Bollwiller
Bollwiller | |
La mairie. | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Haut-Rhin |
Arrondissement | Mulhouse |
Intercommunalité | Mulhouse Alsace Agglomération |
Maire Mandat |
Jean-Paul Julien 2020-2026 |
Code postal | 68540 |
Code commune | 68043 |
Démographie | |
Population municipale |
4 109 hab. (2021 ) |
Densité | 476 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 47° 51′ 29″ nord, 7° 15′ 46″ est |
Altitude | Min. 229 m Max. 265 m |
Superficie | 8,63 km2 |
Type | Bourg rural |
Unité urbaine | Mulhouse (banlieue) |
Aire d'attraction | Mulhouse (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Wittenheim |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
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Bollwiller [bɔlvilɛʁ] Écouter est une commune de la banlieue de Mulhouse[1] située au pied du massif des Vosges. dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace. Elle est membre de Mulhouse Alsace Agglomération et fait partie des 20 communes de l'agglomération mulhousienne[2] ayant l'obligation de mettre en place une ZFE-m avant le 31 décembre 2024[3].
Ses habitants sont appelés les Bollwillerois et les Bollwilleroises.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Bollwiller est située entre Mulhouse et Guebwiller, dans la plaine rhénane, plus précisément dans le bassin potassique.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le Lohbach et le Wuenheim[4],[Carte 1].
Le Lohbach, d'une longueur de 19 km, prend sa source dans la commune de Uffholtz et se jette dans la Lauch à Rouffach, après avoir traversé onze communes[5].
Le Wuenheim, d'une longueur de 13 km, prend sa source dans la commune de Soultz-Haut-Rhin et se jette dans le Lohbach à Feldkirch, après avoir traversé quatre communes[6].
Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang Saint-Pierre, d'une superficie totale de 1,9 ha (1,2 ha sur la commune)[Carte 1],[7].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Ill Nappe Rhin ». Ce document de planification concerne la nappe phréatique rhénane, les cours d'eau de la plaine d'Alsace et du piémont oriental du Sundgau, les canaux situés entre l'Ill et le Rhin et les zones humides de la plaine d'Alsace. Le périmètre s’étend sur 3 596 km2. Il a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[8].
La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de 1 °C)[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 657 mm, avec 8,7 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Guebwiller », sur la commune de Guebwiller à 7 km à vol d'oiseau[11], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 919,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16,3 °C, atteinte le [Note 2],[12],[13].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[14]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Bollwiller est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mulhouse[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant 20 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[17],[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mulhouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[18]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (64,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51 %), forêts (22,6 %), zones urbanisées (18,1 %), zones agricoles hétérogènes (8,3 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Réseau routier
[modifier | modifier le code]La ville est desservie par deux voies rapides à proximité : la voie rapide D 83 avec deux sorties (nord-ouest via le Carrefour du Nouveau Monde et sud-ouest), et la voie rapide D 430 avec une sortie sud-est proche via la Cité Alex de Feldkirch. On rejoint donc assez rapidement les deux autoroutes traversant l'Alsace, l'A35 et l'A36.
Réseau ferroviaire
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]- Ballonevillare (786), Bollunwilre (1135), Bollenwilre (1183), Bollewilr (1281), Polweyler (1471), Pollweiler (1542), Polweiler (1592), Pollweyler (1697), Bollwiller (1793).
Histoire
[modifier | modifier le code]Le village de Bollwiller est cité pour la première fois en 728 sous le nom d'une villa Baltowilr. D’abord simple Villa médiévale, Bollwiller devint le centre d’une seigneurie du même nom en 1135. Le village connaît une périodique de prospérité au XIIIe siècle et XIVe siècle. Les chartes de l'époque le qualifie d’oppidum. Bollwiller est le chef-lieu d'une seigneurie appartenant aux seigneurs de ce nom. Dans un acte de 1295, les deux frères Pierre et Burcard de Bollwiller offrent en fief à l'église de Strasbourg leur ville de Bollwiller (Bollewilr). Un petit bourg s’édifia autour d’un château construit au XIVe siècle (1354). L’un des seigneurs, Nicolas de Bollwiller, fut au service des empereurs d’Autriche, Charles Quint et Ferdinand. C’est lui qui acquit d’importantes possessions en Alsace et fut nommé grand bailli de la province en 1561[22]. Le château actuel a été édifié au XVIe siècle par Rodolphe de Bollwiller. Rodolphe de Bollwiller a hérité de la seigneurie de Florimont après la mort de Jean de Boxwiller, en 1604. La Maison de Habsbourg a engagé le château du Haut-Koenigsbourg auprès de Rodolphe de Bollwiller en 1606. Sa fille. Marguerite de Bollwiller s'est mariée avec le comte Jean Ernest de Függer, de la riche famille des banquiers d'Augsbourg. Après la mort de Rodolphe de Bollwiller, Jean Ernest de Függer reprend l'engagement du château. Rodolphe de Bollwiller est mort sans descendance mâle[23].
La seigneurie passe en 1617 entre les mains du comte Jean Ernest de Függer. Louis XIV a retiré la seigneurie de Boxwille au comte Függer pour la donner au général suédois Renaud de Rosen quand il est passé au service de La France. Sa fille, Marie-Sophie von Rosen (1638-1686) s'est mariée en 1660 à Conrad de Rosen et lui apporte en dot la baronnie de Bollwiller. Pour désintéresser les Függer et s'assurer de ses droits sur Bollwiller et Masevaux qui leur avait été aussi retiré, il a payé aux Függer avec le consentement du roi 40 000 livres pour leurs fiefs et 60 000 livres pour leurs allodiaux. Plus tard, il a encore payé 13 000 livres. En 1729, la terre de Bollwiller qui avait été érigée en baronnie par les empereurs du Saint-Empire est transformée en marquisat de Bollwiller.
En 1779, Sophie Rose de Rosen, comtesse de Kleinroop, fille d'Eugène de Rosen et petite fille de Conrad de Rosen, s'est mariée avec le duc Victor de Broglie et lui a apporté Bollwiller. Après l'exécution de son mari, elle s'est remariée en 1796 avec le comte Voyer d'Argenson.
Mines
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune de Bollwiller est membre de l'intercommunalité Mulhouse Alsace Agglomération[24], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Mulhouse. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[25].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Mulhouse, à la circonscription administrative de l'État du Haut-Rhin, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Grand Est[24].
Sur le plan électoral, elle dépendait jusqu'en 2020 du canton de Wittenheim pour l'élection des conseillers départementaux au sein du conseil départemental du Haut-Rhin. Depuis le , elle dépend du même canton pour l'élection des conseillers d'Alsace au sein de la collectivité européenne d'Alsace[26].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].
En 2021, la commune comptait 4 109 habitants[Note 6], en évolution de +6,78 % par rapport à 2015 (Haut-Rhin : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Château
[modifier | modifier le code]Château de la famille de Bollwiller, citée au XIIe siècle, sans qu'on sache si elle possédait déjà une demeure à Bollwiller dès cette époque ; le village primitif se serait trouvé à l'emplacement du château actuel, entouré d'une enceinte ; le château est attesté pour la première fois en 1354 ; l'édifice actuel se compose probablement de deux parties dont la plus ancienne, au nord, daterait du milieu du XVIe siècle ; en 1599, Rodolphe de Bollwiller l'agrandit vers le sud, ajoutant une deuxième tourelle d'escalier (date portée) ; au premier étage construction d'une galerie derrière la façade des deux corps de bâtiment, avec plafond à caissons ; le château devint la propriété de Reinhold de Rosen en 1649 ; construction de communs en 1738 ; au début du XIXe siècle, le château est racheté par des industriels les Koehler qui construisirent une filature à l'emplacement des communs et des magasins ; d'après le plan cadastral de 1839, le château est entouré de douves emplies d'eau (comblées à la fin du XIXe siècle). Il a été acheté en 1926 par KST, société privée d'exploitation de mines de potasse. En 1961, le château est acheté par l'association les Papillons blancs. Classé monument historique par arrêté du 19 novembre 2007.
Le manoir d'Argenson
[modifier | modifier le code]Maison édifiée en 1738, date inscrite sur la porte, pour Reinhold Charles de Rosen, seigneur de Bollwiller, mort en 1744 ; son héritière Sophie Rose de Rosen en 1779, épousa en secondes noces René Voyer, marquis d'Argenson qui laissa son nom à la demeure ; acquise vers 1860 par la famille Pfulb de Bollwiller, elle fut achetée par la commune en 1988 et restaurée pour devenir une dépendance de la maison de retraite.
Église paroissiale
[modifier | modifier le code]Jusqu'en 1847, le village de Bollwiller dépendait de la paroisse de Feldkirch ; en 1841, un terrain offert à la commune permit l'ouverture d'un cimetière, puis la construction d'une église fut entreprise à partir de 1844 ; les plans furent dressés en 1847 par François Laubser, architecte du département ; les travaux interrompus en 1848 par une épidémie furent achevés en 1852 ; clocher construit en 1862 avec toit en pavillon ; bombardé en 1945, il fut remplacé par un toit en bulbe. Elle est dédiée à saint Charles Borromée. Dans le chœur, un tableau représentant une Vierge à l'enfant a été offert par Napoléon III lors d'un séjour à Bollwiller en 1868. L'orgue est de 1857[34].
Le maître-autel provient de l'église paroissiale de Glis, près de Brigue, en Valais (Suisse). Datant de 1686, il fut acquis par la paroisse de Bollwiller en 1904 par l'entremise des établissements Klem de Colmar qui en avaient assuré la restauration et la mise en place en 1906. L'autel (12 m de haut sur 5 m de large) est en bois polychrome et doré, richement sculpté ; c'est une belle œuvre baroque de la fin de la Renaissance. Six grandes colonnes, en partie torsadées, en partie sculptées de motifs végétaux, soutiennent une voûte. L'ensemble est orné de nombreux bas-reliefs, de sept grandes statues de 160 cm de hauteur et de dix petites statues de 35 cm de haut.
Cimetière
[modifier | modifier le code]Le cimetière contient une croix de cimetière datée de 1845[35].
Synagogue
[modifier | modifier le code]Une communauté juive est attestée à Bollwiller depuis le XVe siècle, jusqu'à la guerre de Trente Ans, et renaît vers 1658, avec la construction d'une synagogue en 1672 ; développement de la communauté au XVIIIe siècle (quarante-cinq familles en 1789) ; la synagogue est fermée en 1793 ; au XIXe siècle, siège d'un rabbinat ; la synagogue indiquée sur le plan cadastral de 1839 est située à côté du 4, rue de la Synagogue ; détruite vers 1975 ; en 1866, une nouvelle synagogue est construite par l'architecte départemental François Laubser (qui dessina également les plans de l'église Saint-Charles) et achevée en 1868 ; rénovée en 1962, la synagogue était en service en 1988. En 1807, les juifs représentaient un quart de la population locale, soient 240 habitants sur les 948 que comptait la commune[36],[37].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jean Baumann, pépiniériste. La reinette Baumann a été nommé en son hommage.
- Conrad de Rosen (1628-1715), maréchal de France.
- Amélie Zurcher (1858-1947), géologue, instigatrice de la découverte de la potasse dans le sous-sol sud-alsacien.
- Charles Henry (1859-1926), bibliothécaire.
Héraldique
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Les armes de Bollwiller se blasonnent ainsi : |
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Georges Durrwell, « Histoire d'une ville d'Alsace et de ses environs -V- Bollwiller », Revue d'Alsace, t. 48, , p. 490-496 (lire en ligne)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Poire de Bollwiller variété hybride de sorbus
- Liste des communes du Haut-Rhin
- Liste des monuments historiques du Haut-Rhin
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Mulhouse comprend une ville-centre et 19 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Bollwiller » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Communes constituant l'agglomération mulhousienne (Mulhouse + Banlieue) sur le site de l'INSEE
- Legifrance - Arrêté du 22 décembre 2021 établissant les listes d'agglomérations de plus de 100 000, 150 000 et 250 000 habitants conformément à l'article R. 221-2 du code de l'environnement et à l'article L. 2213-4-1 du code général des collectivités territoriales : « Baldersheim, Bollwiller, Brunstatt-Didenheim, Feldkirch, Habsheim, Illzach, Kingersheim, Lutterbach, Morschwiller-le-Bas, Mulhouse, Pfastatt, Pulversheim, Reiningue, Richwiller, Riedisheim, Rixheim, Sausheim, Staffelfelden, Wittelsheim, Wittenheim. »
- Legifrance - Article L. 2213-4-1 du code général des collectivités territoriales
- « Fiche communale de Bollwiller », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « le Lohbach »
- Sandre, « le Wuenheim »
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- « SAGE Ill Nappe Rhin », sur gesteau.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bollwiller et Guebwiller », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Guebwiller », sur la commune de Guebwiller - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Guebwiller », sur la commune de Guebwiller - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Mulhouse », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Bollwiller ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mulhouse », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- SCHEURER MP 1991
- Fédération des Sociétés d'histoire et d'archéologie d'Alsace : Bollwiller (Rodolphe de)
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Bollwiller », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Mulhouse Alsace Agglomération - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- Rachel Noël, « Collectivité européenne d’Alsace : ce qu'il faut savoir sur le projet », sur www.francebleu.fr, (consulté le ).
- Les maires de Bollwiller sur francegenweb.org
- Notice TRAWALTER François par Michel Roth, version mise en ligne le 2 juillet 2016, dernière modification le 2 juillet 2016
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Bollwiller, St Charles Borromée, orgues de Claude-Ignace Callinet
- Notice no IA00111856, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Cimetière
- La communauté et les écoles juives de Bollwiller
- Notice no IA00111858, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Synagogue
- Archives Départementales du Haut-Rhin