Utilisateur:Pueblo89/Brouillon
Attention ! Peinture fraiche ! :
Brouillon1 :
Done •
Ensemble de grottes à concrétions du Sud de la France •
Jean de Corguilleray •
Les Donzy •
restes de archéoacoustique •
marquage de photo •
Modèle:Bioref à rétablir •
Ref SIGES hydro- géol-
Brouillon2 :
Site préhistorique d'Arcet (Montaut) •
Pléniglaciaire •
Biblio Art préhistorique
Brouillon3 :
Potiers des ateliers de Lezoux •
Potiers sans localisation •
Potiers de la Graufesenque •
Potiers des ateliers d'Argonne •
Potiers italiens •
Ateliers arétins de poterie antique
Brouillon4
Palais des comtes d'Auxerre • Liste des évêques de Bourg-en-Bresse
Brouillon5 :
Grotte du Rond-du-Barry •
Aquis Segete de Moingt • Voie Bolène
Brouillon6 :
Édouard Marie Heckel
Grottes et communes
[modifier | modifier le code]site des Rivaux, L'« Homme de la Denise » et grotte de Cormail sur Espaly-Saint-Marcel (Hte-Loire)
Rond-du-Barry, Sainte-Anne et Rochelimagne sur Polignac (Haute-Loire)
atelier/s de taille de silex sur Vassieux-en-Vercors (Drôme)
Corbiac et les Vaures sur Bergerac (Dordogne)
abri Laborde (ou abri de Baume Vallée) sur Solignac-sur-Loire (Haute-Loire)
Castel Merle (dont abri Blanchard et abri Castanet) sur Sergeac
Liste de photos manquantes
[modifier | modifier le code]- Audignon
- Église Notre-Dame d'Audignon : le chevet en pierre polychrome du XVe s. (sais pas si l'intérieur de l'église est accessible, sur la caméra de rue de google maps c'est marqué en travaux, "chantier interdit au public en bas du panneau
- Montaut
- fontaine Saint-Pierre (si elle est encore là), rattachée à l'église Saint-Pierre de Brocas. C'est à environ 2 km à l'est de Brocas.
carte des sites châtelperroniens (en France et Espagne)
[modifier | modifier le code]Sites du Châtelperronien d'après la carte dressée par Morgan Roussel et Marie Soressi, 2014[1] ; cité dans Bodu et al. (2017)[2].
A quoi il faudrait ajouter les sites cités par Groenen (p. 185[3]) à l'étranger, portant des appellations locales.
- 1- Les Bossats (Ormesson, Seine-et-Marne)
- 2- grotte du Renne (grottes d'Arcy-sur-Cure, Yonne)
- 3- grotte du Bison (grottes d'Arcy-sur-Cure, Yonne)
- 4- grotte de la Roche au Loup (Merry-sur-Yonne, Yonne)
- 5- abri des Roches (abri Bordes-Fitte) (Abilly, Indre-et-Loire)[4],[5],[6]
- 6- grotte des Cottés (Saint-Pierre-de-Maillé, Vienne)
- 7- Grande Roche de la Plématrie (Quinçay, Vienne)
- 8- Vieille Grange (Mérigny, Indre)[7],[8]
- 9- grotte des Plumettes (Lussac-les-Châteaux, Vienne)[c 1],[9]
- 10- grotte de Belle Roche (Vaux-en-Couhé, Vienne)[c 2],[10],[n 1]
- 11- grotte des Fées (Châtelperron, Allier)
- 12- grotte de Germolles (Mellecey, Saône-et-Loire)[11]
- 13- grotte du Bouil-Bleu (Saint-Porchaire, Charente-Maritime)
- 14- Roche à Pierrot (Saint-Césaire, Charente-Maritime)
- 15- Le Gros Roc (Le Douhet, Charente-Maritime)[12]
- 16- abri du Chasseur (près de l'abri du Bois du Roc, Vilhonneur) ; grotte de Fontéchevade (Montbron) ; grotte de la Chaise (Vouthon), (Charente)
- 17 - Tour-Fondue (Chauriat, Haute-Loire)
- 18- La Quina (Gardes-le-Pontaroux, Charente)
- 19- le trou de la Chèvre (Bourdeilles, Dordogne)[13],[14],[15]
- 20- la Côte (Neuvic-sur-l'Isle, Dordogne)[16],[17], sur la rivière l'Isle[13]
- 21- Pair-non-Pair (Prignac-et-Marcamps, Gironde)
- 22- grotte de Haurets (Ladaux, Gironde)
- 23- Canaule II (Creysse, Dordogne)[18],[19],[20]
- 24- Vieux Coutets[c 3] (Creysse, Dordogne)
- 25- La Ferrassie (Savignac-de-Miremont)
- 25- Le Moustier (Saint-Léon-sur-Vézère)
- 25- Font-de-Gaume (Eyzies-de-Tayac)
- 25- Laussel (Marquay), Roc de Marsal ? (Campagne)
- 26- Le Loup
- 26- Bos de Ser[3] ?
- 26- Dufour (entre les hameaux de Puybaret et Lacombe, vallée du Courolle, Brive, Corrèze)[3],[21]
- 27- Roc de Combe-Capelle (Saint-Avit-Sénieur, Dordogne)
- 27- grotte XVI[c 4],[22] (Cénac-et-Saint-Julien[23],[24] ou Castelnaud-la-Chapelle[25]). Voir plan des grottes de la falaise et bonne page, sur donsmaps.com
- 28- le Piage[c 5], hameau sur la commune de Fajoles dans le Lot, à 2,7 km plein Est de Milhac. La grotte du Piage est dans la vallée en rive droite (côté nord) de la Relinquière, affluent de la Melve, cette dernière affluent de la Germaine et sous-affluent de la Dordogne[26],[27].
- 28- Roc de Combe[c 6] ou Roquedeval[n 2].
- 29- grotte du Pendu (commune de Camargo, comarque de Santander en Cantabrie).
- 30- grotte Morin (commune de Villaescusa, au sud-ouest de Santander). Elle fait partie du groupe cantabrique, avec les grottes d'el Castillo et d'el Pendo, dans la continuité des sites du pays basque.
- 31- Aranbaltza[c 7],[28],[29],[30]
- 32- Labeko Koba (Arrasate, Gipuzkoa, Pays Basque)[n 3]
- 33- grotte d'Ekain
- 34- le Basté (Saint-Pierre-d'Irube, Pyr.-Atl.)[31] : ce site et celui des Tambourets sont les deux principaux sites de plein air châtelperroniens des Pyrénées ; ils sont tous deux situés près d'une confluence fluviale, proches d'une source de matériaux lithiques, et leurs quantités d'assemblages lithiques sont comparables[32] ; ce sont des lieux de fabrication des outils et de traitement secondaire des produits de la chasse acquis acquis au cours d'expéditions qui peuvent utiliser des haltes comme par exemple Brassempouy[33].
- 35- gisement de Bidart (Pyr.-Atl.)[34]
- 36- Brassempouy (Landes)
- 37- Gatzarria (Ossas-Suhare, Pyr.-Atlant.)
- 38- le Noisetier (Fréchet, Htes-Pyrénées)
- 39- Gargas (Aventignan, Htes-Pyrénées)
- 39- Coupe-Gorge (Montmaurin, Hte-Garonne)
- 40- Gahuzère 1 (l'une des rares grottes de la Save se trouvant sur Montmaurin - les autres sont sur Lespugue -, Hte-Garonne)
- 41- les Tambourets (niveau 1 ; Couladère, Hte-Garonne) : ce site et celui du Basté sont les deux principaux sites de plein air châtelperroniens des Pyrénées.
- 42- Mauran (Haute-Garonne), site de plein air orienté vers la chasse et la consommation du bison, qui en 2008 n'a d'équivalents qu'en Quercy, Périgord, Rhénanie et Russie[35]
- 43- le Portel
- 44- grotte de la Cauna (Belvis, Aude)[36]
- 45- Reclau Viver[n 4] (Serinyà, province de Gérone, Catalogne)
- Bouïcheta, à Bédeilhac-et-Aynat (Ariège)[35]
- Tuteil, Montségur[35]
- Gerde, près de Bagnères-de-Bigorre (Hautes-Pyrénées) : la grotte de la Carrière est principalement un repaire d'hyènes (voir article « Gerde », section « Préhistoire »).
- Ronsenac (Charente) : la grotte de la Chauverie est elle aussi principalement un repaire d'hyènes et n’a livré qu'un morceau de pointe du Châtelperronien (voir article « Ronsenac », section « Préhistoire »).
- grotte d'Unikoté, Iholdy (Pyrénées-Atlantiques)[35]
- grotte de Hayaü, Saint-Pé-de-Bigorre (Hautes-Pyrénées)[35]
- grotte de Soulabé, Montseron (Ariège)[35]
- peut-être Roquecourbère, Betchat (Ariège) ?[35]
- Lavison, à Saint-Maixant (Gironde)
- quelques découvertes de surface au Vilhain, dans le nord-ouest du département de l'Allier (PIBOULE, 1976 : PIBOULE M. (1976) - La préhistoire autour de la Forêt de Tronçais dans le Nord-Ouest du département de l'Allier. Revue Scientifique du Bourbonnais, p. 55-73.) (figure 4)[39].
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- [Bachellerie 2011] François Bachellerie, Quelle unité pour le Châtelperronien ? Apport de l'analyse taphonomique et techno-économique des industries lithiques de trois gisements aquitains de plein air : le Basté, Bidart (Pyrénées-Atlantiques) et Canaule II (Dordogne) (thèse de doctorat en préhistoire), Université Bordeaux I, , 444 p. (lire en ligne [PDF] sur ori-oai.u-bordeaux1.fr).
- [Bachellerie et al. 2011] François Bachellerie, François Bon, Marianne Deschamps, Laura Eizenberg, Dominique Henry-Gambier, Vincent Mourre, Christian Normand, Jacques Pelegrin, Jérôme Primault, René Scandiuzzi et Céline Thiébaut, « La signature archéologique de l'activité de chasse appliquée à la comparaison des industries moustériennes, châtelperroniennes et aurignaciennes des Pyrénées : nature des équipements et fonctions des sites » (Actes du colloque international du 13 au 15 mai 2009, université Toulouse II - Le Mirail), Palethnologie, no 3 « Haltes de chasse en Préhistoire. Quelles réalités archéologiques ? », , p. 131-168 (ISSN 2108-6532, lire en ligne [PDF] sur blogs.univ-tlse2.fr, consulté le ).
- [Bodu et al. 2017] Pierre Bodu, Hélène Salomon, Jessica Lacarrière, Michael Baillet, Michèle Ballinger, Henri-Georges Naton et Isabelle Théry-Parisot, « Un gisement châtelperronien de plein air dans le Bassin parisien : les Bossats à Ormesson (Seine-et-Marne) », Gallia Préhistoire, no 57, , p. 3-64 (lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté le ).
- [Jaubert 2007] Jacques Jaubert, « Quels peuplements avant l'Aurignacien sur le versant nord des Pyrénées ? », dans Qui est l'Aurignacien? (Colloque d'Aurignac, 2003), (lire en ligne [PDF] sur researchgate.net).
- [Pelegrin & Soressi 2007] « Le Chatelperronien et ses rapports avec le Moustérien », dans Bernard Vandermeersch & Bruno Maureille (dir.) (préface Yves Coppens), Les Néandertaliens. Biologie et cultures, , 342 p., sur docplayer.fr (présentation en ligne, lire en ligne).
Références
[modifier | modifier le code]- Notes
- Ne pas confondre la grotte de Belle-Roche de Vaux avec la grotte de Belle-Roche à Sprimont en Belgique, elle aussi porteuse de Châtelperronien (entre autres époques préhistoriques).
- Roquedeval est un hameau sur la commune de Payrignac dans le Lot, à 2,5 km plein sud de Milhac. Roc de Combe est à environ 2,7 km au sud-ouest du Piage. D'après la carte géologique de Géoportail, les deux grottes occupent la même position géologique : au pied de falaises coniaciennes (voir « Le Piage et Roquedeval, couche « Géologie » activée » sur Géoportail.). La région est une transition entre le Crétacé à l'ouest avec des « pechs » ou buttes à structure karstique recouvertes d'altérites (galets, sables et argiles) ; et le Jurassique moyen des plateaux karstiques plus élevés du Causse à l'est (en avant-poste du Massif Central au nord-est). D'après J.-G. Bordes, Roc-de-Combe est encore dans le Crétacé tandis que le Piage est « situé sur cette frontière » (voir J.-G. Bordes 2002, p. 22). Le Piage est effectivement plus proche que Roc de Combe de la vallée du ruisseau de Tournefeuille, où se trouve le plus proche affleurement jurassique d'importance (3,8 km contre 6,5 km pour Roc de Combe), mais les deux grottes sont aussi éloignées l'une que l'autre du plus proche affleurement jurassique strictement dit, celui que l'on trouve à Prouilhac (3,9 km et 3,8 km respectivement)
- Pour Labeko Koba, voir l'article « Arrasate », section « Préhistoire ».
- Pour Reclau Viver, voir l'article « Serinyà », section « Préhistoire ».
- Cartographie
- « Grotte des Plumettes, carte interactive » sur Géoportail. Coordonnées de la grotte des Plumettes : 46° 24′ 53″ N, 0° 43′ 09″ E. Coordonnées approximatives d'après la carte dans Beauval et Morin 2010, p. 177, fig. 1.
- « Grotte de Belle Roche dans le bois de la Morcière à Vaux, carte interactive » sur Géoportail.
- « Grotte des Plumettes, carte interactive » sur Géoportail. Coordonnées des Vieux Coutets : 44° 51′ 32″ N, 0° 32′ 24″ E.
- « Grotte XVI, carte interactive » sur Géoportail. Coordonnées de la grotte XVI : 44° 48′ 32″ N, 1° 09′ 34″ E
- « Le Piage, carte interactive » sur Géoportail. Coordonnées du Piage : 44° 47′ 51″ N, 1° 21′ 53″ E
- « Roc de Combe, carte interactive » sur Géoportail. Coordonnées du Roc de Combe ou Roquedeval : 44° 46′ 31″ N, 1° 21′ 05″ E
- « Carte centrée sur Aranbaltza », sur /mapcarta.com (consulté le ). Pour l'emplacement exact du site d'Aranbaltza, voir aussi [Garaizar 2015] (es) Joseba Rios-Garaizar, « El hábitat paleolítico al aire libre en Bizkaia », Kobie Serie Paleoantropología, no 34, , p. 157-168 (lire en ligne [sur researchgate.net], consulté le ), fig. 1 p. 160.
- Références
- [Roussel & Soressi 2014] Morgan Roussel et Marie Soressi, « European Middle to Upper Paleolithic Transitional Industries: Châtelperronian », dans Claire Smith (éd.), Encyclopedia of Global Archaeology, Springer, (présentation en ligne).
- Bodu et al. 2017, p. 41, carte dans paragr. 9, fig. 18.
- [Groenen 1994] Marc Groenen, Pour une histoire de la préhistoire : le Paléolithique, éd. Jérôme Millon, , 603 p., sur books.google.fr (lire en ligne), p. 185.
- [Aubry et al. 2013] T. Aubry, M. Almeida, P. Candela, F.-X. Chauvière, L. Dimuccio, L. Fontana, M. Liard, J.-C. Marquet, M. J. Neves, J.-B. Peyrouse et B. Walter, « Le Paléolithique supérieur ancien dans le sud-ouest du Bassin parisien : du Châtelperronien au Gravettien dans les vallées de la Creuse et de la Claise », Mémoire LVI de la Société préhistorique française, , p. 299-315 (lire en ligne [sur researchgate.net], consulté le ).
- [Aubry et al. 2011] Thierry Aubry, Luca Antonio Dimuccio, Miguel Almeida et Jan-Pieter Buylaert, « Stratigraphic and technological evidence from the Middle Palaeolithic-Châtelperronian-Aurignacian record at the Bordes-Fitte rockshelter (Roches d'Abilly site, Central France) », Journal of Human Evolution, vol. 62, no 1, , p. 116-37 (lire en ligne [sur researchgate.net], consulté le ).
- [Aubry et al. 2009] Thierry Aubry et Bertrand Walter, « Reprise des fouilles sur le site de Roches d'Abilly : premiers résultats et perspectives des campagnes de 2007 et 2008 », Bulletin des amis du Musée de Préhistoire du Grand-Pressigny, no 60, , p. 41-49 (lire en ligne [sur academia.edu], consulté le ).
- Aubry et al. 2013, p. 313.
- [Agogué 2005] Olivier Agogué, « Autour du grand paléolac miocène : continuités et ruptures de l'occupation territoriale au Paléolithique supérieur en région Centre », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 102, no 3, , p. 509-526 (lire en ligne [sur persee], consulté le ), p. 510, 521.
- [Beauval & Morin 2010] Cédric Beauval et Eugène Morin, « Les repaires d'hyènes du lussacois (Lussac-les-Châteaux, Vienne, France). Apports des sites des Plumettes et des Rochers-de-Villeneuve », Hommes et sociétés du Paléolithique, vol. Préhistoire entre Vienne et Charente, , p. 175-189 (lire en ligne [sur academia.edu], consulté le ).
- Bachellerie 2011, table 2 p. 12 ; table 58 p. 321.
- [Floss et al. 2016] Harald Floss, Christian Hoyer et Heike Würschem, « Le Châtelperronien de Germolles (Grotte de La Verpillière I, commune de Mellecey, Saône-et-Loire, France) », Paléo, no 27, , p. 149-176 (lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté le ).
- [Fosse et al. 2017] Philippe Fosse, Stéphane Madelaine, Christine Oberlin, Catherine Cretin et Peggy Bonnet-Jacquement, « Un lion des cavernes (Panthera (Leo) spelaea) exploité au Dryas récent : les données du gisement du Peyrat (Saint-Rabier, Dordogne, France) », Paléo, no 28, , p. 91-115 (lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté le ), paragr. 29.
- [Pelegrin & Soressi 2007] Jean Pelegrin et Marie Soressi, « Le Châtelperronien et ses rapports avec le Moustérien », dans Les Néandertaliens. Biologie et cultures, (lire en ligne), p. 286.
- [Arambourou et al. 1958] Robert Arambourou, Paul-Émile Jude, Jean Bouchud, Henri Laville et Jean-Jacques Franc de Ferrière (préf. François Bordes), Le gisement de la Chèvre à Bourdeilles (Dordogne), Périgueux, Magne, , 132 p. (présentation en ligne).
- [Baffier] Dominique Baffier, Les Derniers Néandertaliens : Le Châtelperronien (De -36.000 à -30.000 ans), La maison des roches, date ?, sur books.google.fr (lire en ligne).
- [Lippé 2012] Renaud Lippé, Nature, culture et progrès. Histoire comparative du concept de transition entre paléolithiques moyen et supérieur en archéologie préhistorique (thèse de doctorat en préhistoire), Université de Montréal/Université de Bordeaux 1, , sur papyrus.bib.umontreal.ca (lire en ligne), p. 43.
- [Pelegrin 1995] Jacques Pelegrin, Technologie lithique : le Châtelperronien de Roc-de-Combe (Lot) et de La Côte (Dordogne), Paris, CNRS, coll. « Cahiers du quaternaire », , 304 p. (ISBN 978-2-271-05309-1).
- Bachellerie 2011, p. 197-307.
- [Bachellerie et al. 2007] François Bachellerie, Jean-Guillaume Bordes, André Morala et Jacques Pelegrin, « Étude typo-technologique et spatiale de remontages lithiques de Canaule II, site châtelperronien de plein-air en Bergeracois (Creysse, Dordogne) », Paléo, no 19, , p. 259-280 (lire en ligne [PDF] sur halshs.archives-ouvertes.fr, consulté le ).
- [2014] Mickaël Baillet, François Bachellerie et Jean-Guillaume Bordes, « Enquête autour d'un outil : approche techno-économique, fonctionnelle et expérimentale des grattoirs châtelperroniens de Canaule II (Creysse, Dordogne, France) », Paléo, no 25, , p. 07-36 (lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté le ).
- [Bouyssonie 1944] Jean Bouyssonie, « La Grotte Dufour près de Brive (Corrèze) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 41, nos 10-12, , p. 186-192 (lire en ligne [PDF] sur persee).
- [Rigaud 2008] Jean-Philippe Rigaud, « Les industries lithiques du Gravettien du nord de l'Aquitaine dans leur cadre chronologique », Paléo, Les Eyzies, no 20 « Spécial table ronde (2e partie) : Le Gravettien : entités régionales d'une paléoculture européenne (juillet 2004) », , p. 381-398 (lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté le ).
- [Kervazo & Texier 2009] Bertrand Kervazo et Jean-Pierre Texier, « Le site paléolithique de la grotte XVI (Dordogne, France) : lithostratigraphie, processus de formation et essai de chronologie », Paléo, no 21, 2009-2010, p. 163-188 (lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté le ).
- [Soressi 2002] Marie Soressi, Le Moustérien de tradition acheuléenne du sud-ouest de la France. Discussion sur la signification du faciès à partir de l'étude comparée de quatre sites : Pech-de-l'Azé I, Le Moustier, La Rochette et la Grotte XVI (thèse de doctorat en préhistoire et géologie du Quaternaire), Université Bordeaux I, , 330 p., sur tel.archives-ouvertes.fr (lire en ligne).
- [Guadelli & Rigaud 2009] Jean-Luc Guadelli et Jean-Philippe Rigaud, « Les sites du Massif du Conte (Dordogne) », Les Cahiers de la Vallée de la Couze, , p. 1-17 (lire en ligne [sur halshs.archives-ouvertes.fr], consulté le ).
- [Bordes 2002] Jean-Guillaume Bordes, Contribution to the definition of the Protoaurignacian: the comparison of archaeological materials from Dufour, Le Piage and le Bois de Milhac (France) (thèse de doctorat en préhistoire et géologie du Quaternaire), Université Bordeaux I, , sur tel.archives-ouvertes.fr (lire en ligne), p. 22 (carte).
- [Champagne & Espitalie 1967] F. Champagne et R. Espitalie, « La stratigraphie du Piage: Note préliminaire », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 64, no 1 « Études et travaux », , p. 29-34 (présentation en ligne).
- [Rios-Garaizar et al. 2012] (es) Joseba Ríos Garaizar, Iñaki Libano Silvente et Diego Garate Maidagan, « El yacimiento chatelperroniense al aire libre de Aranbaltza (Barrika, Euskadi) » [« The open air chatelperronian site of Aranbaltza (Barrika, Basque Country) »], Munibe (Antropologia-Arkeologia), no 63, , p. 81-92 (lire en ligne [PDF] sur cir.cenieh.es, consulté le ).
- [Ríos Garaizar et al.] (en) Joseba Ríos Garaizar, Iluminada Ortega, Iñaki Libano, Eneko Iriarte, Carlos Pérez Garrido, Oriol López Bultó, María José Iriarte-Chiapusso, Lucía Bermejo Albarrán, Ana Isabel Ortega Martínez, Raquel Piqué I Huerta, Arantza Aranburu Artano, Diego Gárate Maidagán et Laurence Bourguignon, « The Middle Paleolithic open air site with preservation of plant remains of Aranbaltza III and its implications in the understanding of neandertal settlement dynamics in the Northern Iberian Peninsula », Compte-rendu du XVIIecongrès mondial de l'UISPP (XVII world IUPPS congress, International Union for Prehistoric and Protohistoric Sciences), Paris, (résumé).
- [Lopes] Philippe Lopes, « Homo néanderthalensis à Aranbaltza (Pays Basque, Espagne) », sur philippelopes.free.fr (consulté le ).
- Bachellerie 2011, p. 33-150 ; carte de l'emplacement p. 33.
- Bachellerie et al. 2011.
- Bachellerie et al. 2011.
- Bachellerie 2011, p. 151-196 ; carte de l'emplacement p. 33.
- Jaubert 2007, p. 19, 20-21.
- Jaubert 2007, p. 18.
- [Barragué et al. 2001] Jean Barragué, Élisabeth Barragué, Marc Jarry, Pascal Foucher et Robert Simonnet, « Le silex du Flysch de Montgaillard et son exploitation sur les ateliers du Paléolithique supérieur à Hibarette (Hautes-Pyrénées) », Paléo, no 1, , p. 29-52 (lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté le ).
- [Daugas & Raynal 1989] Jean-Pierre Daugas et Jean-Paul Raynal, « Quelques étapes du peuplement du Massif central français dans leur contexte paléoclimatique et paléogéographique » (Colloque du Comité français de l'Union internationale pour l'étude du Quaternaire (INQUA), Talence. Textes réunis par Henri Laville), Cahiers du Quaternaire, no 13 « Variations des paléomilieux et peuplement préhistorique », , p. 67-95 (lire en ligne [PDF] sur halshs.archives-ouvertes.fr, consulté en ), p. 17 du lecteur de PDF, fig. 4 : « Les sites auvergnats du Paléolithique supérieur et de l'Épipaléolithique ».
- Daugas & Raynal 1989, p. 6.