Herleville
Herleville | |||||
Église Saint-Aubin. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Péronne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Terre de Picardie | ||||
Maire Mandat |
Vincent Vanneufville 2020-2026 |
||||
Code postal | 80340 | ||||
Code commune | 80432 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
193 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 32 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 51′ 46″ nord, 2° 45′ 09″ est | ||||
Altitude | Min. 48 m Max. 91 m |
||||
Superficie | 6,05 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Ham | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
Liens | |||||
Site web | http://herleville.chez.com/ | ||||
modifier |
Herleville est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Ce village rural picard du Santerre est desservi par l'ancienne route nationale 29 (actuelle RD 1029). Il est aisément accessible par les autoroutes A1 et A29. Situé à 16 km à l'ouest de Péronne, par la route, le village se trouve à 34 km d'Amiens, chef-lieu du département[1].
Neuf communes limitent le territoire.
Chuignes et Chuignolles | Foucaucourt-en-Santerre | |||
Framerville-Rainecourt | N | Vermandovillers et Soyécourt | ||
O Herleville E | ||||
S | ||||
Vauvillers | Rosières | Lihons |
Sol, relief, hydrographie
[modifier | modifier le code]Surtout dans la plaine, le sol est argileux sur les trois-quarts du territoire. Le quart restant est formé de petites collines crayeuses peu fertiles[2].
Le terrain est presque entièrement plat. La partie ouest est limitée par une colline d'une quinzaine de mètres de haut, bordant une vallée sèche se dirigeant vers la Somme[2].
En 1899, l'eau des puits est tirée dans une nappe située à une trentaine de mètres de profondeur[2].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 710 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-en-Santerre à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Herleville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,7 %), zones agricoles hétérogènes (6,2 %), forêts (0,1 %)[13]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 59, Harbonnières - Péronne)[14].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Herlivilla est relevé en 1098 et 1111 dans le cartulaire de Lihons. La forme actuelle, Herleville est citée dès 1214 dans un dénombrement de Philippe-Auguste[1],[15].
Histoire
[modifier | modifier le code]Une voie romaine dénommée chaussée Brunehaut traverse le village[2].
Durant une partie du Moyen Âge, le village dépend de la seigneurie de Framerville.
En 1869, l'abbé Poire découvre un cimetière mérovingien au lieudit les Monts de Rainecourt, dans lequel se trouvent de nombreux sarcophages. Il y recueille des vases en verre, des boucles de ceinturons, des boucliers, des bijoux, des armes et d'autres objets[16].
Au XVIe siècle, Charles de Baynast, seigneur du lieu et capitaine au régiment de Lannoy, s'illustre au siège de Péronne (1536)[2].
En 1899, la commune comptait un seul hameau, se trouvant au lieu-dit le Moulin, comptant alors deux habitants[2].
Première Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Durant la Première Guerre mondiale, le village est complètement détruit. Le , un bombardement anéantit le clocher, la toiture et incendie une partie du mobilier de l'église. Le village, comme les villages avoisinants, est libéré par des soldats australiens en [16]. Il est classé dans la zone rouge[17].
La commune est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [18]. La reconstruction dure pendant tout l'entre-deux-guerres et celle de l'église se termine en 1929[16].
Seconde Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Le village est à nouveau détruit pendant la Seconde Guerre mondiale. Ses souffrances lui valent une Croix de guerre 1939-1945 avec étoile de bronze le [16].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Chaulnes[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Ham.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune était adhérente de la communauté de communes de Haute-Picardie créée en 1994 sous le nom de Communauté de communes de Chaulnes et environs, et qui a pris sa dénomination de Communauté de communes de Haute-Picardie en 1999.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[20].
Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[21],[22],[23]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en [24], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [25].
Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[26].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].
En 2021, la commune comptait 193 habitants[Note 3], en évolution de +1,05 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Ces tableaux (en référence) regroupent les chiffres-clés de l'économie communale[35].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Aubin[36] dont le chœur et l'abside datent de la période gothique. La nef a été construite en 1728, au XVIIIe siècle. L'édifice comprend une chaire en chêne de la même époque, sculptée de bas-reliefs. Elle aurait été exécutée dans le Nord, à Séchin ou à Lille, elle est classée monument historique en 1905[37]. De gros dommages ont été causés à l'édifice au cours de la Première Guerre mondiale[38],[39]. Ils seront réparés après le conflit[17].
- Oratoire à la Vierge, à l'intersection de la rue du Maréchal et de la rue Verte[40].
- Muches (refuges souterrains) qui aboutissent à l'église[2].
-
Monument aux morts.
-
Histoire locale.
-
Autre vue de l'église Saint-Aubin.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes de la Somme
- Liste de monuments aux morts français surmontés d'un coq
- Croix de guerre 1914-1918 des communes de la Somme
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Herleville sur le site de l'Institut géographique national.
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
- « Une page du 30e RI - Herleville, septembre 1914 », Les savoyards à Verdun - le 30e RI, Centre Culturel Marius Hudry à Moûtiers (consulté le ).
- « Le cimetière provisoire du camp du chasseur », Les circuits du bleuet, Santerre 2014-2018 - La mémoire de la Grande Guerre dans la Somme (consulté le ).
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Paul Decagny, L'arrondissement de Péronne, ou recherches sur les villes, bourgs, villages et hameaux qui le composent, Péronne, J. Quentin, , 607 p. (lire en ligne), « IVe canton - Chaulnes : Paroisses et communes », p. 296-297 sur Google books.
- La Picardie historique et monumentale, t. VI : Arrondissement de Péronne, Amiens, Impr. de Yvert & Cie, 1923-1931, 322 p. (lire en ligne), p. 195-200 sur Gallica.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique d'Herleville » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique du département de la Somme, tome 1, numérisé, Archives départementales de la Somme, Amiens, p.478, vue 243/268.
- Notice historique et géographique réalisée par l'instituteur d'Herleville, M. Coquelle, 1899, Archives départementales de la Somme, Lire sur le site des Archives départementales.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Herleville et Rouvroy-en-Santerre », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Herleville ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- La section Herleville du Dictionnaire topographique, sur le site des archives départementales.
- « Historique », Mairie de Herleville (consulté le ).
- Panneau d'informations communal.
- Journal officiel du 30 octobre 1920
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s'est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l'occasion d'annoncer la volonté de l'intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard, (lire en ligne).
- « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard, (lire en ligne).
- « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L'annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
- « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d'ECPI », Décideurs en région, (lire en ligne).
- « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031, , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
- « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
- « Les maires de Herleville », sur francegenweb.org (consulté le ).
- « L'adieu à Gérad Proot », Le Courrier picard, , p. 21 (lire en ligne) url=https://premium.courrier-picard.fr/id83939/article/2020-05-04/ladieu-gerard-proot-ancien-maire-dherleville « Gérard Proot, maire d'Herleville pendant 43 ans de 1965 à 2008, est décédé à l'âge de 82 ans ».
- « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
- « Municipales 2020 : fin de parcours pour Philippe Sy à Herleville : À 65 ans, l'ancien fonctionnaire ne se représentera pas au poste de maire en mars prochain. », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « À 65 ans, l'ancien fonctionnaire – il est retraité de la Poste – a eu une longue carrière en politique puisqu'il a commencé en 1992 en tant qu'adjoint de Pierre Boulanger, maire de Moreuil, décédé au printemps dernier. « À l'époque, la situation à Moreuil était assez compliquée. On a connu la crise du textile, il a fallu redynamiser la zone industrielle. On a eu cette chance d'avoir Pierre Boulanger comme maire ». Philippe Sy a officié à Moreuil de 1992 à 2008. Puis il a été muté à Lille : « J'ai déménagé à Herleville. Là, Gérard Groot, maire depuis 43 ans, cherchait un successeur ».
- « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Les données de l'Insee sur le village.
- Paul Roger, Bibliothèque historique, monumentale, ecclésiastique et littéraire de la Picardie et de l'Artois, Amiens, Typ. de Duval et Herment, , 368 p. (lire en ligne), p. 161 sur Google books.
- « Chaire à prêcher », notice no PM80000758, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Agence de presse Meurisse, « Dans la Somme : l'église d'Herleville : [photographie de presse] », (consulté le ) sur Gallica.
- Section photographique de l'armée, « Photo : Herleville. L'église », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 40, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 241 (ASIN B000WR15W8).