La Neuville-Sire-Bernard
La Neuville-Sire-Bernard | |||||
L'église. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Montdidier | ||||
Intercommunalité | CC Avre Luce Noye | ||||
Maire Mandat |
Philippe Darcis 2020-2026 |
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Code postal | 80110 | ||||
Code commune | 80595 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
295 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 71 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 44′ 33″ nord, 2° 30′ 57″ est | ||||
Altitude | Min. 37 m Max. 104 m |
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Superficie | 4,18 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Moreuil | ||||
Législatives | 4e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://mairie.neuville-sire-bernard.pagesperso-orange.fr/ | ||||
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La Neuville-Sire-Bernard est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Moreuil | Le Plessier-Rozainvillers | |||
N | ||||
O La Neuville-Sire-Bernard E | ||||
S | ||||
Braches | Contoire |
Nature du sol et du sous-sol
[modifier | modifier le code]Le sol de la commune est tourbeux à l'ouest, majoritairement limoneux et crayeux sur le reste du territoire.
Relief, paysage, végétation
[modifier | modifier le code]Le relief de la commune est celui d'une vallée prolongée à l'ouest par un plateau.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Avre[Carte 1].
L'Avre, d'une longueur de 66 km, prend sa source dans la commune de Amy, à 81 m d'altitude, et se jette dans la Somme à Longueau, à 24 m d'altitude, après avoir traversé 31 communes[1]. Les caractéristiques hydrologiques de l'Avre sont données par la station hydrologique située sur la commune. Le débit moyen mensuel est de 2,15 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 10,1 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 10,2 m3/s, atteint le même jour[2].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Somme aval et Cours d'eau côtiers ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[3].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 688 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-en-Santerre à 14 km à vol d'oiseau[6], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , La Neuville-Sire-Bernard est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (87,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,7 %), zones urbanisées (7,1 %), forêts (7 %), zones agricoles hétérogènes (6,1 %), zones humides intérieures (2,3 %), eaux continentales[Note 4] (1,8 %)[14]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Habitat
[modifier | modifier le code]La commune est constituée de trois hameaux :
- le chef-lieu, La Neuville ;
- Quiry-le-Vert ;
- et une partie importante de Saint-Aubin-en-Harponval, abandonné en 1715[15].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Situé à 4 km au sud de Moreuil et 12 km au nord de Montdidier, le village est aisément accessible par l'ancien itinéraire de l'ex-route nationale 35 (actuelle RD 935) reliant Compiègne à Amiens et Abbeville.
Le sentier de grande randonnée 123 passe dans la commune.
Toponymie
[modifier | modifier le code]En 1146, sous l'épiscopat de Theodericus (Thierry), évêque d'Amiens, le village est désigné sous la forme latinisée Novavilla (Cf. Gallia Christiana)[16] ; Dans un pouillé, Neuville est relevé dès 1301. En 1513, les coutumes de la châtellenie de Moreuil mentionnent Neuville messire Bernard, confirmé en 1567 par Neufville-Messire-Bernard dans les coutumes de Montdidier. G. Delisle cite La Neuville-sire-Bernard en 1733[17].
C'est un toponyme très répandu désignant une ville nouvelle (« neuve ville »). De l'adjectif de la langue d'oïl neuve et ville « village »[18].
La commune doit le complément Sire Bernard accolé au nom primitif, à Bernard IV de Moreuil qui acquit la seigneurie de La Neuville en 1229.
Durant la Révolution française, la commune porta un temps le nom de La Neuville-le-Vert. Elle reprit, par la suite, son nom actuel[19].
Histoire
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]En 1851, on découvrit un cimetière mérovingien au lieu-dit la Capelle. Les artéfacts sont déposés au musée de Picardie à Amiens[20].
La seigneurie, possession de Jean de Chaumont, relevait de l'abbaye de Corbie. Elle fut vendue en 1229 à Bernard IV de Moreuil, maréchal de France qui se distingua aux côtés du roi Louis IX (Saint-Louis) pendant la Guerre de Saintonge, en 1242[15]. La seigneurie de La Neuville resta en possession de la Famille de Moreuil-Soissons jusqu'à la fin du Moyen Âge.
Époque moderne
[modifier | modifier le code]La seigneurie de La Neuville passa à la Famille de Créquy par le mariage de Jossine de Soissons Moreuil avec Jean VII de Créquy en 1497.
En 1715, un vaste incendie réduisit en cendres Saint-Aubin-en-Harponval où il ne resta plus que l'église. La localité fut abandonnée par ses habitants. Le vestige d'un ancien monastère fort important fut démoli ensuite.
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]XIXe siècle
[modifier | modifier le code]Au XIXe siècle, on comptait au village trois moulins à eau : un pour l'huile, le second pour la farine et le troisième pour la fabrication du tissu[21].
Première Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Jusqu'au début de 1918, le village est à l'arrière du front[22] et accueille un hôpital d'évacuation de l'armée française (ambulance 1/9[23]), ainsi qu'un parc d'artillerie[24],[25],[26].
Il se trouve dans la zone des combats de l'offensive du Printemps de 1918. La commune fut libérée le [27].
« A 8 heures, deux divisions contournent le bois de Moreuil par le nord-est et par le sud-ouest. Sur l'Avre, une autre division s'empare de Morisel, tandis qu'au sud de Moreuil un bataillon traverse la rivière. Ainsi Moreuil, tourné par le nord et par le sud, tombe ; au sud de Moreuil, deux nouvelles divisions s'engagent alors, forcent le passage de l'Avre à hauteur de Braches et ouvrent la voie aux unités qui auront à mener la lutte sur les plateaux. En fin de journée, les troupes françaises, progressant de 8 kilomètres environ, ont atteint la ligne Braches, la Neuville-Sire-Bernard, donnant la main aux Britanniques aux environs de Mézières. »
Entre-deux-guerres
[modifier | modifier le code]À la fin de la Grande Guerre, le village, considéré comme totalement détruit[28], a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [29].
La reconstruction s'est déroulée dans les années 1920.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]- Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme.
Elle fait partie depuis 1793 du canton de Moreuil[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
- Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Moreuil
Pour l'élection des séputés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.
La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.
Elle fait partie depuis 1793 du canton de Moreuil[19], modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune était membre de la communauté de communes du canton de Moreuil, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créée par un arrêté préfectoral du et renommée communauté de communes Avre Luce Moreuil (CCALM) par arrêté préfectoral du .
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.
Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d'Avre, Luce et Moreuil[30], la préfète dévoile en son projet qui prévoit la « des communautés de communes d'Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[31],[32]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[33] et de la commission départementale de coopération intercommunale en [34] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du [35], qui prend effet le .
La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[40].
En 2021, la commune comptait 295 habitants[Note 5], en évolution de +6,12 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Activités économiques et de services
[modifier | modifier le code]L'activité dominante de la commune reste l'agriculture.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- La vallée de l'Avre et ses plans d'eau.
- Église de l'Assomption-de-la-Sainte-Vierge[42]. Tout en brique, l'édifice a été reconstruit après les destructions de la Première Guerre mondiale.
- Chapelle dédiée à la Vierge, bâtie sur un cimetière mérovingien[20].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Liste de seigneurs de La Neuville-Sire-Bernard[15]
- Bernard V de Moreuil, seigneur de Cœuvres, Maréchal de France.
- Thibaut de Soissons-Moreuil, gouverneur de Soissons et de Boulogne, puis de toute la Picardie, en 1415.
- Jean Ier de Soissons-Mmoreuil, prince de Poix, bailli de Troyes et du Vermandois, capitaine d'Abbeville, en 1483.
- Jean VII de Créqui, prince de Poix, qui chassa les Anglais et les Impériaux de la Picardie, en 1523.
- Charles Ier de Créqui, prince de Poix, duc de Lesguidieres, pair et maréchal de France, tué devant Brême en 1638.
- François de Bonne de Créqui, marquis de Marines, Maréchal de France.
- Louis de Rougé, marquis de Plessis-Bellières, baron de Vienne-le-Château, colonel du Régiment de Vexin vers 1740.
- Emmanuel Maurice d'Elbeuf, en 1747.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie
- La Neuville-Sire-Bernard sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune la Neuville-Sire-Bernard (80595) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
- « La Neuville-Sire-Bernard »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 28/07/2024 à 02:05 TU à partir des 661 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/10/1968 au 01/06/2024.
- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de la Neuville-Sire-Bernard » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Sandre, « l'Avre »
- « Station hydrométrique L'Avre à Moreuil », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le )
- « SAGE Somme aval et Cours d'eau côtiers », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre La Neuville-Sire-Bernard et Rouvroy-en-Santerre », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de La Neuville-Sire-Bernard ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- James Virth, « Page d'histoire locale », sur mairie.neuville-sire-bernard.pagesperso-orange.fr (consulté le ).
- « mairie.neuville-sire-bernard.p… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique du département de la Somme, tome 2, p. 108, lire en ligne sur le site des Archives départementales de la Somme, Amiens , vue 57/267.
- Toponymie générale de la France, Genéve, Droz, , p. 1426.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 224 (ASIN B000WR15W8).
- « La Neuville-Sire-Bernard, un village chargé d'histoires : Près de Moreuil, La Neuville-Sire-Bernard est un petit village d'environ 200 habitants, dont l'histoire a marqué les habitants », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : La Neuville-Sire-Bernard (près). Boucherie militaire », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- « Localisation des formations sanitaires de la zone des armées (1914-1918) », sur hopitauxmilitairesguerre1418.overblog.com, (consulté le ).
- Images Défense, « La Neuville-Sire-Bernard, parc d'artillerie. » (consulté le ).
- « Photo d'Édouard Brissy : Chargement sur camion d'un canon 155 Saint-Chamond à La Neuville-Sire-Bernard (mars 1917) », notice no APD0003507, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- « Photo d'Édouard Brissy : Visite de la Mission russe : parc d'équipage du GAN (groupe d'armée du Nord) ouvriers tourneurs (27 février 1917) », notice no APD0003425, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- Les Batailles de Picardie : Itinéraire. Amiens, Montdidier, Compiègne, Michelin, , 128 p. (lire en ligne), p. 96-97, lire en ligne sur Gallica.
- Carte spéciale des régions dévastées,document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 6 novembre 1920, p. 17584.
- Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
- « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard, (lire en ligne).
- Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l'idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l'idée d'un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
- « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d'ECPI », Décideurs en région, (lire en ligne).
- « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
- « Qui succédera à Jacques Bertrand, maire de La-Neuville-Sire-Bernard pendant un demi-siècle? Réponse samedi 23 mai », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Jacques Bertrand a été élu adjoint en mars 1965 puis maire en décembre 1969 ».
- « Philippe Darcis, nouveau maire », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3606, , p. 28.
- « Le conseil municipal à nouveau complet », Courrier picard, , p. 17.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de la Neuville-Sire-Bernard, d'après nature, 14 juin 1876 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).