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Aïd al-Adha

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Aïd al-Adha
Un mouton avant son sacrifice lors de l'Aïd al-Adha, à Casablanca au Maroc
Un mouton avant son sacrifice lors de l'Aïd al-Adha, à Casablanca au Maroc

Nom officiel arabe : عيد الأضحى (ʿĪd al-ʾAḍḥā, Fête du sacrifice)
Autre(s) nom(s) Aïd el-Kebir (La Grande Fête)
Observé par Les musulmans (sunnisme et chiisme)
Type Coranique et tradition islamique (historique/religieux)
Signification Marque la fin du hajj et commémore la volonté d'Ibrahim (Abraham) de sacrifier son fils, ainsi que l'acceptation par son fils de ce commandement divin.
Commence Le 10 dhou al-hijja
Finit Le 13 dhou al-hijja
Date 2025
Célébrations Une prière particulière a lieu le matin
Observances La prière, le sacrifice d'un animal, le plus souvent un mouton, dont un tiers doit être donné en charité à des nécessiteux
Lié à Hajj (pèlerinage à La Mecque)

L'Aïd al-Adha (en arabe : عيد الأضحى?, « fête du sacrifice ») ou Aïd el-Kebir (عيد الكبير,, «grande fête», par opposition à l'Aïd el-Fitr appelée Aïd as-Seghir, ou «petite fête»[a]), est la plus importante des fêtes musulmanes. Elle est appelée Tabaski dans les pays d'Afrique de l'Ouest et d'Afrique centrale (Tchad, Cameroun), Bayram en Asie de l'Est, et Ghorban (du mot arabe قربان - qurbān - signifiant littéralement «sacrifice») en Iran et en Afghanistan.

Elle a lieu le 10 du mois de dhou al-hijja, le dernier mois du calendrier musulman, après waqfat Arafa, ou station sur le mont Arafat et marque chaque année la fin du hajj.

Appellations

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L'aïd al-Adha porte différents noms, notamment le jour du sacrifice, ainsi que l'aïd el-Kebir («la grande fête») par opposition à l’Aïd esseghir ou aïd el-Fitr, «la petite fête»[1].

L’Aïd el-Kebir est nommé la Tabaski ou Tobaski (mot sérère, ancienne fête religieuse sérère[2],[3],[4],[5]) dans les pays d'Afrique de l'Ouest (Mali, Sénégal[6], Guinée, Gambie et Côte d'Ivoire[3]) et d'Afrique Centrale. Au Cameroun, on utilise aussi le nom Djouldé Laihadji[7]. En Afrique du Nord, il est appelé Tafaska chez les berbérophones[8]. En langue Zarma-Songhay, il est appelé Tchimsi. En Turquie, il est appelé Kurban Bayramı[9] et dans les Balkans, Kurban Bajram. En Éthiopie, il est appelé Arefa. En Indonésie, on l'appelle Lebaran Haji, à Bahreïn Aïd hejaj, en Iran Aïd qurban,[réf. souhaitée] et en Inde Bakrid ou Bakreed (issu de l'hindoustani बकरा ईद (bakrā īd) ou بکرا عید qui signifie « fête de la chèvre », ou du persan بقر‌عید (baqar-'îd), qui signifie « fête de la vache »)[10],[11].

En France, il est parfois désigné par l’expression «fête du mouton»[1].

Rites et traditions musulmanes

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Tabaski à Kounkané (Sénégal)

Cette fête commémore la force de la foi d'Ibrahim (Abraham dans la tradition judéo-chrétienne) à son Dieu, symbolisée par l'épisode où il accepte de sacrifier, sur l'ordre de Dieu, son fils Ismaël[12], quoique le Coran ne précise pas s'il s'agit d'Isaac ou d'Ismaël[13]. Dans la tradition judéo-chrétienne, cet épisode est appelé ligature d'Isaac, car le fils à sacrifier s'appelle Isaac.

Après qu'Abraham a accepté l'ordre divin, Dieu envoie l'archange Gabriel (Jibrīl) qui, au dernier moment, substitue à l'enfant un mouton qui servira d'offrande sacrificielle. En souvenir[14],[15] de cette dévotion d'Ibrahim à son Dieu, les familles musulmanes sacrifient un animal (le mouton qui a six mois ou la chèvre qui a deux ans ou le bovin qui a deux ans et qui est entré dans la troisième année lunaire ou le chameau qui a complété cinq ans[16]) selon les règles en vigueur. Notamment, le musulman doit se comporter au mieux avec l'animal, Mahomet ayant dit : « Certes Allah a prescrit l'excellence dans toute chose. Ainsi lorsque vous tuez, tuez de manière parfaite et si vous égorgez, égorgez de manière parfaite. Que l'un de vous aiguise son couteau et qu'il apaise la bête qu'il égorge[17] » .

Le jour de Aïd el-Kebir constitue un jour de célébration dans la tradition prophétique musulmane. En effet, dès l'annonce de la vision de la nouvelle lune, les musulmans glorifient la grandeur de Dieu par le takbir. Il est également fortement recommandé de multiplier les aumônes et les cadeaux ce jour-là.

Selon l'orientaliste Eugen Mittwoch, cette fête est une récupération d'une tradition préislamique de sacrifice dans la vallée de Mina[18].

Dans la tradition musulmane, comme pour Ramadan, la générosité et la solidarité avec les personnes les plus démunies est mise à l'honneur pendant l'Aïd al-Adha. Un dicton musulman rappelle d'ailleurs que « De toute cette viande de mouton, il n’y a que ce que l’on donne qui profite : ce que l’on a mangé est avalé, ce que l’on a donné est profitable. » Traditionnellement, il est d'ailleurs recommandé de partager la viande en trois : une part pour la famille ayant effectué le sacrifice, une part pour les voisins et les amis, et une part à offrir aux pauvres[19].

Dates dans le calendrier grégorien

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Mosquée Royale de Lahore au Pakistan
Dacca, Bangladesh

Les dates du calendrier musulman varient en fonction des phases de la lune observées localement ; le jour de la célébration de l'Aïd el-Kebir varie donc géographiquement en fonction du moment où la nouvelle lune est observée.

Année hégirienne Date grégorienne
1421
1422
1423
1424
1425
1426
1427
1428
1429
1430
1431
1432
1433
1434
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1436
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1439
1440
1441
1442
1443
1444
1445
1446

Aspects éthiques et socioculturels

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La pratique de ce sacrifice à domicile est controversée dans certains pays occidentaux. Cependant, certains pays européens (Belgique, France…) essaient d'organiser des abattages dans des abattoirs ou des abattoirs mobiles afin d'assurer les meilleures conditions sanitaires d'abattage[20].

Certains groupes de défense des droits des animaux et des vétérinaires considèrent au contraire que cette méthode d'abattage entraîne des « souffrances graves aux animaux » en comparaison de la technique d'abattage avec étourdissement préalable, une pratique relativement récente. Bien que nombre d'États n'y aient pas adhéré, la Déclaration universelle des droits de l'animal dispose notamment que « si la mise à mort d'un animal est nécessaire, elle doit être instantanée, indolore et non génératrice d'angoisse. »[21].

En Belgique, durant 2007, l’agence Bruxelles-Propreté a ainsi édité un fascicule distribué dans les communes et les mosquées de la région bruxelloise. Publié en quatre langues (français, arabe, turc et néerlandais), il indique les coordonnées de quatre abattoirs communaux et quatre abattoirs privés de la région de Bruxelles. La France publie chaque année une liste des sites autorisés disponibles via les services des directions départementales de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCSPP) et des préfectures [22].

Au Royaume-Uni, l'organisme indépendant Farm Animal Welfare Council (FAWC), a recommandé l'interdiction du dhabiha et de la shehita au gouvernement[23],[24]. La porte-parole, la vétérinaire Judy MacArthur Clark a affirmé : « c'est une incision majeure faite à l'animal et d'affirmer que cela n'entraîne pas de souffrance est ridicule »[24]. Le président de l'Association des vétérinaires britanniques, Peter Jinman, a soutenu que l'organisme recherchait une méthode « morale et éthique »[24]. Selon le même organisme, la méthode employée pour la viande kasher et halal entraîne de graves souffrances et deux minutes peuvent s'écouler entre les incisions et la mort de l'animal[24]. Compassion in World Farming soutient cette recommandation et a déclaré « nous croyons que la loi doit être changée pour obliger l'étourdissement des animaux avant l'abattage. »[25],[26]. Diverses publications de recherche sur l'abattage[Lesquelles ?] récoltées par Compassion In World Farming démontrent entre autres que l'occlusion des vaisseaux est fréquente et que ce phénomène s'est produit dans 62,5 % dans un groupe entraînant des ballonnements importants qui ralentissent la mort des animaux[réf. souhaitée].

Question de la substitution

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Selon le juriste musulman Ibn Qayyim al-Jawziyya : « L’immolation au moment approprié vaut mieux que l’offre en aumône du prix de l’animal à sacrifier ou même de plus d'argent. Ceci s’applique aux sacrifices prévus dans le pèlerinage et à celui de la fête du Sacrifice. Car l’effusion de sang est visée puisqu’elle constitue un acte de rapprochement à Allah lié à la prière, comme on le voit dans ces propos du Très Haut : « Accomplis la prière pour ton Seigneur et sacrifie pour lui. » (Le Coran, « Le Kauther », CVIII, 2, (ar) الكوثر)[27].

Deux fatwas du Comité permanent des recherches islamiques et de la délivrance des fatwas[28] confirment que le don d'argent ou l'achat de viande ne remplace pas le sacrifice.

Selon le théologien contemporain Cheikh Ibn Uthaymin, il est déconseillé de faire sacrifier pour soi une bête à l'étranger : « Le fait de donner de l'argent pour que l'on pratique le sacrifice pour la personne dans un autre pays est certes contraire à la sunna. En effet la sunna est que la personne pratique le sacrifice dans sa maison pour elle et sa famille ; ils en profitent alors, ils mangent de sa viande et remercient Allah pour ce bienfait. Par contre, le fait de déplacer le sacrifice vers d'autres pays fait perdre beaucoup de bienfaits, parmi eux : le fait que les rites apparents de l'islam ne sont plus présents dans le pays ; la personne ne prononcera pas le nom d'Allah lorsqu'elle va égorger sa bête, or ceci fait partie des meilleures actions ; la personne ne pourra pas manger de la viande issue du sacrifice, alors que ceci est très important ; la personne ne peut pas être sûre que la viande de son sacrifice a été bien distribuée ; la personne ne peut pas savoir si son sacrifice a bien été pratiqué dans le temps qui lui est imparti ; la personne ne sait pas précisément quand sa bête sera sacrifiée et donc elle ne peut pas savoir à quel moment il lui est possible de nouveau se couper les ongles et les poils, etc.[29]»

Tariq Ramadan a toutefois estimé qu'au sacrifice du mouton pouvait être substitué un don financier aux pauvres car, selon lui, « depuis bien longtemps des savants musulmans ont rappelé que l’on pouvait offrir l’équivalent du sacrifice en don d’argent ou de nourriture pour les pauvres. »[30].

C'est aussi l'avis de l'ancien grand mufti de Marseille, Soheib Bencheikh, considérant que l'Aïd al-Adha « n'est ni un pilier de l'islam, ni une obligation (...) comparable à la prière ou le jeûne du Ramadan » et que le droit musulman permet de le remplacer par « un don fait dans un pays où les habitants ne mangent pas à leur faim, ce qui est plus conforme à l'esprit de partage que comporte cette pratique »[31][source insuffisante].

Des musulmans soufis, comme Rabia al Adawiyya, le groupe des philosophes chiites ismaéliens nommé les Ikhwan al-Safa (« Frères Purs ») – ainsi que le poète à la fois hindou vishnouïte et soufi Sant Kabir, préconisèrent non seulement la substitution de dons à tout rituel sanglant lors de l'Aïd al-Adha, mais le végétarisme dans la vie quotidienne[31].

Les Druzes interprètent l'Aïd al-Adha comme la révélation de la foi unitaire en 1017 dans la mosquée Al-Hâkim du Caire devant une assemblée multiconfessionnelle[32].

Ils pratiquent en général le jeûne pendant les dix jours qui précèdent l'Aïd al-Adha[33]. Le respect du jeûne est strict puisqu'il n'autorise qu'un repas léger en soirée[33].

Notes et références

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  1. Les appellations Aïd as-Seghir et Aïd el-Kebir pour Aïd el-Fitr et Aïd al-Adha respectivement sont limitées aux pays du Maghreb.

Références

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  1. a et b Akram Belkaid, « Aïd », sur Orient XXI.info
  2. Diouf, Niokhobaye , « Chronique du royaume du Sine », suivie de Notes sur les traditions orales et les sources écrites concernant le royaume du Sine par Charles Becker et Victor Martin (1972), (1972) Bulletin de l'IFAN, tome 34, série B, no 4, 1972, p. 706-7 (p. 4-5), p. 713-14 (p. 9-10
  3. a et b « Cosaani Sénégambie » (« L’Histoire de la Sénégambie ») : 1re Partie relatée par Macoura Mboub du Sénégal. 2e Partie relatée par Jebal Samba de la Gambie [in] programme de Radio Gambie: « Chosaani Senegambia ». Présentée par: Alhaji Mansour Njie. Directeur de programme: Alhaji Alieu Ebrima Cham Joof. Enregistré à la fin des années 1970, au début des années 1980 au studio de Radio Gambie, Bakau, en Gambie (2e partie) et au Sénégal (1re partie) [in] onegambia.com [in] The Seereer Resource Centre (SRC) (« le Centre de Resource Seereer ») : URL: http://www.seereer.com. Traduit et transcrit par The Seereer Resource Centre : juillet 2014 [1] p. 30
  4. Brisebarre et Kuczynski 2009, p. 86-7 [lire en ligne].
  5. Becker, Charles; Martin, Victor; Ndène, Aloyse, « Traditions villageoises du Siin », (Révision et édition par Charles Becker) (2014), p. 41
  6. D'où vient le mot Tabaski ?, sur Jeuneafrique.com
  7. « LOI N°73/5 DU 7 DEC 1973 » [PDF]
  8. Dictionnaire des racines berbères : formes attestées. Ḍ-GEY. III, Kamal Naït-Zerrad, (lire en ligne)
  9. turc : Kurban Bayramı, Fête du Sacrifice
  10. Marc Gaborieau, Un autre islam : Inde, Pakistan, Bangladesh, Paris, Albin Michel, coll. « Planète Inde », (ISBN 978-2-226-17310-2, OCLC 172964738), 4 (Garder sa place au soleil après 1857), chap. 9 (« Représentation politique et séparatisme »), p. 232
  11. Jacques Dupuis, Madras et le nord du Coromandel : Étude des conditions de la vie indienne dans un cadre géographique, Paris, Maisonneuve, (OCLC 941860805), p. 91
  12. Séminaire « L'enseignement du fait religieux », Le sacrifice d'Abraham et la ligature d'Isaac : lecture de ce récit dans le Coran- Le sacrifice d'Isaac, ou d'Ismaël ? par Jean-Yves L'Hôpital, directeur du département multilangues, université Rennes II.
    Le Coran ne précise pas explicitement le nom du fils sacrifié
  13. « Qui est le fils de Abraham qui faillit être sacrifié : Isaac, ou Ismaël ?… », sur maison-islam.com (consulté le ).
  14. Sermon de l'Aïd Adha le 4 octobre 2014 à la Grande mosquée de Bruxelles (écouter à partir de 29 minutes.)
  15. Avis du Conseil des Théologiens des Musulmans de Belgique concernant la fête du sacrifice de l’année 1436/2015 : En guise de rappel de l’essentiel auprès de chaque musulmane et musulman, il est à noter que l’immolation de la fête du sacrifice est un emblème parmi les marqueurs référentiels de l’islam, et une tradition instaurée par le patriarche Abraham, sur lui la paix. Il va de soi que Dieu a recommandé aux musulmans de valoriser cet emblème, et d’emprunter la voie de leur père Abraham, sur lui les salutations et la paix de Dieu. Il en découle ainsi que la légitimité religieuse de cette pratique est confirmée par le Coran, la tradition prophétique, ainsi que par le consensus des ulémas, juristes musulmans, en référence à la parole divine : « Accomplis l’office de la prière pour ton Seigneur, et observe le sacrifice (immolation d’un animal) », (sourate Al Kawthar CVIII - verset 2.)
  16. Le chameau et le bovin sont valables pour sept personnes (c’est-à-dire si sept personnes s’associent pour un chameau ou un bovin la sounna du sacrifice a eu lieu) ; mais le mouton pour une seule personne. Voir : Règles du Sacrifice de `Id al-‘ADHA. Fête du Sacrifice Aid el-Kebir 10 dhou l-Hijjah
  17. Rapporté par Muslim ibn al-Hajjaj dans son sahih, hadith numéro 1955
  18. Mittwoch, E., “ʿĪd al-Aḍḥā”, in: Encyclopédie de l’Islam.
  19. « C'est quoi l'Aïd el-Kebir ? », sur Ça m'intéresse, (consulté le ).
  20. Dispositions pour l'abattage des moutons, Belgique
  21. « Les victoires historiques de l'OABA », sur OABA (consulté le ).
  22. Aïd Al Adha : où sacrifier cette année 1432H correspondant à l’an 2011 ?, Asidcom
  23. (en) « End 'cruel' religious slaughter, say scientists », The Independent,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. a b c et d (en) Halal and Kosher slaughter must end, 10.6.2003
  25. BBC: Should Halal and Kosher meat be banned?
  26. BBC: Halal and Kosher slaughter 'must end'
  27. Touhfat al-mawdoud bi ahkam al-mawloud ; Ibn Qayyim al-Jawziyya ; page 164
  28. Fatwas de la Commission permanente 11 ; 440 et 11 ; 449
  29. Liqa At Al Bab Al Maftouh, rencontre numéro 92
  30. blog de Tariq Ramadan
  31. a et b Plaidoyer pour les animaux, Matthieu Ricard, éditions Allary, (ISBN 9782370730282), page 35.
  32. Jacques Munier, « Une ethnographie du sacré chez les Druzes », L'Essai et la revue du jour, France Culture, (consulté le )
  33. a et b Čedomir Nestorović, Marketing en environnement islamique, Paris, Dunod, , XIV-209 p., 24 × 17 cm (ISBN 978-2-10-051726-8, présentation en ligne), p. 35 [lire en ligne].

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Bibliographie

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Filmographie

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Articles connexes

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Liens internes

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