Sées

commune française du département de l'Orne

Sées (/se/ Écouter) est une commune française située dans le département de l’Orne, en région Normandie, peuplée de 4 191 habitants[Note 1].

Sées
Sées
L'hôtel de ville.
Blason de Sées
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Orne
Arrondissement Alençon
Intercommunalité CC Sources de l'Orne
(siège)
Maire
Mandat
Mostefa Maachi
2020-2026
Code postal 61500
Code commune 61464
Démographie
Gentilé Sagien
Population
municipale
4 191 hab. (2021 en évolution de −0,43 % par rapport à 2015)
Densité 104 hab./km2
Population
agglomération
4 182 hab. (2016)
Géographie
Coordonnées 48° 36′ 17″ nord, 0° 10′ 17″ est
Altitude Min. 170 m
Max. 321 m
Superficie 40,31 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Sées
(ville isolée)
Aire d'attraction Sées
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Sées
(bureau centralisateur)
Législatives 1re circonscription de l'Orne
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Sées
Géolocalisation sur la carte : France
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Sées
Géolocalisation sur la carte : Orne
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Sées
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Sées
Liens
Site web https://www.ville-sees.fr/

Sées est le siège du diocèse de Séez.

Géographie

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Localisation

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Sées est située dans la campagne d'Alençon, à 23 km au nord d’Alençon (préfecture de l’Orne) et à 22 km au sud-est d’Argentan (sous-préfecture de l’Orne).

La ville, incluse dans le parc naturel régional Normandie-Maine, se trouve à proximité de la forêt d'Écouves.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap.
Carte topographique.

Communes limitrophes

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Hydrographie

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La ville est traversée par l'Orne, fleuve côtier dont la source se situe à quelques kilomètres en amont à l'est, sur la commune d'Aunou-sur-Orne.

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,5 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,8 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 752 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1968 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records SEES (61) - alt : 195 m 48° 35′ 30″ N, 0° 10′ 18″ E
Records établis sur la période du 01-01-1968 au 04-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,3 1 2,9 4,1 7,6 10,3 12,1 12 9,6 7,3 3,9 1,7 6,2
Température moyenne (°C) 3,9 4,3 7 9 12,7 15,7 17,9 17,8 14,9 11,4 7 4,3 10,5
Température maximale moyenne (°C) 6,5 7,6 11,1 13,9 17,8 21,2 23,6 23,7 20,3 15,5 10,1 6,9 14,9
Record de froid (°C)
date du record
−21,5
17.01.1985
−15,5
10.02.1986
−10,5
07.03.1971
−5,5
12.04.1986
−2,5
05.05.1979
0,5
05.06.1991
3,5
10.07.1969
2,1
28.08.1974
0
19.09.1977
−5,5
30.10.1997
−8
26.11.1989
−11,3
29.12.05
−21,5
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,9
27.01.03
19,5
27.02.19
24,1
30.03.21
26,8
30.04.05
30,3
27.05.05
35,8
27.06.11
39,9
25.07.19
39,1
10.08.03
34,1
15.09.20
26
01.10.1985
18,8
05.11.1993
15,5
07.12.00
39,9
2019
Précipitations (mm) 84,3 59,4 63 60,6 70,5 51,5 60,4 48,8 65,7 84,6 73,7 87,5 810
Source : « Fiche 61464001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme

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Typologie

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Au , Sées est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sées[Note 5], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[10],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sées, dont elle est la commune-centre[Note 6],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (90 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,7 %), prairies (28,6 %), zones urbanisées (4,5 %), forêts (4,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,1 %), zones agricoles hétérogènes (0,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 2 377, alors qu'il était de 2 302 en 2013 et de 2 224 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 81,2 % étaient des résidences principales, 1,6 % des résidences secondaires et 17,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 63,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 35,7 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Sées en 2018 en comparaison avec celle de l'Orne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,6 %) très inférieure à celle du département (10,5 %) et à e à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 43,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (43,2 % en 2013), contre 64,3 % pour l'Orne et 57,5 % pour la France entière[I 3].

Le logement à Sées en 2018.
Typologie Sées[I 2] Orne[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 81,2 78,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,6 10,5 9,7
Logements vacants (en %) 17,2 11,2 8,2

Voies de communication et transports

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La gare.

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous la forme civitas Saiorum vers 400 (« cité des Saii »)[16], Sagensis ecclesiae en 541, Sagensis pagus en 854, civitas Saxonum en 990, Sagio en 991 et 996, Sagii en 1022, Saxia en 1024[17].

Le nom de Sées (Séez) vient des Sagii, tribu gauloise installée près des sources de l’Orne[18].

Le nom de Sées (et celui de Sagiens, forme savante) procède de (civitas) Sagiensis devenu Saiensis par lénition de [g] intervocalique, mot dérivé en -ensi de l'ethnonyme du peuple celte des Sagii, mentionné seulement à partir du IIIe siècle. L'ethnonyme remonte vraisemblablement au celtique (gaulois) sag(i)- « qui recherche », bien attesté dans le nom tribal des Tectosages ou l'anthroponyme Sagius, Saius[19], apparenté à la racine saig (flairer, suivre à la trace, chercher à atteindre)[17], « le chercheur, le fouineur (chasseur) ? ».

Jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, ce nom était généralement orthographié Séez. L'orthographe officielle est devenue Sées, ce qui a permis d’éviter l'homonymie avec Séez de Savoie (nouvellement française). La graphie antérieure a été néanmoins conservée par l'Église catholique (diocèse de Séez, évêque de Séez)[20].

Le gentilé est Sagien.

Histoire

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Antiquité

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Selon la légende, Sées doit, à l'époque antique, sa richesse à l’existence d’un coq d'or apparaissant chaque soir à minuit et chantant son cocorico[21].

Après la conquête romaine, une agglomération se développe et devient chef-lieu de la civitas des Sagii. La découverte de pièces de monnaie romaines, de chapiteaux de style corinthien et les vestiges d’un temple gallo-romain détruit aux IVe et Ve siècles l'attestent.

Un four de potier mis au jour fortuitement dans le quartier des Halles en 1991 est daté du IIIe siècle; il produisait des jattes et des cruches[22].

La ville est christianisée vers 440 par saint Latuin, premier évêque de Séez[21].

Moyen Âge

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Très affaiblie par les invasions scandinaves du IXe siècle, Sées se reforme sur trois bourgs distincts : Bourg-l’Évêque, autour de la cathédrale, dirigé par l’évêque, Bourg-le-Comte, autour d’un château à motte, propriété du comte d’Alençon et Bourg-l’Abbé, autour de l’abbaye Saint-Martin[21].

À la fin du Xe siècle, on démantèle les murailles de Sées, et avec les pierres on édifie la cathédrale[23]. Afin de remédier à la faiblesse des fortifications de la ville anéanties par les invasions, les places d'Exmes et de Gacé sont renforcées par les ducs de Normandie[24]. Vers 1060, la ville épiscopale est entièrement contrôlée par les Bellême[25].

Le cérémonial d’installation et de réception des évêques de Séez du XIVe au XVIIe siècle est assez singulier, et mérite qu’on en conserve le souvenir :

« L’évêque, après avoir reçu ses bulles, se rendait à Sées, dans une hôtellerie située sur son fief ; de là, il allait à l’abbaye de Saint-Martin et y couchait. Le lendemain, le prélat, vêtu d’un habit de cavalier, montait un superbe coursier et se faisait accompagner par l’abbé de Saint-Martin, également à cheval. Il prenait la route de la ville. Arrivé à la porte d’Alençon, l’évêque descendait de sa monture, substituait à son premier habillement une soutane et un manteau long, un chapeau convenable, et montait une mule. Il traversait ainsi la ville, accompagné de ses amis et des principaux magistrats. Une double haie d’habitants était sous les armes. Dès que le cortège était parvenu à une maison située sur la place appelée le parquet, et en face de la cathédrale, le propriétaire de cette maison mettait la main à l’étrier, aidait le prélat à descendre, le débottait et déchaussait. Lorsque l’évêque était revêtu de ses habits pontificaux, le prieur, les chanoines réguliers, et depuis la sécularisation, le prévôt et les chanoines en chapes grises, entraient et le saluaient. Il leur rendait le salut, leur donnait le baiser de paix et sa bénédiction. Alors le cortège partait processionnellement en marchant sur du linge blanc et honnête que le propriétaire de la maison inféodée était tenu de faire étendre sur la terre, depuis sa porte jusqu’au pied du grand autel de la cathédrale. Quand le chapitre était entré, les portes se fermaient. L’évêque, en dehors, accompagné d’un notaire et de son secrétaire qui tenait ses bulles à la main, demandait à être mis en possession de son église. Le prieur ou le prévôt, faisait ouvrir les portes, et après la lecture des bulles, exigeait du prélat, et sur les saints évangiles, le serment suivant : « que son entrée serait pacifique ; qu’il conserverait les droits de son église, qu’il n’aliénerait ni ses biens, ni ceux de l’évêché (sauf seulement dans les cas permis et avec les formalités voulues), qu’il ferait son possible pour retirer ceux qui auraient été aliénés, qu’il ne ferait aucune inféodation nouvelle, qu’il maintiendrait de tout son pouvoir les immunités de son église, et qu’il en observerait les coutumes écrites ou non écrites ». L’évêque répondait : « Je le jure. Omnia haec juro ». Aussitôt, deux membres du chapitre et un des archidiacres mettaient l’évêque en possession. Il terminait la cérémonie en invitant à dîner les personnes qu’il jugeait à propos, mais il était tenu de faire asseoir à sa table le propriétaire de la maison où il était descendu, de lui laisser sa monture, ses bottes, ses éperons, son chaussement, en un mot « tous les vêtements auxquels il avait chevauché ». Un mandement donné le 15 octobre 1464 par un sieur Vauquelin, juge à Falaise, nous apprend encore que le propriétaire de la maison où descendait l’évêque était obligé, outre les charges dont nous avons parlé, de porter le chapeau du prélat jusqu’au palais épiscopal (quoque pileum in suum episcopale palatium inferre)[26]. »

Époque moderne

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La ville est prise par Henri de Navarre au début de 1590[27].

Au XVIIIe siècle, les trois bourgs ne forment plus qu’une seule agglomération et différents aménagements urbains et paysagers sont réalisés comme la destruction des portes fortifiées, l'assèchement des marais à l’ouest[21] et la création d'une promenade arborée.

Époque contemporaine

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Le chemin de fer arrive aux portes de la ville le avec la création de la gare de Sées par la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest[28].

Sées, où se trouvaient de nombreux couvents, a été utilisée comme ville-hôpital neutre lors de la bataille de Normandie, ce qui lui a évité d’être rasée comme des villes voisines plus stratégiques du fait du chemin de fer (Argentan…). À cet effet, plusieurs édifices (séminaires, communautés religieuses) furent réquisitionnés par l'occupant dès (signalés par d'immenses croix rouges peintes sur les toitures) pour soigner les militaires blessés, les enterrer provisoirement si besoin.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

La commune se trouve depuis l'arrondissement d'Alençon du département de l'Orne.

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Sées[29]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Sées

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Orne.

Intercommunalité

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Sées était le siège de la communauté de communes du Pays de Sées, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1996 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Celle-ci fusionne avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes des Sources de l'Orne, dont la commune accueille désormais le siège.

Tendances politiques et résultats

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La ville comme le canton de Sées votent traditionnellement à droite : Jacques Chirac avait obtenu 32 % au premier tour à l’élection présidentielle de 2002 ; Nicolas Sarkozy a obtenu 39 % au premier tour et 62 % au second tour, bien au-dessus de ses résultats nationaux.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1945 juillet 1946
(décès)
Albert Marchand (1884-1946) PRL  
1946 décembre 1947
(décès)
M. Aubry    
janvier 1948 1963 Henri Guimard (1896-1973)    
1963 mars 1965 Joseph de La Rivière   Garagiste
mars 1965 août 1974 Louis Legay   Notaire honoraire
Conseiller général de Sées (1970 → 1974)
Décédé en fonction
octobre 1974 juin 1995 André Dubuisson[31] DVD Agent général d'assurances
Conseiller général de Sées (1988 → 2015)
Vice-président du conseil général de l'Orne (1992 → 2015)
juin 1995 mars 2008 Jean-Pierre Pelletier[32] PS Inspecteur de l'Éducation nationale
Vice-président de la CC du Pays de Sées
mars 2008 avril 2012[33] Francis Bouquerel DVD Réalisateur audiovisuel
1er vice-président de la CC du Pays de Sées (2008 → 2012)
Démissionnaire
avril 2012[34] mai 2020[35] Jean-Yves Houssemaine[36] DVD Retraité assistant vétérinaire
Vice-président de la CC des Sources de l'Orne (2014 → 2020)
mai 2020[37] En cours
(au 11 mars 2023)
Mostefa Maachi DVD Ancien directeur de l'hôpital de Sées[38]
Vice-président de la CC des Sources de l'Orne (2020 → 2023)

Instances de démocratie participative

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La commune s'est dotée en 2023 d'un conseil municipal des jeunes[39],[40].

Équipements et services publics

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Enseignement

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Sées dispose de quatre collèges (un public et trois privés) et de quatre lycées (dont un lycée public agricole).

Collèges de Sées :
Collège public
  • Collège Nicolas-Jacques Conté
Collèges privés
Lycées de Sées :
Lycée public
Lycées privés d'enseignement général
  • Institution Marie-Immaculée (privé sous contrat)
  • Institut Croix des Vents (privé hors contrat)
  • Institut d'Argenté - Saint Anne (privé hors contrat)

Le lycée agricole se dote à la rentrée 2023/2024 d'une formation au bac général scientifique[43].

La ville dispose d'un hôpital labellisé en 2022 hôpital de proximité. Son EPAD, vétuste, est démoli en 2023 pour permettre la mise en service d'installations plus fonctionnelles et accueillantes pour 25 résidents[44].

Un pôle de santé libéral et ambulatoire est mis en service début 2023 par la l'intercommunalité[45].

Justice, sécurité, secours et défense

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Sées se dote en 2023 d'un système de vidéosurveillance de l'espace public, équipé de treize caméras[46].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[48].

En 2021, la commune comptait 4 191 habitants[Note 7], en évolution de −0,43 % par rapport à 2015 (Orne : −3,37 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
6 0005 4715 3765 0154 5674 4745 0045 0054 953
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
5 0455 0054 9104 9854 6874 6724 2724 2754 165
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
3 9823 9223 9754 2924 1814 4264 7194 2504 137
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
4 3474 7064 7674 5474 5044 5084 3774 1824 191
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[49].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et manifestations

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  • L’association des Musilumières de Sées organise depuis plusieurs années un spectacle son et lumières dans la cathédrale de Sées. En soirée (vendredi, samedi), pendant l’été.
  • Les dimanches au bord de l’Orne tous les dimanches d’août (gratuit).
  • Le comice d’arrondissement Loutreuil, début septembre.
  • La médiathèque est implantée dans les anciennes halles.
  • Le Rex, cinéma classé Art et Essai.
  • École municipale de musique.

La ville est le siège du diocèse de Séez

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Le palais d'Argentré.

Monuments civils

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Édifices religieux

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La cour de l'ancien grand séminaire de Sées.
 
La cathédrale Notre-Dame.

Sées est essentiellement réputé pour son patrimoine religieux et son passé de cité épiscopale.

  • La cathédrale Notre-Dame, place du Général-de-Gaulle, est une construction gothique du XIIe – XIIIe siècle. Elle a été restaurée au XIXe siècle par l'architecte Ruprich-Robert proche de Viollet-le-Duc. Elle est dotée de deux orgues d'Aristide Cavaillé-Coll[50] (celui de tribune, inauguré en 1883, est placé dans le buffet de l'ancien instrument de Parisot), et mis en valeur par la même technique d’éclairage nocturne que celle de la tour Eiffel.
  • Enceinte de Bourg l'Évêque, qui isolait au Moyen Âge le quartier de la cathédrale, et dont il subsiste une porte à la sortie d'Argentan[51].
  • Le musée départemental d'art religieux a été créé en 1969 dans une partie des bâtiments de l'ancien logis capitulaire (au nord de la cathédrale, après la mairie).
  • Abbaye Saint-Martin, place Saint-Martin, des XIIe et XIIIe siècles : si l’abbaye est devenue un lieu privé, l’église Notre-Dame-de-la-Place est publique (bas-relief du XVIe siècle, et tribune d’orgue de la Renaissance).
  • Basilique de l'Immaculée-Conception, rue Charles-Forget, du XIXe siècle ; ce fut la 1re église érigée sous ce vocable en France.
  • Ancien grand séminaire, rue d'Argentré, il fut érigé entre 1937 et 1940. S'il ne remplit plus sa fonction originelle, il reste cependant un lieu de formation car racheté, en 2000, par l'Institut Croix-des-Vents - Saint-Joseph. Cet établissement catholique hors contrat, au cœur d'un parc de quatre hectares, regroupe un collège et un lycée pour garçons et est affilié à la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre[52]. Tous les matins, des prêtres de cette dernière y célèbrent des messes, ouvertes au public[53], selon la forme tridentine du rite romain.
  • Le bâtiment du chapitre, place De Gaulle, improprement appelé « chapelle canoniale », datant du XIIe siècle, remanié aux XIIIe siècle, XIVe siècle et XVIIIe siècle. Fortement remanié en 1963, il est l'un des derniers vestiges de l'ancien enclos canonial.
  • Hôtel-Dieu et sa chapelle classée, rue de la République avec des peintures de Conté : le jeune Nicolas-Jacques Conté, qui révèle très jeune son esprit d'invention et son goût pour la mécanique et la peinture, dessinant sans autre crayon qu'un charbon de bois et peignant avec des couleurs qu'il fabriquait lui-même, trouva dans l'évêque de Séez Jean-Baptiste du Plessis d'Argentré et la supérieure de l'hôpital de Sées, Mme de Prémesle, des soutiens qui l'encouragent à peindre divers sujets religieux, exécutant ainsi des peintures qui décorent l’église de l'hôpital de Sées.
  • Église Notre-Dame-de-la-Place, place Saint-Martin (ancienne paroisse).
  • Église Saint-Laurent (église de l'ancienne paroisse Saint-Laurent-près-Sées, hors les murs.
  • Église Saint-Pierre rue de la République (vestiges et clocher de l'ancienne paroisse).
  • Église Notre-Dame du Vivier, rue du Vivier (vestiges).
  • Chapelle des Sœurs de la Providence, rue Auguste-Loutreuil avec vitraux modernes de Mauméjean.
  • Chapelle de la communauté des Sœurs de la Sainte-Famille, rue d'Ormeau-d'Échasse.
  • Chapelle de l'ancien couvent des Sœurs de la Miséricorde, rue d'Argentré.
  • Chapelle Saint-Joseph, chemin Saint-Joseph.
  • Chapelle de la léproserie, ferme de la Madeleine, route d'Alençon.

Personnalités liées à la commune

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Sées est peut-être la ville d'origine de la famille de Richard de Say, baron italo-normand du royaume de Sicile (XIIe siècle).

Héraldique

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  Blason
D'azur à la foi d'argent en fasce, surmonté par un cœur du même et enflammé d'or : le tout surmonté d'une fleur de lis d'or en chef.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références

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  1. Population municipale 2021.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  5. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  8. « Fiche du Poste 61464001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Sées », sur Insee (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Sées », sur Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Sées », sur SNCF Gares & Connexions (consulté le ).
  15. « La RN 158 », sur DREAL Normandie, (consulté le ).
  16. Louis Richard, Alain Catherinet - 2004 - Origine des noms de communes, de hameaux et autres lieux habités anciens et modernes - D. Guéniot éditeur - page 168 - (ISBN 2878253000).
  17. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Droz, , p. 156.
  18. J.-M. Bordessoules, L'Orne : de la préhistoire à nos jours, , p. 80, 81.
  19. Christian Baylon, Paul Favre - 1982 - Les Noms de lieux et de personnes - (ISBN 2098125941).
  20. « Mgr Bruno Feillet est nommé évêque de Séez », sur L'Église catholique à Reims et dans les Ardennes, (consulté le ).
  21. a b c et d Histoire de Sées.
  22. Blaszkiewicz Patrick, Churin Thierry, « Découverte d'un four de potier à Sées (Orne) », Revue archéologique de l'ouest, tome 8, 1991, pp. 117-122, [1].
  23. Bernard Beck, Châteaux forts de Normandie, Rennes, Ouest-France, , 158 p. (ISBN 2-85882-479-7), p. 10.
  24. Guy Le Hallé (préf. Hervé Morin, photogr. Yves Buffetaut), Châteaux forts de Basse-Normandie, t. II, Louviers, Ysec Éditions, , 160 p. (ISBN 978-284673-215-4), p. 25.
  25. François Neveux, La Normandie des ducs au rois, Xe – XIIe siècle, Rennes, Ouest-France université, , 676 p. (ISBN 2-7373-0985-9), p. 309.
  26. D’après les « Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie » paru en 1837.
  27. Pierre Miquel, Les Guerres de Religion, Paris, Fayard, , 596 p. (ISBN 978-2-21300-826-4, OCLC 299354152, présentation en ligne). p. 368.
  28. Françoise et Maguy Palau, « 3.2 Alençon - Argentan :  », dans Le rail en France : le second Empire, tome 2, 1858 - 1863, Palau, Paris, 2001 (ISBN 2-950-94212-1) p. 9
  29. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. « Victor Saint-Alban Pichon-Prémêlé », base Léonore, ministère français de la Culture.
  31. « André Dubuisson passe la main : Le 1er vice-président du conseil général ne sera pas candidat à sa succession, aux élections départementales de mars », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Avec mes mandats de maire de Sées, de 1974 à 1995, ma carrière politique s'étire sur quarante années. Il faut savoir laisser la place. ».
  32. « Jean-Pierre Pelletier, ancien maire de Sées, est décédé », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  33. Jean-Marie Foubert, « Sées sans maire : C'était inévitable depuis la perte de confiance de 18 des 21 membres de la majorité : Francis Bouquerel a démissionné de son poste de maire de Sées. Les deux adjointes qui.… », L'Orne Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. Jean-Marie Foubert, « Sées : Houssemaine maire : Le vendredi 13 avril, Jean-Yves Houssemaine succédera à Francis Bouquerel comme maire de Sées. François Aimé sera candidat pour l'opposition, "pour la clarté" du vote.… », L'Orne Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. François Boscher, « Municipales 2020. Le maire de Sées, Jean-Yves Houssemaine, dit stop… : Maire depuis 2012, Jean-Yves Houssemaine (divers droite) ne briguera pas un nouveau mandat en mars 2020. Lydia Fayel mènera une liste apolitique – proche de la gauche – et Mostefa Maachi, ancien directeur de l’hôpital, devrait également former une équipe », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. Karina Pujeolle, « Jean-Yves Houssemaine, maire de Sées de 2012 à 2020, est décédé : Jean-Yves Houssemaine est décédé, vendredi 10 mars, à l'âge de 79 ans. Cet ancien pompier volontaire, chef du centre de secours de Sées, avait également été maire de 2012 à 2020 », L'Orne Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il avait été élu maire de Sées en avril 2012, dans la foulée de la démission de Francis Bouquerel, élu en 2008. Et jusqu’en mars 2020, date à laquelle il a renoncé à un nouveau mandat ».
  37. « Mostefa Maachi a pris ses fonctions de maire de Sées », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. Julien Belaud, « Mostefa Maachi, directeur de l'hôpital, passe la main », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. Romaric Larue, « À Sées, les jeunes siègent désormais en conseil municipal : Le premier conseil municipal des jeunes de Sées, qui a suivi la même procédure que les adultes, a élu pour deux ans 21 élèves. Ils travailleront sur la mise en place de projets. », L'Orne Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. Romaric Larue, « Le premier conseil municipal des jeunes installé pour deux ans : Le conseil municipal des jeunes (CMJ) de Sées, dans l'Orne, tenait sa première réunion, mercredi 8 mars. Elle a permis l'élection du maire des jeunes, remportée par Julia Chaïf », L'Orne Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  41. « L'Institut Croix-des-Vents, à Sées, porte plainte après la diffusion d'un reportage sur France 2 : L'Institut Croix-des-Vents, à Sées (Orne), réagit à la suite d'un reportage diffusé sur France 2 le 16 février 2022. Une plainte a été déposée pour diffamation », L'Orne Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. Nathalie Legendre, « Mostefa Maachi, le maire de Sées, ne cache pas son inquiétude vis-à-vis d'Academia Christiana : Mostefa Maachi, le maire de Sées (Orne), s'exprime à la suite de la diffusion d'un reportage sur Academia Christiana et dans lequel l'Institut Croix-des-Vents est cité », Le Ploërmelais,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  43. « Le lycée agricole proposera un bac général scientifique en septembre : Nouveauté au lycée agricole de Sées : l'établissement ouvrira en septembre un baccalauréat général, à vocation scientifique. Un cursus qui n'existait pas dans la cité épiscopale », L'Orne Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  44. « Un nouvel Ehpad "plus fonctionnel" sera construit à l'hôpital : Lors de la cérémonie des vœux de l'hôpital de Sées, jeudi 19 janvier, le directeur a évoqué le gros projet 2023 : la construction d'un nouvel Ehpad. Un chantier estimé à 19 M€ », L'Orne Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  45. Romaric Larue, « Vidéoprotection, pôle de santé, mobilité… Les projets de l'année 2023 à Sées : Le maire Mostefa Maachi a abordé, lors de la cérémonie des vœux, les projets 2023 à Sées. Santé, sport, sécurité ou encore réaménagement urbain, les thématiques sont plurielles. », L'Orne Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  46. Romaric Larue, « Les caméras de vidéoprotection déployées en avril : Lors du conseil municipal, mercredi 1er mars, le maire de Sées a annoncé l'arrivée de la vidéosurveillance au printemps. Treize caméras seront installées », L'Orne Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  47. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  50. Orgue Aristide Cavaillé-Coll
  51. Le Hallé 2015, p. 126.
  52. Florent Le Du, « Sées, nouvelle terre promise des catholiques intégristes », L'Humanité,‎ (lire en ligne, consulté le )
  53. Site du District de France de la FSSP

Bibliographie

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  • Pierre-Marie Guihard et François Fichet de Clairfontaine, « Les moules monétaires de Sées (Orne). Monnayeurs locaux et circulation du bronze au IIIe siècle apr. J.-C. », Revue numismatique, 6e série, t. 172,‎ , p. 257-292 (lire en ligne).

Annexes

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Articles connexes

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Liens externes

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