Famille Brossolette
Apparence
La famille Brossolette, puis Pierre-Brossolette depuis 1954, est une famille française originaire du Puy-de-Dôme, puis établie dans l'Aube à la fin du XVIIIe siècle.
Histoire
[modifier | modifier le code]Fils du résistant Pierre Brossolette mort en 1944, Claude Jean François Brossolette (1928-2017) a été autorisé à porter le nom Pierre-Brossolette par une ordonnance, homologuant un décret, transcrite le [1].
Sa fille Sylvie est née « Brossolette » le et porte le nom « Pierre-Brossolette »[2].
Filiation
[modifier | modifier le code]- François Polycarpe Brossolette (Chessy-les-Prés en 1828 - Chessy-les-Prés en 1892), cultivateur[3], épouse Marie Célestine Viaut.
- Léon Brossolette (Chessy-les-Prés en 1858-1938)[4], inspecteur de l'enseignement primaire à Paris, ardent défenseur de l'enseignement laïque au début du XXe siècle), chevalier de l'ordre national de la Légion d'honneur. Il épouse à Lyon en 1896 Jeanne Vial[3], fille de Francisque Vial, directeur de l'enseignement secondaire.
- Marianne Brossolette[4] (1897-1983) épouse René Ozouf (1889-1959), directeur d'école normale, inspecteur de l'enseignement primaire.
- Jacques Ozouf (1928-2006)[5] épouse Mona Annig Sohier (1931)[6], historienne et philosophe, fille de Yann Sohier, instituteur, militant de la langue bretonne et internationaliste.
- Pierre Brossolette (1903-1944)[7],[8], journaliste, homme politique et résistant. Il épouse Gilberte Bruel (1905-2004)[9],[3], résistante et femme politique.
- Claude Pierre-Brossolette[10] (1928-2017)[11], haut fonctionnaire, banquier. Il épouse Julie Goldet (1931-2017).
- Sylvie Pierre-Brossolette (1954), journaliste. Elle épouse Philippe Meyer (1933-2020)[12], professeur de médecine.
- Philippine Pierre-Brossolette-Meyer (1984), actrice[13].
- Sylvie Pierre-Brossolette (1954), journaliste. Elle épouse Philippe Meyer (1933-2020)[12], professeur de médecine.
- Claude Pierre-Brossolette[10] (1928-2017)[11], haut fonctionnaire, banquier. Il épouse Julie Goldet (1931-2017).
- Marianne Brossolette[4] (1897-1983) épouse René Ozouf (1889-1959), directeur d'école normale, inspecteur de l'enseignement primaire.
- Léon Brossolette (Chessy-les-Prés en 1858-1938)[4], inspecteur de l'enseignement primaire à Paris, ardent défenseur de l'enseignement laïque au début du XXe siècle), chevalier de l'ordre national de la Légion d'honneur. Il épouse à Lyon en 1896 Jeanne Vial[3], fille de Francisque Vial, directeur de l'enseignement secondaire.
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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Notes et références
[modifier | modifier le code]- Fabien Cardoni, Nathalie Carré de Malberg, Michel Margairaz, Dictionnaire historique des inspecteurs des finances (1801-2009), [lire en ligne]
- Décret du 31 décembre 2015 portant promotion et nomination
- Guillaume Piketty, « notice Brossolette Pierre », Dictionnaire biographique, mouvement ouvrier, mouvement social dit Le Maîtron, (lire en ligne)
- Philippe-Jean Catinchi, « Léon Brossolette et Marianne Ozouf, les images d’un succès », Le Monde, (lire en ligne)
- Philippe-Jean Catinchi, « Jacques Ozouf », Le Monde, (lire en ligne)
- Françoise Mélonio, « Ozouf, Mona (née Sohier) [Plourivo 1931] », dans Béatrice Didier, Antoinette Fouque et Mireille Calle-Gruber (dir.), Dictionnaire universel des créatrices, Éditions Des femmes, , p. 3311
- Jérôme Gautheret, « Pierre Brossolette, le rebelle de la France libre », Le Monde, (lire en ligne)
- Pierre Hedrich, « Les enfants de Pierre Brossolette témoignent », L'Obs, (lire en ligne)
- « Gilberte Brossolette, ancienne sénatrice (socialiste) de la Seine », Le Monde, (lire en ligne)
- Philippe Labro, « Son père, ce héros », Le Figaro, (lire en ligne)
- « Mort de Claude Pierre-Brossolette, ancien secrétaire général de l’Elysée entre 1974 et 1976 », Le Monde, (lire en ligne)
- « Philippe Meyer dit Philippe Maire », Ajpn, (lire en ligne)
- Filmographie de Philippine Pierre-Brossolette.