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Le Béage

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Le Béage
Le Béage
Le village du Béage.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Largentière
Intercommunalité Communauté de communes de la Montagne d'Ardèche
Maire
Mandat
Claude Brun
2020-2026
Code postal 07630
Code commune 07026
Démographie
Gentilé Béageois
Population
municipale
255 hab. (2021 en évolution de −4,49 % par rapport à 2015)
Densité 7,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 51′ 00″ nord, 4° 07′ 11″ est
Altitude Min. 960 m
Max. 1 609 m
Superficie 32,83 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Haute-Ardèche
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Le Béage
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Le Béage
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Le Béage

Le Béage est une commune française, située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Rattachée administrativement à la communauté de communes de la Montagne d'Ardèche, Le Béage d'une des communes dont le territoire borde géographiquement le Massif du Mézenc.

Géographie

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La localité se trouve sur la route départementale RD 122, reliant les préfectures de Privas et du Puy-en-Velay. Le village se situe au milieu de l'axe touristique entre le mont Gerbier-de-Jonc et le lac d'Issarlès. Le village présente un aspect essentiellement rural et l'ensemble de son territoire est localisé en zone de moyenne montagne, dans la partie du Massif central appelée Haut-Vivarais.

Communes limitrophes

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Le Béage est limitrophe de sept communes[1], dont cinq sont situées dans le département de l'Ardèche et deux dans le département de la Haute-Loire. Ces localités sont réparties géographiquement de la manière suivante :

Rose des vents Freycenet-la-Cuche (Haute-Loire) Les Estables (Haute-Loire) Borée Rose des vents
Issarlès N Sainte-Eulalie
O    Le Béage    E
S
Le Lac-d'Issarlès Cros-de-Géorand

Géologie et relief

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En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 6,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 251 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cros Géorand », sur la commune de Cros-de-Géorand à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 8,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 410,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Hydrographie

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Le territoire de la commune du Béage est traversé par le Veyradeyre (ou ruisseau la Veyradeyre), lequel prend sa source au lieu-dit du Bois des Seigneurs, en limite du territoire communal. Long de 16,6 kilomètres[8], ce ruisseau se jette dans la Loire, rattachant ainsi le territoire de la commune au bassin de la Loire, alors que le territoire de la plupart des autres communes de son département sont rattachées au bassin du Rhône.

Voies de communication

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Le territoire communal est traversé par la RD 122.

Au , Le Béage est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (38,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (55,5 %), forêts (28,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,2 %), zones urbanisées (0,9 %)[13].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels

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Risques sismiques

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L'ensemble du territoire de la commune du Béage est situé en zone de sismicité no 2 (sur une échelle de 5), comme la plupart des communes situées sur le plateau et la montagne ardéchoise[14].

Terminologie des zones sismiques[15]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 2 Sismicité faible accélération = 1,1 m/s2

Autres risques

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L'étymologie du Béage est à raisonner à partir de Lo Biatge, son nom occitan. Si l´on remonte dans le temps, « Le Béage », nom francisé, ne daterait que de la Révolution française (1790), époque où Le Béage fut érigé en commune. Plusieurs hypothèses essaient d'expliquer nom du village. Le Béage viendrait du latin pedagium (péage) en lien avec le commerce très ancien le long de cette voie. Le village est aussi nommé sous le nom de Bisatico et de Bidagiis (latin). D'après Régis Sahuc, le village se serait aussi appelé « Arvermateia », ce qui aurait signifié « porte de l'Auvergne » ou des « Arvernes », tribu gauloise de cette région. Une autre hypothèse rapproche ce nom de Bisadge-Bisadgis qui signifie « le village aux deux chemins » (?), un chemin au centre du village qui se dirige vers le hameau de Chabanis et l'autre du Chastelas.

Extrait de la carte de Cassini de Borée, du Béage, des Estables et de la Chartreuse de Bonnefoy
Borée, Le Béage, Les Estables et la Chartreuse de Bonnefoy sur la carte Cassini.

Ses origines et son nom paraissent liés au vieux chemin qui le traverse. En effet, de Montpezat-sous-Bauzon au Monastier avait existé un chemin très ancien venant de la vallée du Rhône appelé chemin du Pal. En 52 av. J.-C., Jules César et ses renforts seraient passés non loin du village (peut être à l'intérieur) pour aller impressionner les Arvernes. Le temps les aurait d'ailleurs forcés à fournir de gros efforts par six pieds de neige. Situé à mi-chemin, Le Béage connut un commerce renommé car ce village était un véritable relais pour les muletiers et autres charretiers qui, depuis le Midi, se rendaient au Puy-en-Velay (Anicium). On dénombrait d'ailleurs un grand nombre d'auberges. Après la Révolution, les royalistes étaient encore nombreux dans la région, et des troupes du Puy-en-Velay durent venir en renfort des forces locales pour maintenir l'ordre.

De nombreuses foires et marchés attiraient une grande foule au Béage où la plupart des habitants étaient à la fois paysans, commerçants, voituriers et bien souvent propriétaires de débit de boissons. On en comptait encore une trentaine dans les années 1940. Dans les années 1830, la population était environ de 2 400 habitants puis de 1 550 dans les années 1900 ; on n'en compte plus aujourd'hui que 318. Ce commerce laisse supposer que les origines du Béage remontent loin dans le temps car certains noms : « Chazales », du bas-latin casāle, « propre de la maison » (occitan Chasals : les grandes maisons), « Crouste » (occitan crota : grotte, maison dans la terre), « Chabanis » (occitan chabana : cabane), témoignent de très anciens habitats. C´est certainement le regroupement des habitants à la croisée des deux chemins qui a donné naissance au village du Béage.

Politique et administration

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Administration municipale

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Mairie du Béage
Mairie du Béage.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1801 1801 Antoine Théogrède Chouvet   Curé
1801 1802 Jean Louis Gimbert   Notaire, du lieu de l'abbaye de Bonnefoy
1802 1825 Antoine Saugues    
1825 1828 François Talobre    
1828 1830 Jean Louis Ollier    
1830 1834 Jean Jacques Gimbert   Notaire, du lieu de l'abbaye de Bonnefoy
1834 1836 Louis Testud    
1836 1854 Jean Louis Ollier    
1854 1860 Jean Antoine Souteyran   Capitaine d'infanterie à la retraite
Chevalier de la Légion d'honneur
médaillé de Sainte-Hélène Du lieu Des Farges
1860 1870 Cyprien Souteyran   Propriétaire. Du lieu Des Farges
1870 1871 Adolphe Lourdin    
1871 1879 Cyprien Souteyran    
1880 1886 Rosières Saugues    
1886 1888 Jean Louis Petit    
1888 1889 Cyprien Souteyran    
1889 1901 Clovis Souteyran   Employé de préfecture. Propriétaire. Du lieu Des Farges
1901 1902 Pierre Teyssier   Propriétaire terrien
1902 1929 Clovis Souteyran    
1929 1959 Prosper Ollier   Propriétaire
1959 1971 Edmond Jalade    
mars 1971 mars 1989 Marcel Gardès UDR puis RPR Médecin
Conseiller général
Conseiller régional
mars 1989 juin 1995 Jean Lavastre UDF Gérant de société
juin 1995 mai 2020 Jean-Marie Redon DVD Gérant de société
mai 2020 En cours
(au [16])
Claude Brun   Chargé d’affaires dans la fonction publique

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[18].

En 2021, la commune comptait 255 habitants[Note 1], en évolution de −4,49 % par rapport à 2015 (Ardèche : +2,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2801 3381 3691 6182 4061 7941 7311 7521 756
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7121 7431 7251 6141 6481 6021 5751 5121 530
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5621 5301 4081 3021 2011 1311 056928827
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
671640531436352337332284257
2021 - - - - - - - -
255--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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Foire grasse du Béage
Foire grasse du Béage.
  • La Foire Grasse (concours de bovins gras) a lieu chaque année, trois semaines avant Pâques.
  • La soirée « Maôche » (spécialité traditionnelle : panse de porc farci avec du chou et de la chair à saucisses) organisée chaque année le week-end du 11-Novembre.
  • Le vide-greniers a lieu chaque année, le dernier samedi de juillet.
  • La Fête du village du Béage a lieu chaque année, le dernier dimanche de juillet. Cette fête s'accompagne d'un défilé de chars fleuris, et d'un vide-grenier.
  • De nombreux bals et évènements, organisés par le Comité des Jeunes tout au long de l'année.
  • Le Salon du 4x4 du Béage avait lieu chaque année, le dernier week-end de mai.

Équipements et services publics

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Vue du vieux village
Le vieux village place de l'Église.

Le village comporte de nombreux commerces et services :

  • un bar, un hôtel, un restaurant ;
  • un snack, une épicerie, une station-service ;
  • une boulangerie ;
  • une boucherie-charcuterie ;
  • un bureau de tabac-presse, épicerie, quincaillerie ;
  • un négoce de bétail ;
  • un garage automobile ;
  • une entreprise du BTP ;
  • un marchand de matériaux gros œuvre, transport ;
  • une école primaire, un bureau de poste, une gendarmerie, caserne de pompiers.

Les années 2000 ont vu la construction des lotissements, de la salle polyvalente, d'une caserne de sapeurs-pompiers. La rénovation du vieux village a également été faite, avec l'installation de pavés.

Vie associative

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  • Comité des fêtes
  • Association Sportive du Béage (football, équipe seniors deuxième division Drôme-Ardèche)
  • Comité des Jeunes du Béage
  • Soleil d'Automne
  • Association des Grands Plateaux

Enseignement

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La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Deux organes de presse écrite sont distribués dans la commune :

Il s'agit d'un journal hebdomadaire français basé à Valence et diffusé à Privas depuis 1999. Il couvre l'actualité pour tout le département de l'Ardèche.
Il s'agit d'un journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition du centre et sud Ardèche (Privas).

La communauté catholique et l'église du Béage (propriété de la commune) sont rattachées à la paroisse Notre-Dame de la Montagne, elle-même rattachée au diocèse de Viviers[21].

Culture locale et patrimoine

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Chartreuse de Bonnefoy en 1818

Lieux et monuments

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  • Les ruines de la chartreuse de Bonnefoy laissent apparaître la « maison haute » et la « maison basse ». Celle-ci fut la plus haute de France, avec une altitude de 1 310 m.
  • L'église Saint-Pierre du Béage du XIXe siècle renfermant :
    1. une croix de procession du 1er quart du XVIe siècle qui fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [22],
    2. une cloche de 1661 qui fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [23].
  • Les ruines du château du Béage, le « Chastelas ». Un texte de 1442 nous apprend que les chartreux ont été dotés d'une tour du château[24].

Spécialités culinaires

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  • La maôche, (« maucha » en occitan se prononce [mauSo]), panse de cochon farcie à la chair à saucisses et aux choux. Cuite très longtemps à l'eau.
  • La bombine, composée de pommes de terre, accompagnée de carottes, d'oignons, de morceaux de lard (ou d'agneau, ou de pied de veau…) et parfumée à la feuille de laurier.
  • La pogne, brioche en forme de couronne, faite à partir de farine, œufs et beurre et parfumée à la fleur d'oranger.

Personnalités liées à la commune

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Blason de la famille « du Béage ».
  • Gérenton du Béage (Jarento de Bisatico), seigneur du Béage, mort devant les murs de Jérusalem lors des croisades[25].
  • Le capitaine Jean-Antoine Souteyran ( - , fils de Victor Souteyran et de Isabeau Giraud). Officier dans l'armée napoléonienne, premier porte-aigle du 64e d'infanterie de ligne en , lieutenant porte-drapeau au 60e régiment d'infanterie le , chevalier de la Légion d'honneur (1831), médaille de Sainte-Hélène (1857). Iéna, Prantzlow-Eylau, Friedland, Lérida, Valence-Terragone, Villafranca de Panadès, Waterloo. Marié avec Rose Faure. Ancien maire du Béage (1854-1860). Sa tombe est visible aujourd'hui au cimetière du Béage.
  • Régis Breysse, né au Béage le , fils de Jean Louis Breysse et de Rose Chamard. Il décède à Bicêtre le . Artiste sculpteur. Le sculpteur Pierre-Jean David d'Angers lui ouvrit les portes de son atelier. École des Beaux-Arts. « Le Christ en croix », église d'Aubenas - « Boissy d'Anglas présidant l'assemblée du 1er prairial », salle d'audience du Conseil de préfecture de Privas.
  • Aimé Grasset, aviateur, né le au Béage. Pilote d'essai, pionnier du vol à voile, héros de la Grande Guerre, il fut au début des années 1920 l’un des premiers pilotes de ligne de l’histoire de l’aviation civile. Il disparaît en 1924 aux commandes de son avion qui s'écrase près de Jihlava (République Tchèque) alors qu'il assure la liaison Prague - Vienne - Budapest.

Héraldique

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Le Béage possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Bibliographie

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  • Jean Peyrard, Histoire secrète de l'Auvergne, 1981.
  • Florentin Benoît d'Entrevaux, « Un montagnard ardéchois officier de la Grande Armée - Le capitaine Souteyran », La Revue du Vivarais, 1910, p. 564-571.
  • Laurent Haond, « Le quartier du Pont du Béage », Les Cahiers du Mézenc, Privas, t. cahier n° 18,‎ (lire en ligne)
  • Alain Charre, Aimé Grasset pionnier de l'aviation - Du mont Mézenc aux monts de Bohême, auto-édition, 2017 (ISBN 978-2-9548956-1-1).

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Direction départementale de l'Équipement, « Carte en relief de l'Ardèche avec limites communales »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur ardeche.equipement.gouv.fr, (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Le Béage et Cros-de-Géorand », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Cros Géorand », sur la commune de Cros-de-Géorand - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Cros Géorand », sur la commune de Cros-de-Géorand - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Veyradeyre (K0025000) » (consulté le )
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  10. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Préfecture du Rhône, page sur les risques sismiques
  15. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  16. Liste des maires de l'Ardèche [PDF], Préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
  17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  21. Site ardeche.catholique.fr, page sur la paroisse Notre-Dame de la Montagne.
  22. Notice no PM07000067, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  23. Notice no PM07000066, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  24. Nicolas Mengus, Châteaux forts au Moyen Âge, Rennes, Éditions Ouest-France, , 283 p. (ISBN 978-2-7373-8461-5), p. 38.
  25. Florentin Benoît d'Entrevaux, Revue du Vivarais, 1910.