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Estérençuby

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Estérençuby
Estérençuby
Pont sur la Nive de Béhérobie.
Blason de Estérençuby
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays basque
Maire
Mandat
Jean-Louis Poydessus
2020-2026
Code postal 64220
Code commune 64218
Démographie
Gentilé Ezterenzubitar
Population
municipale
313 hab. (2021 en évolution de −11,58 % par rapport à 2015)
Densité 6,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 06′ 19″ nord, 1° 11′ 40″ ouest
Altitude Min. 219 m
Max. 1 347 m
Superficie 45,87 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Jean-Pied-de-Port
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Estérençuby
Géolocalisation sur la carte : France
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Estérençuby
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
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Estérençuby
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Estérençuby

Estérençuby [ɛsteʁɛ̃sybi] est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Ezterenzubitar[1],[2].

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Estérençuby se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine et est frontalière avec l'Espagne (Communauté forale de Navarre)[3].

Elle se situe à 129 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, à 64 km de Bayonne[5], sous-préfecture, et à 53 km de Mauléon-Licharre[6], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Jean-Pied-de-Port[3].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Saint-Michel (4,1 km), Aincille (4,5 km), Caro (5,1 km), Lecumberry (5,5 km), Ahaxe-Alciette-Bascassan (5,7 km), Mendive (6,0 km), Saint-Jean-le-Vieux (6,8 km), Béhorléguy (6,8 km).

Sur le plan historique et culturel, Estérençuby fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[9]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[10],[11]. La commune est dans le Pays de Cize (Garazi), au sud-est de ce territoire.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Ahaxe-Alciette-Bascassan, Aincille, Lecumberry, Saint-Michel et Orbaizeta.

Paysages et relief

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L'Errozate (ou Errosate), 1345 m, est un mont situé sur les communes d'Estérençuby et de Lecumberry.

l'Okabe, 1456 m, est un mont accessible depuis Estérençuby ou la forêt d'Iraty.

Le col Bagargui (Bagargi) est situé dans la forêt d'Iraty. Il s'élève à 1327 m. On y accède par Estérençuby à 29,5 km, par la côte de Larrau à 8,8 km ou depuis le col de Burdincurutcheta.

La grotte d'Harpea, un abri sous roche proche de la frontière espagnole.

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Estérençuby.

La commune est drainée par la Nive, l'Ampro ou Esterenguibel, Intzarrazquyko erreka, le ruisseau d'Orion, Ahuntzarryko erreka, Azkondéguiko erreka, Harruskoriko erréka, Indabordako erreka, Iparraguerréko erreka, le ruisseau Apalimalda, le ruisseau de Bihurry, Sassitako erreka, Teilleryko erreka, Toutapéko erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 63 km de longueur totale[14],[Carte 1].

La Nive, d'une longueur totale de 79,3 km, naît au pied du Mendi Zar (1 323 m), au-delà de la frontière espagnole, sous le nom de Harpeko erreka, et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Adour à Bayonne, après avoir traversé 20 communes[15].

L'Ampro ou Esterenguibel, d'une longueur totale de 12,2 km, prend sa source dans la commune de Lecumberry et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Nive à Estérençuby[16].

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[17]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[18].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 765 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 10,8 jours en juillet[19]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mendive à 5 km à vol d'oiseau[20], est de 14,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 523,7 mm[21],[22]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[23].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[25],[Carte 2] :

  • « la Nive », d'une superficie de 9 473 ha, un des rares bassins versants à accueillir l'ensemble des espèces de poissons migrateurs du territoire français, excepté l'Esturgeon européen[26] ;
  • les « montagnes de Saint-Jean-Pied-de-Port », d'une superficie de 11 760 ha, une montagne à estives, espaces pastoraux d’altitude (au-dessus de 800-900 m) ouverts sur de vastes étendues[27] ;

et une au titre de la « directive Oiseaux »[25],[Carte 3] :

  • la « haute Cize : Pic d'Herrozate et forêt d'Orion », d'une superficie de 6 374 ha[28].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[29],[Carte 4] : la « grotte de Mikelauenzilo et alentours » (7 568,16 ha), couvrant 7 communes du département[30] et la « Haute Cize : forêt d'Orion et sommet d'Erozate » (2 703,85 ha), couvrant 4 communes du département[31] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[29],[Carte 5] :

  • les « montagnes de Saint-Jean-Pied-de-Port » (14 133,83 ha), couvrant 9 communes du département[32] ;
  • le « réseau hydrographique des Nives » (3 596,23 ha), couvrant 33 communes du département[33].

Au , Estérençuby est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[34]. Elle est située hors unité urbaine[3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Jean-Pied-de-Port, dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[3]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[35],[36].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (58,4 %), forêts (31,7 %), prairies (6,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,7 %)[37]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 6].

Lieux-dits et hameaux

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  • Beherobie
  • Estérenguibel
  • Etchébarnéa
  • Jauberria
  • Mendiburua
  • Ottarenia
  • Phagalcette
  • Zubialdea

Voies de communication et transports

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Estérençuby est desservie par la route départementale D301.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Estérençuby est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[38]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[39].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment l'Esterenguibel et la Nive. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 1999, 2007, 2009, 2011 et 2014[40],[38].

Estérençuby est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[41]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[42],[43].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[44]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[45].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Estérençuby.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[46]. 16,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 7]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[47].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 2009 et 2014 et par des glissements de terrain en 1990[38].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Estérençuby est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[48].

Graphie basque

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Son nom basque actuel est Ezterenzubi[2]. Il signifie "pont de la gorge".

Les hameaux d'Estérençuby, Estérenguibel et Pagalcette furent peuplés par des habitants du pays de Cize qui construisirent diverses bordes à ces endroits qui correspondaient aux terres indivises entre les communes d’Ahaxe, Aincille, Alciette-Bascassan, Bustince-Iriberry, Çaro, Lecumberry, Mendive, Saint-Jean-le-Vieux et Saint-Michel, chaque maison dépendant de la commune d'origine[49].

Le [50], les habitants obtinrent la constitution en commune.

Héraldique

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Blason de Estérençuby Blason
De sinople à un pont à une arche au naturel maçonné de sable posé sur une mer d’argent en pointe, sommé d’une montagne du même et accompagné en chef de quatre étoiles d’or en fasce[51].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1842 1848 Jean-Gratien Tristantene    
1848 1856 Jean Inda    
1856 1858 Bertrand Jaureguiberry    
1858 1860 Jean Biscaichipy    
1860 1865 Baptiste Etcharren    
1865 1878 Jean-Baptiste Etcharren    
1878 1892 Jean Inda    
1892 1900 Jean Biscaichipy    
1900 1909 Bernard Irola    
1909 1914 Bernard-Jean Irola    
1914 1918 Dominique Tihista    
1918 1919 Bernard Irola    
1919 1929 Arnaud Etchamendy    
1929 1944 Jean Manex Etchamendy   Berger-agriculteur-écrivain
1944 1945 Jean Irigaray    
1945 1971 Jean-Baptiste Etchamendy    
1971 2008 François Larramendy UMP  
2008 En cours Jean-Louis Poydessus    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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Estérençuby appartient à cinq structures intercommunales :

  • la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat de regroupement pédagogique de Saint-Michel et d'Estérençuby, dont elle accueille le siège ;
  • le syndicat intercommunal pour l'aménagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port ;
  • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1841. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[53].

En 2021, la commune comptait 313 habitants[Note 9], en évolution de −11,58 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881
635838888862814802720716719
1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931
720672634661675679624579746
1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999
594608545530503512457427382
2004 2006 2009 2014 2019 2021 - - -
382374358354328313---
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[54] puis Insee à partir de 2006[55].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune dispose d'une école élémentaire publique[56].

L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

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Partie de pelote dans le fronton mur à gauche couvert.
Langues

D'après la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Estérençuby est le bas-navarrais oriental.

Patrimoine civil

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La ferme Jauberria[57] date du XIXe siècle.

Patrimoine religieux

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L'église Notre-Dame[58] date du XIXe siècle.

Clocher de l'église Notre-Dame.
Intérieur de l'église Notre-Dame.
L'église Notre-Dame.

Équipements

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Enseignement

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La commune dispose d'une école primaire.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
  5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Estérençuby » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Estérençuby », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Sites Natura 2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. « ZNIEFF de type I sur la commune d'Estérençuby », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  5. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Estérençuby », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  6. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  7. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Gentilé sur habitants.fr
  2. a et b - Académie de la langue basque
  3. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune ».
  4. Stephan Georg, « Distance entre Estérençuby et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Estérençuby et Bayonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. Stephan Georg, « Distance entre Estérençuby et Mauléon-Licharre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Communes les plus proches d'Estérençuby », sur villorama.com (consulté le ).
  8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, , 637 p. (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
  9. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, , 637 p. (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  10. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  11. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  12. Carte IGN sous Géoportail
  13. (es) Ministère espagnol de l'agriculture, pêche et environnement, « GeoPortal », sur sig.mapama.es (consulté le ).
  14. « Fiche communale d'Estérençuby », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  15. Sandre, « la Nive ».
  16. Sandre, « l'Ampro ».
  17. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  18. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  19. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  22. « Station Météo-France « Mendive_sapc » (commune de Mendive) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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  28. « site Natura 2000 FR7212015 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  32. « ZNIEFF les « montagnes de Saint-Jean-Pied-de-Port » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  57. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la ferme Jauberria
  58. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Notre-Dame

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Articles connexes

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