Fayet (Aisne)
Fayet | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Aisne | ||||
Arrondissement | Saint-Quentin | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Saint-Quentinois | ||||
Maire Mandat |
Virginie Ardaens 2020-2026 |
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Code postal | 02100 | ||||
Code commune | 02303 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Fayellois(es) | ||||
Population municipale |
698 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 119 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 52′ 10″ nord, 3° 15′ 08″ est | ||||
Altitude | Min. 82 m Max. 131 m |
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Superficie | 5,86 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Saint-Quentin (banlieue) |
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Aire d'attraction | Saint-Quentin (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Quentin-1 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Fayet est une commune du département de l'Aisne, dans la banlieue de la ville de Saint-Quentin, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 721 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontaine-lès-Clercs à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 683,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Fayet est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Quentin, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (87,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (83,1 %), zones urbanisées (10,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,5 %)[12].
L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le village apparaît pour la première fois en 1145 sous le nom de Faiet, puis Faihel en 1156 dans un cartulaire de l'abbaye d'Homblières, Fayel, Faiel, Faiellum, Saint-Sulpice de Fayet en 1739 et enfin l'orthographe actuelle, Fayet au milieu de XVIIIe siècle sur la carte de Cassini[13].
Le village doit son nom au latin fagetum, fagus qui signifie hêtre[14].
Histoire
[modifier | modifier le code]La carte de Cassini montre qu'au milieu du XVIIIe siècle, Fayet est une paroisse. À l'ouest, la ferme de Cépy faisait partie de Saint-Quentin.
De nombreux combats se sont déroulés à Fayet le 18 janvier 1871 avant la défaite de l'armée française[15],[16].
La commune de Francilly-Selency est créée par détachement en 1883 de celle de Fayet, créée lors de la Révolution française[17].
La guerre 1914-1918
[modifier | modifier le code]Comme d'autres villages de la région, Fayet est sorti meurtri de la Grande Guerre car le village a été entièrement rasé en 1917 par les Allemands.
Le , soit moins d'un mois après la déclaration de guerre, l'armée française bat en retraite vers l'ouest et les Allemands, après avoir pris Saint-Quentin, arrivent à Fayet[18]. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'en mars 1917. Le front se situant à une vingtaine de kilomètres à l'ouest vers Péronne, l'activité des occupants consistait principalement à assurer le logement des combattants et l'approvisionnement en nourriture. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.
Voici des extraits d'un arrêté de la kommandantur d'Holnon valable pour 25 communes de la région : « Holnon le . Tous les ouvriers et les femmes et les enfants de 15 ans sont obligés de faire travaux des champs tous les jours aussi dimanche de quatre heure du matin jusque huit heure du soir... Après la récolte les fainéants seront emprisonnés 6 mois... Les femmes fainéantes seront exilées à Holnon pour travailler. Après la récolte, les femmes seront emprisonnées 6 mois... Les enfants fainéants seront punis de coups de bâton. De plus le commandant réserve de punir les ouvriers fainéants de 20 coups de bâton tous les jours...Les ouvriers de la commune Vendelles sont punis sévèrement »[19].
En février 1917, le général Hindenburg décida de la création d'une ligne défense à l'arrière du front, dite ligne Hindenburg ; lors du retrait des troupes allemandes, tous les villages seraient détruits pour ne pas servir d'abri aux troupes franco-anglaises. Du 14 au 23 février les habitants furent évacués et dispersés dans des lieux occupés, jusqu'en Belgique[20]. En mars 1917, avant du retrait des troupes allemandes sur la ligne Hindenburg, le long du canal de Saint-Quentin, les maisons sont pillées et incendiées, le village est systématiquement détruit. L'église, la mairie, les écoles et toutes les maisons sont dynamitées et les arbres sciés à 1 m de hauteur[21].Le village, vidé de ses habitants, reste occupé par les Allemands ; il est repris les 13 et 14 avril 1917 après de durs combats par les troupes britanniques[22]. Les ruines du village seront plusieurs fois reprises par chaque camp et ce n'est qu'en septembre 1918, lors de la bataille de la ligne Hindenburg que Fayet sera définitivement libérée par la 24e division britannique.
Après l'Armistice de 1918, de nombreux habitants ne revinrent pas s'installer dans la commune et, avec les dommages de guerre, commencèrent une nouvelle vie dans d'autres lieux. Pour ceux qui furent de retour commença une longue période de plus de dix ans de reconstruction des habitations (maisons provisoires), des fermes, des bâtiments publics, des routes. De 390 habitants avant la guerre en 1911, Fayet n'en comptait plus que 195 en 1921, soit exactement la moitié.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions[23], la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 (France) le 17 octobre 1920[24].
Sur le monument aux morts sont inscrits les noms des vingt soldats fayellois morts pour la France ainsi que de quatre civils[25].
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Carte de la bataille de la ligne Hindenburg en septembre-octobre 1918. -
Carte montrant la prise définitive de Fayet par l'armée anglaise en septem-
bre 1918. -
La chapelle Saint-Clément avant la guerre de 1914-1918. -
L'ancienne église de Fayet détruite en 1917. -
La place du bas du village et l'arbre de Liberté planté en 1790 et scié par les Allemands en février 1917. -
Carte montrant l'étendue des destructions de Fayet.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Quentin du département de l'Aisne. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Aisne.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Vermand[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle fait désormais partie du canton de Saint-Quentin-1.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune faisait partie de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin, créée fin 1999 et qui et qui succédait au district de Saint-Quentin, créé le 9 février 1960, rassemblant à l'origine onze communes afin notamment de créer et développer des zones industrielles[26].
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (sous réserve de certaines dérogations bénéficiant aux territoires de très faible densité), le préfet de l'Aisne a adopté un nouveau schéma départemental de coopération intercommunale par arrêté du 30 mars 2016[27] qui prévoit notamment la fusion de la communauté de communes du canton de Saint-Simon et de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin, aboutissant au regroupement de 39 communes comptant 83 287 habitants[28].
Cette fusion est intervenue le , et la commune est désormais membre de la communauté d'agglomération du Saint-Quentinois[29].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]- Village fleuri : trois fleurs attribuées en 2007 par le Conseil des Villes et Villages Fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris[34].
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].
En 2021, la commune comptait 698 habitants[Note 3], en évolution de +3,41 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Sulpice de Fayet.
- Porche de la chapelle Saint-Clément, seul vestige de cette chapelle, détruite pendant la Première Guerre mondiale. Le porche a été restauré en 2006.
- Mémorial 1914-1918 de la ville d'Oxford.
- Ruines d'une fortification du XIIe siècle[38].
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Église Saint-Sulpice.
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Porche de la chapelle Saint-Clément.
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Mémorial 1914-1918 de la ville d'Oxford.
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Le monument aux morts. -
La place de l'Église.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]L'attaquant camerounais Pius N'Diefi a joué pour le club local[réf. nécessaire].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | (D'azur) au chêne (d'or) accosté de deux fleurs de lys (du même)[39]. |
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Détails | Une couleur n'est pas précisée dans le blasonnement ci-dessus. Veuillez faire apparaître la couleur inconnue en blanc (table d'attente) et l'argent en gris. L'Armorial de France propose un champ d'argent, un chêne de sinople et des lys d'azur, mais le blason retrouvé portait des traces de dorure sur l'arbre et les lys. Les couleurs sont donc incertaines. La famille de Laillier (ou Lallier) seigneur de Fayet par acquisition au milieu du XVIe siècle, et ce jusque la Révolution, portait d'azur à un hallier (ou chêne, ou hêtre) d'or, au chef cousu de gueules chargé de trois besants d'or[40],[41]. Blason historique retrouvé sur les derniers restes du village antérieurs à la Grande Guerre et adopté par la municipalité. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- « Dossier complet : Commune de Fayet (02303) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 13 SE, Cambrai [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Fayet » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Fayet et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Quentin », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Quentin », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques » , sur Gallica, (consulté le ).
- « Bulletin de la Société archéologique champenoise » , sur Gallica, (consulté le ).
- « La ligne de la Somme pendant la campagne 1870-1871 : étude / par H. Daussy » , sur Gallica, (consulté le ).
- « 1870-1871. Tableau-memento chronologique des événements, avec notices explicatives , par Ch. Romagny,... » , sur Gallica, (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- (en) « Cartographie 1914-1918 - Carte des positions au 28 aout 1914 », sur carto1418.fr (consulté le ).
- « Reproduction de l'affiche d'Holnon », Nouvelles de France et Bulletin des français résidants à l'étranger, , p. 412 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
- Rapports et procès-verbaux d'enquête de la commission instituée en vue de la commission instituée en vue de constater les actes commis par l'ennemi en violation du droit des gens (décret du 23 septembre 1914)., t. VI à IX, Paris, Imprimerie nationale, , 267 p. (lire en ligne), p. 161, lire en ligne sur Gallica.
- http://www.carto1418.fr/target/19170316.html
- « Communiqués des 13 et 14 avril 1917 », La Guerre mondiale, no 775, , p. 6199 (lire en ligne, consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
- https://www.geneanet.org/gallery/?act-1918ion=detail&id=127159&individu_filter=DEVAUX&rubrique=monuments
- Loïc Rossignol, « Mise en place d'un service de transport à la demande : position de l'exploitant » [PDF], sur dumas.ccsd.cnrs.fr, (consulté le ), p. 25.
- « Arrêté préfectoral du 30 mars 2016 portant Schéma départemental de coopération intercommunale de l'Aisne » [PDF], Approbation du nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, Préfecture de l'Aisne (consulté le ).
- « Schéma départemental de coopération intercommunale » [PDF], Intercommunalité dans l'Aisne, Préfecture de l'Aisne, (consulté le ), p. 34 et 41-44.
- Préfecture de l'Aisne, « Arrêté n°2016-1077 en date du 15 décembre 2016 portant fusion de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin et de la communauté de communes du canton de Saint-Simon - Recueil des actes administratifs de la préfecture de l'Aisne du mois de décembre 2016 - Partie 2 » [PDF], sur aisne.gouv.fr, (consulté le ), p. 55-59.
- Almanach historique administratif et commercial de la Marne de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine édition, Reims, 1877, p214.
- Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
- « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le ).
- « Virginie Ardaens succède à Guy Dambre à la mairie de Fayet », sur aisnenouvelle.fr, L'Aisne nouvelle, (consulté le ).
- « Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard édition de l'Oise,
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 34 (cf. Fayet).
- « 02303 Fayet (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- « Lallier du Fayet », sur euraldic.com (consulté le ).
- « Fayet », sur genealogie-aisne.com (consulté le ).