Brantes
Brantes | |||||
Brantes. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Vaucluse | ||||
Arrondissement | Carpentras | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Vaison Ventoux | ||||
Maire Mandat |
Roland Ruegg 2020-2026 |
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Code postal | 84390 | ||||
Code commune | 84021 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Brantulois, Brantuloises | ||||
Population municipale |
87 hab. (2021 [1]) | ||||
Densité | 3,1 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 11′ 39″ nord, 5° 20′ 03″ est | ||||
Altitude | 546 m Min. 425 m Max. 1 900 m |
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Superficie | 28,18 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Vaison-la-Romaine | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Vaucluse
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Brantes est une commune française, située dans le département de Vaucluse en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Le village de Brantes est un village perché entre le mont Ventoux au sud et la Drôme au nord.
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]- Deux routes traversent la commune sur un axe est-ouest : la route départementale 41 au nord du village, sur la hauteur, et la route départementale 40 au sud, en contrebas en bordure du Toulourenc. Entre les deux, permettant d'atteindre le bourg, la route départementale 136.
- La commune de Brantes est traversée par plusieurs sentiers de grande randonnée, les GR 4, GR 9 et GR 91[2], et sert de point de départ pour de nombreuses randonnées sur sentiers balisés.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
Géologie et relief
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Géologie
[modifier | modifier le code]Le mont Ventoux est constitué de calcaires urgoniens blanchâtres massifs, d'âge crétacé inférieur, et très clairs (d'où l'impression d'un sommet enneigé). Son importante élévation vient de la compression due à la formation de la chaîne pyrénéo-provençale, aujourd'hui disparue. Cette compression a bombé et fait chevaucher les roches de la montagne sur les terrains plus au nord, durant le crétacé supérieur et le début du tertiaire.
La vallée du Toulourenc, quant à elle, a un sol du quaternaire composé de dépôts fluviatiles, colluvions et éboulis.
Reliefs
[modifier | modifier le code]Le village est perché entre 500 et 600 mètres d'altitude avec au-dessus la barre du Charles (836 mètres) puis plus au nord la montagne de Geine (1 267 mètres).
Au sud, une vallée plus ou moins large où coule le Toulourenc (d'où le nom de « vallée du Toulourenc ») puis par delà la vallée du Toulourenc, le versant septentrional du mont Ventoux et le col des Tempêtes (1 829 mètres). Le mont Ventoux est classé « Réserve de Biosphère » par l'UNESCO depuis 1994.
Végétation
[modifier | modifier le code]Le versant nord (ubac) du mont ventoux est moins ensoleillé. Ses pentes sont abruptes, faites d'éboulis et de falaises majestueuses et sa flore y est médioeuropéenne et non plus méditerranéenne. Parmi les végétations dominantes du versant nord[4], on trouve des chênes verts jusqu'à 620 mètres d'altitude puis des noyers de 620 à 800 mètres. De la garrigue aux herbes aromatiques comme le thym et la lavande vraie entre 800 et 910 mètres d'altitude. Ensuite, des hêtres de 910 à 1 380 mètres et des pins à crochets (sous-espèce de pins de montagne) jusqu'à 1 720 mètres d'altitude. Enfin, le secteur alpin au-dessus de 1 720 mètres d'altitude[5].
Sur les pentes de la barre du Charles et de la montagne de Geine, bois de chênes et pins.
Quelques champs au cœur de la vallée.
Hydrographie et les eaux souterraines
[modifier | modifier le code]Cours d'eau sur la commune ou à son aval[6] :
- La commune est arrosée par le Toulourenc, affluent de l'Ouvèze, au bas du village. Le pont qui l'enjambe, dit pont romain est un pont roman du XIIIe siècle[7],
- ruisseau de derboux,
- ravin du raïs,
- torrents de la combe de la mure, du bourboulet, riaille,
- vallats du revestet, du tombereau,
- sur le territoire de la commune se trouve la source de la Fontnouvelle.
La station d’épuration de Brantes se rejette dans le Maldaric, affluent du Toulourenc[8].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 949 mm, avec 6,7 jours de précipitations en janvier et 4,3 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Buis-Baronnies », sur la commune de Buis-les-Baronnies à 10 km à vol d'oiseau[11], est de 14,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 792,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 44 °C, atteinte le ; la température minimale est de −10,2 °C, atteinte le [Note 1],[12],[13].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[14]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Histoire
[modifier | modifier le code]Cité en 1163 sous le nom de « Brantule » et en 1254 sous « de Brantulis »[16]. Seigneurie des Baux depuis le XIIe siècle, Le , à Brantes, au pied du Ventoux, en présence de son épouse Alix des Baux, Odon de Villars fit donation à son neveu Philippe de Lévis des fiefs de Brantes, Plaisians et leurs dépendances, des seigneuries de Saint-Marcel, Roquefort, le Castellet, Cassis et Port-Miou, dépendantes de la baronnie d’Aubagne, ainsi que de La Fare-les-Oliviers, et Éguilles. Son neveu, en contrepartie, devait lui servir de caution vis-à-vis de Raymond de Turenne dans l’observation d’un accord passé entre le vicomte, lui et son épouse Alix. En cas de non-respect de la part d’Alix et d’Odon, ces derniers devraient payer 50 000 florins à Raymond de Turenne[17],[18].
Ce fief fut acquis par la Révérende Chambre Apostolique en 1320 et entre dans le Comtat Venaissin en 1320.
Après être passé dans les mains de plusieurs familles, Laurens, puis de Vincens, en 1697, le marquisat est acheté par Pierre du Blanc, seigneur de Buisson[16],[19].
Durant les guerres de Religion, les protestants occupent le village[16].
Fin du XXe siècle, des passionnés se mettent en tête de restaurer le village.
François et Claude Morénas, qui ont été à l'initiative du balisage d'un nombre incalculable de sentiers de grandes randonnées, ont dit toute leur émotion en découvrant ce village :
« Le village en camaïeu confond ses toits patinés et ses façades grisées avec les rochers sur lesquels il se cramponne. Tout en escalier et en terrasses d'éboulis où s'accrochent les amandiers tordus, genévriers, genêts et ronces et de maigres prairies, tout ce qui pourrait, malgré la pauvreté du sol et la sécheresse, devenir droit, beau et vigoureux, a été grignoté par les chèvres. »
Héraldique
[modifier | modifier le code]créé en 1980 en reprenant les armoiries des familles Laurens et du Blanc
Toponymie
[modifier | modifier le code]La commune est appelée Brantas en occitan.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Budget et fiscalité 2017
[modifier | modifier le code]En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[22] :
- total des produits de fonctionnement : 90 000 €, soit 1 113 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 106 000 €, soit 1 305 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 65 000 €, soit 798 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 53 000 €, soit 658 € par habitant ;
- endettement : 0 €, soit 0 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 2,75 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 6,53 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 45,90 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation[23].
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune fait partie de la Communauté de communes Pays Vaison Ventoux, qui fait elle-même partie du syndicat mixte d'aménagement de l'Aygues et du syndicat mixte d'aménagement du bassin de l'Ouvèze (SIABO).
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Brantes est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[24]. Elle est située hors unité urbaine[25] et hors attraction des villes[26],[27].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (96,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (62,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (26,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (6,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,8 %)[28]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Politique environnementale
[modifier | modifier le code]La commune est incluse dans la zone de protection Natura 2000 « l'Ouvèze et le Toulourenc », sous l'égide du ministère de l'Écologie, de la DREAL Provence-Alpes-Côte-d'Azur, et du MNHN (Service du Patrimoine Naturel)[29].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].
En 2021, la commune comptait 87 habitants[Note 2], en évolution de +7,41 % par rapport à 2015 (Vaucluse : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Habitat
[modifier | modifier le code]Habitat perché
[modifier | modifier le code]Ce type d'habitat est considéré comme typiquement provençal, il est surtout typiquement méditerranéen. Ces villages sis sur leur « acropole rocheuse », qui ont gardé leur aspect médiéval, forment par l'orientation des façades de leurs maisons - vers la vallée ou la voie de communication - un véritable front de fortification[34].
Fernand Benoit souligne leur origine quelquefois préhistorique en signalant que Cicéron, à propos des Ligures qui peuplaient la région, les dénomme castellani, c'est-à-dire habitants des castellas (Brutus, LXXIII, 256)[34].
Ces villages perchés se trouvent dans essentiellement dans les zones collinaires dont le terroir est pauvre en alluvions et où l'eau est rare. Ce qui est le cas général en Provence sauf dans la basse vallée du Rhône et dans celle de la Durance, où les terres alluvionnaires abondent et surtout où l'eau est facilement accessible pour chaque propriété grâce à un puits creusé dans la cour de la maison[35].
De plus, ce groupement en communauté refermée sur elle-même correspond à des régions de petites propriétés, où les seules terres fertiles se situent au fond de quelques vallons, et ce regroupement a facilité l'existence d'un artisanat rural indispensable aux villageois (charron, forgeron, etc.). À contrario, l'habitat dispersé implique de grands domaines qui tendent à vivre en autarcie. D'où la loi émise par Fernand Benoit « La misère groupe l'habitat, l'aisance le disperse »[35].
Économie
[modifier | modifier le code]Un très petit village vivant d'un peu de tourisme (une dizaine de chambre d'hôtes) dont des artisans qui fabriquent des santons et des poteries (faïencerie), d'élevage ovin (agneau du Ventoux) et de fabrique de fromages, de fabrication de miel, quelques vergers d'amandiers, culture de la lavande et plantes aromatiques.
Commerce
[modifier | modifier le code]L'Auberge de Brantes, fermée depuis 2020, qui porte le label Bistrot de pays[36],[37], adhère à une charte dont le but est de « contribuer à la conservation et à l’animation du tissu économique et social en milieu rural par le maintien d’un lieu de vie du village ».
Vie locale
[modifier | modifier le code]La communauté de communes de la Vallée du Toulourenc se charge de la collecte et du traitement des déchets des ménages et déchets assimilés.
Enseignement
[modifier | modifier le code]Établissements d'enseignements[38] :
- Le village de Brantes possédait une école, située en bordure du vieux village[39]. Elle a fermé à l'été 2023.
- Collèges à Buis-les-Baronnies, Sault,
- Lycées à Vaison-la-Romaine, Nyons.
Sports
[modifier | modifier le code]Pas d'équipement collectif particulier hormis les chemins de randonnées et les aménagements divers aux abords du Toulourenc.
Sports pratiqués : randonnées pédestres.
Autres activités : chasse, pêche.
Santé
[modifier | modifier le code]Pas de pharmacie ni d'équipement particulier de santé.
Professionnels et établissements de santé[40] :
- médecins à Buis-les-Baronnies, Bédoin, ou Montbrun, Séderon et Sault ;
- pharmacies à Montbrun-les-Bains, Buis-les-Baronnies, Bédoin ;
- hôpitaux à Buis-les-Baronnies, Vaison-la-Romaine.
Cultes
[modifier | modifier le code]C'est un village de tradition catholique (église paroissiale Saint-Sidoine, chapelles Notre-Dame-de-Piété et Saint-Jean-Baptiste et cimetière, chapelle Saint-Roch) malgré une prise du bourg par les protestants lors des guerres de Religion. Il dépend du diocèse d'Avignon[41].
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]-
Intérieur de l'église paroissiale Saint-Sidoine.
-
Croix.
-
Ruelle.
-
Lavoir.
Brantes est un village aux ruelles en calades, aux passages voûtés, aux portes anciennes et aux vieilles maisons de pierre. Il est construit en nid d'aigle sur les contreforts de la montagne.
Patrimoine religieux :
- Église paroissiale Saint-Sidoine de 1684, avec décor intérieur en trompe-l'œil[42].
- Chapelle Notre-Dame-de-Pitié des pénitents blancs[43], chapelle du début du XVIIIe siècle maintenant utilisée comme point info et pour présenter les nombreux travaux réalisés par l'association locale pour la restauration du site.
- Chapelle Saint-Roch[44].
- Chapelle Saint-Jean-Baptiste (XIIe).
- Oratoires du Sacré-Cœur, de Saint-Joseph et Saint-Gens (XIXe).
- Monument aux morts[45].
Autres patrimoines :
- Vestiges d'un château féodal[46] des seigneurs des Baux : pans de murs et deux citernes.
- Ancien lavoir.
- Pont à une arche, style « romain », du XIIIe siècle[47].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Recensement 2010 », INSEE.
- 91 De Saint-Nizier-du-Moucherotte (près de Grenoble) à Fontaine-de-Vaucluse (près de Cavaillon) - Saint-Nizier-du-Moucherotte (Isère) - Fontaine-de-Vaucluse (Vaucluse) ; 91b Bédoin au sommet du mont Ventoux via le mont Serein
- Trans Vaucluse Pays de Vaison, Vallée du Toulourenc
- Jacques Galas, Les pays du Ventoux, page 32
- La réserve de biosphère du mont Ventoux
- L'eau dans la commune
- Brantes, sur le site vaison-ventoux-tourisme.com
- Caractéristiques et contraintes du bassin versant du Toulourenc
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Brantes et Buis-les-Baronnies », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Buis-Baronnies », sur la commune de Buis-les-Baronnies - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Buis-Baronnies », sur la commune de Buis-les-Baronnies - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « Brantes sur le site du Quid »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- Robert Bailly, Dictionnaire des communes de Vaucluse, Éd. A. Barthélemy, Avignon, 1985, p. 101.
- Louis Barthélemy, Inventaire chronologique et analytique des chartes de la maison des Baux, Marseille, 1882, Charte 1692.
- Un peu d’histoire
- Vallée du Toulourenc : Brantes, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
- Armorial des Communes de Vaucluse (Conseil Général du Vaucluse).
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Brantes ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Responsabble Natura 2000
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Fernand Benoit, op. cit., p. 43.
- Fernand Benoit, op. cit., p. 44.
- La charte Bistrot de Pays Bistrot de Pays
- Fédération nationale des bistrots de pays
- Établissements d'enseignements
- École maternelle et élémentaire
- Professionnels et établissements de santé
- Secteur Pays de Sault (Sault de Vaucluse)
- Patrimoine religieux
- Chapelles des temps modernes : Brantes
- Chapelle Saint-Roch
- Conflits commémorés : Guerre 1914-1918
- Ancien château
- Pont roman sur le Toulourenc
- Suppléant devenu député le 8/8/1963 au décès de Pierre Augier
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Sophie Bentin, Brantes, un village provençal en terre papale - des origines à la Révolution Française, Société des amis de Brantes éditeur, 2016, 181 p. (ISBN 978-2-9554987-0-5).
- Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Avignon, Seguin Ainé, (1re éd. 1857), 400 p. (lire en ligne)
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Brantes, p. 195
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Brantes sur le site de l'Institut géographique national
- Brantes sur le site de l'Office de Tourisme de Montbrun les Bains
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Cavités souterraines naturelles
- Les églises et édifices religieux recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR)