Camarès
Camarès [kamaʁɛs] (en occitan : Lo Pont de Camarés) est une commune française et un canton du sud de l’Aveyron dans la région Occitanie.
Camarès | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Aveyron | ||||
Arrondissement | Millau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Monts, Rance et Rougier | ||||
Maire Mandat |
Cyril Touzet 2020-2026 |
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Code postal | 12360 | ||||
Code commune | 12044 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 025 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 24 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 49′ 24″ nord, 2° 52′ 49″ est | ||||
Altitude | Min. 356 m Max. 968 m |
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Superficie | 41,86 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton des Causses-Rougiers | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Géographie
modifierLocalisation
modifierSituée à 23 kilomètres au sud de Saint-Affrique et à 80 kilomètres de Béziers, elle est traversée par le Dourdou de Camarès et se trouve au pied des Monts de Lacaune.
Son sol rouge, le Rougier, est de nature schisto-gréseuse. Il renferme un riche sous-sol qui a permis, dès l’époque gallo-romaine, l’exploitation des premières mines de cuivre ou de plomb argentifère.
Présence d'un bassin thermal avec des sources qui ne sont plus exploitées actuellement : Prugnes les eaux, Andabre, Le Cayla et Sylvanès (eau thermale).
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Brusque, Fayet, Gissac, Montlaur, Peux-et-Couffouleux, Mounes-Prohencoux et Sylvanès.
Hydrographie
modifierClimat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 975 mm, avec 9,8 jours de précipitations en janvier et 4,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Peux-et-Couffouleux à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 189,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Camarès est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[8],[9].
Toponymie
modifierInitialement Camarès désignait la région, et la ville portait l'appellation de Pont-de-Camarès. Elle tirait ce nom du Pont Vieux dont la date de construction est inconnue, sans doute du XIe siècle.
Histoire
modifierMoyen Âge
modifierLa ville est mentionnée en 883, comme siège d’une viguerie carolingienne, dans le cartulaire de l’abbaye de Vabres. Son territoire englobait le nord de l’actuel canton de Camarès, et quelques communes adjacentes. Le sud du canton actuel constituait une viguerie indépendante dont le chef-lieu était Brusque.
Époque moderne
modifierLes troupes protestantes prirent Camarès en 1563 et en firent rapidement une de leurs villes fortes. En 1586, Camarès comptait parmi les quatre principales villes fortes du Rouergue.
Époque contemporaine
modifierPolitique et administration
modifierEn 2011, Jacques Bernat est candidat à la succession de René Quatrefages à la tête du Parc naturel régional des Grands Causses. Il échoue cependant face à Alain Fauconnier, sénateur-maire de Saint-Affrique avec 20 voix, contre 23 à son adversaire.
Démographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[10]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[11].
En 2021, la commune comptait 1 025 habitants[Note 1], en évolution de +2,5 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
modifierRevenus
modifierEn 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 453 ménages fiscaux[Note 2], regroupant 940 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 670 €[I 2] (20 640 € dans le département[I 3]).
Emploi
modifierDivision | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 4] | 4,6 % | 6,6 % | 9,9 % |
Département[I 5] | 5,4 % | 7,1 % | 7,1 % |
France entière[I 6] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 572 personnes, parmi lesquelles on compte 77,1 % d'actifs (67,2 % ayant un emploi et 9,9 % de chômeurs) et 22,9 % d'inactifs[Note 3],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.
La commune est hors attraction des villes[Carte 1],[I 7]. Elle compte 369 emplois en 2018, contre 370 en 2013 et 373 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 397, soit un indicateur de concentration d'emploi de 92,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,2 %[I 8].
Sur ces 397 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 220 travaillent dans la commune, soit 55 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 76,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 10,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 13 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
modifierSecteurs d'activités
modifier137 établissements[Note 4] sont implantés à Camarès au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 5],[I 11].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 137 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
26 | 19 % | (17,7 %) |
Construction | 20 | 14,6 % | (13 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
32 | 23,4 % | (27,5 %) |
Information et communication | 2 | 1,5 % | (1,5 %) |
Activités financières et d'assurance | 4 | 2,9 % | (3,4 %) |
Activités immobilières | 10 | 7,3 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
15 | 10,9 % | (12,4 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
21 | 15,3 % | (12,7 %) |
Autres activités de services | 7 | 5,1 % | (7,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,4 % du nombre total d'établissements de la commune (32 sur les 137 entreprises implantées à Camarès), contre 27,5 % au niveau départemental[I 12].
Entreprises
modifierLes trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[14] :
- Dalmasy, supermarchés (5 120 k€)
- Aupiac Diversification, production d'électricité (324 k€)
- La Camarete, commerce d'alimentation générale (235 k€)
Agriculture
modifierLa commune est dans les Monts de Lacaune, une petite région agricole occupant le sud du département de l'Aveyron[15]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 6] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 2].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 29 | 21 | 20 | 22 |
SAU[Note 7] (ha) | 1 787 | 1 851 | 1 776 | 1 979 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 29 lors du recensement agricole de 1988[Note 8] à 21 en 2000 puis à 20 en 2010[17] et enfin à 22 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 24 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[18],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 787 ha en 1988 à 1 979 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 62 à 90 ha[17].
Culture locale et patrimoine
modifierLa région possède de nombreux châteaux comme le château de Montaigut (Xe-XVIIe siècle) et d’importants sanctuaires religieux dont l’Abbaye de Sylvanès (XIIe siècle) qui a été restaurée en centre musical.
Patrimoine civil
modifier- Pont-vieux (XIe siècle).
- Porte d’entrée de la ville haute.
-
Le Pont.
-
Le Pont.
-
Le Dourdou.
Patrimoine religieux
modifier- Église de Saint-Pierre d’Issis.
- Église Saint-Michel de Camarès, 1869.
- Église Sainte-Croix d'Ouyre.
- Ancienne église pré-romane de Fargous de Camarès.
- Temple protestant de Camarès.
-
Chapelle Saint-Pierre d’Issis
-
Église Saint-Michel
-
Église Sainte-Croix
Patrimoine culturel
modifierDivers
modifier- Ville hôte du Challenge Armand Vaquerin, compétition de rugby à XV.
Personnalités liées à la commune
modifier- Pierre Félix Ducasse (1844-1904), journaliste, orateur populaire des réunions publiques, y est mort.
- Yves Rouquette (1936-2015), poète, un écrivain français et un militant occitaniste, il a vécu à Camarès pendant son enfance.
- Marie Rouanet (1936), écrivaine française, elle a vécu à Camarès.
Héraldique
modifierDe gueules au pont de trois arches d’argent posé sur des ondes du même mouvant de la pointe, au chef cousu d’azur chargé de trois fleurs de lys d’or[19]. |
Bibliographie
modifier- Alfred Andrieu, Camarès, mille ans d'histoire locale, Camarès, Maison de la Presse, , 421 p., ill. ; 19 cm (BNF 34926549)
- René Bernat, La vie sous la Révolution française dans le pays du Camarès, Aveyron : 1789-1799, Camarès, Mairie de Camarès, , 137 p., couv. ill. ; 22 cm (BNF 35292937)
- Jean Delmas, A. Gouzes, M. Simonin et J.-C. Hedan, Le Canton de Camarès, Rodez, Sauvegarde du Rouergue, coll. « Maisons et paysages du Rouergue », , 32 p. (ISSN 0297-6269, BNF 34979170)
- (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. M. le Conseiller général), Lo Pont : Arnac, Brusca, Faiet, Gissac, Melagas, Montanhòl, Pèus-e-Cofolèus, Silvanés, Tauriac / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Camarés, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 320 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-50-5, ISSN 1151-8375, BNF 37657611)
- Plan du Pont Camaretz avec ses fortifications... (1629) sur Gallica
Articles connexes
modifierLiens externes
modifierNotes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[16].
- Cartes
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Camarès » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Camarès » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Camarès » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Camarès » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aveyron » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Camarès et Peux-et-Couffouleux », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Peux-et-couffouleux_sapc » (commune de Peux-et-Couffouleux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Peux-et-couffouleux_sapc » (commune de Peux-et-Couffouleux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Entreprises à Camarès », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Camarès - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Aveyron » (consulté le ).
- « Camarès », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).