Pierrelaye
Pierrelaye est une commune française située dans le département du Val-d'Oise, en région Île-de-France.
Pierrelaye | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Val-d'Oise | ||||
Arrondissement | Argenteuil | ||||
Intercommunalité | CA Val Parisis | ||||
Maire Mandat |
Michel Vallade (PCF) 2020-2026 |
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Code postal | 95220 et 95480 | ||||
Code commune | 95488 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pierrelaysien, Pierrelaysienne | ||||
Population municipale |
9 998 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 1 086 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 01′ 21″ nord, 2° 09′ 01″ est | ||||
Altitude | 39 m Min. 35 m Max. 78 m |
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Superficie | 9,21 km2 | ||||
Type | Grand centre urbain | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Taverny | ||||
Législatives | 3e circonscription du Val-d'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | https://pierrelaye.fr/ | ||||
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Ses habitants s'appellent les Pierrelaysiens.
Géographie
modifierDescription
modifierPierrelaye est une commune périurbaine située à 23 km au nord-ouest de Paris, à 5 km au sud-est de Pontoise.
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Carte de la commune. -
Occupation des sols
Hydrologie
modifierLe ru de Liesse prend sa source à Pierrelaye, qu'il traverse.
Communes limitrophes
modifierLa commune est limitrophe de Saint-Ouen-l'Aumône, Méry-sur-Oise, Bessancourt, Beauchamp, Montigny-lès-Cormeilles et Herblay-sur-Seine.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 659 mm, avec 10 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pontoise à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 666,7 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2,7 | 2,6 | 4,5 | 6,4 | 9,8 | 13 | 14,9 | 14,7 | 11,7 | 9,1 | 5,6 | 3,3 | 8,2 |
Température moyenne (°C) | 5,3 | 5,8 | 8,8 | 11,7 | 15,2 | 18,4 | 20,5 | 20,4 | 16,9 | 13 | 8,5 | 5,7 | 12,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,8 | 9,1 | 13,1 | 16,9 | 20,5 | 23,8 | 26,1 | 26,2 | 22,2 | 17 | 11,5 | 8,2 | 16,9 |
Record de froid (°C) date du record |
−12,5 01.01.1997 |
−12,3 07.02.1991 |
−8,1 01.03.05 |
−2,4 08.04.03 |
−0,5 06.05.19 |
1,8 05.06.1991 |
6 04.07.1990 |
5,6 26.08.1993 |
0 30.09.18 |
−3,6 30.10.1997 |
−10 24.11.1998 |
−10,4 29.12.1996 |
−12,5 1997 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,7 18.01.07 |
21,5 27.02.19 |
25,8 16.03.12 |
29,8 29.04.10 |
32,9 27.05.05 |
39,7 27.06.11 |
40 01.07.15 |
40 09.08.20 |
36 15.09.20 |
31,1 01.10.11 |
22 08.11.15 |
17,5 17.12.15 |
40 2020 |
Précipitations (mm) | 57,9 | 52,1 | 49,4 | 45,4 | 62,2 | 53,5 | 49 | 52,9 | 46,3 | 63,9 | 59 | 75,1 | 666,7 |
Urbanisme
modifierLe cœur de l'ancien village se concentre au sud de la chaussée Jules-César, dans l'actuelle rue Victor-Hugo située entre la rue Léon-Pelouse et la place de la Croix.
Au nord, le château du XVIIIe siècle donne sur un vaste parc[7].
Typologie
modifierAu , Pierrelaye est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[10]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].
Voies de communication et transports
modifierTraversé par l'ancienne route nationale 14 devenue RD 14, Pierrelaye est desservi par l'autoroute A 15.
Sa gare se trouve sur les lignes H du Transilien et C du RER.
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes latinisées [apud] petram latam en 1125 (Saint-Denis) et Petra lata en 1205[13] et française Pierre-laie en 1754[14].
En langue d'oïl, le syntagme composé des termes pierre et lée (mot issu du latin lata qui signifie « large ») désigne habituellement un dolmen[13].
Homonymie avec Pierrelaye (SAÔNE-ET-LOIRE, Oyé, Petra Lata 1206)[15], Pierrelaye (EURE, Le Neubourg), etc. et les nombreux Peyrelade (Peirelado / Peirelada) de langue d'oc. cf. château de Peyrelade (Aveyron).
Histoire
modifierPréhistoire
modifierEn 2002, des fouilles mettent au jour des éléments datables de la fin de la Tène[7].
Antiquité
modifierLe village s'implante sur la voie romaine dite chaussée Jules César, qui relie Lutèce à la Manche. Le long de cette voie, on trouve des monnaies romaines en 1879 et de grandes bornes gravées en forme d'obélisques en 1882[7].
En 1901, les travaux de creusement du drain de Liesse exhument les vestiges d'une nécropole gauloise de la culture de La Tène. Les tombes contiennent, entre autres, des parures en bronze : torques, colliers, bracelets, fibules.
Moyen Âge
modifierD'après l'abbé Lebeuf[16], Pierrelaye s'appelait autrefois Alateum. Ce domaine avait été donné par Dagobert Ier à la basilique Saint-Denis en 630. Avant, il avait été donné à Laudégisile (ou Lanthegisile), le frère de Nanthilde, par le roi Dagobert.
Cependant, aucune trace de l'antiquité tardive ni de l'époque carolingienne n'a été découverte[7].
À l'époque féodale, le fief appartient aux religieux de l'abbaye de Saint-Denis. Dès 1125, Mathieu le Bel rend hommage à l'abbaye. Au XIIIe siècle, plusieurs seigneurs portant le nom de Petra lata sont vassaux de Saint-Denis ou de la Maison de Montmorency[7].
L'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste est construite au XIIIe siècle.
Temps modernes
modifierComposé exclusivement de plusieurs variétés de sables, le sol ne produit que du seigle et du bouleau. Les habitants se spécialisent dans la fabrication de balais. Bien qu'une grande qu'une partie du territoire soit stérile, quelques vignes croissent à la limite de Saint-Ouen-l'Aumône. En 1750, l'abbé Lebeuf qualifie les terres de « pauvres et couvertes de bois »[7].
Au XVIIe siècle, l'ouverture de la route royale de Paris à Rouen, future RN 14, entraîne la création d'une petite agglomération au lieudit la Patte d'Oie d'Herblay. Pierrelaye se trouve à l'écart de cette voie et le demeurera pendant deux siècles. Jusqu'aux grands défrichements du XVIIIe siècle, son territoire reste en grande partie boisé. On pratique l’élevage de moutons. Sous Louis XIV, la paroisse compte 320 habitants. En 1733, elle recrute son premier maître d’école[17]. Un moulin à vent se dresse près de l'angle de la rue d'Herblay et de l'avenue du Général-Leclerc[7].
Époque contemporaine
modifierEssentiellement consacrée à la culture maraîchère, la commune connaît un désenclavement au XIXe siècle avec l'arrivée du chemin de fer qui relie Paris à la frontière belge. La ligne est achevée en 1846 mais la gare de Pierrelaye n'est ouverte qu’en 1881 : certains habitants assurant les transports redoutent la concurrence de ce nouveau moyen de locomotion et, pour éviter de perdre leur clientèle, arrachent de nuit les traverses posées la veille…
En 1848, l'actuelle rue Georges-Boucher relie le bourg à la route royale. L'ouverture de la gare favorise le développement agricole, les cultivateurs pouvant désormais expédier rapidement leur production vers Paris[18].
L'hôtel-de-ville est construit en 1901, le groupe scolaire Jean-Nicolas Leveau en 1934[19].
En 1960, la SA HLM Le Foyer pour Tous réalise un programme de 140 logements sociaux répartis place de la Gare et dans le quartier des Petits-Bois. Suivent, en 1972, la construction de 380 logements au Clos Saint Pierre et le lotissement en pavillons de terrains non irrigables. L'urbanisation se poursuit dans les années 1980, avec des équipements comme la protection maternelle et infantile (PMI), de nouvelles écoles et une salle polyvalente[19].
Le schéma directeur d'aménagement et d'urbanisme (SDAU) de la ville nouvelle de Cergy-Pontoise limite le développement de Pierrelaye, considéré comme un réservoir de terres agricoles et d’espaces verts[19].
Pendant un siècle, la plaine de Pierrelaye-Bessancourt où se concentrent les cultures maraîchères est amendée par épandage des eaux usées de Paris puis du SIAAP. En 2018, le site est déclaré « multi-pollué »[20],[21]. Une forêt de 1 350 hectares plantée d'un million d'arbres, s'étendant sur les communes voisines, devrait être créée d'ici à 2050[22].
À compter des années 1980, une vaste zone d'activité commerciale se crée à la Patte d'Oie d'Herblay le long de l'ex-RN 14 (actuelle RD 14), en partie sur le territoire de la commune. L'urbanisation se poursuit en centre-ville et le long de la route de Bessancourt, accompagnée de nouveaux équipements collectifs (crèche et halte-garderie ; écoles ; bibliothèque ; centre de loisirs ; gymnase ; parc des sports ; tennis couverts ; salles municipales ; extension des services techniques...)[19].
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierAntérieurement à la loi du [23], la commune fait partie du département de Seine-et-Oise. Depuis la réorganisation de la région parisienne en 1964, elle appartient au Val-d'Oise et, après un transfert administratif effectif au , à l'arrondissement de Pontoise.
Pour l'élection des députés, elle est rattachée à la troisième circonscription du Val-d'Oise.
De 1806 à 1967, elle fait partie du canton de Pontoise. À la création du Val-d'Oise, elle est rattachée en 1967 au canton de Saint-Ouen-l'Aumône puis, en 1976, à celui de Beauchamp[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014, elle intègre le canton de Taverny.
Elle ressort du tribunal d'instance de Montmorency, du tribunal judiciaire et du tribunal de commerce de Pontoise[25],[26].
Intercommunalité
modifierPierrelaye a été membre de la communauté d'agglomération du Parisis, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2005 auquel elle avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante en seconde couronne afin de pouvoir dialoguier avec la métropole du Grand Paris créée par cette même loi, cette intercommunalité fusionne avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération Val Parisis.
En 2014, la communauté d'agglomération Val Parisis et les communes de Méry-sur-Oise et de Saint-Ouen-l'Aumône s'associent, au sein du Syndicat mixte pour l'aménagement de la plaine de Pierrelaye - Bessancourt, afin de créer une forêt plantée de variétés particulières d'arbres (hêtre, chêne…) capables d'absorber le dioxyde de carbone de la plaine maraîchère polluée. À raison de 100 hectares par an, le projet pourrait s'achever en 2050[22].
Tendances politiques
modifierLors du premier tour des élections municipales de 2014 dans le Val-d'Oise, la liste PS-PCF-EELV menée par le maire sortant Michel Vallade remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 523 voix (59,09 %, 24 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement[27] par :
- Éric Bosc (UMP, 821 voix, 31,85 %, 4 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
- Jocelyne Binet (DVD, 233 voix, 9,04 %, 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin, 45,49 % des électeurs se sont abstenus.
Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans le Val-d'Oise, la liste d'union de la gauche menée par le maire sortant Michel Vallade remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 298 voix (64,9 %, 24 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires), battant très largement la liste DVD menée par Éric Bosc (LR - Union de la droite[28], 702 voix, 35,10 %, 5 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 61,02 % des électeurs se sont abstenus[29],[30].
Liste des maires
modifierÉquipements et services publics
modifierEnseignement
modifierEn 2018, le groupe scolaire Louise-Michel comportant 11 classes ouvre pour faire face à la croissance du quartier du Bocquet[38],[39].
À la rentrée scolaire 2019-2020, une extension du collège du Petit-Bois permet d'accueillir 450 élèves du second degré[40].
Santé
modifierEn 2018, la commune accueille quatre médecins dont trois approchent de la retraite. La municipalité sollicite de l'Agence régionale de santé (ARS) un classement en zone prioritaire qui favoriserait l'installation de professionnels de santé. Mais il est refusé et les élus redoutent un désert médical[41],[42].
Population et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[44].
En 2021, la commune comptait 9 998 habitants[Note 9], en évolution de +22,52 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Saint-Jean-Baptiste, place de la Mairie.
- Elle est reconstruite en 1852 pour remplacer un édifice datant probablement du XIIIe siècle qui menace ruine[46]. De l'église primitive proviennent vraisemblablement deux reliques contenant l'une des fragments de cheveux attribués à saint Jean Évangéliste, l'autre un reste de tissu ayant revêtu saint Jean Baptiste, ainsi qu'un baptistère en pierre.
- Mairie-école édifiée de 1899 à 1902, 42 bis rue Victor-Hugo[46].
Personnalités liées à la commune
modifier- Léon Germain Pelouse (1838-1891), peintre paysagiste français de l'École de Barbizon y est né.
- Stéphanie Frappart (1983), arbitre de football a passé son enfance à Pierrelaye[47].
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Collectif d’historiens, Le Patrimoine des Communes du Val-d'Oise - tome 1, Paris, Éditions Flohic, , 1054 p. (ISBN 2-84234-056-6), « Pierrelaye », p. 69–74
- Ouvrage collectif dirigé par Monique Wabont, Franck Abert et Didier Vermeersch, Carte archéologique de la Gaule : le Val-d‘Oise, 95, Paris, Maison des sciences de l'homme, 2006, p. 265.
- Béatrice Cabedoce, Eaux usées, usages de l'eau : épandage et maraîchage dans la plaine de Méry-Pierrelaye, Cergy-Pontoise, Conseil général du Val d'Oise, atelier de restitution du patrimoine ethnologique, 2002, 16 pages illustrées.
- Luc Blanchard, Plaine en devenir : Histoire de la plaine de Pierrelaye-Bessancourt, Sèvres, Studio Graph, , 96 p. (ISBN 978-2-9560567-0-6, BNF 45482919, présentation en ligne).
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à la santé :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Histoire générale de Pierrelaye (Association Valmorency)
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Archives départementales du Val-d'Oise (consulté le ).
- « Archéologie & histoire de Pierrelaye »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Archéologie & Histoire par commune, sur valdoise.fr (consulté le ).
Notes et références
modifierNotes
modifier- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Ascendance sur « Généanet ».
- Acte de décès dressé à Pierrelaye le 10 avril 1793. Archives départementales du Val-d'Oise. Vues 45 et 46/153.
- Un groupe scolaire de la commune porte son nom.
- Contrairement à FranceGenWeb.org, le site municipal indique que Jean Nicolas Leveau a été maire de 1884 à 1919.
- Une rue de la commune porte le nom de ce maire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
modifier- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Pierrelaye et Pontoise », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Pontoise -Ville » (commune de Pontoise) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Pontoise -Ville » (commune de Pontoise) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- Archéologie & histoire, doc. cit. en Liens externes.
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Pierrelaye ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, p. 1119.[réf. incomplète].
- Jean Lebeuf, « Pierre-laie », in Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, t. 2, Paris, Prault Père, 1755, ré-éd. libr. Féchoz et Letuzey, 1883, p. 76-78
- Jean Rigault, Dictionnaire topographique de Saône-et-Loire, Paris, 2008, p. 557.
- abbé Lebeuf, Hist. du dioc. de Paris, éd. Bournon, t. II, p. 76
- « Pierrelaye : une histoire qui remonte au temps des Gaulois », Découvrir Pierrelaye, sur ville-pierrelaye.fr (consulté en ).
- « Pierrelaye : un essor considérable au XIXe siècle », Découvrir Pierrelaye, sur ville-pierrelaye.fr (consulté en ).
- « Pierrelaye : aujourd’hui, une ville en harmonie avec son passé »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Découvrir Pierrelaye, sur ville-pierrelaye.fr (consulté le ).
- Laurence Allezy et Corentin Lesueur, « Pierrelaye-Bessancourt : la pollution au plomb de la plaine atteint des niveaux « inacceptables » : L’étude sanitaire menée ces dernières années sur l’état des sols confirme la pollution aux métaux lourds sur différents sites et les risques pour la santé. Le dépistage systématique du saturnisme infantile n’a pourtant pas été décidé », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Depuis l'arrêté préfectoral de 1999, interdisant la mise sur le marché des légumes produits sur la plaine, les particuliers qui possèdent des jardins poursuivent, eux, la culture et consomment leur production. Il y a aussi la présence des gens du voyage, très souvent installés sur des terrains de la plaine. Aujourd'hui, les résultats de l'étude, qui a porté sur les teneurs en plomb mais aussi sur le mercure, le cadmium, le cuivre, ou encore le zinc, sont sans ambiguïté. « La présence de plomb dans les sols superficiels a été mise en évidence et ce à des teneurs supérieures aux valeurs repères », dit le rapport ».
- Marie Persidat, « Pollution de la plaine de Pierrelaye-Bessancourt : «on avait raison de s’inquiéter » : Dominique Vedy de l’association Val-d’Oise Environnement réagit aux conclusions de l’étude sanitaire menée par l’ARS », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- Lamia Barbot, « Bientôt une nouvelle forêt dans le Val-d'Oise ? : Des élus du département réfléchissent depuis plus de 15 ans à la création d'une forêt d'un million d'arbres sur la plaine de Pierrelaye-Bessancourt », Les Échos, (lire en ligne, consulté le ) « La plaine, qui était au xviiie siècle une forêt puis une terre maraîchère, s'est retrouvée polluée de métaux lourds avec l'épandage des eaux usées de la ville de Paris. Depuis, seuls 1 000 hectares sont encore en culture. Du blé, du colza et du maïs survivent par-ci par-là à destination de l'alimentation animalière ».
- Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
- Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
- Résultats officiels pour la commune Pierrelaye
- Daniel Chollet, « Pierrelaye : Éric Bosc lance la campagne de la droite pour les municipales : Le conseiller municipal d'opposition (Les Républicains) part en campagne pour 2020. L'ossature de son équipe est constituée », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- « Val-d'Oise (95) - Pierrelaye », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Monistère de l'intérieur (consulté le ).
- Daniel Chollet, « Municipales à Pierrelaye : Michel Vallade gagne haut la main : Michel Vallade, maire (Pc) sortant depuis 1977, l'emporte avec 64,90% des voix contre Eric Bosc (Lr, liste d'union de la droite), largement battu (35,10%) », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Six ans après leur première confrontation, le rapport de forces n’a guère changé. Il s’est même accentué en faveur de Michel Vallade. Vainqueur avec 59,09 % il y a six ans, il améliore son résultat de presque six points ».
- « Les maires de Pierrelaye », sur francegenweb.org (consulté le ).
- Alexandre Boucher, « Pierrelaye : maire depuis 1977, Michel Vallade ne lâche pas son fauteuil : A 76 ans, le maire communiste brigue un huitième mandat, toujours avec « le même enthousiasme ». Si certains habitants s’interrogent sur le renouvellement politique, peu sont critiques sur le bilan », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- Gérard Le Puill, « Quinze ans de bonne gestion : La démission des quatre élus de droite six mois après celle de plusieurs conseillers socialistes oblige les électeurs à retourner aux urnes. Michel Vallade, maire depuis 1977, conduit une liste d'union sur laquelle figurent un ancien adjoint », L'Humanité, (lire en ligne).
- B.S., « Michel Vallade vise un cinquième mandat à Pierrelaye », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
- Alexandre Boucher, « Municipales : à Pierrelaye, deux listes veulent renverser Michel Vallade », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
- Daniel Chollet, « Municipales 2020. Pierrelaye : maire depuis 42 ans, Michel Vallade (Pcf) veut rempiler : Il sera à la tête d'une liste de rassemblement de gauche portant sur des "valeurs". L'élu évoque parmi les projets l'évolution du quartier de la gare », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « À la tête d’une liste de rassemblement à gauche portant sur « des valeurs », aux côtés d’élus Pcf, Ps, Insoumis et de Jacqueline Binet (candidate contre Michel Vallade en 2014), le maire repartira à la bataille en mars 2020, déterminé à poursuivre son travail ».
- « Conseil municipal du 26 mai 2020 - compte rendu »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF], Les délibérations, sur ville-pierrelaye.fr (consulté le ).
- Daniel Chollet, « Retard à l'allumage pour l'école Louise-Michel à Pierrelaye : Le groupe scolaire devait être livré le 3 septembre, mais les entreprises ont pris du retard et l'ouverture ne se fera que le 5 novembre, après la Toussain », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- Daniel Chollet, « Le nouveau groupe scolaire inauguré à Pierrelaye dans un contexte particulier : Les élus ont inauguré novembre la nouvelle école Louise-Michel. Une ouverture dans un contexte marqué par la divulgation d'une enquête sur une pollution au plomb qui fait débat », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Le coût de l’investissement est de 11 millions d’euros pour onze classes et de nombreux locaux annexes : salles informatique et de psychomotricité, mini-accueil de loisirs matin et soir, ainsi qu’une cuisine centrale qui confectionnera 1 000 repas par jour pour tous les écoliers de Pierrelaye et qui remplacera l’équipement installé à l’école Pierre-Curie. « Une grosse partie de l’école a été financée par le promoteur dans le cadre d’un projet urbain partenarial (Pup) », précise Michel Vallade ».
- Yohann Le Coz, « Val-d'Oise. Le collège du Petit-Bois s’agrandit : Des travaux d’agrandissement et d’accessibilité sont menés cet été au collège pour accueillir 100 élèves supplémentaires », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- Daniel Chollet, « La ville de Pierrelaye face au risque de désert médical : https://actu.fr/ile-de-france/pierrelaye_95488/val-doise-ville-pierrelaye-face-risque-desert-medical_19571755.html », La Gazette du Val-d'Oise, (Face au risque de pénurie (il ne reste plus que 4 médecins et 3 ont l'âge à la retraite en 2019), la Ville accorde une aide financière sur 3 ans à l'installation d'un docteur, consulté le ).
- Daniel Chollet, « Santé : exclue de la cartographie médicale de l'Ars, Pierrelaye ne se laisse pas faire ! : La municipalité de Pierrelaye a lancé une pétition, dénonçant une "discrimination de territoire". L'Agence régionale de santé d'Île-de-France rééxaminera la situation en 2019 », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- M. et Mme Boulard et Valérie Jacquemin, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Pierrelaye », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I, , p. 69-74 (ISBN 2-84234-056-6).
- Thibault Chaffotte, « Stéphanie Frappart, la meilleure arbitre de football du monde, revient sur ses terres natales au Plessis-Bouchard », Le Parisien, (consulté le )