Aller au contenu

Divion

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Divion
Divion
La mairie.
Blason de Divion
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arrondissement de Béthune
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Jacky Lemoine
2020-2026
Code postal 62460
Code commune 62270
Démographie
Gentilé Divionnais
Population
municipale
6 893 hab. (2021 en évolution de +0,88 % par rapport à 2015)
Densité 629 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 28′ 23″ nord, 2° 30′ 09″ est
Altitude Min. 37 m
Max. 138 m
Superficie 10,96 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Béthune
(banlieue)
Aire d'attraction Auchel - Lillers
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Auchel
Législatives Dixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Divion
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Divion
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Voir sur la carte topographique du Pas-de-Calais
Divion
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Divion

Divion est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Divionnais.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 275 327 habitants en 2021.

La Compagnie des mines de Bruay y a installé sa fosse no 5 - 5 bis et son puits d'aérage no 5 ter, la Compagnie des mines de La Clarence sa fosse no 1 - 1 bis, dont le puits no 1, de 1 186 mètres, est le plus profond du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais.

La commune est proche du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

La commune de Divion est limitrophe, au nord-est, de Bruay-la-Buissière et à 12 km au sud-ouest de Béthune (chef-lieu d'arrondissement.

Carte

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 10,96 km2 ; son altitude varie de 37 à 138 m[1].

On distingue dans la commune (également visible sur la carte géologique) quelques affleurements tertiaires, comme aussi dans la proche région à Aumerval, Burbure, Bourecq, Fléchin. Ces affleurements du cénozoïques peuvent abriter une flore originale.

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est traversée par deux cours d'eau :

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Divion[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 819 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 10 km à vol d'oiseau[7], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique

[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : les coteaux et bois d'Ourton. Situé dans la région de Béthune (Artois septentrional), ce site fait partie des derniers paysages naturels et semi-naturels de ce territoire très marqué par l’agriculture intensive, l’urbanisation et l’exploitation minière[11].

Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Au , Divion est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auchel - Lillers, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5],[14]. Cette aire, qui regroupe 29 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (58,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,7 %), zones urbanisées (28,2 %), forêts (6,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,6 %), mines, décharges et chantiers (2,8 %), prairies (2,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,5 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

Voies de communication

[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la route départementale 341 dite chaussée Brunehaut reliant Arras à Thérouanne. Cependant l'agglomération n'est pas sur le tracé de la chaussée Brunehaut (ancienne voie romaine), mais sur une dérivation.

La commune est desservie par plusieurs lignes des réseaux Tadao et Oscar[18],[19].

La gare TER la plus proche est celle de Calonne-Ricouart située à 2 kilomètres. La gare TGV la plus proche est celle de Béthune située à 17 kilomètres.

Les aérodromes les plus proches de la commune sont ceux de Lens-Bénifontaine, situé à 27 kilomètres, et de Merville-Calonne situé à 33 kilomètres.

Le nom de la localité est attesté sous les formes Divions (1058) ; Divion (1131) ; Dyvion (1223) ; Dovion (1250) ; Divio (1315) ; Divyon (1515) ; Devion (1469)[20].

Ce toponyme a le sens de « la croisée des chemins », du latin duœ (deux) et vion (« je vais »), le village se trouvait à l'intersection des chemins que forme la route romaine de Arras à Thérouanne avec celle de Saint-Pol à Béthune[21].

Fosse no 5 des mines de Bruay à Divion avant la modernisation.

En 1579, la seigneurie de Divion fait partie des possessions d'Oudard de Bournonville, nommé comte d'Hénin-Liétard, lequel possède de nombreux autres biens et titres : gentilhomme de la bouche du roi (maître d'hôtel du roi), chef d'une bande d'hommes d'armes, gouverneur et capitaine des ville et cité d'Arras, capitaine d'une compagnie de chevau-légers[22].

Divion a donné son nom à une famille de nobles. En 1600, Ponthus de Divion est fait chevalier[23].

Ponthus de Divion, écuyer, seigneur d'Oppy, Cantherine et Gouvernyes est fait chevalier le par lettres données à Bruxelles. Il effectue une carrière militaire : il a été à la suite du comte de Fuentes à la prise du Châtelet, à la bataille devant la ville de Doullens, aux prises de Cambrai, de Calais et d'Ardres. Servant à ses frais, avec 4 ou 5 chevaux, il a été au secours d'Amiens comme guidon de la compagnie d'ordonnances du duc d'Aerschot, et nommé ensuite enseigne de cette compagnie de 50 hommes d'armes. Il est, en 1600, commandant en qualité de lieutenant du comte de Bucquoy[23].

En 1912, au niveau de la fosse n° 1 - 1 bis des mines de La Clarence située sur le territoire de la commune se produit une explosion de grisou entraînant la mort de 79 personnes[24]. Le député-maire de Lens, Émile Basly, dénonce alors « la mine féroce, la mine hideuse »[25].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Découpage territorial

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités

[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.

Circonscriptions administratives

[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton d'Auchel.

Circonscriptions électorales

[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la dixième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires

[modifier | modifier le code]

Élections municipales 2020

[modifier | modifier le code]
  • Maire sortant : Jacky Lemoine (DVG)
  • 29 sièges à pourvoir au conseil municipal (population légale 2017 : 6 978 habitants)
  • 3 sièges à pourvoir au conseil communautaire (CA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane)
Résultats des municipales de 2020 à Divion
Tête de liste Liste Premier tour Sièges
Voix % CM CC
Jacky Lemoine[Note 6] DVG 1 376 59,98 24 2
Danièle Seux[26] DVG 700 30,51 4 1
Benoît Penet[27] SE 218 9,51 1 0
Votes valides 2 294 97,80
Votes blancs 16 0,68
Votes nuls 38 1,52
Total 2 348 100 29 3
Abstention 2 775 54,17
Inscrits / participation 5 123 45,83

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs depuis 1945
Période Identité Étiquette Qualité
31 janvier 1945 avril 1945 Aristide Barras SFIO  
avril 1945 octobre 1947 Ambroise Chatelain[28] PCF[Note 7] Ouvrier mineur
27 octobre 1947 mai 1953 Gaston Bouchind'homme SFIO[Note 8]  
mai 1953 janvier 1992 Roland Cressent PCF Ouvrier mineur
Conseiller général d'Houdain (1959 → 1985)
Décédé en fonction
1992 mai 2005 Jacques Ducourant PCF Employé
Démissionnaire
mai 2005 mars 2014 Danièle Seux PCF Adjointe au maire (1989 → 2005)
Conseillère départementale d'Auchel (2015 → 2020)
12e vice-présidente du conseil départemental (2015 → 2020)
mars 2014 En cours
(au 11 février 2022)
Jacky Lemoine DVG Technicien[29],[30],[31]
Réélu pour le mandat 2020-2026[32],[33]
Carte
Jumelages et partenariats de Divion.Voir et modifier les données sur Wikidata
Jumelages et partenariats de Divion.Voir et modifier les données sur Wikidata
VillePaysPériode
Kościelisko[34]Polognedepuis

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Divionnais[35].

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].

En 2021, la commune comptait 6 893 habitants[Note 9], en évolution de +0,88 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
478419474512548568585610613
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
6156416496897537918531 0071 208
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 7504 0814 6316 50210 32010 1569 62510 20011 187
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
11 30010 4078 5888 1257 6427 1506 9606 9356 812
2017 2021 - - - - - - -
6 9786 893-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 3 360 hommes pour 3 617 femmes, soit un taux de 51,84 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
1,8 
5,6 
75-89 ans
9,4 
14,4 
60-74 ans
15,7 
18,7 
45-59 ans
17,4 
18,7 
30-44 ans
19,0 
19,6 
15-29 ans
17,2 
22,7 
0-14 ans
19,5 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Patrimoine mondial

[modifier | modifier le code]

Depuis le , la valeur universelle et historique du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais est reconnue et inscrite sur la liste du patrimoine mondial l’UNESCO. Parmi les 353 sites, répartis sur 109 lieux inclus dans le périmètre du bassin minier, le site no 94 de Divion est constitué de la cité pavillonnaire des musiciens bis à Divion et Bruay-la-Buissière, des cités de la fosse no 5 - 5 bis des mines de Bruay[41],[42].

Monument historique

[modifier | modifier le code]
  • La croix de grès, datant du XVIe siècle, fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [43].

Autres monuments

[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Divion Blason
De gueules au lion d'argent[45].
Détails
Hugues, chevalier, seigneur de Divion, portait sur son sceau, en 1342, un écu au lion. Contrairement à ce que commente l'Armorial du Pas-de-Calais (1996, tome II), ce lion n'est pas le lion d'Artois et le blason de Divion est bien un blason d'inspiration seigneuriale.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Ouvrages consultables aux archives départementales du Pas-de-Calais[46] :

  • E. Bourgeois, Histoire de Divion, Arras, Laroche, 1895.
  • G. Leclercq, Divion et son canton, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton, 2005.
  • R. Leprêtre et F. Fairon, Divion regarde son histoire (1146-2000), Divion, Association sociale économique et culturelle de Divion, 2000.
  • J. Ratel, Monographie de la commune de Divion, 2002.

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Béthune comprend deux villes-centres (Béthune et Bruay-la-Buissière) et 92 communes de banlieue.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Liste du maire sortant ou de la maire sortante
  7. La liste UPRA soutenue par la PCF l'emporte avec une moyenne de 52,24 % des suffrages face à une liste soutenue par la SFIO (47,76 %)
  8. Alliance entre la SFIO et le MRP
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  10. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Lawe (E3660600 ) » (consulté le )
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Biette (E3660620 ) » (consulté le )
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Divion et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « ZNIEFF 310030050 - Les Coteaux et bois d'Ourton », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Divion ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Auchel - Lillers », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « Votre trajet sur mesure », sur tadao.fr (consulté le ).
  19. « Horaires », sur transports.hautsdefrance.fr (consulté le ).
  20. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  21. Le puits artésien : revue du Pas-de-Calais, , p. 409.
  22. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 160, lire en ligne
  23. a et b Amédée le Boucq de Ternois, Recueil de la noblesse des Pays Bas, de la Flandre et d'Artois, Douai, (lire en ligne), p. 19.
  24. « C'est un coup de mine qui a fait exploser le grisou », sur lavoixdunord.fr, La Voix du Nord, .
  25. Anne-Sophie Hache, « Émile Basly, le galibot devenu tsar », sur lavoixdunord.fr, La Voix du Nord, .
  26. « L’ancienne maire Danièle Seux se représente à Divion mais sans l’étiquette communiste », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  27. « - Une troisième liste sans étiquette et issue des conseils de quartier à Divion », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
  28. Notice CHATELAIN Ambroise par Yves Le Maner, version mise en ligne le 25 octobre 2008, dernière modification le 25 octobre 2008
  29. « Gaz de couche : un sujet polémique, la commune demande un référendum », L'Abeille de la Ternoise, no 8464,‎ , p. 29.
  30. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  31. Cécile Rubichon, « Les projets du maire de Divion «restent dans les cartons» en attendant l’équilibre budgétaire : Jacky Lemoine s’attendait peut-être à l’éventualité d’une victoire ce 23 mars. N’empêche, les résultats l’ont sonné. Première d’une longue série de surprises parfois moins réjouissantes. Dans les placards, il a ainsi découvert plusieurs centaines de milliers d’euros d’impayés. Sa priorité : retrouver un équilibre budgétaire. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  33. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  34. « https://www.lavoixdunord.fr/452382/article/2018-09-20/c-est-officiel-divion-est-jumelee-avec-koscielisko »
  35. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Divion (62270) », (consulté le ).
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  41. « Bassin minier du Nord-Pas de Calais », sur le site du patrimoine mondial de l'Unesco (consulté le ).
  42. « Liste des 109 lieux et des 353 sites qui les composent » [PDF] (217 Mo), sur le site du patrimoine mondial de l'Unesco (consulté le ).
  43. « Croix de grès », notice no PA00108263, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
  45. « 62270 », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  46. « La commune de Divion », sur archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).