Liste des congrégations catholiques
Apparence
Principales congrégations ou sociétés religieuses catholiques, et les abréviations correspondantes (soit en capitales et sans point abréviatif, soit en bas de casse et avec point) :
- L'ordre de Saint-Benoît (les Bénédictins), o.s.b., fondé vers 529 par saint Benoît de Nursie, dont :
- La confrérie de Saint-Sébastien (bénédictins) ;
- La congrégation de La Chaise-Dieu (les Casadéens), fondée par Robert de Turlande en 1043, et rattachée en 1640 à la congrégation de Saint-Maur) ;
- La congrégation de Saint-Maur (les Mauristes), fondée en 1618 par Louis XIII ;
- La congrégation de Saint-Vanne et Saint-Hydulphe, fondée en 1604 par dom Didier de la Cour ;
- L’ordre de Fontevraud, fondé en 1101 par Robert d'Arbrissel.
- La congrégation des Adoratrices du Sacré-Cœur de Montmartre, o.s.b.
- La congrégation des Bénédictines du Sacré-Cœur de Montmartre, b.s.c.m.
- L'ordre des Bénédictines de l'adoration perpétuelle du Très-Saint-Sacrement
- L'ordre clunisien ou ordre de Cluny, fondé en 910 par Guillaume le Pieux (selon la réforme de saint Benoît d'Aniane).
- L’ordre cistercien ou ordre de Cîteaux (les Cisterciens), s.o.c., fondé en en 1098 par saint Robert de Molesmes.
- L'ordre des Bernardins (réforme de saint Bernard de Clairvaux).
- L’ordre cistercien de la Stricte Observance (les Trappistes), o.c.s.o., fondé en 1892.
Ordres monastiques féminins
[modifier | modifier le code]- L'ordre de l'Annonciation de la Vierge Marie (les Annonciades), o.ann.m.
- L'ordre de l'Annonciation céleste (les Célestes), o.ss.a.
- L’ordre du Carmel (les Carmélites), o.c., o.carm.
- L’ordre des Carmélites déchaussées, o.c.d.
- L’ordre de l'Immaculée Conception (les Conceptionnistes), o.i.c.
- L’ordre des Pauvres Dames (les Clarisses), o.s.c.
- L’ordre des Clarisses capucines (les Clarisses capucines), o.s.c.cap.
- L’ordre de Saint-Jérôme (les Hiéronymites), o.s.h.
- L’ordre de Sainte-Ursule (les Ursulines), o.s.u.
- L’ordre de la Visitation de Sainte-Marie (les Visitandines), o.d.v., fondé en 1610 par Saint François de Sales.
- Les Carmélites de Saint Joseph, fondées en 1872 par Léontine Jarre.
Les ordres érémitiques
[modifier | modifier le code]- L'ordre camaldule (les Camaldules), fondé en 1012 par Saint Romuald.
- L'ordre de Grandmont, fondé en 1074 par Étienne de Muret.
- L'ordre des Chartreux, o.cart., fondé en 1084 par Saint Bruno.
- L'ordre de Chalais, fondé en 1142 par Hugues de Chateauneuf (absorbé en 1303 par les Chartreux).
- L'ordre des Célestins, fondé en 1248 par Pierre de Morrone.
- La communauté érémitique des Carmes déchaux du Monastère de Saint Joseph de Las Batuecas.
- La fraternité Monastique Saint-Jean-de-la-Croix.
- L'ordre de Saint-Jean de Jérusalem (ordre des Hospitaliers), fondé vers 1070.
- L'ordre du Temple (ordre des Templiers), fondé en 1129.
- L'ordre Teutonique (ordre des chevaliers Teutoniques), fondé en 1190.
- L'ordre des Hospitaliers du Saint-Esprit, o.s.s., fondé en 1180.
- La confrérie de l'Arche (confrérie du Saint-Esprit), fondée vers 1189 par Guy de Montpellier.
- L'ordre hospitalier de Saint-Jean-de-Dieu (les Frères de la charité), fondé en 1539 par saint Jean de Dieu.
- L'ordre souverain militaire et hospitalier de Saint-Jean de Jérusalem, de Rhodes et de Malte, fondé en 1961 par le pape Jean XXIII.
- L’ordre des Frères mineurs (les Franciscains), o.f.m, fondé en 1210 par saint François d'Assise.
- Les tiers-ordres franciscain :
- l’Ordre franciscain séculier, o.f.s., fondé en 1222 ;
- le Tiers-Ordre régulier franciscain, t.o.r.
- L’ordre des Frères mineurs capucins (les Capucins), o.f.m.cap, fondé en 1525 par Matthieu de Baschi.
- L’ordre des Frères mineurs conventuels, o.f.m.conv.
- Les Grands Carmes (les Carmes de l'antique observance ou Carmes chaussés), o.c., cette branche est structurée en quatre ordres :
- les Carmes (hommes), ordre fondé en 1185 par saint Berthold du mont Carmel.
- les Carmélites chaussées (de l'ancienne observance) ;
- le Tiers-ordre de la Bienheureuse Vierge Marie du Mont Carmel qui regroupe les laïcs rattachés au Carmel ;
- les Ermites de la Bienheureuse Vierge Marie du Mont Carmel (hommes et femmes).
- L'ordre des Carmes déchaux (issu de la réforme menée en 1562 par sainte Thérèse d'Avila et Jean de la Croix) o.c.d., cette branche est elle aussi découpée en trois ordres :
- les Carmes (hommes) ;
- les Carmélites déchaussées (femmes)
- des laïcs regroupés dans l’ordre des Carmes déchaux séculier o.c.d.s. (anciennement Tiers-Ordre carmélite).
À ces branches se rajoutent différentes communautés de carmélites apostoliques (religieuses non cloitrées), rattachées à l'ordre des Carmes déchaux ou aux Grands Carmes (voir la liste des congrégations religieuses rattachées à l'ordre du Carmel). Tel que l'Ordre des Carmes du Désert de Jésus, ocdj.
- L’ordre des Prêcheurs (les Dominicains), o.p., fondé en 1215 par saint Dominique de Guzmán.
- Les Dominicaines missionnaires des campagnes, fondées en 1907 par Mère Marie Saint-Jean, à l'origine Filles de la Foi, d.m.c.
- L’ordre de Saint-Augustin, o.s.a., fondé en 1243.
- Les Augustins récollets, o.a.r., fondé en 1588.
- Les Augustins déchaussés, o.a.d., fondé en 1593.
Autres ordres
[modifier | modifier le code]- L’ordre de Saint-Guillaume (les Guillemites).
Les congrégations de clercs réguliers
[modifier | modifier le code]- La Compagnie de Jésus (les Jésuites), s.j., fondée en 1539 par saint Ignace de Loyola.
- Les Théatins, ordre fondé à Rome en 1524 par saint Gaétan de Thiène et Pietro Carafa.
- Les Camilliens, fondé à Rome en 1586 par saint Camille de Lellis.
- Les Barnabites ou Clercs réguliers de Saint-Paul, fondé en 1530 à Milan par Antoine-Marie Zaccaria.
- Les Somasques, fondé à Somasca (Italie), vers 1535 par saint Jérôme Emilien.
- Les Léonardiens, fondé en 1574 par saint Jean Leonardi.
- Les Caracciolins, fondé en 1588 par saint François Caracciolo.
- Les Piaristes, ordre fondé en 1597 par saint Joseph Calasanz.
- L’ordre de la Très Sainte Trinité et des Captifs (les Trinitaires ou Mathurins ou Frères aux Ânes).
- Les Mercédaires.
Encore en activité :
- Les Chanoines réguliers de saint Augustin dont :
- la congrégation des Chanoines réguliers de Saint Victor, dits Victorins, c.r.s.v., fondés par Guillaume de Champeaux à l'abbaye Saint-Victor de Paris et refondés en 1968 ;
- la congrégation des Chanoines réguliers du Saint Très-Saint Sauveur de Latran, c.r.l, à Rome ;
- la congrégation d’Autriche, à St.Florian ;
- la congrégation des Frères de la Vie commune, à Weilheim (Allemagne) ;
- la congrégation des Chanoines réguliers de Marie Mère du Rédempteur, c.r.m.r., (les Petits Frères de Marie) à Bazougers ;
- la congrégation des Chanoines réguliers de la Mère de Dieu, fondée en 1969 ;
- la congrégation de Windesheim, à Langquaid (Allemagne) en 1386 ;
- la congrégation de Saint-Maurice d’Agaune (Suisse) ;
- la congrégation des chanoines réguliers de l'Immaculée Conception, à Rome ;
- la congrégation des Chanoines du Grand-Saint-Bernard, fondée par saint Bernard de Menthon vers 1050 ;
- L'ordre des chanoines réguliers de Prémontré (les Prémontrés) ;
- Les Chanoines réguliers de la Sainte-Croix de Coïmbre ;
- Les Chanoines réguliers de la Très Sainte-Croix de l'Étoile Rouge ;
- Les Chanoines réguliers de la Sainte-Croix ;
Disparus :
- La congrégation de Notre-Sauveur, fondée par Pierre Fourier au XVIIe siècle ;
- L'ordre hospitalier de Saint-Antoine, dits religieux de Saint-Antoine ou Antonins ;
- Les Chanoines de Saint-Ruf ;
- La congrégation des Chanoines d'Arrouaise ;
- La congrégation de France, dits Génovéfains ;
- La congrégation de Groenendael fondée en 1402 rattachée à la congrégation de Windesheim en 1412.
Les congrégations de clercs séculiers
[modifier | modifier le code]- La Compagnie de Marie (les Montfortains), s.m.m.
- Les Salésiens de Saint-Jean-Bosco (les Salésiens), s.d.b., fondée à Turin par Jean Bosco en 1859
- Les Passionistes (la congrégation de la Passion de Jésus-Christ), c.p.
- La Société de Marie, s.m., dont :
- les Pères maristes, fondés à Lyon en 1816 ;
- les Marianistes, fondés à Bordeaux en 1817 ;
- la congrégation de la Retraite (les Sœurs de la Retraite) fondée à Redon en 1823.
- La congrégation des Pères marianistes de l'Immaculée Conception de la Très Sainte Vierge Marie, c.m.i.
- La congrégation des Augustins de l'Assomption (les Assomptionnistes), a.a.
- La congrégation du Saint-Esprit (les Spiritains), c.s.sp.
- La Pères et Religieuses des Sacrés-Cœurs de Picpus (les Religieux de Picpus), ss.cc.
- La congrégation du Très-Saint-Rédempteur (les Rédemptoristes), c.ss.r.
- La communauté de Saint Jean, f.s.j.
Les instituts de vie apostoliques
[modifier | modifier le code]- La congrégation de Jésus et Marie (les Eudistes), c.j.m.
- Les Pères blancs, p.b.
- Les Prêtres de Saint-Sulpice (les Sulpiciens), p.s.s.
- La congrégation de la Mission (les Lazaristes), c.m., fondée en 1625 par saint Vincent de Paul.
- La congrégation de l'Oratoire (les Oratoriens), c.o.
- Les Missions étrangères de Paris, mep.
- Les Pallotins (Union ou Société de l'apostolat catholique), s.a.c.
- Les Oblats de Marie-Immaculée, o.m.i.
- La congrégation du Cœur Immaculé de Marie (les Scheutistes), c.i.c.m.
- Les Fils du Cœur Immaculé de Marie (les Clarétains), c.m.f.
- L'Institut Christ-Roi Souverain Prêtre, fondée en 1990, i.c.r.s.p.
- L'institut des Soeurs de Saint Joseph, fondée en 1650, i.s.s.j.
- Les missionnaires comboniens du Sacré-Cœur (comboniens).
Les congrégations enseignantes
[modifier | modifier le code]Masculines
[modifier | modifier le code]- Les Frères des écoles chrétiennes (les Lasalliens), f.s.c., qui ont absorbé :
- en 1938 : Les Frères des Écoles chrétiennes de la Miséricorde, à Montebourg.
- Les Frères maristes des Écoles, f.m.s., qui ont absorbé :
- en 1830 : Les Frères de La Côte-Saint-André fondés en 1830 par M. Douillet, directeur du séminaire de La Côte-Saint-André ;
- en 1842 : Les Frères de l'Instruction Chrétienne de Saint-Paul-Trois-Châteaux fondés en 1823 par l'abbé Étienne Fière ;
- en 1844 : Les Frères de l’Institution Chrétienne de Viviers fondés en 1810 par l'abbé Richard, chapelain de Notre-Dame de Bon Secours ;
- en 1909 : Les Frères de la Mère de Dieu fondé le par Valentin Garnier, s.j, vicaire apostolique du Kiang-Nang[1] ;
- en 1912 : Les Frères de la doctrine chrétienne de Nancy, dits de Sion-Vaudémont, à Vézelise, congrégation fondée à Colroy-la-Roche en 1817 par Dom Joseph Fréchard (1765-1849) ;
- en 1956 : Les Frères de Saint Pierre Claver fondés au Nigéria en 1944 par le spiritain Charles Heerey, vicaire apostolique d’Onitsha ;
- en 1959 : Les Frères de Saint François Régis fondés à la Roche-Arnaud au Puy-en-Velay en 1850 par le jésuite Maxime de Bussy.
- Les Frères de Saint-Viateur, à Vourles, c.s.v., qui ont absorbé :
- en 1844 : Les Frères de Saint-Odilon, aux Ternes, congrégation fondée par le père Murat en 1837 ;
- en 1854 : Les Frères de Saint-Jean de Rodez fondés en 1851 à Nant par Jean-François Croizier, évêque de Rodez ;
- en 1920 : Les Frères de la Croix de Jésus, congrégation fondée en 1816 par le chanoine Claude-Marie Bochard (1759-1834) ;
- en 1931 : Les Frères de Notre-Dame des Champs fondés en 1902 à Saint-Damien-de-Buckland par Joseph-Onésime Brousseau[2] ;
- en 1984 : Les Oblats de Saint-Viateur fondés en 1927 à Montréal par le frère Arthur Clément.
- La société de Marie (pères maristes), s.m.
- Les Clercs réguliers de la Mère de Dieu pour les écoles pies ou les Clercs réguliers des écoles pies ou les Piaristes, s.p.
- La congrégation de Sainte-Croix, c.s.c., (les Crucistes), congrégation fondée au Mans (Sarthe) en 1837 par le Père Basile Moreau.
- La Société de Marie (Marianistes), frères et prêtres, s.m., à Bordeaux, en 1817, par le père Guillaume-Joseph Chaminade.
- Les Frères de l'instruction chrétienne, dits de Lamennais, f.i.c.p., à Ploërmel (Morbihan), qui ont absorbé :
- en 1876 : Les Frères de l'Instruction chrétienne d'Auch (les Frères de Gascogne) fondés en 1876 par Nicolas de la Croix d'Azolette.
- en 1880 : Les Frères de Sainte-Marie de Tinchebray fondé en 1850 à Tinchebray par l'abbé Charles-Augustin Duguey.
- Les Frères de la doctrine chrétienne de Strasbourg, congrégation fondée en 1845 par le chanoine Eugène Mertian (1823-1890), un jésuite, le Père Schneider, et M. Ignace Mertian.
- Les Frères de Saint-Antoine à Paris, congrégation fondée par l'abbé Tabourin en 1709, dissoute avant 1901.
- Les Frères de l'instruction chrétienne de Saint-Gabriel, à Saint-Laurent-sur-Sèvre.
- Les Petits Frères de Marie, à Notre Dame de l'Hermitage et à Saint-Genis-Laval.
- Les Frères de Notre-Dame de Bon-Secours, à Oran (Algérie).
- Les Frères de Saint-Joseph, à Oullins, congrégation fondée en 1835 par l'Abbé Joseph Rey[3] (1798-1875).
- Les Frères de Saint-Joseph, à Saint-Fuscien, congrégation fondée en 1825 par l'abbé Lardeur.
- Les Frères du Sacré-Cœur, s.c., fondation en 1821 par le père André Coindre.
- Les Frères agriculteurs de Saint-François d'Assise, congrégation[4] fondée en 1840 par l'abbé Gabriel Deshayes, a dirigé une colonie agricole[5] à Saint-Antoine-de-Bois entre 1841 et 1899, date à laquelle la congrégation se rapproche des salésiens de Don Bosco.
- Les Frères de la Sainte-Famille, f.s.f., fondés en 1835 à Belley par le Frère Gabriel Taborin.
- Les Frères du Saint-Esprit et du Saint-Cœur de Marie, à Paris.
Féminines
[modifier | modifier le code]Fondations au XVe siècle
[modifier | modifier le code]- La congrégation des Sœurs franciscaines du Christ Roi, fondée dans la république de Venise en 1471.
Fondations au XVIIe siècle
[modifier | modifier le code]- La congrégation de la Compagnie de Marie Notre-Dame[6], o.d.n., fondée à Bordeaux en 1607 par Jeanne de Lestonnac, nièce de Montaigne.
- La congrégation des Filles de Saint-Joseph. Bordeaux, également connues sous le nom des Filles hospitalières de la congrégation de Saint-Joseph pour l'instruction des orphelines, fondée à Bordeaux en 1638 par Marie Delpech de L'Estang (morte en 1671), absorbée par la congrégation des sœurs de la Providence de Lisieux en 1965.
- La congrégation de l'Union-Chrétienne de Saint-Chaumond, fondée à Paris en 1652, par Saint Vincent de Paul et la vénérable Marie Lumague.
- La congrégation de Notre-Dame de Montréal, c.n.d, fondée à Montréal en 1659, par Marguerite Bourgeoys.
- La congrégation des Maîtresses charitables du Saint Enfant Jésus, fondée en 1662 par le père Nicolas Barré qui se scinde en 1691 en deux congrégations distinctes :
- la congrégation des Sœurs de l'Enfant Jésus - Nicolas Barré, dite aussi « Dames de Saint-Maur » ;
- la congrégation des Sœurs de l’Enfant Jésus – Providence de Rouen.
- la congrégation des Sœurs de l'Enfant-Jésus du Puy-en-Velay fondée en 1667 par Anne-Marie Martel.
- La congrégation des Sœurs du Saint Enfant Jésus, fondée en 1676 à Reims par le bienheureux Nicolas Roland.
- La congrégation des Filles de la Sainte-Vierge de la Retraite (de Lannion-Vannes), fondée à Vannes en 1675 par Catherine de Francheville, fusionne en 1966.
- La congrégation des Filles de la Sainte-Vierge de la Retraite de Rennes, fondée en 1676 à Rennes par Mme Jeanne Budes de Guébriant. Devenue la Fraternité Notre-Dame après 1960, elle s'unit aux Sœurs du Sacré-Cœur de Jésus de Saint-Jacut-les-Pins en 1990.
- La congrégation de la Retraite de Quimper, dite aussi des Filles du Sacré-Cœur de Jésus[7], fondée en 1678.
- La congrégation des Sœurs de Saint Charles, fondée à Lyon en 1680, par le père Charles Démia (1637-1689).
- La congrégation des Sœurs de la charité de Notre-Dame d'Évron, s.c.e., fondée en 1682 par mère Perrine Thulard (née en 1654).
- La congrégation des Sœurs de la Providence de Lisieux, fondée à Lisieux en 1683 par Jeanne-Françoise et Marie-Thérèse Jouen.
- La congrégation des Sœurs de la charité dominicaines de la Présentation, o.p., fondée en 1696 à Sainville par la bienheureuse Marie Poussepin (1653-1744).
- La Congrégation des Soeurs Trinitaires fondée vers 1660 à St Nizier et puis en 1685 à Valence[réf. nécessaire].
Fondations au XVIIIe siècle
[modifier | modifier le code]- La congrégation des Filles de la Sagesse fondée en 1703 par saint Louis-Marie Grignion de Montfort et la bienheureuse Marie-Louise Trichet.
- La congrégation des Sœurs de la doctrine chrétienne, d.c., fondée à Nancy par le Père Jean-Baptiste Vatelot au début du XVIIIe siècle.
- La congrégation de l'Union-Chrétienne de Saint-Chaumond, fondée à Poitiers en 1652, par St Vincent de Paul et Marie Lumague.
- La congrégation des Sœurs de la retraite chrétienne, fondée aux Fontenelles dans le Doubs par l'Abbé Receveur (1750-1804).
- La congrégation des Sœurs de la Présentation de Marie, p.m. fondée en 1796 par la bienheureuse Marie Rivier.
- La congrégation des Sœurs de la charité de sainte Jeanne-Antide Thouret, fondée à Besançon en 1799, par sainte Jeanne-Antide Thouret, (1765-1826).
- La congrégation des Sœurs du Sacré-Cœur, r.s.c.j., fondée à Paris en 1800 par sainte Madeleine-Sophie Barat, (1779-1865).
- La congrégation des Dominicaines du Saint Nom de Jésus, s.n.j, fondée en 1800 à Toulouse, par le père François Vincent.
Fondations au XIXe siècle
[modifier | modifier le code]- La congrégation des Sœurs de la Sainte-Famille de Besançon fondée en 1803 par Jeanne-Claude Jacoulet (1772-1836).
- La congrégation des Sœurs de la Charité de Saint-Louis, fondée à Vannes en 1803 par Madame Molé de Champlâtreux, en religion Mère Saint-Louis (1763-1825) soutenue par Antoine de Pancemont, évêque de Vannes.
- La congrégation des Sœurs de la Providence de Saint André de Peltre, fondée en 1806 par le Père Antoine Gapp.
- La congrégation de la Mère de Dieu, congrégation refondée à Paris, en 1806 par Mme Lezeau, à partir d'une œuvre charitable fondée en 1648 par le père Jean-Jacques Olier.
- La congrégation des Filles de la Croix, f.d.l.c, fondée à Saint-Pierre-de-Maillé, en 1807 par Saint André-Hubert Fournet (1752-1834) et Sainte Jeanne-Élisabeth Bichier des Ages (1773-1838).
- La congrégation des Sœurs de Sainte Chrétienne, s.s.ch, fondée en 1807 à Argancy, par Anne-Victoire et Alexis de Méjanès.
- La congrégation des Sœurs de Saint-Joseph-de-Cluny fondée en 1807 par Anne-Marie Javouhey.
- La congrégation des Filles de Marie Immaculée, fondée à Agen en 1816 par Adèle de Trenquelléon.
- La congrégation des sœurs du Sacré-Cœur de Jésus de Saint-Jacut-les-Pins, fondée à Saint-Jacut-les-Pins en 1816, par Angélique Le Sourd.
- La congrégation des Filles de la Providence de Saint-Brieuc fondée en 1818 par le père Jean-Marie de La Mennais.
- La congrégation des Religieuses de Jésus-Marie, r.j.m., fondée en 1818 par sainte Claudine Thévenet.
- La congrégation des Sœurs de la Miséricorde de Rouen, fondée à Rouen en 1818, absorbée par la congrégation de la Providence de Lisieux en 1961.
- La congrégation des sœurs des Sacrés-Cœurs de Jésus et de Marie, fondée en 1818, aux Brouzils en Vendée par le père Pierre Monnereau (1787-1856).
- La congrégation des Sœurs du Sacré-Cœur de Jésus, fondée en 1818, à saint-Aubin-les-Elbeuf par Geneviève Freret, en religion Mère Saint-Joseph (née en 1791) et l'abbé Lefebvre.
- La congrégation des Sœurs de la Sainte-Famille de Villefranche-de-Rouergue fondée en 1816 par sainte Émilie de Rodat.
- La congrégation des Sœurs de l'instruction chrétienne de Saint-Gildas-des-Bois, fondée en 1820 par le père Gabriel Deshayes et Michelle Guillaume.
- La congrégation des Sœurs de l'adoration perpétuelle du Sacré Cœur de Jésus, fondée à Lyon en 1820 par Caroline de Choussy de Grandpré (1783-1827) en religion Mère Jeanne-Françoise de Jésus.
- La congrégation des Sœurs de Sainte Clotilde, fondée en 1821 par Antoinette Desfontaines et le père Jean-Baptiste Rauzan, (1757-1847).
- La congrégation des Sœurs du Christ Rédempteur, fondée à Fougères en 1827 par Anne Boivent, en religion Mère Marie-Thérèse de la Croix (1787-1865) et le père Jean-Baptiste Le Taillandier (1788-1870).
- La congrégation des Filles de la Charité du Sacré-Cœur de Jésus, f.c.s.c.j, fondée en 1823 à La Salle-de-Vihiers par l'abbé Jean-Maurice Catroux (1794-1863) et Rose Giet (1784-1848).
- La congrégation des Filles de Sainte-Marie de la Présentation, s.m.p. fondée à Broons en 1828 par Louise et Laurence Lemarchand et l'abbé Joachim Fleury.
- La congrégation des Sœurs de l'Immaculée Conception de Saint-Méen, fondée en 1831 par sœur Saint-Félix à Saint-Méen-le-Grand.
- La congrégation des sœurs des Saints Anges, congrégation fondée à Lons-le-Saunier en 1831 par Barbe Élise Poux, en religion Mère Marie Saint-Michel (1798-1855).
- L'Institut du Cœur immaculé de Jésus, fondé en 1832, à Nogent-le-Rotrou, fondé par Père Brière et Melle Caroline Delfeuille.
- La congrégation des Filles de Jésus (de Kermaria) fondée en 1834 par Perrine Samson, en religion Mère Sainte Angèle (1790-1847).
- La congrégation des sœurs du Sauveur et de la sainte Vierge fondée en 1834 à La Souterraine par Mère Marie de Jésus du Bourg.
- La congrégation de l'Immaculée Conception de Buzançais, fondée en 1835 à Buzançais par l'abbé Odoul (1800-1851); En 1970, la congrégation fusionne avec la congrégation de l'Immaculée Conception de Saint-Méen.
- La congrégation des Sœurs de la Sainte-Famille d'Amiens (Issue en 1837 de la Sainte-Famille de Besançon).
- La congrégation des sœurs de saint François d'Assise de Lyon fondée à Lyon par Anne Rollet en religion Agnès de la Conception.
- La congrégation des sœurs de Saint Joseph de Tarbes fondée le à Tarbes.
- La congrégation Saint Dominique de Gramond, fondée à Gramond, diocèse de Rodez, en 1843 par Marie-Anne Boutonnet (1813-1886), en religion Mère Saint François de Sales et l'abbé Pierre-Jean Combal (1790-1874). La congrégation de Gramond fusionne avec la congrégation romaine de Saint Dominique en 2016.
- Les Sœurs de la Croix de Strasbourg fondées le 2 février 1848 par Adèle de Glaubitz.
- La congrégation des Petites Sœurs de la Sainte-Enfance, p.s.s.e, fondée en 1849 à La Valla-en-Gier, diocèse de Lyon, par l'abbé Étienne Bedoin (1790-1864).
- La congrégation des Religieuses du Sacré-Cœur de Marie, fondée à Béziers en 1849, par l’abbé Jean Gailhac (1802-1890) et Apollonie Pélissier, en religion Mère Saint Jean.
- La congrégation des Sœurs de Sainte-Anne, s.s.a., fondée en 1850, par la bienheureuse Marie-Anne Blondin à Vaudreuil au Québec.
- La congrégation des Dominicaines de Notre Dame du Très Saint Rosaire de Monteils, fondée à Bor-et-Bar, diocèse de Rodez, en 1850 par mère Marie-Anastasie (1832-1878) et l'abbé Gavalda.
- La congrégation des Dames Zélatrices de la Sainte-Eucharistie, congrégation diocésaine fondée à Paris en 1853, autorisée en 1878, fusionne en 1957 avec les sœurs de l'Immaculée Conception de Notre Dame de Lourdes.
- La congrégation des Dominicaines de la congrégation française de Sainte Catherine de Sienne fondée en 1854 à Bonnay par Joséphine Gand en religion Mère Saint-Dominique de la Croix (1819-1907).
- La congrégation des Franciscaines servantes de Marie fondée en 1856.
- La congrégation des Sœurs de l'Enfant Jésus de Chauffailles, r.e.j. fondée en 1859 à Chauffailles par Reine Antier (1801-1883).
- La congrégation des sœurs de l'Immaculée Conception de Notre Dame de Lourdes, I.N.S.L, fondée en 1863 par Eugénie Ducombs (1814-1878), en religion Mère Marie de Jésus Crucifié.
- La congrégation des sœurs du Christ à Gethsémani, fondée en 1864 par Antoine Nicolle (1817-1890).
- La congrégation Sœurs de Notre Dame de la Merci, fondée en 1864 par Elisabeth Bacq, en religion Mère Thérèse de Jésus (1825-1895).
- La congrégation des Petites Sœurs de l'Assomption, été fondée en 1865 à Paris, par le Père Étienne Pernet[8] (1824-1999), religieux assomptionniste, et Antoinette Fage (1824-1883).
- La congrégation des Dominicaines missionnaires de Notre-Dame de la Délivrande fondée le au Morne-Rouge par Laure Sabès (1841-1911).
- Les Dominicaines de la Sainte-Famille, congrégation fondée en 1879 par Mère Thérèse Emilie Bourget.
- Les Sœurs de Saint Dominique de Cracovie.
Fondations au XXe siècle
[modifier | modifier le code]- Les Sœurs de la Famille de Béthanie, congrégation fondée le à Puszczykowo, en Pologne, par le père Józef Małysiak et Irena Parasiewicz sous le nom de Société du travail de Béthanie.
- L’Institut des Filles du Cœur Immaculé de Marie, fondée, à Bamako au Mali, en 1934 par Paul-Marie Molin (1885-1967), de la Société des Missionnaires d’Afrique.
- L’Institut des sœurs Dominicaines du Saint-Esprit, fondé en 1943 par l'abbé Victor-Alain Berto.
- La congrégation romaine de Saint-Dominique, issue de la fusion le :
- des Dominicaines du Sacré-Cœur de Jésus, Hardinghen, Pas-de-Calais ;
- des Dominicaines du Très Saint Rosaire, Sèvres, Hauts-de-Seine ;
- des Dominicaines de la Sainte-Trinité, Chalon-sur-Saône ;
- des Dominicaines de la congrégation de Saint-Dominique, Nancy ;
- des Dominicaines de Notre-Dame du saint Rosaire et de saint Thomas d'Aquin, Livry-sur-Seine, Seine-et-Marne.
- La congrégation de la Retraite (les Sœurs de la Retraite), issue de la fusion le :
- des Religieuses de la Retraite du Sacré-Cœur, Société de Marie d'Angers ;
- des Filles de la Sainte-Vierge de la Retraite, de Lannion-Vannes .
- des Sœurs de la Retraite du Sacré-Cœur, de Bruges.
- La congrégation des Sœurs de Jésus Serviteur, union en 2007 de cinq congrégations de tradition ignatienne :
- les Sœurs du Saint-Sacrement, Lyon ;
- les Filles de Marie, Grenoble ;
- la congrégation du Saint Nom de Jésus et Marie, Besançon ;
- la congrégation des sœurs Minimes du Saint Cœur de Marie, fondée à Rodez au XIXe siècle par Julie Chauchard (mère Marie du Bon Pasteur) (1794-1872) ;
- les Petites Sœurs de Notre Dame, Grenoble.
Les congrégations hospitalières
[modifier | modifier le code]Fondations au XIe siècle
[modifier | modifier le code]- Les religieuses de Saint Augustin (les Augustines).
Fondations au XIIIe siècle
[modifier | modifier le code]- La congrégation des Augustines du Précieux Sang, congrégation fondée en 1226 à Arras. En 1970 elle rejoint la fédération des sœurs Augustines de France qui vient d'être érigée. Elle fusionne en 1976 avec les Augustines de l'Hôtel-Dieu de Paris, pour former la congrégation des Augustines de Notre-Dame de Paris.
Fondations au XVe siècle
[modifier | modifier le code]- Les Religieuses de Sainte Marthe.
Fondations au XVIIe siècle
[modifier | modifier le code]- La congrégation des Sœurs Hospitalières de l'Hôtel-Dieu de Caen, fondée en 1629 par des sœurs envoyées par l’Hôpital de la Madeleine de Rouen.
- La congrégation des Sœurs de Saint-Alexis, fondée à Limoges en 1657-1659 par Marie de Petiot. En 1968 la congrégation fusionne avec la congrégation de l’Immaculée Conception dites des Sœurs bleues de Castres.
- La congrégation des Sœurs Hospitalières de Saint Thomas de Villeneuve, fondée à Lamballe (Côtes-d’Armor) en 1661, par le Père Ange Le Proust (1624-1697), religieux augustin.
- La congrégation des Religieuses Augustines Hospitalières de l'Hôtel-Dieu de Vire, fondée en 1662.
- La congrégation des Sœurs du Très-Saint-Sacrement et de la Charité, fondée en 1671 à Montoire-sur-le-Loir par Antoine Moreau, curé de la paroisse. Dispersée à la Révolution, elle se reconstitua à Bourges en 1801.
- La congrégation des Sœurs de la Charité de Notre-Dame, Evreux, 1682.
- La congrégation des Sœurs de la Maison de la Providence de Lisieux, congrégation enseignante et hospitalière de droit diocésain fondée en 1683 par Jeanne-Françoise et Marie-Thérèse Jouen.
- La congrégation des Religieuses Hospitalières de Notre-Dame de la Charité, fondée à Dijon en 1683 par le vénérable Bénigne Joly.
- Les Sœurs de Saint-Paul de Chartres, s.c.p., congrégation fondée en 1696 par le Père Louis Chauvet et Marie Anne de Tilly.
- Les Sœurs de la Charité.
- La congrégation des Sœurs de la Charité de Nevers, fondée à Saint-Saulge en 1680 par le père Jean-Baptiste Delaveyne (1653-1719), prêtre et moine bénédictin.
Fondations au XVIIIe siècle
[modifier | modifier le code]- La congrégation des Filles de la Sagesse[9], fondée en 1703 par saint Louis-Marie Grignion de Montfort et la bienheureuse Marie-Louise Trichet.
- La congrégation des Sœurs de Notre-Dame de Charité de Rouen, congrégation fondée en 1714[10] à Rouen à l'Hôpital Général par Marie-Barbe Pellerin de la Coudraye, novice de la congrégation des Servantes de Jésus de Caen. En association avec la congrégation de Notre-Dame de Charité de Lisieux à partir de 1967.
- La congrégation des Sœurs de Notre-Dame de Charité de Lisieux, congrégation de droit diocésain fondée à Lisieux en 1727 par Marie-barbe Pellerin de la Coudraye (1686-1763).
- La congrégation des religieuses du très-saint Sacrement, congrégation de droit diocésain (1755), puis de droit pontifical (1914), fondée en 1732 à Mâcon par le chanoine Louis Agut. Maison-mère à Autun de 1836 à 1971, puis à La Mulatière.
- La congrégation des Augustines hospitalières de l'Hôtel-Dieu de Carpentras, congrégation fondée en 1736 pour desservir l'Hôtel-Dieu de Carpentras fondé par l'évêque Malachie d'Inguimbert. La congrégation est absorbée en 1952 par les Augustines de Meaux.
- La congrégation des Sœurs de la charité de sainte Jeanne-Antide Thouret, fondée en 1799 à Besançon par Jeanne-Antide Thouret (1765-1826).
Fondations au XIXe siècle
[modifier | modifier le code]- La congrégation des Petites sœurs de saint François d'Assise[11].
- La congrégation des Sœurs de Notre-Dame de la Compassion de Villersexel[12], congrégation de droit diocésain fondée au Bélieu dans le Doubs en 1809 par l'abbé Lambelot et Marie-Agnès Pagnot. En 2002 la congrégation fusionne avec six autres pour former une nouvelle congrégation nommée les sœurs de l'Alliance.
- La congrégation des sœurs de Saint-Joseph à Chambéry, crée en 1812.
- La congrégation des Sœurs hospitalières de Saint-Laurent, fondée en 1813 à Nuits-Saint-Georges en Côte-d'Or, par des Sœurs hospitalières de Sainte-Marthe de Beaune, à laquelle la congrégation indépendante, se rattache en 1939.
- La congrégation des sœurs de la Miséricorde de Sées, fondée en 1823 à Sées par le chanoine Jean Jacques Bazin.
- La congrégation des Sœurs de la Sainte-Enfance de Marie de Nancy, congrégation de droit diocésain fondée en 1823 par un prêtre lorrain, l'abbé Claude Daunot. Fondée à Dommartin-la-Chaussée, puis transférée à Nancy. - En 2002 la congrégation fusionne avec six autres pour former une nouvelle congrégation appelée sœurs de l'Alliance.
- La congrégation des Sœurs gardes-malades de l'Immaculée-Conception de Chambéry, congrégation hospitalière de droit diocésain fondée à Chambéry en 1827 par le curé Gabriel Muffat-Jeandet et Anne Nicoud. En 2002 la congrégation fusionne avec six autres pour former une nouvelle congrégation nommée les sœurs de l'Alliance.
- La congrégation des Sœurs de la Présentation de Marie de Chatel, congrégation fondée à Arinthod (Jura) par l'abbé Joseph-Marie-Felix Perray, transférée au château de Chagny (Saône-et-Loire) en 1833 et à Chatel (Jura) en 1850. En 2002 la congrégation fusionne avec six autres pour former une nouvelle congrégation nommée les sœurs de l'Alliance.
- La congrégation des Sœurs de Saint-Joseph-de-l'Apparition, s.j.a. fondée en 1832 à Gaillac (Tarn) par sainte Émilie de Vialar (1797-1856).
- La congrégation des Sœurs de Notre-Dame du Calvaire, congrégation fondée à Gramat en 1833 par le père Pierre Bonhomme (1803-1861).
- Sœurs de Notre Dame du Bon Secours de Lyon fondées en 1835 à Lyon par Étiennette Chavent (1796-1875).
- La congrégation des Sœurs de la Miséricorde, fondée à Caen en 1844, par l'Abbé Beaussire, prêtre à Notre-Dame de Caen.
- La congrégation des Sœurs gardes-malades de Notre-Dame Auxiliatrice, fondée en 1845 à Montpellier par le père André Soulas (1808-1857), et Virginie Montagnol de Cazilhac, en religion mère Marie de Jésus (1812-1875). En 2002 la congrégation fusionne avec six autres pour former une nouvelle congrégation nommée les sœurs de l'Alliance.
- La congrégation des Franciscaines de Calais, union en 1854, à Calais de sept communautés[13] de sœurs franciscaines sous l'impulsion de Mg Pierre-Louis Parisis, évêque d’Arras, de Mère Louise Mabille et du chanoine Adolphe Duchenne. En 1965, la congrégation des Franciscaines de Calais prend la dénomination de «Franciscaines missionnaires de Notre-Dame», en raison de son extension à travers le monde.
- La congrégation des Sœurs de la Compassion de Rouen, fondée à Rouen en 1844, par Louis Blanquart de Bailleul, congrégation absorbée par la congrégation des sœurs de la Présentation de Marie en 2009.
- La congrégation des Augustines du Sacré-Cœur. En 1856, formation à Abbeville[14] d'une congrégation d'Augustines sous le vocable du Sacré-Cœur, supprimée en 1954.
- Les Franciscaines filles de la Miséricorde (Congregatione Sororum Franciscalium Filiarum Misericordiae), congrégation fondées en 1856 à Pina (Algaida) sur l'île de Majorque pour donner une éducation gratuite aux filles pauvres et apporter des soins aux malades.
- La congrégation des Sœurs hospitalières de Saint-Roch[15]. congrégation hospitalière de droit diocésain fondée à Antraigues (Ardèche) le par l'abbé Froment, curé de la paroisse. En 2002 la congrégation fusionne avec six autres pour former une nouvelle congrégation nommée les sœurs de l'Alliance.
- La congrégation des Sœurs du tiers-ordre de Saint-Dominique d'Albi[16], fondée à Albi en 1852 à Albi par Gérine Fabre (1811-1887). Elle devient congrégation des Sœurs Dominicaines de Sainte-Catherine de Sienne.
- La congrégation des Sœurs de Notre Dame de la Merci fondée en 1864 à Nancy par Thérèse Bacq (1825-1896).
- La congrégation des Sœurs franciscaines hospitalières de l'Immaculée Conception, fondée à Lisbonne en 1876.
- La congrégation des Sœurs hospitalières du Sacré-Cœur de Jésus, fondée à Ciempozuelos-Madrid (Espagne) le , par Saint Benoît Menni, prêtre de l’ordre de Saint Jean de Dieu.
- Les Franciscaines des Sacrés Cœurs d'Antequera, congrégation fondée en 1884 en Espagne, vouée aux soins des malades et à l'enseignement des jeunes.
Fondations au XXe siècle
[modifier | modifier le code]- La congrégation des Frères de l'Assomption de Butembo-Beni, Fondée à Butembo-Beni, R.D. Congo / Nord-Kivu, par Monseigneur Henri Piérard, en 1952.
Les instituts séculiers
[modifier | modifier le code]Les instituts séculiers masculins
[modifier | modifier le code]- La société du Prado, fondé en 1860 à Lyon par le père Antoine Chevrier.
- L'institut séculier Jésus-Prêtre
- L'institut séculier Saint-Gabriel-Archange
- L'institut séculier Sainte-Marie-de-l’Annonciation
- L'institut séculier Sainte-Famille
Les instituts séculiers féminins
[modifier | modifier le code]- L’Alliance en Jésus par Marie (es).
- Les Apôtres de la charité (piccole apostole della carità) Milan, Italie,
- Caritas Christi, Paris, France.
- Les Catéchistes du Sacré-Cœur de Jésus, (catequistas do sagrado coração de jesus), Presidente Prudente, Brésil.
- Les Oblates du Christ-Roi, Chiavari, Italie.
- L'Œuvre du Divin Amour (opera del divino amore), Naples, Italie.
- Les Ancelles de la Divine Miséricorde, (Ancelle della Divina Misericordia), Valenzano, Italie.
- Les Fidèles Servantes de Jésus, (Fieles Siervas de Jesús), institut séculier, fondé en 1938 par Andrés Basset et Mercedes Ricaurte à Bogota, Colombie.
- Filiacion Cordimariana, Espagne.
- Union des Filles de Dieu (it), (Unio Filiarum Dei), institut fondé à Trévise, Italie, en 1924.
- L'Institution Thérèsienne, est née en Espagne en 1911 de l’intuition de saint Pedro Poveda Castroverde.
- Les Servantes de Jésus prêtre, Ribeirao Preto, Brésil.
- Les Missionnaires des malades (Missionarie degli Infermi), institut fondé à Milan en 1936 par Germana Sommaruga.
- Notre-Dame de la Route, Vienne, Autriche.
- Notre-Dame du Travail, Association fondée à Lyon, en 1904, par Aimée Novo et Andrée Butillard. Implantée en 1908 sur le territoire de la Paroisse Notre-Dame du Travail, à Paris. Institut séculier féminin de droit pontifical depuis 1949.
- L'institut Notre-Dame de Vie, Avignon, France.
- Les Ouvrières de la Croix (Obreras de la Cruz), institut fondé en 1934 à Valence, par le père Vicente Garrido Pastor (1896-1975), prêtre diocésain.
- Les Filles de la Reine des Apôtres (it) (Figlie della Regina degli Apostoli), l'institut a été fondé en 1921 par Elena Da Persico (it) (1869-1948).
- Les Missionnaires de la Royauté de Notre-Seigneur Jésus-Christ (it), (missionarie della regalità di n. s. gesù cristo), association fondée en 1919 à Assise.
- L'Institut des Missionnaires du Sacerdoce Royal (L’Istituto delle Missionarie del Sacerdozio Regale di Cristo), l’institut a été fondé en 1945 à Milan, avec le soutien du Cardinal Alfredo Ildefonso Schuster, maintenant bienheureux, et de Ezia Fiorentino.
- Les Apôtres du Sacré Cœur de Jésus, l'institut a été fondé le à Viareggio par Mère Clelia Merloni (1861-1930).
- Les Oblates du Sacré Cœur de Jésus, o.s.c, ont été fondées le par Maria Teresa Casini (1864-1937) avec l'aide de Arsenio Pellegrini, abbé du monastère basilien de Grottaferrata.
- Les Filles du Sacré-Cœur, (Figlie dei Sacri Cuori di Gesù e Maria), Bitonto, Italie.
- Vie et Paix dans le Christ Jésus, l'Institut Vie et Paix a ses origines dans l'archidiocèse de Pampelune en Navarre, fondé par le père Cornelio Urtasun Irisarri en 1940.
- Institut séculier des missionnaires de la paternité divine, institut fondé au Mans en 1933 par Jeanne-Berthe Laurà.
Les institutions de l'Église catholique
[modifier | modifier le code]Les prélatures personnelles
[modifier | modifier le code]- L'Opus Dei, fondé en 1928 par Josemaría Escrivá de Balaguer. Étant à l'origine une pieuse union, puis un institut séculier, l'Opus Dei reçoit en 1982 le statut de prélature personnelle.
Les fraternités
[modifier | modifier le code]- Les Fraternités monastiques de Jérusalem.
- Les Petits Frères de Jésus, fraternité fondée en 1933 par le Père René Voillaume.
- La Communauté du Chemin-Neuf, fondée à Lyon en 1973.
- La Fraternité Saint-Vincent-Ferrier, d'inspiration dominicaine, fondée en 1979.
- La Fraternité sacerdotale Saint-Pierre, fondée le par plusieurs membres de la FSSPX refusant la situation de schisme provoquée par les sacres au sein du mouvement de Marcel Lefebvre.
Autres congrégations
[modifier | modifier le code]- La congrégation des Sœurs de Marie-Auxiliatrice fondée en 1854 par Marie-Thérèse de Soubiran.
- La congrégation de Notre Dame du Cénacle, ou selon leur nom complet Sœurs de Notre-Dame de la Retraite du Cénacle.
- La congrégation des sœurs de l'Enfant-Jésus.
- Les Filles de Saint-Paul (les Pauliniennes), f.s.p.
- La Légion du Christ (les Légionnaires), l.c.
- L'Ordre libanais maronite, o.l.m.
- L'Ordre mariamite maronite, o.m.m.
- L'Ordre antonin maronite, o.a.m.
- L'Ordre basilien salvatorien.
- L'Ordre basilien choueirite, b.c.
- Les Serviteurs de Jésus et de Marie, s.j.m., congrégation religieuse apostolique de droit diocésain, fondée en 1930 par le père Jean-Edouard Lamy.
- La Société du Divin Verbe, s.v.d.
- Les Sœurs de la Foi.
- Les Sœurs dominicaines de Béthanie, congrégation fondée le par le Père Jean-Joseph Lataste o.p.
- Les Studites m.s.u.
- Les Paulistes, c.s.p.
- Les Missionnaires de la Charité, m.c.
- Les Frères Missionnaires de la Charité, m.c.
- Les Missionnaires de Maryknoll, m.m.
- Les Sœurs missionnaires de la Société de Marie.
- La congrégation des Missionnaires de Saint-Charles (les Scalabriniens), s.c.
- Les servantes des pauvres d'Angers, o.r.s.b, congrégation fondée par Dom Camille Leduc, moine de Solesmes, le .
- Les Missionnaires du Chemin, institut religieux fondée par frère Faustino et frère Umile (cas des frères) et sœur Chiara (cas des sœurs), le .
- Oblates du Très Saint Rédempteur.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Frère Stratonique, « Circulaires 228 : frères chinois », sur champagnat.org, (consulté le ).
- « Biographie – BROUSSEAU, JOSEPH-ONÉSIME – Volume XIV (1911-1920) – Dictionnaire biographique du Canada », sur biographi.ca (consulté le ).
- Il fonda trois orphelinats à Oullins, au sein de l'abbaye de Cîteaux et à Saint-Genest-Lerpt
- La congrégation ne dépassera jamais 40 membres.
- Après l'échec de plusieurs tutelles, le lycée agricole de Bois est repris par les Frères des Écoles Chrétiennes en 1949
- « Nous », sur Orden de la Compañía de María N.S. (consulté le )
- « Religieuses de la Retraite du Sacré-Coeur, Société de Marie (1825 - 12-05-1966) - Organisation - Ressources de la Bibliothèque nationale de France », sur data.bnf.fr (consulté le ).
- Proclamé vénérable en 1982
- congrégation hospitalière à l'origine, elle étendra très vite son activité à l'enseignement des enfants pauvres.
- En 1979 la communauté cesse son activité de soin des malades au sein de l’Hôpital Charles-Nicolle de Rouen
- [1]
- Elle compte en 1993, 30 communautés dans 6 départements français et 3 missions en République Centre Africaine.
- Sept couvents de tertiaires franciscaines du diocèse d'Arras : Saint-Omer, Aire, Montreuil, Béthune, Lens, Arras, Calais.
- Les Augustines s'établirent à Abbeville dès 1158.
- En 1993 elle compte 11 maisons dans l'Allier, l'Ardèche, la Drôme, le Gard, le Vaucluse et une mission à Kassama (Mali)
- Cette famille religieuse se divise en deux congrégations indépendantes qui, à partir de 1879, poursuivent des chemins parallèles jusqu’à leur réunification en 2005.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Sophie Hasquenoph, Histoire des ordres et congrégations religieuses : en France du Moyen âge à nos jours, Seyssel, Les classiques de Champ Vallon, , 1334 p. (ISBN 978-2-87673-495-1).
- Pascal Arnoux, Abbayes et monastères : principaux ordres monastiques et religieux des origines au XXe siècle, Le Cannet, éditions Tableaux Synoptiques de l'Histoire, (ISBN 2-907854-42-9).
- Les Ordres religieux, la Vie et l'Art (sous la direction de Gabriel Lebras)