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Cessy-les-Bois

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Cessy-les-Bois
Cessy-les-Bois
Église de Cessy-les-Bois.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Nièvre
Arrondissement Cosne-Cours-sur-Loire
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Loire
Maire
Mandat
Sandra Tixier-Maudry
2020-2026
Code postal 58220
Code commune 58048
Démographie
Gentilé Cessycois, Cessycoise
Population
municipale
114 hab. (2021 en évolution de +15,15 % par rapport à 2015)
Densité 6,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 20′ 13″ nord, 3° 12′ 23″ est
Altitude Min. 210 m
Max. 355 m
Superficie 17,49 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Cosne-Cours-sur-Loire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pouilly-sur-Loire
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Cessy-les-Bois

Cessy-les-Bois est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Ses habitants sont appelés les Cessycois (Cessycoises).

Géographie

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Cessy-les-Bois est un village nivernais de 107 habitants (recensement de 2019), situé à une dizaine de kilomètres de Donzy.

Hydrographie

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Le village est traversé par la rivière la Talvanne.

Outre le bourg, Cessy-les-Bois regroupe quelques hameaux et habitations isolés : Bondieuse, Chevenet, les Dubois, Montignon, Paray, la Redouterie...

Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 859 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Premery », sur la commune de Prémery à 20 km à vol d'oiseau[3], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 911,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,5 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −15,1 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Cessy-les-Bois est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cosne-Cours-sur-Loire, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,7 %), prairies (28,2 %), terres arables (14,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

On relève les formes suivantes du nom de la commune : Sassiacense monasterium (vers 600), Agrum Sessiacum (IXe siècle), Cenobium Saxiacense (IXe siècle), Monasterium de Saxiaco (1152), Prior de Sessyaco (1271), Prioratus de Sessiaco in Nemoribus (1534), Cessy (1538), Prioratus Sancti Baudelii de Cessiaco in Nemoribus (1540), Cessuy (1687) et Cissy-les-Bois (1755)[13].

Le nom de la commune, anciennement Saissy-les-Bois, viendrait d'un nom de personne latin, Sassius ou Sattius, et du suffixe acum[14].

Selon la croyance du IXe siècle, saint Didier, 19e évêque d'Auxerre 605-621, aurait convaincu une reine nommée Ingonde de donner à l'abbaye Saint-Germain d'Auxerre la terre de Saissy ; il en aurait obtenu une charte de donation, sous condition que Didier en aurait la jouissance et que la terre irait à l'abbaye seulement après son décès. Lebeuf, qui cite la chose, note que pour que cette histoire soit vraie il faudrait que Clotaire II (roi de Neustrie 584-613, roi des Francs 613-629) ait eu une épouse de ce nom[15] – ce qui, pour autant que l'on sache, n'a pas été le cas.

La première mention connue de Saissy est celle de son monastère, Sassiacense monasterium, vers l'an 600[13] dans la règle d'Aunaire. 18e évêque d'Auxerre (572-605), Aunaire y associe le monastère de Saissy au monastère Saint-Marien d'Auxerre pour assurer les vigiles de la nuit du mardi dans l'église Saint-Étienne[16] ; de plus le monastère de Saissy doit assurer les prières du premier jour des calendes de novembre[17]. L'abbé de Saissy est l'un des huit abbés pour les huit abbayes du diocèse de l'époque, présents au concile d'Auxerre convoqué par saint Aunaire[18].

En 878 une translation des reliques de sainte Baudèle est effectuée au monastère. Le manuscrit qui relate cette translation mentionne également le vénérable Wibaud, 38e évêque d'Auxerre 879-887, donnant le voile d'entrée en religion à une jeune fille auparavant aveugle et qui a été guérie (du temps de l'évêque) dans l'église de Saissy[19].

De La Rochelle mentionne un manuscrit daté aux environs de l'an mil, qui indique que des religieux de Saint-Baudèle à Nîmes auraient fui les incursions de barbares et seraient arrivés jusqu'au lieu où se trouve Cessy. Accompagnés de leur abbé saint Romule, ils y auraient construit une église début VIe siècle. Au début du VIIe siècle le monastère est bien connu[20]. Vers l'an 910 les Normands le brûlent[21],[22]. Gaudry, 42e évêque d'Auxerre 918-933, le rebâtit à ses frais en 920 et lui restitue les reliques de sainte Baudèle qu'il fait placer dans une châsse ornée ; il fait aussi plusieurs riches dons à l'église abbatiale[23],[24].

Après Gaudry, le monastère est aliéné et tombe dans les mains de seigneurs laïcs. Vers l'an 1000[24] Hugues de Chalon, évêque d'Auxerre 999 – 1030, réussit à récupérer l'abbaye des mains des laïcs et la réunit à l'abbaye Saint-Germain d'Auxerre[25], dont Hilderic est alors l'abbé. L'abbaye devient prieuré à cette occasion.

Geoffroy premier seigneur de Donzy s'en empare ensuite vers 1030 ; Hugues de Chalon la lui fait restituer[24].

Geoffroy, deuxième seigneur de Donzy et fils du premier, s'en empare à son tour. Geoffroy de Champallement (év. 1052-1076) et Boson prieur de Saint-Germain, font intervenir Philippe Ier et Geoffroy II de Donzy doit restituer le prieuré en 1065 ; mais il en conserve la garde spéciale, que ses successeurs retiennent pendant plus de 300 ans[24].

Au XIIIe siècle les religieux sont au nombre de six[24]. Pendant une période indéterminée, le prieuré doit une rente annuelle de 8 francs au couvent bénédictin de La Charité[26].

Le prieuré est complètement détruit par les calvinistes en 1569 pendant les guerres de Religion ; les moines sont dispersés et il devient un simple bénéfice[24], dont le poète Carpentier de Marigny a été titulaire[26].

Gilles de Souvré, 98e évêque d'Auxerre 1626-1631, aurait donné ce bénéfice à Edmond Richer (1560-1631), professeur de Sorbonne tenant très publiquement des propos réfutant la souveraineté des rois et des papes, et dont les écrits bannis au Vatican alarment jusqu'au cardinal de Richelieu ; mais la Ville d'Auxerre s'y est opposé[27].

Au XVIe siècle François II de Dinteville, 92e évêque d'Auxerre 1530-1554, délègue la dédicace de l'église de Saissy à Filbert de Beaujeu évêque de Bethléem, qui l'effectue le [28].

Armes de la famille de Rabutin.

1542 : François de Fontenay[29].

1651 : Roger de Bussy-Rabutin[30],[31].

1660 : Jacques Carpentier de Marigny, poète, pamphlétaire, prieur de Cessy.

1685 : Edme-Ravaud de Vieilbourg, prieur de Cessy.

Époque contemporaine

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  • En 1906[32], le nombre d'habitants de Cessy, qui compte 178 maisons, s'élève à 610 individus. La commune compte deux institutrices et un instituteur, trois cantonniers, deux gardes particuliers, un garde champêtre, un garde forestier et un curé. Il y a peu de commerçants : 5 épicières, 1 aubergiste, 1 marchand. Les ouvriers et artisans sont plus nombreux : 39 bûcherons, 32 charbonniers, 25 ouvriers agricoles, 6 fendeurs, 5 maçons, 5 sabotiers, 4 couturières, 2 lingères, 2 cercliers, 2 ouvriers bouchers, 1 tailleur de pierre, 1 empailleur de chaises, 1 meunier, 1 charron, 1 maréchal-ferrant, 1 talonnier, 1 cordonnier, 1 vigneron, 1 tisserand, 1 journalier... La profession la plus représentée est celle de cultivateur-exploitant (54), suivie par les bûcherons (39), les charbonniers (32), les ouvriers agricoles (25) et les domestiques (10). On compte également dans la commune 3 entrepreneurs en battage et 1 régisseur. Au total, on relève à Cessy 33 professions différentes. Il n’y a, selon le recensement de 1906, ni médecin ni notaire ni cabaretier ni sage-femme dans la commune. Enfin, 97 « élèves assistés » et autres nourrissons sont placés dans des familles du village.
  • 1908 : installation du téléphone[33].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 ? Gilbert-Raoul Lafond PS  
mars 2001 2014 Henri Massé   Gendarme retraité
mars 2014 2020 Martine Pascault Chartier    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

En 2021, la commune comptait 114 habitants[Note 3], en évolution de +15,15 % par rapport à 2015 (Nièvre : −4,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
519477503687659671689682735
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
743768793759783762715702691
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
708648537474425335284271215
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
223196156134113107123123122
2015 2020 2021 - - - - - -
99114114------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37]. |recens-prem=2005 .)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Le lavoir sur la Talvanne (bourg).

Lieux et monuments

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  • Église Saint-Christophe : construction 1re moitié du XVIe siècle et XIXe siècle ; inscrite MH le [38],[39].
  • Prieuré : l'emplacement exact de l'ancien monastère de Cessy reste à déterminer. Deux thèses s'opposent : selon l'une, le prieuré, détruit en 1569, se trouvait à l'emplacement de l'actuelle mairie ; selon l'abbé Charrault, historien local, il se situait à Montignon, à flanc de coteau.
  • Colombier des moines.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Cessy-les-Bois et Prémery », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Premery », sur la commune de Prémery - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Premery », sur la commune de Prémery - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Cessy-les-Bois ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cosne-Cours-sur-Loire », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a et b Georges de Soultrait, Dictionnaire topographique du département de la Nièvre : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, vol. 18, Paris, Imprimerie impériale, , 246 p. (lire en ligne), p. 32.
  14. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, 1963.
  15. Lebeuf 1743, p. 131, vol. 1.
  16. Lebeuf 1743, p. 120, vol. 1.
  17. Lebeuf 1743, p. 118, vol. 1.
  18. Lebeuf 1743, p. 121, vol. 1.
  19. Lebeuf 1743, p. 196, vol. 1.
  20. Rochelle 1827, p. 377.
  21. Lebeuf 1743, p. 215, vol. 1.
  22. Rochelle 1827, p. 377-378.
  23. Lebeuf 1743, p. 215-216, vol. 1.
  24. a b c d e et f Rochelle 1827, p. 378.
  25. Lebeuf 1743, p. 237, vol. 1.
  26. a et b Rochelle 1827, p. 379.
  27. Lebeuf 1743, p. 680, vol. 1.
  28. Lebeuf 1743, p. 593, note (a), vol. 1.
  29. Abbé Marolles, Titres de Nevers.
  30. Archives départementales de la Nièvre, Minutier du notaire Jean Voullereau (Colméry), 3 E 8 / 134.
  31. « Vente d’une terre à Roger de Bussy-Rabutin », Cahiers du val de Bargis, 15 juin 2014 (ISSN 2801-3816).
  32. Archives départementales de la Nièvre, Recensement de 1906, 6 M 048/1.
  33. Rapports du préfet, procès-verbaux des délibérations / Conseil général de la Nièvre, 1er août 1909, p. 29, sur Gallica.
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. « Église de Cessy-les-Bois », notice no PA00112818, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. Plan de l'église sur patrimoine-de-france.com. Photos et description succincte de l'église sur web-croqueur.fr.

Articles connexes

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Bibliographie

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Liens externes

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