Aussurucq

commune française du département des Pyrénées-Atlantiques

Aussurucq est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Aussurucq
Aussurucq
La mairie dans le château, côté cour.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays basque
Maire
Mandat
Jean-Marie Queheille
2020-2026
Code postal 64130
Code commune 64081
Démographie
Gentilé Altzürükütar
Population
municipale
236 hab. (2021 en évolution de −4,84 % par rapport à 2015)
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 09′ 01″ nord, 0° 55′ 57″ ouest
Altitude Min. 191 m
Max. 1 284 m
Superficie 47,12 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Mauléon-Licharre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Aussurucq
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Aussurucq
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Aussurucq
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Aussurucq

Géographie

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Localisation

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Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Aussurucq se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 69 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 39 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 11 km de Mauléon-Licharre[4], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Menditte (2,9 km), Ossas-Suhare (3,6 km), Sauguis-Saint-Étienne (3,7 km), Idaux-Mendy (3,8 km), Ordiarp (4,1 km), Camou-Cihigue (4,3 km), Trois-Villes (5,0 km), Gotein-Libarrenx (5,3 km).

Sur le plan historique et culturel, Aussurucq fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[6]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[7]. Elle se divise en Haute-Soule, Basse-Soule et Arbaille, dont fait partie la commune.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Idaux-Mendy, Alçay-Alçabéhéty-Sunharette, Béhorléguy, Camou-Cihigue, Mendive, Musculdy, Ordiarp, Ossas-Suhare, Saint-Just-Ibarre et Hosta.

Hydrographie

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Réseaux hydrographique et routier d'Aussurucq.

La commune est drainée par la Bidouze, le Laurhibar, le ruisseau Apouhoura, azalegiko erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 20 km de longueur totale[9],[10].

La Bidouze, d'une longueur totale de 82,2 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud vers le nord en direction de Saint-Just-Ibarre. Elle se jette dans l'Adour à Guiche, après avoir traversé 26 communes[11].

Le Laurhibar, d'une longueur totale de 28,1 km, prend sa source dans la commune de Mendive et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Nive à Saint-Jean-Pied-de-Port, après avoir traversé 8 communes[12].

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[13]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[14].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 745 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 10,8 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Licq-Athérey à 10 km à vol d'oiseau[16], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 528,1 mm[17],[18]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[19].

Milieux naturels

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À la fin du XIXe siècle, la forêt des Arbailles couvrait en partie les territoires des communes d'Aussurucq, Béhorléguy, Camou-Cihigue, Musculdy, Ordiarp et Saint-Just-Ibarre.

L'une des richesses patrimoniales de la commune d'Aussurucq est constituée par son sous-sol. En effet, une grande partie sinon la totalité du territoire de la commune s'étend en milieu karstique.

Ce milieu se caractérise notamment par la présence de cavités naturelles de formes complexes qui ne sont pas encore toutes découvertes ni a fortiori explorées à ce jour.

Les spéléologues du département et d'ailleurs ont entrepris l'exploration, la description et la publication de ce patrimoine, dans le respect de l'environnement et des populations locales.

L'une des plus belles cavités de cette commune est le Nébélé, qui fait l'objet de travaux et explorations réguliers depuis 1972.

Le pic d'Ascune se dresse à 860 mètres[8], l'Echagorry à 935 mètres[8], le pic d'Elsarré à 1 153 mètres, le pic Sihigue à 1 193 mètres et le pic Etchecortia à 1 204 mètres[8]. Au sud-ouest du territoire, le Bohorcortia s'élève à 1 214 mètres[8].

La Bidouze prend sa source au nord-ouest du territoire de la commune[8], avant de couler sur Saint-Just-Ibarre.

Urbanisme

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Typologie

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Au , Aussurucq est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[20]. Elle est située hors unité urbaine[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mauléon-Licharre, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[1]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (85,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (27 %), prairies (8 %), zones agricoles hétérogènes (5,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,5 %), zones urbanisées (0,5 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Lieux-dits et hameaux

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12 quartiers composent la commune d'Aussurucq[24] :

  • Ajerbürgüa
  • Ahüzki (Ahüzkia sur les cartes IGN)
  • Arabehera
  • Arantzetabürgüa
  • Arkürütxea
  • Barnetxborda (Barnexborda sur les cartes IGN)
  • Barrikata
  • Garraibi
  • Gesalea
  • Kharrika
  • Latsebarria
  • Üxia.

Voies de communication et transports

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La commune est desservie par les routes départementales D 117, D 147 et D 348[8].

La route pastorale de Béhorléguy à Alçay ou Aussurucq, qui passe par le col d'Aphanize (sans le traverser), franchit la ligne de partage des eaux non loin du col de Burdin Olatzé mais en le surplombant légèrement.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Aussurucq est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne)[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment l'Aphurhura, l'Arangoreneko erreka et la Bidouze. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2003, 2009, 2014 et 2021[27],[25].

Aussurucq est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[28]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[29],[30].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[31]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[32].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Aussurucq.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[33]. 62,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[34].

Toponymie

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Attestations anciennes

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Le toponyme Aussurucq apparaît sous les formes Auçuruc (1189[35]), Auzuruc (1337[35]), Aussuruc (1385[35]), Aussuruc (1455[36], collection Duchesne volume CXIV[37]), Ausseruc (1412[36], notaires de Navarrenx[38]), et dans les titres de Bayonne[39] : Ausuruc (1454[36]), Sent-Martin d'Auçuruc (1471[36]) et Auserucus (1471[36]). D’autres graphies sont également mentionnées, telles que Ausuruc (1520[35]), Dassurucq, Ausuruc et Aussurucq (1690 pour ces trois formes[35]),

Étymologie

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Jean-Baptiste Orpustan[35] indique que le toponyme provient du basque altzu, « aulne », qui s’explique par la position de vallée arrosée, appréciée des aulnaies. La seconde partie du composé est plus énigmatique. Il s’agirait, suivant le même auteur, soit du mot urru (« de l’autre côté »), ou iri donnant alzu-(i)ri-ku, « lieu du domaine de l’aulnaie ».

Autres toponymes

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La fontaine d'Ahusquy et ses eaux minérales sont mentionnées en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[36].

Arabéhère, Aran, Arhanset, Ariadar et Arsusqui, toponymes désignant des anciennes fermes, sont mentionnés en 1520[36] (coutume de Soule[40]), tout comme les fermes Béherégaray (Béhèregaray en 1863[36]), Carricart, Carrica, Carriquiri (peut-être la Carriquiborda actuelle), Goyen, Gotti, iribanne, Lapistoy (Lapitztoy en 1863[36]), Mendiburu, Nécol (peut-être le Nékolha actuel), Sagarspe et Urruchoro.

Le col de Burunolatxé joint les communes d’Alçay-Alçabéhéty-Sunharette et d’Aussurucq.

Escuré était un bois de la commune, mentionné en 1863[36].

Graphie basque

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Son nom basque actuel est Altzürükü[41].

Histoire

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Au Paléolithique moyen, la Soule était déjà peuplée, car on a trouvé des restes préhistoriques de l'Homme de Néandertal dans les grottes Xaxixiloaga à Aussurucq[42]. Au Néolithique, un ensemble de tumulus funéraires sont édifiés au fond de la vallée des Arbailles, les deux dolmens d'Ithe y sont encore visibles.

On appelait « messagerie » des Arbailles[43] la partie centrale de la Soule, entre Basabürü et Pettarra (région de Sauguis-Saint-Étienne, Aussurucq et Barcus).

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1983 1989 Jean Etchebarne    
1989 2008 Jean-Baptiste Quéheille DVG[44]  
2008 2020 Jean Carricaburu EH Bai[45]  

Intercommunalité

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Aussurucq appartient à six structures intercommunales[46] :

Population et société

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Démographie

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Le nom des habitants est Altzürükütar[41].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[48].

En 2021, la commune comptait 236 habitants[Note 6], en évolution de −4,84 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
596574637700711632701740716
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
662660640643640604570564570
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
523512518472502459437432401
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
379347289293274254254252246
2021 - - - - - - - -
236--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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L'activité est essentiellement centrée sur l'agriculture (élevage et pâturages). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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En 2002, Aussurucq a accueilli une pastorale, sur le thème de Ürrüti Jauregiko Peirot, écrite par Niko Etxart.

Le château de Ruthie héberge une bibliothèque. Depuis le début de l'année 2017, dans le hall du château se trouve une boite à livre. Le château accueille régulièrement des expositions.

Une fois par an la commune organise un concert lyrique qui rassemble des artistes de renom au cours d'une soirée, Gaü-Izartsü ou Soirée étoilée

Patrimoine civil

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Le château de Ruthie.

Une enceinte à gradins se dresse au lieu-dit Gaztelü, à 582 mètres d'altitude.

Le château de Ruthie, dont les origines[51] remontent au XIe siècle, remanié aux XVe, XVIIe et XVIIIe siècles, et inscrit aux monuments historiques le 30 avril 1925, est érigé sur le territoire de la commune.

Patrimoine religieux

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Église à clocher trinitaire, curiosité de l'horloge sur le toit.

La commune dispose d'une église possédant un clocher-mur dit « trinitaire » ou souletin, c'est-à-dire que la crête du mur, percé de baies où tintent les cloches, s'y achèvent par trois grandes pointes à peu près d'égale hauteur, figurant la Trinité[52]. L'église recèle une croix de procession en bois du XVIIe siècle[53], classée par les monuments historiques.

Personnalités liées à la commune

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Nées au XVe siècle

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Nées au XXe siècle

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  • Gilen Epherre, né à Aussurucq en 1911 et mort à Bayonne en 1974, est un écrivain, prêtre, académicien et acteur culturel important de la période de l'après-guerre.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. Stephan Georg, « Distance entre Aussurucq et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Aussurucq et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Aussurucq et Mauléon-Licharre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches d'Aussurucq », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
  7. Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
  8. a b c d e f et g Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  9. « Fiche communale d'Aussurucq », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  10. « Carte hydrographique d'Aussurucq » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  11. Sandre, « la Bidouze ».
  12. Sandre, « le Laurhibar ».
  13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  14. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  15. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  16. « Orthodromie entre Aussurucq et Licq-Athérey », sur fr.distance.to (consulté le ).
  17. « Station Météo-France « Licq-Atherey » (commune de Licq-Athérey) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « Licq-Atherey » (commune de Licq-Athérey) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  19. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  20. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
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  24. [1]
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  26. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
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  28. « Plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr, (consulté le ).
  29. « Réglementation-usages du feu à l’air libre - obligations légales de débroussaillement - département 64 », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr date=16 septembre 2022 (consulté le ).
  30. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  31. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  32. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Aussurucq », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  33. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  34. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  35. a b c d e et f Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », , 246 p. (ISBN 978-2-86781-396-2 et 9782867813962, BNF 40190262).
  36. a b c d e f g h i et j Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  37. Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
  38. Notaires de Navarrenx - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  39. Titres de Bayonne - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques et de la mairie de Bayonne
  40. Coutume de Soule de 1520, imprimée à Pau en 1760
  41. a et b Euskaltzaindia - Académie de la langue basque
  42. Voir l'article Histoire de la Soule
  43. La charge du messager, sorte de procureur royal, était la surveillance d'une zone géographique définie - Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  44. « Annuaire des Mairies des Pyrénées-Atlantiques », sur Annuaire des Mairies et Institutions de France, 2006-2007 (consulté le ).
  45. « 15 maires et plusieurs élu·e·s votent EHBAI ! »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Euskal Herria Bai, (consulté le ).
  46. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  47. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  49. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  51. « Le château de Ruthie », notice no PA00084327, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  52. Philippe Veyrin - Les Basques, page 241 - Arthaud - 20 décembre 1975
  53. « La croix de procession », notice no PM64000061, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  54. Claude de Vic, Joseph Vaissète, Alexandre Du Mège, Histoire générale de Languedoc : avec des notes et les pièces justificatives, J.B. Paya, .