Nazi
Malgré tous nos efforts, le contenu (textes, images, sons, odeur, goût) de cet article peut heurter violemment la sensibilité de certaines personnes mal intentionnées. Il est conseillé de les écarter de l'écran manu militari, voire de leur botter les fesses pour avoir essayé de zyeuter un article chaud du slip pour eux.
Mouvement créé par un dénommé Adolf Hitler connu pour sa nervosité et pour son caractère très agressif. Un soir d'hiver, après la lecture d'un mythe de Platon, celui-ci péta les plomb et se mit a acheter des grill-pain pour nettoyer le monde des raéliens ainsi que des cyber-raëliens connue sous le nom de E-sraël.
Eddy Malou a d'ailleurs ajouté que la congolexicomatisation des lois du marché convenait tout à fait au idées du Führer.
Contrairement à ce que beaucoup pensent, les nazis ne sont pas les seules personnes que l'on peut décemment tuer sans réfléchir et sans l'ombre d'un remord. Les ogres, les trolls, et les bandits du Moyen-Âge sont aussi des cibles à considérer.
Les nazis se reconnaissent facilement par leurs goûts des costumes noirs Hugo Boss et du grand guignol, ainsi qu'à leurs accent teuton à faire peur à une vache tyrolienne (objectivement, tout cela reste à confirmer). Leur guide, Adolf Hitler est l'auteur du plus grand massacre de l'histoire de la biologie moléculaire et de la génétique. Plusieurs centaines de bonshommes en pain d'épices auraient lamentablement souffert. D'ailleurs, le personnage "Petit Biscuit" du film Shrek est un survivant de ce massacre (pour ceux qui n'auraient pas compris la référence). On relate plusieurs écrits, notamment, "Si c'est un sucre", de Primo Lebi.
Le mythe: une réalité canadienne
En complète négation avec l'histoire, un mythe nazi révisé circule depuis des années sur les réseaux pire to pire. Niant l'Holocauste, sous prétexte que les juifs préfèrent le terme de Shoah, un groupe de motoneigistes ontariens soutiennent que les nazis font parti d'un regroupement pangermanique prônant le retour aux vieilles mœurs canadiennes. Malgré les critiques françaises, plusieurs Québécois (se disant d'origine teutonne), auraient adhéré au mouvement. Pet Trudeau aurait apprécié l'idée.
Motivation première
Détrôner les délateurs anglo-saxons, juifs, arabes, chinois, mongols, Magiciens, japonais, français, américains, algériens, polonais, russes, brésiliens, chiliens, coréens, slaves, norvégiens ayant participé à la conquête des cités d'or.
Il serait clair, selon leur manifeste, que les premières civilisations sud-américaines possédaient la pierre philosophale, le Code Da Vinci, et plusieurs recettes de Maman Dion (sans oublier celles de l'hétérodoxe Maïté). Il semblerait que de tels artefacts décupleraient la puissance nazie... d'où leurs visées expansionnistes au Canada. De là, les nazis pourraient diriger à leur aise leur conquête du continent sud-américain. Montezuma n'est pas content à cette idée.
Le culte canadien
Fiers de leurs ancêtres canadiens, les Nazis souhaiteraient retrouver le folklore jadis perdu, et ce à cause de la chrétienté, de la juiverie, et du naturalisme français. Émile Zola aurait été l'un des premiers à souffrir de la violence germano-canadienne.
Selon les érudits nazis, le Canada aurait été, grâce aux technologies sud-américaines, expulsé de l'Europe au cours du 15ème siècle (le réveil de Luther), emportant avec lui quelques saxons perdus et une partie de l'Alsace (le Québec actuel). Selon Falardeau, cela expliquerait la présence de Stéphane Dion sur plusieurs chaînes de télévision simultanément. Ces croyances, cependant, relèvent de l'ésotérisme ; beaucoup de régions du Canada sont encore éloignées du christianisme et des sciences modernes, expliquant la survie de telles croyances. Supposément que les nazis souhaiteraient retourner aux mœurs païennes du Canada "en région".
Plusieurs intellectuels nazis auraient officialisé que la choucroute est, en fin de compte, une alternative au sirop d'érable et aux pettes de sœur.
Les mites nazies : une réalité européenne
En Europe, on a une longue et douloureuse pratique des nazis. On connaît leur aspect, leur biologie, leurs habitats et leurs méfaits. Et même au fond des chalets bavarois les plus reculés, au fong du Grossscheisssandsteingebirge et de la Sierra del Calut, on sait ce qu'ils sont : des mites qui participent à la grande famille des vermines tout comme les hollandais, les Biélorusses, les hippies et la plupart des cinghalais consanguins et pédophiles du Sri Lanka.
Écologie
Les mites nazies se reproduisent sur le terreau et la pourriture de la vie. Elles prolifèrent lors des crises économiques et des crises sociales existentialistes. Lors, des masses d'hommes et et de femmes (moi, toi, eux) s'altèrent, perdent peu à peu leur substance humaine, pourrissent debout, et puent de plus en plus.
Les mites nazies, peu nombreuses au début, se précipitent alors. Elles profèrent de grands discours sur les raisons de cela, et qui il faut tuer pour... Le mythe du bouc émissaire revient souvent dans ces discours. Puis elles pondent dans cette putréfaction. Quelques jours plus tard, apparaissent des milliers de larves hideuses, noires, marchant en cadence en criant SIEG HEIL(Ne pas confondre avec la mauvaise graine que l'on appelle Neo-nazi)... Peu à peu, elles deviennent des mites qui, à leur tour, vont proférer des discours haineux, et pondre, pondre, pondre, pondre...
La Grande Épidémite
La Grande Épidémite a affecté l'Europe dans les années 1940. En ces temps là, LE mite nazi en chef, Adolf Hitler, avait nommé un bouc émissaire : il s'agissait d'un groupe de bonshommes en pain d'épice qui vivaient dans les ghatteaux des grandes villes d'Europe. Pour Adolf Hitler et les mites qui l'entouraient, il fallait pourrir cette engeance, leur pondre dessus, et la transformer en CO2 quitte à aggraver l'effet de serre. Par dessous tout, Hitler détestait les bonshommes en pain d'épice qui essayaient de se reproduire entre bonshommes en pain d'épice de même sexe, et aussi abhorrait les bonshommes en pain d'épice nomades qui se baladaient dans des roulottes.
Adolf Hitler et sa vermine affidée commencèrent leurs exactions. Ils imposèrent tout d'abord aux bonshommes en pain d'épice le port d'une étoile jaune, découpée dans de la vieille pâte d'amande rance. Puis ils leurs racontèrent des salades, comme quoi ils étaient mal cuits et qu'il fallait prendre des trains pour retourner dans des camps de pâtissiers où on leur redonnerai une belle couleur dorée. Les bonshommes en pain d'épice le firent, de gré ou de force.
Les camps, c'était l'arnaque. Les fours étaient déréglés par des pâtissiers psychopathes qui appliquaient les recettes envoyées par le mite en chef et ses quatre sous-mites. Beaucoup de ces mites étaient des sadiques, il s'agissait des sodo-mites. Presque tous les bonshommes en pain d'épice finirent carbonisés et gazéifiés. On appela ce désastre culinaire l'holocauste ou la Chauah.
La Grande Épidémite faillit se transformer en pandémie et gagner le monde entier. La Terre ne fut sauvée que par la résistance héroïque d'européens moins putrescibles que la plupart, et par la lutte acharnée de quelques pays habités par des amateurs de bonshommes en pain d'épice. Ils débarquèrent sur le continent européen munis de bombes insecticides nucléaires, et réussirent à le nettoyer des mites et de la vermine nazi. Adolf Hitler, réfugié dans une fourmilière, se donna la mort en absorbant une capsule de DDT.
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Propagante Nazie
[Le monde ne serait-il pas mieux ainsi?]] Nous pouvons constater sur la photographie de droite une vaine tentative du leader Nazi Gandalf Hitler afin de sensibiliser ses congénères au bonheur que procure la poutine, cet artéfact précieux!
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