Grandvilliers (Oise)
Grandvilliers | |||||
L'hôtel de ville de Grandvilliers | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Beauvais | ||||
Intercommunalité | CC de la Picardie Verte (siège) |
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Maire Mandat |
Frédéric Douchet 2024-2026 |
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Code postal | 60210 | ||||
Code commune | 60286 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Grandvillois, Grandvilloises | ||||
Population municipale |
2 786 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 420 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 40′ 01″ nord, 1° 56′ 30″ est | ||||
Altitude | Min. 177 m Max. 204 m |
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Superficie | 6,64 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Grandvilliers (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Beauvais (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Grandvilliers (bureau centralisateur) |
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Législatives | 2e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.grandvilliers.fr/ | ||||
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Grandvilliers est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Grandvilliers est un bourg rural du Plateau picard, situé au nord-ouest du département de l'Oise, à 28 kilomètres au nord de Beauvais, 100 km au nord de Paris et 40 km au sud-ouest d'Amiens.
La commune est située sur l'ancien itinéraire de la route nationale 1 (actuelle RD 901).
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Briot, Brombos, Cempuis, Dargies, Halloy, Sarcus, Sarnois et Sommereux.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par la ligne de partage des eaux entre les bassins hydrographiques Artois-Picardie et Seine-Normandie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].
Un étang communal est aménagé à la sortie nord du bourg, fréquenté par les pêcheurs[1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 827 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Arnoult à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 797,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Grandvilliers est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Grandvilliers[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est ville-centre[Note 3],[9],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (82,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70 %), zones urbanisées (20,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6 %), prairies (3,8 %)[12]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 469, alors qu'il était de 1 425 en 2013 et de 1 396 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 87,9 % étaient des résidences principales, 1,1 % des résidences secondaires et 11 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 64,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 35 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Grandvilliers en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,1 %) inférieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 43 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (44 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Typologie | Grandvilliers[I 2] | Oise[I 4] | France entière[I 5] |
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Résidences principales (en %) | 87,9 | 90,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 1,1 | 2,5 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 11 | 7,1 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par la gare de Grandvilliers, sur la ligne de Beauvais au Tréport-Mers (réseau TER Hauts-de-France), située au sud du bourg.
Grandvilliers est desservie, en 2023, par les lignes 625, 6103, 6113, 6124 et 6152 du réseau interurbain de l'Oise[13] et par la ligne 733 du réseau Trans'80[14].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Granviler (1090) ; de Grandi villari (1157) ; Grande villaris (1159) ; Grandi villare (1163) ; Radulfus de Grandivillare (1163) ; Grantvileir (1175) ; Grenvilier (1175) ; Grandis villaris (1190) ; Grandum villare (1201) ; territorium de Granvillari (1212) ; apud Granvillare (1212) ; Grandvillare (1212) ; Grandvillaris (1214) ; Granviler (1307) ; Grandvillier (1358) ; Grantviller (1373) ; Granviller (1397) ; Grandviler (XVe) ; Grandvillers (XVe) ; Grand viller (1530) ; Grandvilliers (XIXe)[15].
Du bas latin Grande- et villare (« grand domaine »)[16].
En picard, le nom de la commune est Granviyé[17].
Histoire
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]- Au XIIe siècle, l'abbé de Saint-Lucien de Beauvais, Évrard de Monchy, crée Grandvilliers.
- En , Édouard III d'Angleterre loge à Grandvilliers, en route pour la bataille de Crécy.
Temps modernes
[modifier | modifier le code]Un grand incendie dévaste le bourg le , et le détruit presque entièrement. Huit cents chaumières sont brûlées, l'église dévastée, dont il ne resta que le portail sud (classé monument historique).
Révolution française et Empire
[modifier | modifier le code]Grandvilliers est chef-lieu de district de 1790 à 1795.
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]-
Grandvilliers avant la Première Guerre mondiale.
-
La place Barbier, avant la Première Guerre mondiale. Au premier plan, la statue du général Saget, édifiée sur les plans de Charles Garnier par M. Grauck le .
-
Grandvilliers, avant les destructions de la Seconde Guerre mondiale.
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Vue aérienne vers l'est
Grandvilliers est le centre de grandes manœuvres de l'armée en 1910 sous la direction général Michel. Les dirigeables Clément-Bayard, Liberté et des avions y évoluèrent, avec un terrain d'atterrissage à Briot. Des pionniers de l'aviation, comme Hubert Latham, y prirent part. Le président Armand Fallières se rendit à Grandvilliers pour ces manœuvres, honoré d'un arc de triomphe et qu'une plaque commémorative, rescapée de l'incendie de 1940, rappelle[18].
-
Le général Michel et deux autres officiers français.
-
Un groupe d'officiers français, de l'Empire allemand, d'Autriche-Hongrie, de l'Empire ottoman, du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande, de l'empire du Japon, de l'Empire russe, etc. venu observer les grandes manœuvres.
-
Le Capitaine Letheux sur biplan Farman.
Lors de la Première Guerre mondiale, la commune est située à l'arrière du front, et sa gare sert au déplacement des troupes et des matériels ainsi qu'à l'évacuation des malades et prisonniers.
Un aérodrome militaire est aménagé en 1918 à la limite de Sommereux, sensiblement à l'emplacement des éoliennes actuelles. Il accueille début avril les 5e et 141e escadrilles, équipées de Sopwith, la 207e équipée de Breguet 16, sans doute dans le cadre de la Bataille d'Amiens. À la fin du même mois, le terrain voit passer la 237e escadrille équipée de Sopwith 1½ Strutter puis de Breguet 16, la 286e équipée de SPAD S.XVI, la 21e équipée de 10 Dorand AR.1 puis de SPAD biplaces. La 45e escadrille séjourne au terrain de Grandvilliers/Sommereux du au , avec ses Breguet XIV A-2, suivie de la 102e, du au , avec ses SPAD puis Breguet XIV. D'autres escadrilles stationnent également, plus ou moins longuement, sur ce terrain[19]
La commune subit également un bombardement le 19 ou le , rue de Rouen, soulevant, selon les sources, un caisson d'artillerie ou une cuisine roulante et la projetant sur le toit d'une ferme[20],[21].
Au début de la Seconde Guerre mondiale, durant la Bataille de France, le bourg est très lourdement bombardé du 6 au . Un recensement daté de juillet 1940 indique 161 maisons complètement brûlées, 20 inhabitables, une quinzaine endommagées. Une partie des édifices publics (l'ancienne halle au blé, la salle des fêtes et l'hôtel de ville) sont détruits. Dès son retour, le maire, Frédéric Petit organise le logement des sinistrés, le remembrement et la reconstruction de la commune, qui débute avec des bâtiments provisoires dès 1942[22]
Lors des combats de la Libération de la France, elle subit encore des bombardements en 1944, avant d'être libérée le par des soldats anglais du 44e RTR[23].
Grandvilliers est décorée de la Croix de guerre 1939-1945, qui lui a été remise le , par le général Warabiot et en présence de la maréchale Leclerc, du conseiller général Weil-Raynal, du maire... La citation à l'ordre du régiment indique « Sévèrement meurtri de 1939 à 1944, bombardé et incendié volontairement en mai et juin 1940. A vu sa population réduite de 312 habitants, 250 foyers détruits, 50 civils blessés, 34 tués ou morts en déportation. Ses survivants, animés du plus ardent patriotisme et du plus grand mépris du danger, ont opposé une résistance héroïque sous toutes ses formes et de tous les instants à l'occupant. Centre stratégique important, a subi stoïquement les bombardements alliés. A pris une part très active à la Libération du territoire les 30 et 31 août 1944[22] »
La reconstruction débute de manière définitive en et s'acheva en , et l'hôtel de ville est reconstruit en 1956.
Le , 24 personnes meurent dans l'incendie qui ravage la maison de retraite ; datant de 1920, elle avait été inspectée récemment. Le président François Mitterrand vient sur les lieux dans la matinée, accompagné de Pierre Joxe et de Joseph Franceschi. Il revient en 1989 pour inaugurer la nouvelle maison de retraite[24].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise
Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Grandvilliers[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur d'un nouveau canton de Grandvilliers porté de 23 à 101 communes.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Grandvilliers est membre de la communauté de communes de la Picardie verte , un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1996 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Cette intercommunalité succédait notamment au SIVOM de Grandvilliers (23 communes, créé le ).
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans l'Oise, la liste DVD du maire sortant Jacques Larcher remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 940 voix (67,28 %, 20 conseillers municipaux élus dont 6 communautaire), devançant largement celle DVG menée par Daniel Delattre, qui a obtenu 457 voix (32,71 %, 3 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire. Lors de ce scrutin, 33,29 % des électeurs se sont abstenus[26]
Lors des élections municipales de 2020, seule la liste du maire sortant Jacques Larcher était candidate, et a donc remporté la totalité des 626 suffrages exprimés (23 conseillers municipaux élus, dont 6 communautaires), lors d'un scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France où 65,06 des électeurs se sont abstenus et 5,89 % d'entre eux ont voté blanc ou nul[27].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Distinctions et labels
[modifier | modifier le code]Ville fleurie : une fleur attribuée 2008 par le concours des villes et villages fleuris, et la deuxième obtenue en 2015. La ville était candidate à une troisième fleur en 2018[44]
Politique de développement durable
[modifier | modifier le code]Le premier projet d'écoquartier de Picardie, baptisé « Espace Chantereine », axé entièrement sur le développement durable et intégrant la démarche HQE (Haute Qualité Environnementale), a été lancé en 2007 par la commune sur 4,5 hectares situés à proximité de la gare, derrière la rue Eugène-de-Saint-Fuscien.
Conçu afin de minimiser l'impact sur l'environnement et réaliser des économies d'énergie, chaque parcelle de l'éco-quartier sera équipée d'une cuve de récupération d'eau de pluie (d'une capacité de 5 000 litres). Par ailleurs, un système de gestion des eaux par noues sera mis en place, un procédé plus économique et plus écologique, favorisant la biodiversité dans les espaces urbains.
« Nous prévoyons des promenades piétonnes, des places de parking, une mare paysagère et un paysagement haut de gamme. Mais pas seulement, au niveau des réseaux, ActurbA vise une évacuation naturelle des eaux pluviales. Le chauffage sera assuré par biomasse (lin). Sur chaque parcelle, nous enterrons une cuve de récupération d'eau de pluie de 5 000 litres. Outre les traditionnels réseaux d'eaux usées, EDF, eau potable et téléphone, l'éclairage est également installé par nos soins. Celui-ci sera également voué à l'écologie (basse consommation) »[45].
Les travaux du lotissement ont débuté le et sont actuellement[Quand ?] toujours en cours[46].
Le chauffage de ce quartier sera réalisé par le réseau de chaleur, créé en 2009 par la commune et exploité en régie. L'énergie est fournie par la biomasse de la coopérative Lin 2000 qui valorise ainsi ses déchets. Labellisé pôle d'excellence rurale, ce réseau de chaleur bénéficie de larges subventions d'investissements par l'État, le conseil général de l'Oise, la Communauté de communes de la Picardie Verte et l'ADEME. Ce réseau assurera également le chauffage des logements HLM de l'OPAC, de l'hôpital, de la piscine…[47]
La commune a mené en 2018 avec l'association Chemins du Nord - Pas-de-Calais - Picardie un recensement de ses chemins ruraux[Note 8] afin de les aménager. Il en subsiste 18 km, dont 2 km de chemins bordés par une haie, 7 km bordés par des bandes enherbées, 1,46 km bordé par un talus, une faible longueur bordée d'arbres. Une partie des anciens chemins a disparu ou a été rétrécie, par extension de l'agriculture ou de l'urbanisation[48].
Jumelages
[modifier | modifier le code]- Athy (Irlande) depuis 2004[49]
Depuis le 1er juillet 2011, une délégation composée de membres de l'association, d'habitants d'Athy et de jeunes Français et Irlandais s'est rendue aux commémorations officielles du début de la bataille de la Somme.
En 2012 - La ville d'Athy commémore également les 800 ans de Grandvilliers : exposition de cartes postales anciennes de Grandvilliers (prêt des Ed. Delattre) au Heritage Center en mai et décoration de vitrines. En 2013, La Balad'Irlandaise (comité de jumelage Grandvilliers-Athy) fêtait les 10 ans de sa création et en 2014 serons fêtés les 10 ans de la signature de la charte de jumelage à Grandvilliers. (Balad'Irlandaise) - Bockenheim an der Weinstraße (Allemagne) depuis le
En 2013, le jumelage a fêté ses 30 ans d'existence.
Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]- Le groupe scolaire Warabiot scolarise à la rentrée 2022/2023 292 enfants, dans 5 classes maternelles et 9 primaires[50]
- Collège Ferdinand-Buisson[51]
- Lycée professionnel Jules-Verne, créé en 1993, forme 250 lycéens, dont, en 2022-2023, 22 élèves inscrits dans une classe de seconde générale[52].
- La cité des métiers, ouverte par la communauté de communes en , qui s'inscrit dans un partenariat avec la maison de l'emploi et de la formation du Pays du Grand Beauvaisis, Pôle emploi et la chambre de métiers et de l'artisanat de l'Oise, et qui permet d'offrir des services de formation et d'information à destination de publics variés : jeunes, scolarisés ou non, demandeurs d'emploi, salariés en reconversion[53]…
Equipements culturels
[modifier | modifier le code]- Centre culturel, dans une ancienne laiterie
Équipements sportifs
[modifier | modifier le code]- Piscine Océane de la communauté de communes, équipée d'un grand bassin, d'un toboggan, d'une baquette bouillonnante, d'une plaque à bulles, d'une pataugeoire pour les petits, d'un hammam et d'un sauna.
- La commune dispose de trois stades. Un dojo, qui accueille le club de judo, le comité des fêtes, la team cycliste et la team VTT, a été installé en 2023 dans les anciens locaux réhabilités de la caserne de popmpiers[54].
Postes et télécommunications
[modifier | modifier le code]La commune dispose d'un bureau de poste.
Santé et solidarité
[modifier | modifier le code]La commune compte en 2023 un cabinet médical, deux pharmacies...
Le centre social rural du canton de Grandvilliers, créé à l'initiative de la Mutualité sociale agricole, fête en 2023 ses cinquante années d'activité. Implanté dans une ancienne ferme propriété de l'intercommunalité, il est animé en 2023 par une équipe de 33 professionnels, 51 bénévoles actifs, 8 jeunes volontaires en service civique et rayonne sur un territoire de 315 km2 peuplé de 18 840 habitants[55],[56].
Un centre des Restaurants du Cœur est implanté à Grandvilliers les jeudis[57].
Justice, sécurité, secours et défense
[modifier | modifier le code]- Brigade de gendarmerie, qui anime la communauté de brigades de Grandvilliers.
- Confronté à une insécurité jugée préoccupante, la municipalité a décidé d'installer un système de vidéosurveillance dans la commune. Après une première expérience de trois caméras, un programme de 20 caméras sera installé en 2012/2013[58].
- Le centre de secours de sapeurs pompiers de Grandvilliers assure la protection de la population et des villages avoisinants. Il dispose de nouveaux locaux inaugurés en 2020 et réalise chaque année plus de 1 200 sorties en couvrant en premier appel 22 communes, soit le secours à une population de 10 000 habitants[59].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[60]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[61].
En 2021, la commune comptait 2 786 habitants[Note 9], en évolution de −6,95 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 35,7 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 310 hommes pour 1 570 femmes, soit un taux de 54,51 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Grandvilliers est connu pour sa brocante, qui a lieu le second dimanche de juillet. Elle regroupe, sur la quasi-totalité du bourg, 7 km de stands et plus de 1000 exposants. La qualité de certains exposants en font une des principales brocantes du Nord de la France, qui attire de nombreux brocanteurs européens (anglais, belges, hollandais, danois, allemands et irlandais)[65].
Grandvilliers est renommé pour l'organisation d'un festival rock chaque troisième week-end de septembre, appelé Arthur's Day Festival. Cet évènement fédère un millier de festivaliers sur deux soirées, dans la salle des fêtes deu bourg[66].
Son marché du lundi date de l'Ancien Régime, ainsi que la foire de la Sainte-Cécile, foire traditionnelle aux bestiaux, qui a lieu le lundi suivant la Sainte-Cécile ()[67].
La 21e édition du salon des savoir-faire et des traditions s'est tenue du 19 au [68]
Le , s'y sont déroulées les 1res rencontres européennes de la jeunesse organisées par le conseil général et la F.C.J.O (Fédération des comités de jumelage de l'Oise).
Cultes
[modifier | modifier le code]La paroisse catholique Notre-Dame de Picardie Verte[69] rayonne sur Grandvilliers et les villages avoisinants. Les messes ont principalement lieu à Formerie et Grandvilliers.
Économie
[modifier | modifier le code]- Usine de bitume fluxé et d'émulsion bitumineuse New Road,
- Centrale d'enrobé Enrobé +,
- Entreprise d'emboutissage Luchard Industries (équipementier automobile) (128 salariés en 2016, groupe GMD)[70],
- Mécanique SETO (Électrotechnique de l'Oise, 40 salariés),
- Négoce coopératif de produits pharmaceutiques Sogiphar (130 salariés);
- Supermarché Carrefour Market (60 salariés).
- Supermarché Intermarché, ouvert en 1995, et qui s'est déplacé à son emplacement actuel en 2016. En 2019, le magasin emploie 62 salariés. Son extension de 500 m² est rejetée en 2019 par la municipalité[71].
- Société coopérative agricole LIN 2000 assure le teillage et le peignage du lin (40 salariés).
- Linéa recherche en semence de lin.
- Artémis, bureau d'études et de maîtrise d'oeuvre en Voirie et Réseaux Divers, créé en Novembre 2002 assure une assistance aux collectivités (communes et communautés de communes) sur les départements de l'Oise, de la Seine-Maritime, de la Somme et de l'Eure.
La verrerie Saverbat, mise en redressement judiciaire en et qui comptait alors 35 salariés, est liquidée en 2017, faute de repreneur agréé par le tribunal de commerce[72].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Gilles, inscrite à l'inventaire des Monuments historiques[73], a vu ses extérieurs récemment rénovés, avec notamment son portail sud du XIVe siècle. À l'intérieur se trouve une peinture de Besson datée de 1649, représentant l'Assomption de la Vierge[74]. Le maître-autel en marbre rouge et plomb doré, de la première moitié du XVIIIe siècle, proviendrait de l'abbaye de Beaupré[75]. Le portail sud est classé à l'inventaire des monuments historiques.
- Chapelle Saint-Jean, antérieure à 1543, désaffectée, elle était la chapelle de l'ancien cimetière de Grandvilliers, qui l'entourait avant la création de l'actuel cimetière. Il est envisagé de transformer en équipement culturel[76],[77].
- Sur la place Halleur, une des quatre fontaines de la commune établies vers 1830. Elle a été restaurée en 2004[44].
- L'aire de loisirs, qui comprend deux étangs de pèche ainsi que des aménagements pour les familles[24].
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L'église Saint-Gilles et la place
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Chevet de l'église
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Maison bourgeoise, rue du Général Leclerc.
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La chapelle Saint-Jean
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L'ancienne école des filles
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L'ancienne école maternelle
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Bossuet (1627-1704), abbé de Saint-Lucien et seigneur-patron de Grandvilliers.
- Pierre-Antoine Marteau (1706-1770), médecin né à Grandvilliers, publie en 1748 un traité sur la chaleur et en 1770 un traité sur l'analyse des eaux minérales.
- Charles Buteux (1719-?), peintre à la manufacture de Chantilly puis à Sèvres, né à Grandvilliers[78].
- Étienne Nicolas de Calon ( à Grandvilliers - à Paris), député à la Convention, né à Grandvilliers, chevalier de Saint-Louis en 1789[79]. Il fit don à sa ville natale d'un cachet représentant son blason armorié, qui est depuis le blason de la ville.
- Antoine Delamarre[29], né le à Saint-Thibault - mort à Grandvilliers le , député de l'Oise à la Convention.
Il est nommé maire de Granvilliers en 1807. Cet homme juste et avisé œuvra pour le développement de nombreuses productions agricoles et d'élevages à Granvilliers, comme à Arras et à Lille ; productions qui subsistent encore de nos jours. Il aimait rappeler « rien n'est pire que ceux qui ne mangent pas à leur faim », sa propriété subsiste encore à Grandvilliers, devant laquelle une plaque commémorative rappelle cette période. - François Louis Suleau (1757-1792), Journaliste et avocat né à Grandvilliers, partisan dévoué de la royauté, il meurt le , sa tête placée au bout d'un pique est portée en triomphe dans tout Paris.
- Victor-Amédée Le Besgue (1791-1875), mathématicien né à Grandvilliers, le fils d'un commissaire près le tribunal du district de Grandvilliers, il a travaillé sur la théorie des nombres.
- Général Henri Saget[80], né à La Flèche le , officier topographe qui contribua à la réalisation de la carte d'état-major, quitta l'armée en 1886 avec le grade de général de brigade, fut élu conseiller général du canton de Grandvilliers puis président du conseil général de l'Oise (1886-1890). À ce titre, il contribua à faire passer la ligne de chemin de fer Paris - Beauvais - Le Tréport/Mers par Grandvilliers. La ville commémore son action en donnant le nom d'avenue Général-Saget à la rue qui conduit à la gare. Son buste ornait la Place Barbier de 1878 à la Seconde Guerre mondiale, époque où son métal a été récupéré par les Allemands[81].
- Eugène Blot (1830-1899), sculpteur, est né et est mort à Grandvilliers.
- Victor Galippe (1848-1922), microbiologiste et médecin français, est né à Grandvilliers.
- Georges Lucien Vacossin (es), sculpteur né à Grandvilliers le , décédé le . Une rue de la commune porte son nom.
- Eugène de Saint-Fuscien, médecin, maire en 1904, conseiller général, son action pendant la Première Guerre mondiale lui vaut la Croix de guerre de la ville. Confronté à la misère, il s'attaque aux fléaux sociaux. Il perfectionne l'hôpital et l'hospice de Grandvilliers[24].
- Général Louis Warabiot[22], né à Grandvilliers le , commandeur de la Légion d'honneur[82], combattant des deux guerres mondiales, ancien de la 2e DB, ancien vice-président du conseil général de l'Oise.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'or aux trois bande d'azur, au chef d'argent chargé d'une fleur de lys de gueules accompagnée de deux fer de pique d'azur. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Louis Graves, Cantons de Formerie, Granvilliers et Marseille-en-Beauvaisis [« Précis statistique sur le canton de Grandvilliers »], vol. III, Res Universis (réimpr. 1991) (1re éd. 1840), 115 p. (ISBN 978-2-87760-607-3 et 2-87760-607-4), avec carte.
Tout ce qui concerne l'historique, la géographie, l'ethnologie et la démographie du canton avant 1840 provient exclusivement du Précis statistique de Louis Graves dont le nom est souvent "oublié". Il est le premier grand historien de l'Oise et a publié de nombreux ouvrages sur le département. Ses livres sur chaque cantons de l'Oise, réédités, peuvent se consulter dans toutes les grandes bibliothèques publiques, notamment aux Archives départementales. - Ludovic Wargnier, Histoire générale du canton de Grandvilliers, Paris/Amiens, Le livre d'Histoire-Lorisse, coll. « Monographie des villes et villages de France de Micberth », (réimpr. 1985-2005) (1re éd. 1874), 171 p. (ISBN 978-2-87760-174-0 et 2-87760-174-9)
- [PDF] Abbé L. Meister, Épigraphie du Canton de Grandvilliers : Inscriptions antérieures au XIXe siècle, Beauvais, Avonde & Bachelier, (lire en ligne)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie.
- « Dossier complet : Commune de Grandvilliesr (60286) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, 25/7//2023 (consulté le ).
- « Grandvilliers » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l'agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Grandvilliers comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Une rue de la commune rappelle l'action de ce maire.
- Le square situé derrière la mairie porte le nom de ce maire.
- Une allée de la commune qui dessert la piscine Océane porte le nom de ce maire.
- Le cadastre de 2018 mentionne les chemins ruraux suivants :
- CR n° 1 : de Grandvilliers à Grez par l'Abîme.
- CR n° 2 : ch. de Moliens ou ancien ch. de Formerie.
- CR n° 8 : dit de Grosserve à Cempuis.
- CR n° 9 : dit Tour de ville.
- CR n° 10 : dit chemin Durand.
- CR n° 11 : dit ancien chemin de Poix.
- CR n° 12 : dit ch. de Chantemerle par Grosserve.
- CR n° 13 : dit Tour de ville ( rue Philippe. de Dreux).
- CR n° 15 : dit chemin de Sarnois à Petit-Halloy.
- CR n° 16 : dit chemin de ronde.
- CR n° 17 dit ancien chemin de Feuquières.
- CR n° 18.
- CR n° 19 : dit de Cempuis à Grandvilliers.
- CR n° 22 : de Grandvilliers à Briot.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Grandvilliers » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Grandvilliers ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Grandvilliers - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Grandvilliers - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Lucie Rochette--Montalieu, « La nouvelle association Grandvilliers Pêche et Nature veut faire revivre l'étang : À peine créée, l'association Grandvilliers Pêche et Nature (Oise) a déjà commencé à désherber l'étang et entretenir la maison du pêcheur », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Grandvilliers et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Grandvilliers », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Transports en commun à Grandvilliers », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
- « Lignes qui desservent Grandvilliers (Oise) », sur trans80.hautsdefrance.fr, (consulté le ).
- Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 254.
- Toponymie générale de la France : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Droz, , p. 371.
- François Beauvy, Dictionnaire picard des parlers et traditions du Beauvaisis, Éklitra LXIII (1990)
- « Quel président a utilisé Grandvilliers comme quartier général ? », Le Réveil, édition du Pays de Bray, no 3801, , p. 8.
- Alain Lefebvre, L'aviation militaire à l'ouest et au sud d'Amiens : pendant la Grande guerre, Hornoy-le-Bourg, éditions Aurea Vallis, , 318 p. (ISBN 978-2-9541941-7-2), p. 221-233.
- Section photographique de l'armée, « Photo : Grandvilliers. Une ferme : bâtiments et cour après l'explosion d'une bombe d'avion », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 26, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Grandvilliers. Une ferme : caisson d'artillerie projeté sur un toit par suite de l'explosion d'une bombe d'avion », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 26, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Jean-Yves Bonnard, Les communes décorées de l'Oise : Croix de guerre 39/45, ONAC, coll. « Les sentiers de l'histoire », , 92 p. (ISBN 978-2-11-151411-9, lire en ligne [PDF]), p. 46.
- « Un morceau d'histoire : la Libération », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 330, , p. 20.
- Pierre-Emmanuel Reger, « Grandvilliers, cité historique, économique et écologique vu du ciel : Reconstruite en partie après la Seconde Guerre mondiale, Grandvilliers possède un riche passé historique. C'est aussi un des poumons économiques de la Picardie verte », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Ministère de l'Intérieur - Grandvilliers
- Résultats des élections municipales et communautaires de 2020, sur le site du ministère de l'intérieur.
- Matthias Schweisguth, « Elle se souvient de la reconstruction : Janine Thuillier, secrétaire de mairie, se souvient de la reconstruction de Grandvilliers, après la seconde guerre mondiale. Elle se souvient aussi des maires pour lesquels elle a travaillé. », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3300, , p. 22.
- « Antoine Delamarre (1756 - 1824) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
- Élie Julien, « Grandvilliers : Daniel Delattre, l'élu qui donne des noms aux rues : Passionné par l'histoire de l'Oise et fin connaisseur de sa commune, ce collectionneur de cartes postales a retrouvé deux histoires d'habitants de la commune pour nommer les rues de Grandvilliers », Le Parisien, édition de l'Oise, (www.leparisien.fr/grandvilliers-60210/grandvilliers-daniel-delattre-l-elu-qui-donne-des-noms-aux-rues-13-03-2018-7605852.php, consulté le ).
- « La quincaillerie Goré, plus d'un siècle d'histoire : La quincaillerie Goré, présente depuis plus de 100 ans à Grandvilliers, vient d'être rachetée par l'entreprise Big Mat MVR Matériaux. C'est l'occasion de revenir sur l'histoire de cet établissement qui a marqué la ville sur plusieurs générations », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3852, , p. 17 « Le fils d'Alfred Goré, Maurice, a continué a marqué Grandvilliers à sa manière. En plus de continuer à gérer la quincaillerie, il fut également maire de la ville et contribua à la reconstruire après la Seconde Guerre mondiale ».
- « Un peu d'histoire », Histoire de Grandvilliers, http://www.grandvilliers.fr (consulté le ).
- Matthias Schweisguth, « Le stade Guy Bouvier et le tennis Pierre Mouton », Le Bonhomme picard, .
- « Guy Bouvier est mort. Il avait été maire durant 22 ans : Natif de Grandvilliers, Guy Bouvier a été maire durant quatre mandats. Il a transformé et modernisé la principale ville du nord- ouest de l'Oise », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3432, , p. 5 « Conseiller municipal depuis 1959, Guy Bouvier avait été maire de Grandvilliers de 1979 à 2001. Il a été conseiller général du canton de Grandvilliers de 1982 à 2008 (...) Guy Bouvier devient maire en 1979. Il est réélu en 1983, 1989, 1995. Après hésitation en 2000, il se retire et laisse la tête de liste à son premier adjoint Jacques Larcher en 2001 ».
- « Jacques Larcher à la mairie de Grandvilliers », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Jacques Larcher, 49 ans, directeur de société, a été élu maire à une très large majorité. Il obtient vingt voix sur vingt-trois et succède ainsi à Guy Bouvier, qui pendant vingt et un ans a dirigé la commune. Ce dernier avait décidé de ne pas se représenter pour se consacrer à son mandat de conseiller général et avait d'ailleurs fait de Jacques Larcher son « héritier ».
- Hugo Réau, « Jacques Larcher, le maire de Grandvilliers, pose sa démission : Maire de Grandvilliers depuis plus de vingt ans, Jacques Larcher a annoncé vouloir quitter ses fonctions de premier élu de la ville pour des raisons personnelles », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
- « Grandvilliers : Le maire en lice pour un 3e mandat », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3271, , p. 8.
- Matthias Schweisguth, « Troisième mandat pour Jacques larcher », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3283, , p. 8.
- Matthias Schweisguth, « Jacques Larcher se représente : Jacques Larcher brigue un quatrième mandat. Il présentera une liste de 23 candidats aux élections municipales de 2014 », Le Bonhomme picard, édition Breteuil - Crèvecœur, no 3585, , p. 23 « Élu pour la première fois en 1977, il a d'abord effectué trois mandats comme adjoint, puis deux en tant que maire ».
- « Un 4e mandat pour Jacques Larcher à Grandvilliers », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Le maire sortant Jacques Larcher étant seul candidat, il a été réélu pour un quatrième mandat à l'unanimité moins une voix attribuée à Catherine Daniel ».
- Benjamin Merieau, « À Grandvilliers, deux candidats pour la succession de Jacques Larcher à la tête de la municipalité : Frédéric Douchet, conseiller municipal, serait pressenti pour prendre la succession du maire Jacques Larcher, qui démissionne pour raisons de santé. Mais la troisième adjointe Hélène Pichard lorgnerait également le poste », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Hugo Réau, « Frédéric Douchet est le nouveau maire de Grandvilliers : Suite à la démission de Jacques Larcher, le conseil municipal s'est réuni ce mercredi 31 janvier afin d'élire un nouveau maire. C'est Frédéric Douchet qui a été choisi », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne).
- « Frédéric Douchet, nouveau maire de Grandvilliers, se dévoile : Frédéric Douchet a siégé au conseil municipal de Beaussault (Seine-Maritime), où il résidait auparavant, durant deux mandats, dont un comme adjoint », Le Courrier picard, (lire en ligne , consulté le ).
- « Label Villes et Villages Fleuris 2018 : Dossier de candidature à l'obtention de la 3e fleur » [PDF], Mairie de Grandvilliers (consulté le ).
- « Le projet de l'Espace Chantereine », sur acturba.fr..
- « Suivi des travaux de l'Espace Chantereine », sur acturba.fr (consulté le ).
- M.S., « La ville se chauffe au lin dès l'hiver prochain », Le bonhomme picard, édition de Grandvilliers, .
- Matthias Schweisguth, « A la chasse des chemins ruraux : La commune recense ses chemins ruraux pour les aménager. Certains ont été labourés et n'existent plus », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3492, , p. 7.
- site de la Balad'irlandaise (Comité de Jumelage Grandvilliers-Athy)
- « ÉcoLe Warabiot. Pour cette nouvelle année, 292 enfants ont fait leur rentrée », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3779, , p. 17.
- Hugo Réau, « Que relient le collège de Grandvilliers et la Ligue des droits de l'homme : Au même titre que plusieurs autres établissements scolaires en France, le collège de Grandvilliers (Oise) porte le nom de Ferdinand Buisson », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- Mathieu Marin, « Lycée Jules Verne de Grandvilliers. L'ouverture de la classe de seconde générale séduit 22 familles : Depuis des années, les élus de Grandvilliers souhaitent l'ouverture d'une filière générale. En cette rentrée, 22 lycéens viennent d'intégrer une classe de seconde générale. », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ) « À terme, l'objectif est la poursuite de la scolarité de ces lycéens à Grandvilliers avec la création de classes de première et terminale. » Mais ce projet n'est pas encore à l'ordre du jour. ».
- P.E.R., « La Cité des métiers ouvrira débit octobre », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3519, , p. 7.
- « À Grandvilliers, le dojo prend enfin la place de l'ancienne caserne : La commune de Grandvilliers (Oise) est, depuis samedi 25 mars, officiellement dotée d'un dojo. C'est en présence de nombreux élus que l'inauguration a eu lieu. », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- « À Grandvilliers, le centre social va fêter ses 50 ans le 30 juin : Pour fêter ses 50 ans, le centre social rural du canton de Grandvilliers invite tous les habitants du territoire de la Picardie Verte vendredi 30 juin à 18 h », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- steban Nomine, « le centre social de Grandvilliers fête ses 50 ans le 30 juin : À l'occasion de ses 50 ans, le centre social rural (CSR) du canton de Grandvilliers organise un pique-nique et une séance de cinéma en plein air le 30 juin », Le Bonhomme picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Hugo Réau, « Les Restos du Cœur de Grandvilliers recherchent des bénévoles : Les Restos du Cœur viennent de rentrer dans leur période estivale. Si le nombre de bénéficiaires n'a pas augmenté, le centre de Grandvilliers manque quand même de bénévoles », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- Matthias Schweisguth, « Lutte contre la délinquance : Onze caméras installées cette année », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p. 8.
- « À Grandvilliers, le nouveau centre de secours a été inauguré : Le nouveau centre de secours de Grandvilliers a été inauguré vendredi 11 septembre en présence de la préfète de l'Oise et de la présidente du département », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Grandvilliers (60286) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Benjamin Merieau, « Grandvilliers: 357 exposants et une organisation au poil pour la brocante, dimanche 9 juillet : Le comité des fêtes organise sa 38e brocante ce dimanche 9 juillet 2023. Une machine qui ne doit rien au hasard et qui s'étend sur presque quatre kilomètres », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Mathieu Marin, « Deux jours de rock les 16 et 17 septembre à Grandvilliers avec la 11e édition d'Arthur's day festival : Les 16 et 17 septembre 2022, Arthurs day festival fait son retour pour une 11e édition. Les festivaliers vont vibrer au son du rock durant deux jours à Grandvilliers (Oise) », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- « Une foire de la Sainte-Cécile peu fréquentée en raison d'une météo défavorable à Grandvilliers : En raison des conditions météo défavorables, la foire de la Sainte-Cécile n'a pas eu la réussite des années précédentes, lundi 21 novembre 2022, à Grandvilliers. Retour en images », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- « Plus de 3 500 visiteurs au salon du savoir-faire et des traditions à Grandvilliers : La 21e édition du salon du savoir-faire et des traditions s'est déroulée du 19 au 21 novembre à Grandvilliers. Cinquante-cinq exposants ont participé à ce rendez-vous annuel. », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- Site de la paroisse Notre-Dame de Picardie Verte.
- Corinne Fourcin, « Grandvilliers : Luchard Industrie a désormais sorti la tête de l'eau », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
- « Grande surface vs centre-ville - la guerre des enseignes est lancée : Alors qu'Intermarché envisage l'agrandissement de son magasin, la municipalité oppose un avis négatif, ce qui n'a pas manqué de faire éclater la colère de l'exploitant. Explications », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3559, , p. 6.
- Matthias Schweisguth, « La société Saverbat ferme : L'entreprise de briques de verre pour le bâtiment ferme ses portes. Les quinze derniers salariés ont reçu leurs lettres de licenciement », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3436, , p. 6.
- « L'église », notice no PA00114708, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Tableau : Assomption de la Vierge », notice no PM60000885, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'autel », notice no PM60000886, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Sur les traces de la chapelle Saint-Jean », Le Réveil, .
- Mathieu Marin, « Grandvilliers. Le défi réussi de trois bénévoles pour restaurer la chapelle Saint-Jean : En deux ans, trois bénévoles ont retapé la chapelle St-Jean de Grandvilliers. Durant des années à l'abandon, elle va abriter un musée. L'inauguration a lieu ce 18 septembre », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- Charles Buteux, peintre, est né à Grandvilliers en 1719. Marié à Barbe Trichon. Il entre à la manufacture de Chantilly en 1752, la quitte en 1756 pour entrer à Sèvres le 4 octobre 1756. Notes de Sèvres : "fait mal la figure" ; et plus tard : "bon ouvrier de manufacture". Voir [Chavagnac & Grollier 1906] Xavier-Roger-Marie de Chavagnac et Mis de Grollier (préf. Marquis de Vogüé), Histoire des manufactures françaises de porcelaine, Paris, Alphonse Picard & Fils, , sur gallica (lire en ligne), p. 71-72.
- « Étienne, Édouard, Nicolas de Calon (1726 - 1807) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
- « Henri Saget », base Léonore, ministère français de la Culture.
- Daniel Delattre, Ce canton où nous vivons : Grandvilliers, Grandvilliers, éd. Delattre, .
- « Louis Warabiot », base Léonore, ministère français de la Culture.