la Communauté d'agglomération du Pays de Grasse.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Auban est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[16] et hors attraction des villes[17],[18].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (87,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (89 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (76,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,3 %), prairies (6,6 %), zones agricoles hétérogènes (6,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,5 %)[19].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
[modifier | modifier le code]Un peu à l'Ouest du village de Saint-Auban (Alpes-Maritimes), à la cote 1440 de l'État-major, se trouve une barre abrupte formant une gorge étroite et profonde, un thalweg de cassure creusé par l'Estéron, appelé aussi clue ou cluse sur l'extrémité Est de laquelle se trouve la relativement célèbre clue de Saint-Auban[20],[21], enceinte de pierres sèches ou Castelar[22],[23],[24], qui servira de base à son château féodal, aux ruines pittoresques.
Le village est cité en 1166 sous le nom de « Sancto Albano ». Le village était alors situé plus haut comme le montrent les restes de remparts.
Au XIIIe siècle, Saint-Auban est un chef-lieu de bailliage dont le suzerain est Raymond Béranger IV, Comte de Provence. En effet, en 1235 la vallée de Thorenc est conquise jusqu'à Saint-Auban par son officier Romée de Villeneuve, qui choisit Saint-Auban comme chef-lieu. Son rôle est de contrôler la frontière avec la principauté de Castellane et le commerce. Raymond Béranger IV se réserve la position stratégique de Gréolières-Haute.
À la mort de Raimond Bérenger en 1245, Romée de Villeneuve hérite par testament de la seigneurie de Vence, devient tuteur de la fille du Comte, Béatrice, comtesse de Provence et régent du Comté de Provence. En 1246, Romée de Villeneuve maria sa pupille à Charles d'Anjou, frère de Saint Louis, permettant ainsi la réunion de la Provence à la couronne de France.
En 1409, la seigneurie appartient aux Genovardis et passe aux Flotte d'Agoult en 1550[25], puis aux Villeneuve-Bargemon, en 1711.
Au XXe siècle, le village compte un téléski sur la montagne face au village au-dessus du lac ; en inactivité depuis 1990, les cinq pylônes sont démontés en [26].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Budget et fiscalité 2019
[modifier | modifier le code]En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[27] :
- total des produits de fonctionnement : 434 000 €, soit 1 887 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 545 000 €, soit 2 371 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 292 000 €, soit 1 268 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 272 000 €, soit 1 181 € par habitant ;
- endettement : 104 000 €, soit 453 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 10,60 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 9,49 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 26,53 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 17 450 €[28].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].
En 2021, la commune comptait 213 habitants[Note 2], en évolution de −8,58 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Établissements d'enseignement[33] :
- Écoles : maternelle et élémentaire ;
- collèges à Annot, Castellane, Puget-Théniers ;
- lycées à Grasse.
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels et établissements de santé[34] :
- Médecins à Valderoure, Entrevaux,
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique, Paroisse Sainte-Marie des Sources[35]Diocèse de Nice.
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]- Élevage[36], fromagerie des Défends.
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Gîtes ruraux[37].
Commerces
[modifier | modifier le code]- Commerce de proximité[38].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Route des clues de Provence[39] : la clue de Saint-Auban, gorges de 1 000 mètres environ, taillée dans la montagne par l'Estéron.
Cette clue est remarquable par la verticalité de ses parois. L'Estéron a creusé des marmites dans son lit, avec des cascades. Dans un grotte découverte au cours des travaux pour aménager la route a été aménagé l'oratoire de Notre-Dame-de-Lourdes.
Dans la clue, à 80 mètres au-dessus de la rivière se trouve la grotte d'Oneille[40] qui a été murée et aménagée en fort vers le XVIe ou XVIIe siècle. - Grotte-oratoire Notre-Dame-de-Lourdes dans les clues.
- Porte de Tra Castel[41].
-
L'église paroissiale.
-
L'entrée de la clue, côté Saint-Auban.
-
Marmites creusées par l'Estéron.
-
Cascades.
-
La clue.
-
Parois verticales.
Patrimoine religieux :
- L'église Saint-Étienne.
- Église Saint-Alban de Saint-Auban[42].
- L'église Saint-Joseph[43], aux Lattes, restaurée au XVIe siècle[44].
- La chapelle rurale Saint-Étienne[45].
- La chapelle Notre-Dame de la Visitation des Pénitents Blancs[46], avec un clocher-mur.
- Oratoire Saint-Étienne.
- Le monument aux morts[47].
Autres patrimoines :
- Les ruines du donjon et de l'enceinte du château, déjà cité au XIIIe siècle.
- Porte Tracastel.
- Menhir isolé : pierre levée[48].
- Le château, ancienne gendarmerie, avec une façade classique.
- Fontaine-lavoir, et lavoir.
- Musée des traditions[49].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | De gueules à la palm d’or adextrée, en chef d’une étoile d’argent chaussé d’argent aux deux croisettes de gueules[50]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Léon Chiris.
- François Hector d'Albert de Rions (1728-1802), contre-amiral, mort à Saint-Auban.
- Alban de Villeneuve-Bargemont qui a fait voter la loi réglementant le travail des enfants en 1841, est né à St Auban
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « OpenStreetMap », sur OpenStreetMap (consulté le ).
- Parc naturel régional des Préalpes d'Azur : Saint-Auban
- Clue et forêt domaniale de Saint-Auban
- Cartographie des espaces protégés, ZNIEFF
- Didacticiel de la règlementation parasismique
- L'eau dans la commune
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Auban et Le Mas », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le Mas », sur la commune du Mas - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le Mas », sur la commune du Mas - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- Réseau Lignes d'Azur
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Guébhard Adrien. Notes brèves pour la Commission d'Études des Enceintes préhistoriques et Fortifications anhistoriques. In:Bulletin de la Société préhistorique de France, tome 14, n°8, 1917. pp. 428-431 https://www.persee.fr/docAsPDF/bspf_0249-7638_1917_num_14_8_7642.pdf
- En topographie, le terme clue désigne un passage étroit, creusé par un torrent perpendiculairement à un massif montagneux, apparemment infranchissable. Comme toute topographie, elle est souvent à l'origine de la toponymie locale. Exemple: la clue de Sisteron, la clue de Barles, La Clusaz voir aussi http://www.donnees.paca.developpement-durable.gouv.fr/docHTML/atlas04/files/4de/4de_27_fc.pdf
- Les "castellars" sont des fortifications, des structures de pierres sèches, édifiées depuis « la préhistoire finissante » jusqu'au Haut Moyen Âge, dont l'identification et l'étude a constitué le cœur du travail du géologue et préhistorien Adrien Guebhard (1849-1924) https://www.archeoprovence.com/archeo/notes-et-billets/339-pionniers-de-la-prehistoire-en-pays-grassois https://www.idref.fr/05729206X
- Guébhard Adrien. Découvertes nouvelles de Castelars provençaux. Liste récapitulative. (Alpes-Maritimes). In: Bulletin de la Société préhistorique de France, tome 13, n°2, 1916. pp. 85-86 https://www.persee.fr/doc/bspf_0249-7638_1916_num_13_2_7148
- Guébhard, Adrien (1849-1924), Le vrai problème des enceintes préhistoriques.- Deux mots à propos du Castelar du Mont-Bastide (A.-M.)- Première revision de l'inventaire des enceintes préhistoriques du département du Var, 1907, Notes présentées au IIe Congrès préhistorique de France (Vannes - 1906), 27 p. https://www.tpsalomonreinach.mom.fr/Reinach/MOM_TP_135806/MOM_TP_135806_0001/PDF/MOM_TP_135806_0001.pdf
- Borel d'Hauterive, Annuaire de la Noblesse de France et des Maisons souveraines de l'Europe, Paris, Au bureau de la publication, 1863 (20e année), p. 206. URL : https://books.google.fr/books?id=bbEllImnX-cC&pg=PA206&dq=flotte+d%27agoult+saint+auban&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwiG-tOcnNztAhUE2uAKHakDDEMQ6AEwA3oECAQQAg#v=onepage&q=flotte%20d'agoult&f=false
- « Démantèlement des cinq pylônes de l’ancien téléski à Saint-Auban », Nice-Matin, (lire en ligne, consulté le )
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisse Sainte-Marie des Sources
- Activité agricole
- Gîtes ruraux
- Commerce de proximité
- CG06 : Route des clues
- Notre Dame de la Clue à Saint Auban, histoire du Sanctuaire
- Porte de Tra Castel : Dossier final de synthèse : Archéologie du bâti, par Fabien Blanc.
- Saint-Auban, sur paysdegrassetourisme.fr/
- Église paroissiale
- Les églises et édifices religieux recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux
- Les églises et édifices religieux, recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux
- Pénitents Blancs, sur l'Observatoire du patrimoine religieux
- Monument aux morts
- Menhir isolé : pierre levée
- Musée des traditions
- Dominique Cureau, « Les Monts d'azur : Saint-Auban », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Le patrimoine des Alpes-Maritimes : Saint-Auban
- Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. II : Cantons de Menton à Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 574 p. (ISBN 2-84234-071-X)Canton de Saint-Auban : pp. 812 à 816 : Saint-Auban
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Saint-Auban, p. 1008
- Hommage à Léon Remond, p. 9
- Saint-Auban, sur dignois.fr/
- Saint Auban : murs et linteaux, mythe des têtes humaines sur archeo-alpi-maritimi.com/
- Saint-Auban, sur geneawiki.com/
- Le village de Saint-Auban, au pied de la chaîne calcaire : Notre-Dame de la Clue
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Cavités souterraines naturelles
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes