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Vésubie

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Vésubie
Madone de Fenestre, Val de Lantosque
Illustration
La Vésubie à Saint-Martin-Vésubie.
Carte.
Cours de la Vésubie
Loupe sur carte verte la Vésubie sur OpenStreetMap.
Caractéristiques
Longueur 45,9 km [1]
Bassin 393 km2 [1]
Bassin collecteur Var
Débit moyen 8,61 m3/s (Utelle) [2]
Nombre de Strahler 3
Organisme gestionnaire SMIAGE ou Syndicat mixte Inondations, Aménagements et Gestion de l'Eau maralpin[3]
Régime pluvio-nival
Cours
Source lac Blanc (2 665 m), massif du Mercantour-Argentera
· Localisation Saint-Martin-Vésubie
· Altitude 2 665 m
· Coordonnées 44° 06′ 27″ N, 7° 22′ 56″ E
Confluence Var
· Localisation entre Levens et Bonson
· Altitude 140 m
· Coordonnées 43° 51′ 35″ N, 7° 11′ 48″ E
Géographie
Principaux affluents
· Rive gauche Gordolasque
· Rive droite Boréon, Figaret, Lantosque
Pays traversés Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Nice
Canton Tourrette-Levens
Principales localités Saint-Martin-Vésubie, Roquebillière, Lantosque, Levens

Sources : SANDRE : « Y63-0400 », Géoportail, Banque Hydro, OpenStreetMap

La Vésubie (Vesubiá en occitan/provençal/nissart), jadis appelée le val de Lantosque, est une rivière de France, entièrement dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur, et un affluent gauche du fleuve le Var.

Géographie

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Sa longueur est de 46 kilomètres[1], et elle se forme dans le massif du Mercantour-Argentera[4], au lac Blanc (2 665 m), à proximité des lac Mort, lac Balaour, et lac Cabret[5]. Elle s'appelle aussi la Madone de Fenestre sur cette partie haute[4].

La Vésubie conflue entre les communes de Levens et Bonson, à environ 140 m d'altitude[6].

On appelle Vésubie non seulement la rivière mais aussi la vallée. Les habitants de cette vallée sont les Vésubiens (lou Vesubian).

Communes et cantons traversés

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Dans le seul département des Alpes-Maritimes, la Vésubie traverse les huit communes[1],[7] suivantes, dans cinq cantons, dans le sens amont vers aval, de Saint-Martin-Vésubie (source), Venanson, Roquebillière, Lantosque, La Bollène-Vésubie, Utelle, Duranus, Levens (confluence)[note 1].

En termes de cantons, la Vésubie prend source dans l'ancien canton de Saint-Martin-Vésubie, traverse les anciens canton de Roquebillière, canton de Lantosque, canton de Levens et conflue à la limite de l'ancien canton de Roquesteron, donc aujourd'hui prend source et conflue dans le nouveau canton de Tourrette-Levens, dans l'arrondissement de Nice et dans l'intercommunalité Métropole Nice Côte d'Azur.

La Vésubie a donné son nom aux deux communes de Saint-Martin-Vésubie et La Bollène-Vésubie.

Bassin versant

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La Vésubie traverse les quatre zones hydrographiques Y630, Y631, Y632, Y633 de 393 km2 superficie totale[1]. Ce bassin versant est constitué à 94,92 % de « forêts et milieux semi-naturels », à 3,93 % de « territoires agricoles », à 1,05 % de « territoires artificialisés »[1],[note 2].

Les cours d'eau voisins sont le Boréon et la Madone de Fenestre au nord, la Gordolasque au nord-est la Roya et la Bévéra à l'est, la Banquière au sud-est, le Var au sud, sud-ouest, et à l'ouest et la Tinée au nord-ouest[4],[8].

Organisme gestionnaire

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L'organisme gestionnaire est le SMIAGE ou Syndicat Mixte Inondations, Aménagements et Gestion de l'Eau maralpin, créé en le (7 ans), et s'occupe désormais de la gestion des bassins versants côtiers des Alpes-Maritimes, en particulier de celui du fleuve le Var[9]. Celui-ci « a été reconnu comme EPTB, avec les félicitations du jury, lors de la séance du comité de bassin de l’Agence l’eau Rhône-Méditerranée-Corse du vendredi car il porte à la fois des politiques liées à la prévention du risque inondation et la gestion des milieux aquatiques »[9],[3].

Le Boréon à la fonte des neiges.

La Vésubie a onze tronçons affluents référencés[1] dont trois sont de longueur supérieure à dix kilomètres :

Les autres affluents sont de longueur inférieure à dix kilomètres et tous de rang de Strahler un (sans affluent) sauf le riou de Lantosque :

Rang de Strahler

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Donc le rang de Strahler de la Vésubie est de trois par la Gordolasque, le riou de Lantosque ou le riou du Figaret.

La Vésubie près de Saint-Martin-Vésubie.

La Vésubie est une petite rivière abondante. Son régime hydrologique est dit pluvio-nival.

Climat des Alpes-Maritimes

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Stations de la Banque Hydro

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La Vésubie a fait l'objet de quatre stations pour la Banque Hydro :

  • Y6334020 - la Vésubie à Utelle (Sainte-Thérèse) de 2008 à 2009 pour 2 ans, à 265 m d'altitude et pour un bassin versant de 348 km2[13]
  • Y6334030 - la Vésubie à Utelle à Saint-Jean-la Rivière de 1953 à 1971, pour 19 ans, aujourd'hui non visible[note 4]
  • Y6334040 - la Vésubie à Utelle (Pont du Cros) de 2010 à 2020 pour 10 ans, à 180 m d'altitude et pour un bassin versant de 382 km[14]
  • Y6334050 - la Vésubie à Levens (Plan du Var) de 1980 à 1992 pour 12 ans, à 145 m d'altitude et pour un bassin versant de 390 km[15]

La Vésubie à Utelle

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Son débit a été observé sur une période de 19 ans (1953-1971), à Utelle, à Saint-Jean-la-Rivière, tout près de son confluent avec le Var[2],[note 4]. Le bassin versant de la rivière y est de 348 km2, c'est-à-dire sa quasi-totalité.

Le module de la rivière à Utelle est de 8,61 m3/s[2].

La Vésubie présente des fluctuations saisonnières typiques d'un régime à dominante à la fois nivale et pluviale. On y distingue en effet deux périodes de crue. Les hautes eaux d'automne portent le débit mensuel moyen à un niveau situé à 12,3 m3/s, en novembre et sont suivies d'une baisse de débit jusqu'à 5,4 m3/s en février. Suit alors une deuxième montée du débit aboutissant à un second sommet en mai (13,5 m3/s) et juin (14,4 m3/s). Il est dû à la fonte des neiges. Dès lors dès le mois de juillet, s'amorce une très rapide décrue suivie des basses eaux d'été qui mènent le débit moyen à son étiage du mois d'août (avec une moyenne mensuelle de 5,38 m3/s), ce qui est encore fort abondant. Au total, les oscillations saisonnières sont relativement peu importantes. Cependant les fluctuations de débit peuvent être bien plus prononcées sur de courtes périodes.

Étiage ou basses eaux

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Le VCN3 peut chuter jusque 1,9 m3/s, en cas de période quinquennale sèche[2], ce qui reste élevé.

Le niveau de crues des 30 derniers jours peut être consulté sur le site Vigicrues[16].

Les crues peuvent être très importantes pour une aussi petite rivière à bassin réduit. Les QJX 2 et QJX 5 valent respectivement 67 et 97 m3/s. Le QJX 10 ou débit journalier calculé de crue décennale est de 120 m3/s et le QJX 20 de 140 m3/s. Quant au QJX 50, il n'est pas disponible. Cela signifie que, par exemple, tous les deux ans on doit s'attendre à une crue de l'ordre de 67 m3/s d'une durée d'une journée, et tous les vingt ans une crue de 140 m3/s doit statistiquement survenir[2].


La hauteur maximale instantanée a été de 518 cm ou 5,18 m le [14]


Le débit journalier maximal enregistré a été de 200 m3/s le [2]. En comparant cette valeur avec l'échelle des QJX de la rivière, il apparaît que ces crues étaient largement plus importantes que la valeur calculée de crue vicennale, et donc assez exceptionnelles.


Une crue exceptionnelle a également eu lieu le . Au pont du Cros à Utelle, la Vésubie atteint 6,92 m à 20 h 0[17]. Le débit atteint 644 m3/s à 17 h 30[18],[note 5].


Lame d'eau et débit spécifique

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Au total, la Vésubie est une rivière abondante, alimentée par des précipitations, elles aussi abondantes, dans son bassin situé tout entier en région alpine. La lame d'eau écoulée dans son bassin versant est de 781 millimètres annuellement (contre 746 mm/an pour la Tinée), ce qui est élevé, valant plus du double de la moyenne d'ensemble de la France tous bassins confondus, et supérieur aussi à la lame de la totalité du bassin du Var. Le débit spécifique de la rivière (ou Qsp) atteint le chiffre de 24,7 litres par seconde et par kilomètre carré de bassin[2].

Aménagements et écologie

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En 1383, la Vésubie est intégrée à l'État Savoyard[19].

Le , un tremblement de terre ravage la vallée de la Vésubie faisant 300 morts[20]. À posteriori, les chercheurs estiment sa magnitude à 5,9 ou 6 degrés sur l'échelle de Richter.

En 1888, la rivière est nommée le torrent de la Madone des Fenêtres[21].

Le , une crue exceptionnelle causée par la tempête Alex fait de très importants dégâts dans la vallée de la Vésubie[22]. Une nouvelle crue frappe la vallée à cause de la tempête Alice le 20 octobre 2023[23].

Le canal de la Vésubie

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Le canal de la Vésubie est un ouvrage hydraulique des Alpes-Maritimes, en fait un aqueduc qui alimente en eau potable la ville de Nice[24].

Accord bilatéral avec Monaco

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La France et la principauté de Monaco ont conclu un accord bilatéral garantissant à la principauté un approvisionnement en eau potable depuis la Vésubie. En contrepartie, trois communes limitrophes de Monaco (La Turbie, Beausoleil et Cap-d'Ail) bénéficient de ses infrastructures de traitement des eaux[25],[26].

Le massif du Boréon et la vallée de la Vésubie (qui draine les eaux de ce massif) font partie des zones ayant fait l'objet d'études plus approfondies des retombées de Tchernobyl en France, via des analyses d'échantillons de sol, de mousses, de lichens et fougères collectés en forêt et dans la vallée qui ont mis en évidence des contaminations atteignant dans les sols à la fin des années 1980 : 42,8 ; 9,4 et 3,8 kBq.m−2 respectivement pour le césium 137, césium 134 et le ruthénium 106[27]. En , de l'antimoine 125 et de l'argent 110 était aussi détectés[27]. Les sols les plus contaminés trouvés l'ont été à 1400 à 1 700 m d'altitude[27].

Lieux pittoresques

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Saint-Jean-la-Rivière - Vue générale avec le pont sur la Vésubie avec la route d'Utelle.
Gorges de la Vésubie.

La vallée est belle sur toute sa longueur et particulièrement pittoresque dans sa dernière portion, les « gorges », allant de Saint-Jean-la-Rivière (commune d'Utelle) à Plan-du-Var et également visibles du belvédère du Saut des Français à Duranus[28]. Dans son cours inférieur, à partir du Plan-du-Var, le torrent a taillé des gorges aux parois verticales pour rejoindre le Var. Le paysage est encore méditerranéen entre Saint-Jean-la-Rivière et Lantosque : les versants les moins abrupts et les mieux exposés de la vallée moyenne se couvrent de cultures en terrasses, de vignes et d'oliviers. La haute vallée, elle, résolument alpestre, alterne pâturages verdoyants, forêts et sapins, cascades et hauts sommets. En été, la remontée de la vallée de la Vésubie offre un contraste saisissant, faisant passer en quelques minutes de la basse vallée du Var écrasée de soleil à un paysage alpin de prairies verdoyantes.

La Vésubie a quatre AAPPMA qui se partagent son bassin versant : La Haute Vésubie, la Vésubienne, la Gordolasque, et la Fario[29].

Étymologie

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Les mentions anciennes de la Vésubie sont : La Vésubie en 1789[30], la Vésune en 1819[31], La Vésubie en 1826[32]. En l'absence de formes anciennes, on se perd en conjectures. Il a existé sur le Trophée des Alpes une population gauloise les Vésubiens (Vesubionorum), Esubiens (Esubiani). Ils étaient placés vers Clans[30]. Le premier terme correspond au gaulois vesu "valable, bon, digne de"[33].

Liens externes

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Bibliographie

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Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Aurell MARTIN et Jean-Paul Boyer, Hommes et communautés du Haut Pays niçois médiéval. La Vésubie (XIIIe – XVe siècles), Médiévales, n°20 Sagas et chroniques du Nord, sous la direction de Simonne Abraham-Thisse., Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Revue des eaux et forêts, t. 27, Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • DELAMARRE Xavier, Dictionnaire de la langue gauloise, Une approche linguistique du vieux-celtique continental, Paris, Errance, Collection des Hespérides, , 360 p. (ISBN 2-87772-237-6) Document utilisé pour la rédaction de l’article

wikilien alternatif2

Les coordonnées de cet article :

Notes et références

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  1. le SANDRE 2012 rajoute -?- les communes de Belvédère à l'est de Roquebillière et Bonson en face de la confluence.
  2. Le SANDRE 2020 n'affiche plus les superficies des zones hydrographiques, ni les répartitions par type de territoire.
  3. Abréviations : rd pour rive droite et rg pour rive gauche.
  4. a et b En 2020, cette station Y6334030 et ces données ne sont plus visibles sur la Banque Hydro !?
  5. Certaines valeurs sont manquantes. Il est donc possible que le débit maximum ait été supérieur.

Références

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  1. a b c d e f et g Sandre, « Fiche cours d'eau - La Vésubie (Y63-0400) » (consulté le ).
  2. a b c d e f et g Banque Hydro - Ministère de l'Écologie, « Synthèse de la Banque Hydro - La Vésubie à Utelle (Y6334030) » (consulté le ).
  3. a et b « le territoire Maralpin », sur www.smiage.fr (consulté le ).
  4. a b et c Géoportail - Institut national de l'information géographique et forestière, « Géoportail » (consulté le ).
  5. « Source de La Vésubie » sur Géoportail (consulté le 9 juin 2012)..
  6. « Confluence de La Vésubie » sur Géoportail (consulté le 9 juin 2012)..
  7. « La Vallée de la Vésubie, entre Côte d'Azur et Parc National du Mercantour » (consulté le ).
  8. [PDF] « Bassins versants topographiques des Alpes-Maritimes », sur www.observatoire-eau-paca.org/ (consulté le ).
  9. a et b « Préserver le cadre de vie - Inondations, aménagement et gestion de l'eau », sur www.departement06.fr (consulté le ).
  10. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Boréon (Y6300500) » (consulté le ).
  11. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Gordolasque (Y6310580) » (consulté le ).
  12. Sandre, « Fiche cours d'eau - Riou du Figaret (Y6320600) » (consulté le ).
  13. Banque Hydro - Ministère de l'Écologie, « Synthèse de la Banque Hydro - la Vésubie à Utelle (Sainte-Thérèse) (Y6334020) » (consulté le ).
  14. a et b Banque Hydro - Ministère de l'Écologie, « Synthèse de la Banque Hydro - la Vésubie à Utelle (Pont du Cros) (Y6334040) » (consulté le ).
  15. Banque Hydro - Ministère de l'Écologie, « Synthèse de la Banque Hydro - la Vésubie à Levens (Plan du Var) (Y6334050) » (consulté le ).
  16. « Vigicrues à la station Vésubie : Utelle (Pont du Cros) »
  17. « Utelle [Pont du Cros] (Vésubie) - Hauteurs », sur vigicrues.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Utelle [Pont du Cros] (Vésubie) - Débits », sur vigicrues.gouv.fr (consulté le ).
  19. MARTIN et Boyer 1991, p. 109-111.
  20. www.azurseisme.com - André Laurenti, « Séismes des Alpes-Maritimes du XIVe au XVIIe siècle » (consulté le ).
  21. Revue des eaux et forêts 1888, p. 12.
  22. « Face à des inondations annoncées "historiques", le préfet sonne l'état d'alerte dans le haut pays », sur Nice Matin, .
  23. « Tempête Aline : des dégâts à Saint-Martin-Vésubie, dans les Alpes-Maritimes », (consulté le )
  24. © direction régionale des affaires culturelles Provence-Alpes-Côte d'Azur - conservation régionale des monuments historiques, « Canal de la Vésubie, Utelle, La Roquette-sur-Var, Saint-Blaise, Nice, Alpes-Maritimes » (consulté le ).
  25. http://www.un.org/esa/agenda21/natlinfo/countr/monaco/freshwater2004.pdf
  26. Gouvernement de la principauté de Monaco, Direction de l'Environnement, L'Environnement en principauté de Monaco : Recueil de données 2013, 30 p. (lire en ligne).
  27. a b et c Barci-Funel G, Dalmasso J, Ardisson G (1992), Deposition of long-lived radionuclides after the Chernobyl accident in the forestal massif of Boreon. J Radioanal Nucl Chem 1992 ; 164 : 157-69
  28. Association Vésubie découverte, « Portail de la Vésubie » (consulté le ).
  29. « Fédération de pêche 06 - La Vésubie », sur www.peche06.fr (consulté le ).
  30. a et b MENTELLE Encyclopedie Methodique (1789), t. 2, p. 424
  31. Le Bouyer de Saint-Gervais (B.) Mémoires et correspondance du maréchal de Catinat (1819), t. 2, p. 293
  32. RISSO (Antoine) Histoire naturelle des principales productions de l'Europe (1826), t. 1, p. 10
  33. DELAMARRE Xavier 2003, p. 318.
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