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Utilisateur:Cantons-de-l'Est/Contributions

Électron, article de qualité
Périclès, article de qualité
Histoire de la relativité restreinte, article de qualité
Synagogue de Doura Europos, article de qualité
Meurtres rituels de Toa Payoh, article de qualité
Affaire Elizabeth Canning, article de qualité
Histoire du procédé Haber-Bosch, article de qualité (en avril 2011)
Wikiconcours septembre 2010, meilleur article
Wikiconcours septembre 2010, meilleure équipe
Wikiconcours septembre 2014, troisième meilleure équipe
Médaille d'or du PDSA, bon article
Endal, bon article
Magawa (cricétome), bon article
Fond diffus cosmologique, bon article
Morue sacrée du Massachusetts, bon article
Voie lactée, bon article
Graffiti de Goulston Street, bon article
Jack l'Éventreur, bon article
Meurtres de Whitechapel, bon article
Jack l'Éventreur dans la culture, bon article
Suspects de l'affaire « Jack l'Éventreur », bon article
Audition de sécurité de J. Robert Oppenheimer, bon article
Robert Oppenheimer, bon article
Affaire Joanna Yeates, bon article
Meurtres de la lande, bon article
Affaire Ian Tomlinson, bon article
Projet Manhattan, bon article
Mine de sel de Khewra, bon article
Liste d'applications des propriétés de l'électron, bon article
Blockhaus d'Éperlecques, bon article
Coupole d'Helfaut, bon article
Opération Sandstone, bon article
Critiques de la théorie de la relativité, bon article
The Plays of William Shakespeare, bon article
Sorcières de Samlesbury, bon article
Daniel Dunglas Home, bon article
Histoire du procédé Haber-Bosch (en mars 2010), bon article
(Wikisource) transcription de Histoire de la décadence et de la chute de l'empire romain, tome 1 (du français ancien, du latin, du grec ancien et de l'italien ; des centaines de notes et des centaines de liens)
(Wikisource) transcription de Histoire de la décadence et de la chute de l'empire romain, tome 2 (du français ancien, du latin, du grec ancien et de l'italien ; des centaines de notes et des centaines de liens)
(Wikisource) transcription de Histoire de la décadence et de la chute de l'empire romain, tome 3 (du français ancien, du latin, du grec ancien et de l'italien ; des centaines de notes et des centaines de liens)
(Wikisource) transcription de Histoire de la décadence et de la chute de l'empire romain, tome 4 (du français ancien, du latin, du grec ancien et de l'italien ; des centaines de notes et des centaines de liens)
(Wikisource) transcription de Histoire de la décadence et de la chute de l'empire romain, tome 5 (du français ancien, du latin, du grec ancien et de l'italien ; des centaines de notes et des centaines de liens)
(Wikisource) transcription de Histoire de la décadence et de la chute de l'empire romain, tome 6 (du français ancien, du latin, du grec ancien et de l'italien ; des centaines de notes et des centaines de liens)
(Wikisource) transcription de Histoire de la décadence et de la chute de l'empire romain, tome 7 (du français ancien, du latin, du grec ancien et de l'italien ; des centaines de notes et des centaines de liens)
(Wikisource) transcription de Histoire de la décadence et de la chute de l'empire romain, tome 8 (du français ancien, du latin, du grec ancien et de l'italien ; des centaines de notes et des centaines de liens)
(Wikisource) transcription de Histoire de la décadence et de la chute de l'empire romain, tome 9 (du français ancien, du latin, du grec ancien et de l'italien ; des centaines de notes et des centaines de liens)
(Wikisource) transcription de Histoire de la décadence et de la chute de l'empire romain, tome 10 (du français ancien, du latin, du grec ancien et de l'italien ; des centaines de notes et des centaines de liens)
(Wikisource) transcription de Histoire de la décadence et de la chute de l'empire romain, tome 11 (du français ancien, du latin, du grec ancien et de l'italien ; des centaines de notes et des centaines de liens)
(Wikisource) transcription de Histoire de la décadence et de la chute de l'empire romain, tome 12 (du français ancien, du latin, du grec ancien et de l'italien ; des centaines de notes et des centaines de liens)
(Wikisource) transcription de Histoire de la décadence et de la chute de l'empire romain, tome 13 (du français ancien, du latin, du grec ancien et de l'italien ; des centaines de notes et des centaines de liens)
(Wikisource) validation du Précis du système hiéroglyphique des anciens Égyptiens (du français ancien, de l'hébreu, du grec ancien et du copte)
(Wikisource) transcription du Précis du système hiéroglyphique des anciens Égyptiens, planches (du graphisme, du français ancien, du grec ancien et du copte)
(Wikisource) transcription du Panthéon égyptien (du graphisme, du français ancien, du grec ancien et du copte)
(Wikisource) création extensive de La Guerre des Mondes (1906) (beaucoup d'images de l'illustrateur Henrique Alvim Corrêa à extraire de Gallica)
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

FaV

J'ai contribué à des dizaines de milliers d'articles, la plupart du temps en effectuant des modifications mineures. De ce nombre, j'ai participé de façon significative à une trentaine articles qui ont été labellisés BA ou AdQ. De courts extraits suivent.

J'ai été aussi à l'œuvre dans la Wikisource en français, où j'ai transcrit, de 2014 à 2019, les treize tomes d’Histoire de la décadence et de la chute de l’Empire romain qui compte plus de 6 200 pages remplies de noms de lieux et de personnages, que j'ai wikifiés vers des articles de la Wikipédia en français.

Meurtres rituels de Toa Payoh

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J'ai traduit cet article de l'anglais. Trop vite écrit, le travail de Mafiou44 (d · c) a « sauvé » l'article.

La photographie montre un grand bâtiment dans un style néoclassique surmonté d'un dôme. Bordé par la route, il est entouré de palmiers.
Le procès pour meurtres eut lieu dans la Courtroom No. 4 de l'ancien immeuble de la Cour suprême de Singapour.
« Les meurtres rituels de Toa Payoh sont une affaire criminelle survenue à Singapour en 1981. Le 25 janvier, le corps d'une fillette de neuf ans fut découvert près de l'ascenseur d'un immeuble d'habitations dans le district de Toa Payoh et, deux semaines plus tard, un garçon de dix ans fut retrouvé mort à proximité de cet endroit. Les deux enfants avaient été tués lors d'un rituel en l'honneur de la déesse hindoue Kâlî, dont le rôle traditionnel consiste à protéger les fidèles contre les démons et les calamités. Or, en temps normal, l'adoration de cette déesse ne s'accompagne pas de sacrifices. Les meurtres avaient été planifiés par Adrian Lim, un « médium » auto-proclamé qui avait convaincu plusieurs femmes qu'il détenait des pouvoirs surnaturels. »
— Contributeurs, Meurtres rituels de Toa Payoh, 13 novembre 2010

Affaire Elizabeth Canning

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Traduction commencée par Lebrouillard (d · c) dans le cadre du Wikiconcours 2010 en tant que membre de l'équipe 7 (quelle équipe !), j'ai repris là où il avait laissé (puisque j'ai aussi fait partie de la même équipe Émoticône sourire).

Portrait monochrome d'Elizabeth Canning en robe vers 1820


« Elizabeth Canning, née le 17 septembre 1734 et décédée en juin 1773, est une servante anglaise qui aurait été kidnappée et retenue contre son gré dans un grenier à foin, avant de s'en échapper après environ un mois de captivité. Ses agresseurs présumés ont été jugés et reconnus coupables, mais ont ensuite été libérés à la lumière d'éléments nouveaux. Elizabeth Canning, qui a finalement été reconnue coupable de parjure et condamnée à la déportation pénale, est au centre d'une affaire judiciaire qui compte parmi les plus célèbres débats criminels du XVIIIe siècle en Angleterre. »
— Contributeurs, Affaire Elizabeth Canning, 3 janvier 2010

Histoire du procédé Haber-Bosch

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Approfondissement d'un sujet que j'ai auparavant mené au label bon article.

L'un des appareils de laboratoire qu'utilisa Fritz Haber pour synthétiser de l'ammoniac sous haute pression.


« L’histoire du procédé Haber-Bosch débute avec l'invention du procédé de chimie homonyme à l'aube du XXe siècle. Le procédé Haber-Bosch permet de fixer, de façon économique, le diazote atmosphérique sous forme d'ammoniac, lequel permet à son tour la synthèse industrielle de différents explosifs et engrais azotés. À ce double titre, du point de vue démographique, c'est probablement le plus important procédé industriel jamais mis au point durant le XXe siècle. »
— Contributeurs, Histoire du procédé Haber-Bosch, 14 avril 2011

Synagogue de Doura Europos

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Surtout un travail de réorganisation et de clarification. Le rédacteur principal, Marsyas (d · c), a fait un travail tout à fait remarquable avant que je ne m'attaque à l'article.

Une des fresques de la synagogue de Doura Europos : Moïse bébé est recueilli d'un panier flottant sur un cours d'eau par la fille d'un pharaon, elle-même entourée de suivantes.



« La synagogue de Doura Europos est un édifice de culte juif situé dans la ville hellénistique et romaine de Doura Europos dans la province de Syrie (à l'extrême sud-est de la Syrie d'aujourd’hui sur le moyen Euphrate, à 24 kilomètres au nord de la cité antique de Mari). C'est l'un des monuments les plus importants pour l'étude de l'art juif dans l'Antiquité. »
— Contributeurs, Synagogue de Doura Europos, 14 août 2011

Histoire de la relativité restreinte

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Une relecture approfondie d'une traduction faite par Trassiorf (d · c).

Albert Einstein en 1904 ou 1905. C'est en 1905, son annus mirabilis, qu'il publie quatre articles qui marquent la physique contemporaine :
1. Über einen die Erzeugung..., qui explique l'effet photoélectrique en ayant recours aux quanta de lumière - les photons,
2. Über die von der molekularkinetischen Theorie..., qui propose une explication physique du mouvement brownien, modèle repris en théorie cinétique des gaz,
3. Zur Elektrodynamik bewegter Körper, qui décrit la relativité restreinte, et
4. Ist die Trägheit eines Körpers..., qui décrit l'équivalence masse-énergie, le plus souvent résumée par E=mc2.



« L’histoire de la relativité restreinte décrit le développement de propositions et constatations empiriques et conceptuelles, au sein de la physique théorique, qui ont permis d’aboutir à une nouvelle compréhension de l’espace et du temps. Cette théorie, nommée « relativité restreinte », se distingue des travaux ultérieurs d’Einstein, appelés « relativité générale »

[...]

En 1905, Albert Einstein publie un article d'une trentaine de pages, Zur Elektrodynamik bewegter Körper, qui réconcilie plusieurs contradictions entre les théories de l'époque et les résultats expérimentaux. Pour y parvenir, il énonce deux postulats : le principe de relativité et la constance de la vitesse de la lumière dans tous les systèmes de référence en mouvement uniforme. Des expériences seront réalisées pour tenter d'invalider ou de confirmer les prédictions de la relativité restreinte. Sur le plan théorique, la théorie d'Einstein sera critiquée à plusieurs reprises. Mathématiquement formalisée, surtout grâce aux travaux d'Hermann Minkowski, elle s'imposera définitivement pendant le XXe siècle. »

— Contributeurs, Histoire de la relativité restreinte, 31 avril 2012

Il s'agit au départ d'une traduction de l'anglais par Like tears in rain (d · c) dans le cadre du Wikiconcours de septembre 2010. Quand j'ai repris le flambeau, je me suis surtout concentré sur la présentation des références.

Périclès durant son oraison funèbre.
« Périclès [...], né à Athènes vers 495 av. J.-C. et mort dans cette même ville en 429 av. J.-C., est un éminent et influent stratège, orateur et homme d'État athénien durant l'âge d'or de la cité, plus précisément entre les guerres médiques et la guerre du Péloponnèse. [...] Périclès fait de la Ligue de Délos un empire athénien et mène ses compatriotes au cours des deux premières années de la guerre du Péloponnèse. Il a eu une influence si profonde sur la société athénienne que Thucydide, un historien contemporain, le qualifie de « premier citoyen de sa patrie » et que son époque est parfois appelée le « siècle de Périclès ». Il s'est illustré également dans la promotion des arts, ce qui a été une des principales raisons pour lesquelles Athènes détient la réputation d'être le centre éducatif et culturel du monde grec antique. »
— Contributeurs, Périclès, 19 juillet 2012

Un article mal en point jusqu'en juin 2010. Il est alors refondu par Trassiorf (d · c) à partir de l'article labellisé en anglais. Je poursuis son travail en me concentrant en premier sur la présentation des références et la formulation puis, à ma demande, Simon Villeneuve (d · c) relit extensivement l'article, ce qui me donne l'impulsion de le réorganiser et d'en déplacer une partie dans Liste d'applications des propriétés de l'électron, article labellisé BA par la suite. Cet article me demande un effort de longue haleine, car c'est un sujet important qui a dû être travaillé en profondeur.

4 quadrants sur fond noir montrant des taches/points blancs au départ épars et de plus en plus denses ; on y devine progressivement dans ceux du bas la silhouette pointillée de fentes.
Résultats d'une expérience montrant à la fois la nature corpusculaire et ondulatoire des électrons grâce à un instrument équivalent aux fentes de Young. Au début de l'expérience (b), des petites taches montrent les endroits où des électrons ont frappé l'écran noir. Lorsque le nombre d'électrons est suffisamment élevé (d et e), les franges apparaissent. Le nombre d'électrons dans les photos est d'environ : (b) 200, (c) 6 000, (d) 40 000 et (e) 140 000.


« L’électron est une particule élémentaire qui possède une charge élémentaire de signe négatif et l'un des composants de l'atome avec les neutrons et les protons. Il est fondamental en chimie, car il participe à presque tous les types de liaisons et de réactions chimiques. En physique, l'électron intervient dans une multitude de rayonnements et d'effets. Ses propriétés, qui se manifestent à l'échelle microscopique, expliquent la conductivité électrique, la conductivité thermique, l'effet Vavilov-Tcherenkov, l'incandescence, l'induction électromagnétique, la luminescence, le magnétisme, le rayonnement électromagnétique, la réflexion optique et la supraconductivité, phénomènes macroscopiques largement exploités dans les pays industrialisés. Possédant la plus faible masse de toutes les particules chargées, il sert régulièrement à l'étude de la matière. »
— Contributeurs, Électron, 14 février 2013

Histoire du procédé Haber-Bosch

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Un travail de longue haleine largement inspiré de l'ouvrage de Thomas Hager, The Alchemy of Air ; ce bon article est devenu plus tard un AdQ.

Vue d'une partie de l'appareil de laboratoire utilisé en 1909 par Fritz Haber pour démontrer la viabilité de son procédé. Ses travaux serviront de base à la mise au point du procédé Haber-Bosch.
« Le procédé Haber-Bosch permet de fixer, de façon économique, le diazote atmosphérique sous forme d'ammoniac, lequel sert à son tour à fabriquer différents engrais azotés et différents explosifs [...]

L'ammoniac ainsi produit sert principalement à fabriquer des engrais azotés synthétiques, tels l'urée et le nitrate d'ammonium, essentiels à l'agriculture industrielle. Du point de vue démographique, c'est probablement le plus important procédé industriel jamais mis au point, car il a permis une augmentation significative de la population mondiale pendant le XXe siècle. Au début du XXIe siècle, ces engrais sont essentiels pour alimenter au moins deux milliards de personnes.

Ce procédé a également une importance militaire certaine, car l'ammoniac peut être transformé en acide nitrique, précurseur de la poudre à canon et d'explosifs puissants (comme le TNT et la nitroglycérine). Par exemple, il aurait permis à l'Allemagne de prolonger la Première Guerre mondiale d'au moins une année. »

— Contributeurs, Histoire du procédé Haber-Bosch, 23 mars 2010

The Plays of William Shakespeare

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Une traduction de l'anglais réalisée par mes soins dans le cadre du Wikiconcours 2010 en tant que membre de l'équipe 7 (quelle équipe !).

Fac-similé d'une page.
Page titre de l'édition allongée de 1773 en dix volumes des Plays of William Shakespeare.



« The Plays of William Shakespeare (Les Pièces de William Shakespeare), révisés et corrigés par Samuel Johnson et George Steevens, est une édition des tragédies de William Shakespeare parue au XVIIIe siècle. »
— Contributeurs, The Plays of William Shakespeare, 8 novembre 2010

Sorcières de Samlesbury

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Une traduction de l'anglais réalisée par mes soins dans le cadre du Wikiconcours 2010 en tant que membre de l'équipe 7 (quelle équipe !).

La peinture montre l'entrée d'un château avec deux grandes tours crénelées entourant une grande porte. Une foule de plusieurs centaines de personnes est massée devant le château.
Des prisonniers sont amenés au Lancaster Castle, lieu où les « sorcières » de Samlesbury furent jugées à l'été 1612. Peintre inconnu, 1827.


« L'expression « sorcières de Samlesbury » désigne trois femmes : Jane Southworth, Jennet Bierley et Ellen Bierley, du village de Samlesbury dans le Lancastre, accusées au début du XVIIe siècle par une fille de quatorze ans, Grace Sowerbutts, de pratiquer la sorcellerie. Le 19 août 1612, au Lancashire Assizes, débuta leur procès au milieu d'une série d'autres, en pleine chasse aux sorcières, qui s'étalèrent sur deux jours. De telles actions en justice étaient inhabituelles à l'époque en Angleterre à deux égards : le greffier de la cour publia le compte rendu du procès et le nombre d'accusés déclarés coupables et pendus fut de dix dans le Lancastre et d'un autre à York, nombre anormalement élevé. »
— Contributeurs, Sorcières de Samlesbury, 10 novembre 2010

Daniel Dunglas Home

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Une traduction de l'anglais réalisée par mes soins dans le cadre du Wikiconcours 2010 en tant que membre de l'équipe 7 (quelle équipe !).

Portrait photographique de Daniel Dunglas Home en 1915.


« Daniel Dunglas Home est un médium et voyant écossais, devenu célèbre au cours du XIXe siècle grâce à de nombreuses exhibitions de ses prétendus dons de lévitation et de médiumnité. Il était aussi prétendument capable de produire à volonté des claquements et des cognements dans les maisons. »
— Contributeurs, Daniel Dunglas Home, 14 novembre 2010

Critiques de la théorie de la relativité

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Une traduction de l'anglais faite par Sg7438 (d · c), relue extensivement par moi et revue par Dfeldmann (d · c).

Portrait photographique d'Albert Einstein en 1921.
« Les critiques de la théorie de la relativité d'Albert Einstein ont surtout été exprimées dans les premières années après sa publication. Différentes raisons expliquent ces critiques. En physique, le paradigme newtonien domine encore largement, lequel avance notamment que l'espace et le temps sont absolus. Le principe de relativité, n'étant pas largement admis au sein de la population, est donc rejeté au profit de théories alternatives, qu'elles soient scientifiques ou pseudo-scientifiques. Des philosophes s'opposent aussi au principe, car ils ne maîtrisent pas les mathématiques abstraites nécessaires à sa compréhension. En effet, certaines résultats ne peuvent pas être visualisés et elle donne naissance à des paradoxes qui ne peuvent s'expliquer par le « sens commun ». Albert Einstein, d'origine juive, publie à une époque où l'antisémitisme est exprimé avec de plus en plus de violence en Allemagne. En France, des gens rejettent sa théorie sur des bases nationalistes. En Union soviétique, elle est rejetée pour des raisons idéologiques. Néanmoins, la théorie de la relativité restreinte explique plusieurs observations que les autres théories ne peuvent expliquer. En 1919, Arthur Eddington publie des résultats qui confirment les prédictions des théories d'Albert Einstein, qui est alors salué dans les médias de masse et comparé à Nicolas Copernic, Johannes Kepler et Isaac Newton. »
— Contributeurs, Critiques de la théorie de la relativité, 16 juin 2012

Opération Sandstone

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Une traduction de l'anglais réalisée par mes soins.

Explosion de X-Ray en avril 1948, l'un des essais atomiques réalisés pendant l'opération Sandstone.


« L’opération Sandstone est le nom donné à une série d'essais nucléaires des États-Unis menée au Pacific Proving Grounds, sur l'atoll d'Eniwetok dans les îles Marshall en Micronésie, en 1948. La Commission de l'énergie atomique des États-Unis supervise les essais, alors que les forces armées des États-Unis apportent leur soutien, car cette opération vise surtout à valider de nouvelles conceptions d'explosifs nucléaires plutôt que leurs effets. Au terme des trois essais, tous réussis, les recherches américaines en armement nucléaire sont réorientées. »
— Contributeurs, Opération Sandstone, 20 octobre 2012

Blockhaus d'Éperlecques

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Une traduction de l'anglais faite par Les3corbiers (d · c) que j'ai relue et modifiée pour la mener à la labellisation.

Intérieur de la salle de préparation de 16 m de haut dans le blockhaus d'Éperlecques. Le sol a été surélevé dans les dernières années pour éviter les inondations et une voie ferrée y était initialement installée.
« Le blockhaus d'Éperlecques [...] est un bunker de la Seconde Guerre mondiale situé dans la forêt d'Éperlecques [...] dans le département français du Pas-de-Calais [...] il fut construit par l'Allemagne nazie de 1943 à 1944 pour servir de base de lancement aux missiles V2 visant Londres et le Sud de l'Angleterre.

Construit pour accueillir plus de 100 missiles à la fois et en lancer 36 par jour, le blockhaus aurait abrité une usine d'oxygène liquide et une gare protégée des bombes permettant d'approvisionner le site en fusées et en ravitaillement depuis les usines de production en Allemagne. Il fut construit par des travailleurs forcés issus des camps de concentration ou de travail ainsi que par des Français enrôlés de force. »

— Contributeurs, Blockhaus d'Éperlecques, 21 janvier 2013

Coupole d'Helfaut

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Une traduction de l'anglais faite par Les3corbiers (d · c) que j'ai relue et modifiée pour la mener à la labellisation.

Une fusée V2 d'origine et son moteur exposés sous le dôme de la coupole d'Helfaut.


« La coupole d'Helfaut-Wizernes est un bunker de la Seconde Guerre mondiale situé [...] dans le département français du Pas-de-Calais [...] il fut construit par l'Allemagne nazie entre 1943 et 1944 pour servir de base de lancement pour les fusées V2 visant Londres et le Sud de l'Angleterre.

Construit dans une ancienne carrière de craie, la structure la plus importante du complexe est un immense dôme de béton d'où est issu son nom moderne. Cette coupole fut bâtie au-dessus d'un réseau de tunnels, d'entrepôts, d'installations de lancement et de casernes. Le complexe était conçu pour abriter un grand arsenal de fusées, de carburant et de munitions et devait permettre de lancer des V2 à une échelle industrielle. Il était prévu que des dizaines de missiles seraient tirés chaque jour contre le Sud de l'Angleterre. »

— Contributeurs, Coupole d'Helfaut, 21 janvier 2013

Liste d'applications des propriétés de l'électron

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C'est un article issu d'une refonte et d'un dégraissage d'Électron. Avec plus de 80 références pour à peine trois pages de texte au format A4, il avait le potentiel de devenir BA.

Une lampe à incandescence. Le passage d'un courant électrique dans le filament, la ligne presque horizontale au centre, provoque son échauffement, ce qui crée de la lumière par incandescence.



« Les applications qui découlent des propriétés des électrons sont nombreuses et diversifiées dans les pays industrialisés. Plusieurs phénomènes lumineux, tels l'émission laser, la réflexion optique et le rayonnement cyclotron, sont causés par des électrons en mouvement. Les faisceaux d'électrons servent au soudage, à la lithographie de semi-conducteurs et permettent de créer le rayonnement synchrotron. Le microscope électronique se décline en plusieurs variantes, dont ceux à transmission et à balayage. Plusieurs liaisons chimiques sont des partages d'électrons. D'autres applications découlent des propriétés des électrons. »
— Contributeurs, Liste d'applications des propriétés de l'électron, 10 février 2013

Mine de sel de Khewra

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Après avoir traduit un good article de la Wikipédia en anglais, j'ai profondément remanié cet article pour le rendre plus digeste et plus compréhensible. Les remarques des votants, tout comme leurs modifications, en ont fait un bien meilleur article.

Dépôts de sel sur les murs d'une galerie de la mine de sel de Khewra.
« La mine de sel de Khewra, située à Khewra dans le Pendjab pakistanais, est la plus importante source de sel gemme du Pakistan au début du XXIe siècle, produisant en moyenne plus de 350 000 tonnes par an.

Découverte par les troupes d'Alexandre le Grand au IVe siècle av. J.-C., son exploitation commerciale ne débute qu'avec l'Empire moghol, plusieurs siècles plus tard. À partir de 1872, pendant l'occupation britannique, plusieurs modifications sont apportées dans le but d'augmenter sa production. Elle revient au gouvernement pakistanais après la partition des Indes en 1947.

En 2012, la société Pakistan Mineral Development Corporation exploite la mine, dont les réserves exploitables prouvées sont de 82 millions de tonnes minimum. Cette mine est aussi une importante destination touristique qui attire plus de 40 000 visiteurs chaque année. »

— Contributeurs, Mine de sel de Khewra, 18 février 2013

Projet Manhattan

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C'est probablement le plus important effort de recherche jamais entrepris. Des milliards de dollars qui ont servi à fabriquer trois bombes : Trinity, Little Boy et Fat Man. Le fracas des deux dernières explosions s'entend encore de nos jours : bombe H, contrôle des armements nucléaires, pollutions radioactives, plus de 5 000 milliards de dollars US dépensés juste pour l'arsenal nucléaire américain, etc.

L'article est une vieille traduction de l'anglais faite par Les3corbiers (d · c) que Poppy (d · c) a proposé à la labellisation. Quand la procédure a été lancée, j'ai relu au complet l'article, corrigeant par-ci, par-là. Ensuite, je me suis attaché à répondre aux demandes des votants, mais certaines sont en suspens. Pline a dressé la liste des choses à faire pour le mener à l'AdQ.

Explosion au niveau du sol et début de la formation d'un nuage champignon. Les nuages et le sol sont illuminés par la couleur orange de l’explosion.
Photographie en couleur de la première explosion nucléaire lors de l'essai Trinity le 16 juillet 1945 à Alamogordo au Nouveau-Mexique.
« Le Projet Manhattan est le nom de code du projet de recherche qui produisit la première bombe atomique durant la Seconde Guerre mondiale. Il fut mené par les États-Unis avec la participation du Royaume-Uni et du Canada. De 1942 à 1946, il fut dirigé par le major-général Leslie Richard Groves du corps des ingénieurs de l'armée des États-Unis. Sa composante militaire fut appelée Manhattan District et le terme « Manhattan » remplaça graduellement le nom de code officiel, Development of Substitute Materials, pour désigner l'ensemble du projet. Au cours de son développement, le projet Manhattan absorba son équivalent britannique, Tube Alloys.

Le projet Manhattan commença modestement en 1939 mais il finit par employer plus de 130 000 personnes et coûta près de 2 milliards de dollars américains de 1945, soit environ 26 milliards de dollars de 2013. Plus de 90 % des frais furent consacrés à la construction des usines et à la production des matériaux fissiles et moins de 10 % au développement et à la fabrication des armes. Les travaux de recherche et de production se déroulèrent dans plus de 30 sites, dont certains étaient secrets, dans tous les États-Unis, au Royaume-Uni et au Canada. Deux modèles d'armes furent développés durant la guerre. Dans le premier modèle, dit de type canon, un bloc d'uranium était projeté sur un autre pour déclencher une réaction en chaîne. Les blocs étaient composés d'uranium 235, un isotope représentant uniquement 0,7 % de l'uranium naturel. Comme il était chimiquement similaire à l'isotope le plus abondant, l'uranium 238, et avait presque la même masse, leur séparation fut difficile. Trois méthodes furent employées pour enrichir l'uranium : la séparation électromagnétique, la diffusion gazeuse et la diffusion thermique. L'essentiel de ces opérations fut réalisé au laboratoire national d'Oak Ridge dans le Tennessee.

En parallèle des travaux sur l'uranium, des recherches furent menées pour produire du plutonium. Des réacteurs furent construits au laboratoire national de Hanford dans l'État de Washington pour irradier l'uranium et le transmuter en plutonium. Ce dernier était ensuite séparé chimiquement de l'uranium. Le principe du canon employé pour le premier modèle d'arme ne pouvait pas être utilisé avec le plutonium et un modèle plus complexe fut développé dans lequel la réaction en chaîne était déclenchée par l'implosion du cœur de l'arme. Les travaux de conception et de fabrication des composants furent menés au laboratoire national de Los Alamos dans le Nouveau-Mexique. L'arme au plutonium fut testée pour la première fois lors de l'essai Trinity réalisé le 16 juillet 1945 à Alamogordo au Nouveau-Mexique. Les bombes Little Boy à l'uranium et Fat Man au plutonium furent respectivement utilisées lors des bombardements atomiques d'Hiroshima et Nagasaki.

Le projet Manhattan était étroitement contrôlé et hautement secret mais des espions soviétiques parvinrent à s'infiltrer dans le programme. Il fut également chargé de rassembler des informations sur les recherches atomiques allemandes et, dans le cadre de l'opération Alsos, des personnels du projet Manhattan servirent en Europe, parfois derrière les lignes ennemies, pour rassembler des matériels de recherche et des scientifiques allemands. Dans l'immédiate après-guerre, le projet réalisa des essais sur l'atoll de Bikini dans le cadre de l'opération Crossroads, développa de nouvelles armes, promut le réseau des laboratoires nationaux du département de l'Énergie des États-Unis, soutint la recherche médicale dans le domaine de la radiologie et posa les bases de la propulsion nucléaire navale. Il conserva le contrôle de la recherche et de la production des armes nucléaires américaines jusqu'à la formation de la Commission de l'énergie atomique des États-Unis en janvier 1947. »

— Contributeurs, Projet Manhattan, 18 juin 2013

Affaire Ian Tomlinson

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Il s'agit d'un featured article de la Wikipédia en anglais qui appartient à une trilogie que j'ai traduite dans le cadre du Wikiconcours de mars 2013. La relecture approfondie de Cgolds (d · c) m'a permis d'éliminer plusieurs irritants. « Article atypique très bien traduit et adapté. Bravo. » -- JRibax

À gauche, un homme est assis par terre. Deux hommes debout le surplombent. À droite se tiennent des hommes qui portent des casques, des vestes jaune, des boucliers et des bâtons.
À gauche, deux passants aident Ian Tomlinson à se relever. Photo extraite d'une vidéo prise le 1er avril 2009.
« L’affaire Ian Tomlinson est une affaire criminelle britannique ayant fait suite au décès de Ian Tomlinson dans la Cité de Londres, à 47 ans, le 1er avril 2009, après avoir été frappé par un policier pendant les manifestations tenues en marge du sommet du G20. Une première autopsie, pratiquée le 3 avril, conclut à un décès par cause naturelle à la suite d'un arrêt cardiaque. Le 7 avril, sa mort devint sujette à controverse lorsque le journal The Guardian diffusa une vidéo montrant que Tomlinson avait reçu, sur les jambes, un coup de bâton télescopique d'un policier ; ce dernier faisait partie du Territorial Support Group, une unité policière chargée du maintien de l'ordre pendant les manifestations. Il n'y avait aucune provocation de la part de Tomlinson — il ne faisait pas partie des manifestants et marchait mains dans les poches quand il fut frappé et poussé. Il s'éloigna après le contact avec le policier et mourut quelques minutes plus tard. Deux autres vidéos confirmèrent l'agression.

[...]

Au Royaume-Uni, la mort de Ian Tomlinson alimenta des débats sur le rôle de la police et de sa relation avec la population, qui se serait détériorée depuis les années 1990. »

— Contributeurs, Affaire Ian Tomlinson, 3 juillet 2013

Meurtres de la lande

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Il s'agit d'un featured article de la Wikipédia en anglais qui appartient à une trilogie que j'ai traduite dans le cadre du Wikiconcours de mars 2013. Dans un premier temps, j'ai visé le label AdQ, mais c'était probablement trop hâtif et ce thème attire peu de votants (meurtres, procès, emprisonnement).

Des collines recouvertes de pierres et d'herbes apparaissent sur la photo. En arrière-plan, un ciel nuageux est présent. Une route sépare les collines et une rivière coule au fond.
Saddleworth Moor, vues depuis Hollin Brown Knoll. Les corps de trois victimes ont été découverts dans cette région.


« Les meurtres de la lande désignent une affaire criminelle britannique des années 1960. De juillet 1963 à octobre 1965, Ian Brady et Myra Hindley assassinent cinq enfants âgés de 10 à 17 ans. En octobre 1965, la police découvre un corps dans la maison du couple, mais n'arrête que Brady. Quelques jours plus tard, la police arrête Hindley pour complicité. Le même mois, deux enfants sont trouvés dans des tombes creusées dans Saddleworth Moor, une lande au nord de l'Angleterre. En mai 1966, Brady est condamné à l'emprisonnement à perpétuité pour trois meurtres ; Hindley est condamnée à la même peine, mais pour deux meurtres. »
— Contributeurs, Meurtres de la lande, 27 août 2013

Affaire Joanna Yeates

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Il s'agit d'un featured article de la Wikipédia en anglais qui appartient à une trilogie que j'ai traduite dans le cadre du Wikiconcours de mars 2013. L'intérêt de cet article est qu'il porte sur le meurtre d'une jolie jeune femme blanche aux cheveux blonds. Le meurtre est banal, mais la couverture médiatique ne l'est pas. Dans la Wikipédia en français, il prête à polémique, car il ne serait pas encyclopédique : [1], [2] et [3]. Wikipédia se compose de grands et petits moments.

Image externe
Photo de Joanna Yeates en décembre 2010 sur le site de la Wikipédia en anglais
« L’affaire Joanna Yeates est une affaire criminelle britannique qui commence le 17 décembre 2010 à Bristol en Angleterre, lorsque cette architecte-paysagiste disparaît après une soirée passée avec des collègues. À la suite d'un appel à l'aide médiatisé et d'une intense campagne de recherche policière, le corps de Joanna Yeates est retrouvé le 25 décembre 2010 à Failand, un village dans le Somerset du Nord. Une autopsie détermine que la femme a été étranglée.

[...]

Au début de l'année 2011, Christopher Jefferies accuse huit journaux de diffamation pour la façon dont ils ont rapporté son arrestation, ce qui lui permettra de recevoir des dommages-intérêts substantiels. D'autre part, les journaux The Daily Mirror et The Sun ont été condamnés pour outrage au tribunal car ils ont rapporté des informations qui auraient pu porter préjudice au déroulement du procès de Vincent Tabak. »

— Contributeurs, Affaire Joanna Yeates, 15 décembre 2013

Robert Oppenheimer

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Un article qui a coûté six mois de ma wikivie, mais qui en vaut la peine : environ 11 000 consultations au mois d'avril 2019. Un immense physicien qui, comme tout être humain, a des qualités et des défauts. Pour certains, c'est un humaniste, pour d'autres, un s'en va-t-en-guerre. Lisez l'article pour découvrir où se trouve la vérité. Si vous souhaitez plus de détails sur mon cheminement, lisez cela.

Portrait photographique en noir et blanc. Visage et épaules d'un homme portant un complet.
Robert Oppenheimer vers 1944, alors directeur scientifique du projet Manhattan.
« Robert Oppenheimer ( à New York à Princeton, New Jersey, États-Unis) est un physicien américain qui s'est distingué en physique théorique puis comme directeur scientifique du Projet Manhattan. À cause de son rôle éminent, il est régulièrement surnommé le « père de la bombe atomique ».

Élevé dans une famille fortunée, intellectuelle et libérale, il maîtrise l'allemand, l'anglais et le français au point qu'il peut lire les ouvrages des plus grands chimistes, mathématiciens et physiciens de l'époque dans leur langue maternelle. Profitant des enseignements des meilleurs physiciens européens, il publie des articles importants en mécanique quantique, en physique des particules et en physique nucléaire. Il est également reconnu par la communauté scientifique pour la publication d'une thèse concernant la naissance des trous noirs dans l'Univers. Pendant les années 1930, ses travaux théoriques et son prestige font de l'université de Californie à Berkeley l'un des plus importants centres de recherche en physique.

En février 1943, malgré l'opposition des services de sécurité de l'armée américaine due au passé gauchiste d'Oppenheimer, le général Leslie Richard Groves le nomme directeur scientifique du Projet Manhattan. Sous sa direction efficace, le Laboratoire national de Los Alamos met au point les trois premières bombes atomiques de l'Histoire. Même s'il juge que les États-Unis auraient dû transmettre plus d'avertissements au Japon avant de bombarder Hiroshima et Nagasaki, il reste partisan de l'usage des bombes atomiques. Après la Seconde Guerre mondiale, il est nommé président du General Advisory Committee qui conseille la Commission de l'énergie atomique des États-Unis.

En 1953, pendant le maccarthysme, Oppenheimer voit son habilitation de sécurité révoquée en raison de son opposition au développement des armes thermonucléaires. En 1963, il est réhabilité politiquement lorsque le gouvernement des États-Unis lui décerne le prix Enrico-Fermi. Il termine sa carrière à l’Institute for Advanced Study qui devient, sous sa direction, un centre de recherche fondamentale de premier plan. »

— Contributeurs, Robert Oppenheimer, 2 février 2014

Audition de sécurité de J. Robert Oppenheimer

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Article complémentaire à Robert Oppenheimer, c'est une traduction de l'anglais américain qui m'a donné du fil à retordre, que Tonval (d · c) a redressé.

Photo en noir et blanc. Visage d'un homme portant un veston.
Le physicien Robert Oppenheimer vers 1944-1945.


« L’audition de sécurité de J. Robert Oppenheimer se déroule en avril 1954 à la suite d'allégations selon lesquelles le physicien Robert Oppenheimer, conseiller scientifique de la Commission de l'énergie atomique des États-Unis (AEC) et ancien directeur scientifique du Projet Manhattan, est « un espion au service de l'Union soviétique ». En mai 1954, le comité d'audition conclut qu'Oppenheimer n'est plus apte à servir les États-Unis, décision confirmée par l'AEC le 29 juin de la même année.

[...]

Cette audition donne naissance à de nombreuses controverses sur le traitement qu'il a subi, qui serait le reflet de l'ambiance anticommuniste de l'époque aux États-Unis qui est en plein maccarthysme. »

— Contributeurs, Audition de sécurité de J. Robert Oppenheimer, 26 février 2014

Suspects de l'affaire « Jack l'Éventreur »

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Article traduit dans le cadre du Wikiconcours de septembre 2014. Sa publication a permis d'alléger le contenu de Jack l'Éventreur, qui était dans un état terrible.

Dessin montrant un homme tenant un couteau ensanglanté et observant les portraits de personnes.
Caricature de Tom Merry évoquant Jack l'Éventreur sur la page couverture de l'édition du 21 septembre 1889 du magazine Puck.


« Au moins cent suspects dans l'affaire « Jack l'Éventreur » ont été proposés, mais aucun n'a été retenu par un nombre significatif d'experts, malgré des débats approfondis ou encore parce que les propositions ont été jugées superficielles ou farfelues. »
— Contributeurs, Suspects de l'affaire « Jack l'Éventreur », 4 mai 2015

Jack l'Éventreur dans la culture

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Article traduit dans le cadre du Wikiconcours de septembre 2014. Sa publication a permis d'alléger le contenu de Jack l'Éventreur, qui était dans un état terrible.

Dessin sépia. Dans un bureau, un homme à gauche observe avec horreur un autre homme et une créature issue de ce dernier.
Parue dans les années 1880, cette affiche publicitaire annonce la version en anglais du roman L'Étrange Cas du docteur Jekyll et de M. Hyde, qui a inspiré des œuvres où apparaît Jack l'Éventreur.


« Le tueur en série Jack l'Éventreur, qui terrorise le district londonien de Whitechapel en 1888, a inspiré une multitude d'œuvres de fiction. Il est en effet mentionné dans des romans, des nouvelles, des bandes dessinées, des jeux vidéo, des chansons, des pièces de théâtre, des opéras, des séries télévisées, des films et des jeux de société. Les descriptions les mieux connues se trouvent dans le roman The Lodger (1913) de Marie Belloc Lowndes, repris et adapté au théâtre et au cinéma, et dans l'ouvrage Jack the Ripper : The Final Solution (1976) de Stephen Knight. Celui-ci décrit une hypothétique conspiration impliquant des membres de la franc-maçonnerie, la royauté britannique et la profession médicale. Cette thèse sera reprise dans plusieurs œuvres dramatiques. »
— Contributeurs, Jack l'Éventreur dans la culture, 4 mai 2015

Meurtres de Whitechapel

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Article traduit dans le cadre du Wikiconcours de septembre 2014. Ces meurtres se déroulent à l'époque où Jack l'Éventreur frappe, en 1888. Ils reçoivent une vaste couverture médiatique à l'époque, ce qui explique pourquoi il y a tant de matériau disponible aujourd'hui.

Nemesis of Neglect (« Némésis de la négligence ») : le fantôme de Jack l'Éventreur rôdant dans Whitechapel symbolise la négligence sociale. Caricature parue dans le magazine Punch en 1888.


« Les meurtres de Whitechapel, au nombre de onze, furent commis sur des femmes du district londonien élargi de Whitechapel, entre le 3 avril 1888 et le 13 février 1891. Ces assassinats ont été attribués, sans être identifiés avec certitude, ici à Jack l'Éventreur, là au « tueur aux torses ». Aux fins d'enquêtes, le Metropolitan Police Service monta alors un dossier nommé « Whitechapel murders » (« Meurtres de Whitechapel »).

Le Metropolitan Police Service, la City of London Police et le Whitechapel Vigilance Committee, une organisation citoyenne, tentèrent de trouver le ou les tueurs. Malgré leurs efforts et plusieurs arrestations, aucun coupable ne fut jamais identifié ni capturé. La couverture médiatique des meurtres attira l'attention du public britannique sur l'extrême pauvreté de l'East End londonien, dont les conditions furent améliorées en l'espace de vingt ans. Le mystère entourant l'identité des coupables ainsi que la brutalité des meurtres continuent de fasciner le public. »

— Contributeurs, Meurtres de Whitechapel, 14 juin 2015

Jack l'Éventreur

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Article traduit dans le cadre du Wikiconcours de septembre 2014. Qui ne connaît pas Jack l'Éventreur ? Devant un sujet aussi sensible, j'ai préféré rédiger le texte au passé de narration puis attendre longtemps pour laisser la communauté s'exprimer sur ma proposition.

Jack the Ripper attacks a woman (« Jack l'Éventreur agresse une femme »). Illustration parue dans le journal Police Gazette en 1888.
« Jack l'Éventreur (en anglais, Jack the Ripper) est le surnom donné à un tueur en série ayant sévi dans le district londonien de Whitechapel en 1888. L'affaire à laquelle le personnage est lié, depuis l'époque de son déroulement jusqu'à aujourd'hui, a donné lieu à maintes hypothèses et inspiré bon nombre d'œuvres en tous genres, lui conférant un statut de mythe moderne.

Le nom du tueur, dont l'identité est toujours inconnue, apparut pour la première fois dans la lettre « Dear Boss », reçue en septembre 1888 par une agence de presse. Elle fut largement mentionnée dans les journaux de l'époque parce que son auteur s'y accusait des meurtres et signait « Jack the Ripper ». La police et les journaux reçurent de nombreuses lettres liées à l'affaire. La couverture médiatique de l'affaire finit par être internationale, lui assurant une notoriété durable.

En septembre et octobre 1888, des rumeurs plus persistantes laissèrent croire que plusieurs assassinats étaient reliés ; cependant, seuls cinq sont imputables à Jack l'Éventreur : ceux de Mary Ann Nichols, Annie Chapman, Elizabeth Stride, Catherine Eddowes et Mary Jane Kelly. Parce que ces meurtres présentent plusieurs similitudes, ils sont qualifiés de « canoniques ». Le tueur aurait surtout agressé des prostituées vivant dans les bas-fonds de Londres. Elles eurent la gorge tranchée avant de subir des mutilations abdominales. L'extirpation d'organes internes d'au moins trois victimes a conduit à l'hypothèse que le meurtrier maîtrisait des notions d'anatomie ou de chirurgie. Cette hypothèse sembla confirmée lorsqu'un membre du Whitechapel Vigilance Committee (Comité des vigiles de Whitechapel) reçut, en octobre 1888, la lettre « From Hell » accompagné de la moitié d'un rein ayant peut-être appartenu à l'une des victimes.

Les légendes entourant l'affaire s'inspirent d'études historiques approfondies, du folklore et de la pseudohistoire. Le terme ripperology — ce qui pourrait se traduire par « éventrologie » — fut créé pour désigner l'ensemble des études concernant Jack l'Éventreur et ses victimes. »

— Contributeurs, Jack l'Éventreur, 25 mars 2016

Graffiti de Goulston Street

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Article traduit dans le cadre du Wikiconcours de septembre 2014, il est lié à l'affaire « Jack l'Éventreur ».

Écriture en lettres manuscrites.
Reproduction du graffiti observé par le policier Alfred Long : « The Juwes are the men That Will not be Blamed for nothing ».
« Le graffiti de Goulston Street est un élément d'enquête de l'affaire des meurtres de Whitechapel survenus à Londres. Découverte en 1888, l'inscription se trouvait sur un mur près d'un fragment de tissu ayant appartenu à l'une des victimes présumées de Jack l'Éventreur. Le graffiti, interprété comme une accusation contre les juifs, aurait pu provoquer une émeute dans le quartier. Le chef du Metropolitan Police Service, Charles Warren, préféra qu'il soit effacé au plus tôt même s'il pouvait s'agir d'un indice concernant le meurtre. Depuis, aucun consensus ne s'est dégagé ni sur le lien présumé du graffiti avec le meurtre ni sur l'interprétation de son contenu, et il continue à alimenter les controverses. »
— Contributeurs, Graffiti de Goulston Street, 11 avril 2016

Voie lactée

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Article traduit pour soutenir le travail pédagogique de Simon Villeneuve, un collègue plein de fougue et de détermination.

L'Origine de la Voie lactée de Rubens, une métaphore utile pour comprendre notre insaisissable Galaxie.
« La Voie lactée est une galaxie spirale barrée dont le diamètre est le plus souvent estimé entre 100 000 et 120 000 années-lumière. Elle comprend de 200 à 400 milliards d'étoiles et au minimum 100 milliards de planètes. Elle et son cortège de galaxies satellites font partie du Groupe local, lui-même rattaché au superamas de la Vierge. Le Système solaire se situe à environ 27 000 années‌-lumière du centre de la Voie lactée. Ce centre est constitué d'une radiosource complexe, Sagittaire A, dont une des composantes, Sagittaire A*, est probablement un trou noir supermassif. »
— Contributeurs, Voie lactée, 9 septembre 2017

Morue sacrée du Massachusetts

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Je suis arrivé très tard dans ce dossier, sept ans après sa création. L'article était dans un état acceptable pour le label BA, mais plusieurs trucs manquaient pour assurer la labellisation. Je l'ai relu, puis proposé au label. Ensuite, j'ai répondu aux demandes, dont une qui exigeait d'allonger l'article avec des informations tirées de la Wikipédia en anglais. Ce que j'ai fait. Ensuite, comme d'habitude dans une procédure BA, je me suis occupé de plusieurs détails.

Ce poisson vole au-dessus de la Chambre des représentants de l'État du Massachusetts.
« La Morue sacrée du Massachusetts est une sculpture sur bois représentant une morue, qui est suspendue dans la salle où se tiennent les séances de la Chambre des représentants du Massachusetts, dans la Massachusetts State House, à Boston. [...] La sculpture, qui symbolise l'importance historique de la pêche pour l'économie de l'État du Massachusetts, mesure environ un mètre et demi et est taillée dans une seule pièce de bois de pin. Il y a eu trois Morues sacrées successives, celle actuellement en place a été sculptée en 1784 et offerte à la Chambre une année plus tard par John Rowe, un marchand de Boston. Symbole du caractère sacré de celle-ci, l'exemplaire actuel a été subtilisé pendant deux jours en 1933 par des étudiants d'Harvard, provoquant alors une panique locale et des recherches policières approfondies avant d'être rendu. »
— Contributeurs, Morue sacrée du Massachusetts, 21 mars 2018

Fond diffus cosmologique

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Sujet central en cosmologie, qui exige une grande technicité en physique optique, en physique gravitationnelle, en thermodynamique et en astrophysique. Les principaux concepts sont qualitativement faciles à expliquer et à comprendre, mais les savoirs scientifiques qui justifient cette approche conceptuelle qualitative, eux, ne le sont pas. Et les recherches se poursuivent, parce qu'il s'agit de la première image électromagnétique de l'Univers, quand il était fœtus en quelque sorte.

Carte complète du CMB, selon une projection de Mollweide. Elle montre les fluctuations ou anisotropies de températures de l'Univers primordial.
« Le fond diffus cosmologique (en anglais : Cosmic Microwave Background, CMB) est le nom donné à un rayonnement électromagnétique très homogène observé dans toutes les directions du ciel et dont le pic d'émission est situé dans le domaine des micro-ondes (microwaves). Découvert par hasard en 1964, le CMB permet à la communauté scientifique de départager les différents modèles cosmologiques, notamment en abandonnant les modèles fondés sur le principe cosmologique parfait et en priorisant les modèles basés sur l'idée de Big Bang, qui prédisent l'émission d'un tel rayonnement thermique à l'époque de l'Univers primordial.

Selon le modèle standard de la cosmologie, ce rayonnement fossile a été émis environ 380 000 ans après le Big Bang, lorsque l'Univers était à la fois beaucoup plus petit, dense et chaud. Il a ensuite été dilué et refroidi par l'expansion de l'Univers et possède désormais une température moyenne très basse, de l'ordre de 3 kelvins (K). Le CMB est un phénomène physique très étudié pour deux raisons : il correspond à la plus vieille image électromagnétique qu'il est possible d'obtenir de l'Univers et il présente d'infimes variations de température et d'intensité selon la direction observée, anisotropies détaillées depuis le début des années 1990 qui permettent de recueillir quantité d'informations sur la structure, l'âge et l'évolution de l'Univers. »

— Contributeurs, Fond diffus cosmologique, 3 octobre 2018

Mythe d'une Wehrmacht aux mains propres

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Cet article est AdQ grâce aux efforts de Couthon. J'ai réalisé la traduction de l'article en anglais, ce qui aurait suffi, selon mon expérience des labels, pour obtenir la mention BA. Une fois la procédure de labellisation lancée, Couthon a dû déployer de gros efforts pour défendre sa décision de le proposer au label AdQ. Maintenant, nous pouvons jouir de son contenu :-).

« Le mythe d'une Wehrmacht aux mains propres, ou la légende de la Wehrmacht propre (en allemand : Legende von der sauberen Wehrmacht), est la thèse selon laquelle la Wehrmacht était une organisation militaire apolitique, comme la Reichswehr de la république de Weimar, à laquelle elle a succédé, et qu'elle était largement innocente des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité commis sous le Troisième Reich. Selon cette théorie, les militaires allemands se seraient comportés de façon honorable, comme leurs adversaires des armées alliées.

[...]

Cette thèse d'une « Wehrmacht aux mains propres » est remise en cause par les milieux scientifiques dès la fin des années 1970. Or, les avancées de l'historiographie au cours des années 1980, ainsi que le large succès de l'exposition consacrée aux crimes de la Wehrmacht, itinérante en Allemagne et en Autriche dans la seconde moitié des années 1990 et visitée par environ 900 000 personnes, achèvent de la discréditer auprès de l'opinion publique : ainsi, la responsabilité de la Wehrmacht dans le cadre de la guerre d'extermination menée sur le front de l'Est, pour la mise en œuvre du Kommissarbefehl, son soutien aux massacres de Juifs commis par les Einsatzgruppen et sa radicalisation sur le front de l'Ouest sont aujourd'hui établis et largement reconnus. »

— Contributeurs, Mythe d'une Wehrmacht aux mains propres, 18 mai 2019

Magawa (cricétome)

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Un rat démineur, ça existe ? Oui. Y'en a un qui s'appelle Magawa.

« Magawa est un cricétome des savanes né le à Morogoro en Tanzanie. Les cricétomes étant dotés d'un odorat très développé, il a été entraîné par l'APOPO en 2014 et en 2015 à découvrir les mines terrestres enfouies dans le sol grâce à l'odeur de TNT qu'elles dégagent. Magawa a ensuite été envoyé au Cambodge pour détecter des munitions non explosées, travail de déminage qu'il a fait pendant au moins quatre ans. Il reçoit en septembre 2020 la médaille d'or du PDSA pour son travail ayant sauvé des vies. Son activité de démineur a été soulignée à la fin septembre 2020 dans plusieurs médias à grande diffusion. »
— Contributeurs, Magawa (cricétome), 26 octobre 2020

Certains chiens sont plus intelligents que la moyenne et Endal est plus intelligent qu'eux.

« Endal est un chien d'assistance, né en décembre 1995 et mort le 13 mars 2009, qui a vécu au Royaume-Uni. Adopté par Allen Parton, ancien militaire handicapé à la suite d'un accident d'automobile, ce retriever du Labrador a plusieurs exploits à son actif que les médias britanniques ont soulignés, comme utiliser un guichet automatique, charger un lave-linge et porter secours à son maître inconscient. »
— Contributeurs, Endal, 16 novembre 2020

Médaille d'or du PDSA

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Une liste d'animaux dont la bravoure et le dévouement ont été soulignés par une importante organisation caritative britannique. À mon avis, le sujet de l'article n'est pas sérieux, mais puisque les animaux sont notables et la médaille aussi, ça cadre avec les critères du label BA de la Wikipédia en français. À titre anecdotique, l'article est labellisé le , ce que je n'avais pas planifié.

« La médaille d'or du PDSA (ou PDSA Gold Medal en anglais) est une récompense remise à un animal qui vise à souligner sa « bravoure et son dévouement face au devoir »[1]. Elle a été créée en 2001 par le People's Dispensary for Sick Animals (PDSA), une organisation caritative britannique qui la remet annuellement depuis 2002. Les chiens Bamse, Endal, Finn, George et K9 Killer, ainsi que le cricétome Magawa sont récipiendaires de ce prix qui a été remis 30 fois depuis sa création. »
— Contributeurs, Médaille d'or du PDSA, 1er janvier 2021

Transcriptions dans Wikisource

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Dans la Wikisource en français, j'ai transcris à titre de galop d'essai l'ouvrage Une nouvelle figure du monde. Les Théories d’Einstein en 2012. Deux ans plus tard, après avoir lu sur Histoire de la décadence et de la chute de l'Empire romain, je me lance dans la transcription de sa traduction en français parue en 1819. Passionnant, mais chronophage. En effet, la transcription d'une dizaine de pages prend environ 1 heure. L'ouvrage au complet compte 6 250 pages. J'ai commencé le 12 avril 2014 à un rythme moyen de 5 pages par jour. J'ai augmenté le rythme à 10 pages par jour. Plus tard, en août 2014, je diminue de beaucoup mon rythme à cause d'obligations IRL. Je termine la transcription en juillet 2019.

  • Transcription de l'Histoire de la décadence et de la chute de l'Empire romain
    • tome 1, du 12 avril 2014 au 28 mai 2014
    • tome 2, du 1er juin 2014 au 23 juillet 2014
    • tome 3, du 12 août 2014 au 15 décembre 2014
    • tome 4, du 15 décembre 2014 au 19 février 2015
    • tome 5, du 22 février 2015 au 26 juillet 2015
    • tome 6, du 26 juillet 2015 au 18 novembre 2015
    • tome 7, du 20 novembre 2015 au 23 juin 2016
    • tome 8, du 24 juin 2016 au 24 octobre 2016
    • tome 9, du 27 octobre 2016 au 22 mai 2017
    • tome 10, du 28 octobre 2017 au 19 décembre 2017
    • tome 11, du 20 décembre 2017 au 21 juin 2018
    • tome 12, du 11 août 2018 au 31 mars 2019
    • tome 13, du 18 octobre 2018 au 28 juillet 2019 (en parallèle avec le tome 12 pour des raisons de tests)

Articles créés dans la Wikipédia en français (du plus récent au plus ancien) :

  1. Gentou
  2. Johann Hermann von Riedesel
  3. Louis Jobert
  4. Edward Stillingfleet
  5. Antoine Guenée
  6. George Gregory
  7. Johann Gotthelf Stritter
  8. Johann Balthasar Lüderwald
  9. John Warburton (officier d'armes)
  10. Friedrich August Wilhelm Wenck
  11. Johann Friedrich Kleuker
  12. Ludwig Timotheus Spittler
  13. Heinrich Philipp Konrad Henke
  14. Antoine-Yves Goguet
  15. Jacques Godefroy
  16. Renatus Profuturus Frigeridus
  17. Francesco Eschinardi
  18. Louis Messance
  19. Camillo Pellegrino
  20. Lorenzo A. Castro (pour une toile de Bataille d'Actium)
  21. Sylvie d'Aquitaine
  22. Charles-Pierre Chais
  23. Everard Feith
  24. Simon Ockley
  25. Edmund Chishull
  26. John Bell (voyageur)
  27. Tobias Gottfried Hegelmaier
  28. David Dalrymple, Lord Hailes
  29. George Benson (théologien)
  30. Johann Jacob Mascov
  31. Flavius Arinthaeus
  32. Ariston de Pella
  33. Bohadin
  34. John Hudson
  35. Joseph Bingham
  36. William Beveridge (évêque)
  37. George Bull
  38. Praxéas
  39. John Marsham
  40. Pietro Giannone
  41. Louis d'Héricourt
  42. Publilius Optatianus Porfirius
  43. Jacques Goutière
  44. Guy Pancirollus (à la suite d'une longue recherche avec Google, parce qu'il porte plusieurs noms et qu'il n'y a pas d'article sur lui dans la Wikipédia en italien, mais une entrée dans la Wikisource en italien)
  45. Christodore
  46. George Sandys
  47. Denys de Byzance
  48. George Lyttelton
  49. Johann Jakob Wettstein
    Fausto Sozzini (une triste redirection vers Socinianisme)
  50. Walter Moyle
  51. Nathaniel Lardner
  52. William Cave
  53. Denys de Corinthe
  54. Gottlieb Jakob Planck
  55. Johann Lorenz von Mosheim
  56. John Jortin
  57. Jean Henri Pareau
  58. John Pearson (évêque)
  59. Michael Geddes
  60. Isaac Orobio de Castro
  61. Humphrey Prideaux
    Sidney Lee
  62. Thomas Carte
  63. Praxagoras d'Athènes
  64. Alberto Fortis
  65. Dietrich Hermann Hegewisch
  66. Acholius
  67. Walter Harte
  68. Thomas Hyde
  69. George Hooper
  70. John Horsley (archéologue)
  71. Johann Gottlieb Heineccius
  72. Johann August Ernesti
  73. Antoine Pagi
  74. Henry Maundrell
  75. Karl Gottlieb Guichard
  76. Simon Pelloutier

En juin 2021, je me lance dans la mise en page et la relecture des neuf tomes de l'ouvrage Les Mille et Une Nuits publié en 1806 qui comprend 3 800 pages.

Relectures de futurs BA/AdQ

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De 2013 à 2015, j'ai relu des articles susceptibles d'obtenir un label. En 2023, je ne suis plus disponible, faute d'intérêt. En plus des articles que j'ai menés à la labellisation, voici mon « tableau de chasse » :

Relectures
Titre Traces Label
Front yougoslave de la Seconde Guerre mondiale [4] AdQ
Guerre des mots dans le conflit israélo-palestinien [5] BA
Igo Hatsuyōron [6] AdQ
La Jeune Fille à la perle [7] BA
Le Caravage [8] AdQ
Martin Dumollard [9] BA
Plan Schlieffen [10] BA
Boeing 757 [11] BA
Échelle de Kardashev [12] AdQ
Périclès [13] AdQ
Procédé Thomas [14] AdQ
John Dewey [15] AdQ
Références
  1. AFP, « Royaume-Uni: un rat détecteur de mines récompensé pour sa bravoure », Sciences et Avenir,‎ (lire en ligne, consulté le ).