Le Crocq
Le Crocq | |||||
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Beauvais | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de l'Oise picarde | ||||
Code postal | 60120 | ||||
Code commune | 60182 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Crocquois ou Crocquants | ||||
Population municipale |
178 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 57 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 37′ 40″ nord, 2° 10′ 50″ est | ||||
Altitude | Min. 145 m Max. 187 m |
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Superficie | 3,1 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Beauvais (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Just-en-Chaussée | ||||
Législatives | 1re circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://lecrocq.fr/ | ||||
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Le Crocq est une commune française située dans le département de l'Oise et la région des Hauts-de-France.
Ses habitants sont appelés les Crocquants ou les Croquois.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Le Crocq est un village rural de Picardie situé dans le Plateau picard[1], dans la partie nord-ouest du département à mi-chemin environ de Amiens et de Beauvais.
En 1836, Louis Graves indiquait qu'il s'agissait d'une « petite commune dont le territoire est nettement borné au midi par la route royale de Rouen à La Capelle[Note 1], et à l'est par la voie romaine d'Amiens à Beauvais qui se croisent à angle droit; elle est placée à l'origine du ravin qui descend à Cormeille et à Blanc fossé ; le chef-lieu rapproché de la limite orientale est formé d'une rue principale, large, sur l'ancienne roule d'Amiens à Beauvais par Croissy[2] ».
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Cormeilles, Doméliers, Hardivillers et Oursel-Maison.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le territoire communal s'étend sur 310 hectares dont l'altitude varie de 145 à 187 mètres[3].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par le Crocq[Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[4].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 750 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 13 km à vol d'oiseau[7], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Le Crocq est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,3 %), forêts (11,6 %), zones urbanisées (8,1 %)[14]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]L'aspect du village est typique des villages dits villages bosquet, c'est-à-dire : une route principale (nord-sud) qui le traverse, presque en ligne droite ; chaque maison se prolonge par un jardin potager, quelquefois un verger et une basse-cour ; un chemin piéton herbeux, dit Tour-de-Ville, est utilisé pour se promener, pour faire circuler les animaux des fermes afin de les conduire aux prés ; des mares centrales (il y n'en a plus qu'une actuellement) qui étaient utilisées pour faire boire le bétail, de réserves d'eau en cas d'incendie ; des calvaires.
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 76, alors qu'il était de 78 en 2013 et de 70 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 89,9 % étaient des résidences principales, 3,4 % des résidences secondaires et 6,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements au Le Crocq en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,4 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 91 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (95,7 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Le Crocq[I 2] | Oise[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 89,9 | 90,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 3,4 | 2,5 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 6,7 | 7,1 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Le Crocq est situé sur la route départementale N° 11, la plus courte reliant Amiens et Beauvais. Il est aisément accessible par la sortie 16 de l'autoroute A16.
La commune est desservie, en 2023, par les lignes 615, 616, 6103, 6109 et 6122 du réseau interurbain de l'Oise[15].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom du village est attesté sous la forme Kroc en 1220[16].
Albert Dauzat considère qu'il s'agit du nom de personne germanique Croccus, Crocco pris absolument, formule toponymique fréquente, justifiée par l'absence d'article défini dans les formes anciennes[17].
Ernest Nègre y voit directement le terme français croc qui désignerait un « village en forme de crochet »[18].
Une autre hypothèse consiste à rapprocher ce nom des nombreux (le) Crocq, -croc(q) de Normandie, dont les formes les plus anciennes (antérieurement au XIIIe siècle) sont notées Crot, -crot. François de Beaurepaire fait remonter cet élément au vieil anglais croft « pièce de terre »[19],[20], « talus, pli, ressaut de terrain » et il n'est pas exclu d'y voir la même explication pour le Crocq, bâti sur un plateau élevé, coupé à l'ouest par des talus dans le versant de la vallée d'Hardivillers[21].
.
Le -c graphique final est motivé par l'attraction du terme français croc, issu du vieux bas francique *krok.
Histoire
[modifier | modifier le code]Antiquité
[modifier | modifier le code]La voie romaine Amiens - Beauvais passe près du village, parallèlement et à l'ouest de l'autoroute .
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Le Crocq est un hameau rattaché à la paroisse voisine de Cormeilles jusqu'au , il redevint indépendant de 1801 à 1832 avec la qualification de chef-lieu au lieu de hameau de Cormeilles .
La dénomination d'écart est alors attribuée aux bâtisses isolées comme les moulins ou les fermes isolées, il y avait d'ailleurs un moulin à vent situé entre Le Crocq et Cormeilles.
Le territoire est alors couvert d'un bois que l'on nommait la forêt de Cormeilles .
Le Crocq est une seigneurie de Louis (1172-1205) comte de Blois, puis de Chartres et de Clermont par son mariage en 1184 avec Catherine, comtesse de Clermont-en-Beauvaisis. Cet homme juste est par ailleurs le premier à abolir le servage sur ses terres, par une charte du :
« Moi, Louis, comte de Blois, fais savoir que les hommes n'ont plus à payer la taille. Il sera permis aux bourgeois d'élire douze d'entre eux pour diriger la ville. Si un habitant veut vendre ce qu'il possède, qu'il le vende, s'il veut s'éloigner de la ville, qu'il parte librement. Nul ne fera la corvée"[22] ».
Il donne cette seigneurie à l'abbaye de Froidmont en 1200[2] avant de partir pour la quatrième croisade où il devient duc de Nicée (Iznik en Turquie), il meurt en 1205 à la bataille d'Andrinople (Erdine en Turquie).
En 1244, l'abbaye Notre-Dame de Breteuil achète une partie du bois alors dénommé forêt de Cormeille et des terres dont elle fait la ferme de la Quennotaye[2].
Révolution française et Empire
[modifier | modifier le code]La commune, instituée lors de la Révolution française, est absorbée depuis les années 1790-1794 jusqu'à 1832 par celle de Cormeilles[3].
En 1836, la commune est propriétaire du presbytère, qui sert également d'école. À cette époque, il y a un moulin à vent au Crocq et sa population « très laborieuse confectionne des étoffes de laine »[2].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Crèvecœur-le-Grand[3]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Just-en-Chaussée.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune faisait partie de la communauté de communes de Crèvecœur-le-Grand Pays Picard A16 Haute Vallée de la Celle créée fin 1992.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[23], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[24], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[25].
Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[26], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [27].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]L'école est en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec Cormeilles et Villers-Vicomte.
La commune s'équipe en 2024 d'une salle polyvalente biosourcée de 220 m2 avec une ossature en bois et une isolation en paille, conçue par l'architecte Xavier Simonneaux[36],[33].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1836. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].
En 2021, la commune comptait 178 habitants[Note 5], en évolution de −2,73 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 15,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 92 hommes pour 88 femmes, soit un taux de 51,11 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Louis, construite dans les années 1780, constitue un bon exemple de l'architecture religieuse rurale à la fin de l'Ancien Régime et constituée d'une nef unique terminée par une abside à trois pans,
L'intérieur dispose d'un mobilier liturgique de la même époque, avec notamment les trois autels et la chaire. Des décorations datent du XIXe siècle avec des panneaux peints de scènes liturgiques, des statues avec dais, tous de couleurs vives, une voûte étoilée de couleur bleu nuit, des luminaires en métal richement ouvragés, l'ensemble inspiré de l'idée que l'on se faisait à l'époque de l'art médiéval[42].
On peut également noter un tableau du XVIIe siècle, l'Apothéose de Saint-Louis Classé MH (1913)[43].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Louis Graves indique « La maison de Vendeuil possédait au dix-septième siècle le domaine du Crocq qu'eut par un échange avec l'abbaye de Froidmont le 21 mars 1646, pour les fiefs de Heilly et de La Motelette sis à Bailleul-sur-Thérain. Louis de Vendeuil maréchal de camp lieutenant pour le roi à Doullens, ayant réuni les fermes de la Quennotaye, de Bellassise et de Malassise qui comprenaient la plus grande partie du territoire, construisit un château et une chapelle dont il obtint en 1661 l'érection en cure sous l'invocation de Saint-Louis.
Le domaine du Crocq passa plus tard au marquis de Runaigny ; il a été partagé depuis, le château démoli et le parc arrache[2] ».
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Tiercé en pairle renversé: au 1er de gueules à la gerbe de blé d'or, au 2e d'azur à la fleur de lis d'or, au 3e d'argent au chêne au naturel[44]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune du Crocq (60182) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, (consulté le ).
- « Le Crocq » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Ancienne RN 30, actuelle RD 930
- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- La salle communale multifonction de la commune inaugurée en 2024, porte le nom de ce maire[33]
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique du Crocq » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 au Le Crocq » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 au Le Crocq - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 au Le Crocq - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- François Bonneau, Paysages emblématiques de Picardie, t. 1 : Département de l'Oise, Beauvais, DREAL de Picardie, service eau, nature, paysages, , 103 p. (lire en ligne [PDF]), p. 4-6.
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crèvecoeur, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 96 p. (lire en ligne), p. 52-53, sur Google Books.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « SAGE Sensée », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Le Crocq et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Transports en commun au Crocq », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 229b.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
- [1]
- François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 34.
- « Les Vikings, premiers occupants du Crocq ? », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- Philippe Boulfroy, Nom de lieux Picards et particularismes de l'Oise, , p. 51.
- Charte de Châteaudun, 1197
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
- « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p. 15.
- R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417, , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d'agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
- Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430, , p. 17.
- « Listes des élus ayant présenté les candidats à l'élection du Président. de la République », Journal officiel de la République française, , p. 1060.
- O. B., « Le conseil municipal en pleine débâcle », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- P.Cr., « Elections partielles dimanche », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Agé de 67 ans et au conseil depuis vingt-deux ans, le premier magistrat quitte son poste en raison de dissensions avec son deuxième adjoint ».
- C. F., « Le nouveau maire élu », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Il ne reste plus aujourd'hui que trois conseillers sur onze de l'ancienne équipe municipale élue en 2001 ».
- Maxime Piquet, « Jean-Pierre Grevin, maire du Crocq (Oise), est décédé : Jean-Pierre Grevin était maire de ce village situé entre Breteuil et Crèvecoeur-le-Grand depuis 2006. », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « La nouvelle salle du Crocq porte officiellement le nom de l'ancien maire », Le Bonhomme picard, (lire en ligne, consulté le ) « C'est sous le soleil que samedi 25 mai, Le Crocq inaugurait sa salle multifonction baptisée au nom de l'ancien maire Jean-Pierre Grévin, décédé en 2023 en plein mandat ».
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3284, , p. 15 (ISSN 1144-5092).
- Maxime Piquet, « Thierry Germe est le nouveau maire du Crocq, dans l'Oise : L'élu prend la suite de Jean-Pierre Grévin, disparu en septembre 2023, dans ce village du nord du département », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Il succède à Jean-Pierre Grévin, décédé en septembre 2023, qui dirigeait la commune depuis 2006 et dont Thierry Germe était le premier adjoint ».
- Laura Levasseur, « Une salle des fêtes en matériaux biosourcés à Le Crocq : La salle des fêtes actuellement en construction est pourvue d'une ossature en bois et est isolée avec de la paille et de la laine de bois, ce qui permet de réduire considérablement les dépenses énergétiques », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Crocq (60182) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Dominique Vermand, « Le Crocq, église Saint-Louis : Diocèse : Beauvais », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
- « L'apothéose de Saint-Louis », notice no PM60000692, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).