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Myriam Warner-Vieyra

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Myriam Warner-Vieyra
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Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 78 ans)
ToursVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Nom de naissance
Annoncia Josèphe Marguerite WarnerVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Conjoint
Enfant
Célia Vieyra (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

Myriam Warner-Vieyra, nom de naissance Marguerite, Annoncia, Joseph Warner, née le à Pointe-à-Pitre en Guadeloupe, et morte le à Tours en France[1], est une bibliothécaire et romancière.

La mère de Myriam Warner Mami Chacha est guadeloupéenne et son père Randolph Menat Warner antiguais. Sa grand mère maternelle est Louise Hamlet et son grand père maternel est Philogène Christine. Elle fréquente l'école primaire à La Guadeloupe, puis le secondaire en France. Elle épouse le cinéaste Paulin Soumanou Vieyra en et s'installe au Sénégal où elle obtient un diplôme de bibliothécaire à l'université de Dakar[2].

Myriam Warner Vieyra a été très active au Sénégal. Membre fondatrice du club Zonta à Dakar, elle en est devenu la présidente et plus tard gouverneur de district. Ce club a pour but de venir en aide aux femmes et aux enfants des zones rurales. Elle est membre de l'association des écrivains du Sénégal. Pendant plusieurs années, elle sera la représentante de l'African-American Institute (AAI) à Dakar et permettra à travers l'attribution de bourses d'études à plusieurs étudiants africains de poursuivre leurs études de Master, MBA et Doctorat aux États-Unis.

Traductions en anglais

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  • Juletane, traduction par Betty Wilson, Oxford, Heinemann, 1987
  • As The Sorcerer Said, traduction par Dorothy S. Blair de Le Quimboiseur l'avait dit, Harlow, Longman, 1982

Bibliographie

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Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Document utilisé pour la rédaction de l’article Beverley Ormerod et Jean-Marie Volet, Romancières africaines d'expression française : le Sud du Sahara, l'Harmattan, 1994 (ISBN 2-7384-2205-5)
  • James Gaasch, « Entretien avec Myriam Warner Vieyra », La Nouvelle sénégalaise. Texte et Contexte, Saint-Louis du Sénégal, Éditions Xamal, 2000, p. 214-216 (ISBN 2 84402-021-6)
  • (en) Theodora Akachi Ezeigbo, « Women's Empowerment and National Integration: Ba's So Long a Letter and Warner-Vierya's Juletane », Current Trends in Literature and Language Studies in West Africa, Ernest N. Emenyonu et Charles E. Nnolim (éd.), Ibadan, Kraft Books Limited, 1994, p. 7-19
  • (en) Mildred Mortimer, « An Interview with Myriam Warner-Vieyra », Callaloo: A Journal of African-American and African Arts and Letters (en), vol. 16, no 1, 1993, p. 108-15
  • (en) Mildred Mortimer, « The Female Quester in Myriam Warner-Vieyra's Le Quimboiseur l'avait dit and Juletane », College Literature, vol. 22, no 1, 1995, p. 37-51.
  • (en) Françoise Lionnet, « Geographies of Pain: Captive Bodies and Violent Acts in the Fictions of Myriam Warner-Vieyra, Gayl Jones, and Bessie Head », Callaloo, vol. 16, no 1, hiver 1993), p.  132-152

Références

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  1. Décès de Annoncia Myriam Warner-Vieyra, la veuve de Poulin Soumano Vieyra. Senenews, 4 janvier 2018.
  2. Beverley Ormerod, Jean-Marie Volet, Romancières africaines d'expression française, p. 148

Liens externes

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