Marie-Josée Ifoku
Marie-Josée Ifoku Mputa Mpunga | |
Marie-Josée Ifoku | |
Fonctions | |
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Gouverneur de la Tshuapa | |
– (1 an) |
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Prédécesseur | Cyprien Lomboto |
Successeur | Pancrace Boongo |
Vice-Gouverneur de la Tshuapa | |
– (7 mois) |
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Commissaire spéciale adjointe de la Tshuapa | |
– (5 mois) |
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Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Kinshasa |
Nationalité | Congolaise |
Parti politique | Alliance des Élites pour un Nouveau Congo - AENC |
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Marie-Josée Ifoku, née le à Kinshasa, est une femme politique congolaise, candidate aux élections présidentielles du 23 décembre 2018 et de en république démocratique du Congo[1],[2],[3],[4],[5].
Biographie
[modifier | modifier le code]Famille
[modifier | modifier le code]Mariée à Jacky Kazadi Nduba, Marie-Josée Ifoku est mère d'une famille recomposée de 8 enfants et grand-mère de trois petits-enfants.
Quatrième d’une fratrie de 9 enfants de Thomas Ifoku Ntange Betoko, diplomate en Algérie, et de la défunte Marie-Josée Betuwa Oseka. Elle est originaire, de par sa filiation de la province de la Tshuapa, du territoire de Boende, secteur Djera.
Education et formation
[modifier | modifier le code]Marie-Josée Ifoku passe une partie de son enfance entre la Hollande et la Belgique avant de terminer ses études secondaires au lycée Kabambare de Kinshasa. Ensuite, elle poursuit en France des études universitaires en PAE (Pouvoir Administration et Échange) à l'Paris 8. Plus tard, à l’Université du Québec à Hull, elle continue des études en administration. Au Canada, elle travaille comme agent immobilière et ensuite chez un concessionnaire automobile Ford.
Marie-Josée Ifoku revient s’installer en république démocratique du Congo en 2004 où elle travaille pour les sociétés Tractafric et ATC en tant que directrice commerciale, et Congo Motors au poste de directrice générale.
Carrière politique
[modifier | modifier le code]En 2015, Marie-Josée Ifoku fait son entrée en politique au poste de Commissaire spéciale adjointe de la Tshuapa (province issue du démembrement de la grande province de l’Équateur) avant d’y exercer les fonctions de vice-gouverneure et par la suite celle de gouverneure jusqu'aux élections[6].
Elle se consacre à la direction de son parti politique centriste appelé AENC (Alliance des Elites pour un Nouveau Congo)[7].
Marie-Josée Ifoku est candidate à l'élection présidentielle prévue de 2023[8], où elle obtient 0,08% des suffrages.
Références
[modifier | modifier le code]- (en) CENI-RDC, « CENI-RDC - Liste définitive des candidats président. Elections du 23 décembre 2018 », sur www.ceni.cd (consulté le )
- « [Tribune] Présidentielle en RDC : pourquoi les rejets de candidatures par la Ceni sont juridiquement infondés », JeuneAfrique.com, (lire en ligne, consulté le )
- « Marie-José Ifoku : « La CENI a voulu quasiment m’humilier » », Radio Okapi, (lire en ligne, consulté le )
- « CENI : 21 candidats confirmés pour la course présidentielle dont une femme, Marie-José Ifoku, JP Bemba, Adolphe Muzito, Antoine Gizenga non partants », sur www.digitalcongo.net (consulté le )
- « En RDC, les recalés de la présidentielle vont saisir la Cour constitutionnelle », sur Le Monde.fr (consulté le )
- « Les notables de la Tshuapa honorent Lomboto et Ifoku », Le Plus grand site d'infos en RDCongo, (lire en ligne, consulté le )
- (en) CENI-RDC, « ::CENIRDC - Partis et Regroupements Politiques:: », sur www.ceni.cd (consulté le )
- Pascal Mulegwa, « Présidentielle en RDC: la Cour constitutionnelle débute l'examen des contentieux sur certaines candidatures », Radio France internationale,