Marœuil
Marœuil | |||||
L'église Sainte-Bertille. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | Communauté urbaine d'Arras | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marie Truffier 2020-2026 |
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Code postal | 62161 | ||||
Code commune | 62557 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Marœuillois | ||||
Population municipale |
2 441 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 207 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 19′ 29″ nord, 2° 42′ 23″ est | ||||
Altitude | Min. 58 m Max. 117 m |
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Superficie | 11,82 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Arras (banlieue) |
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Aire d'attraction | Arras (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Arras-1 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | www.maroeuil.fr | ||||
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Marœuil (en picard : Mareu) est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Marœuillois. La commune fait partie de la communauté urbaine d'Arras.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Le village fait partie du pays d'Artois, petite région de culture et de langue picarde, et est appelée Mareu dans cette langue[1].
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 11,82 km2 ; son altitude varie de 58 à 117 m[2].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[3].
La commune est traversée par la rivière Scarpe, cours d'eau naturel non navigable de 26,8 km qui prend sa source dans la commune de Tincques et se jette dans la Scarpe canalisée au niveau de la commune de Saint-Nicolas[4].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 753 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Wancourt à 14 km à vol d'oiseau[7], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,4 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Espace protégé et géré
[modifier | modifier le code]La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[11].
Dans ce cadre, le territoire de la commune fait partie d'un espace protégé : le marais de Marœuil d’une superficie de 20,411 ha. Terrain géré (location, convention de gestion) par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France[12].
Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : la haute vallée de la Scarpe entre Frévin-Cappelle et Anzin-St-Aubin, le bois de Maroeuil et la vallée du Gy en aval de Gouves. Cette ZNIEFF, d’une superficie de 702 ha et d'une altitude variant de 60 à 115 m, s'inscrit dans un région agricole, dans une plaine dénudée avec deux vallées verdoyantes, celles de la Scarpe et du Gy[13].
Espèces faunistiques et floristiques
[modifier | modifier le code]L’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[14].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Marœuil est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Arras[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant 15 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[16],[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[17]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (84,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,4 %), zones urbanisées (11,2 %), forêts (6,3 %), prairies (4,1 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Maraculum (680) ; Mareolum (977) ; Maroel (1104) ; Mareolæ (1171) ; Maroil (1221) ; Marolium (1232) ; Mariolus (1248) ; Maruel (1254) ; Marueill (1258) ; Maroeil (1321) ; Maroeul (1367) ; Mareel, Mareeill (XIVe siècle) ; Marueul (1408) ; Mareul (1416) ; Maruiel (1421) ; Maroolum (1445) ; Marœuil (1670)[21] ; Maroeul en 1793 ; Maroeul puis Marœuil depuis 1801[2].
De l'adjectif gaulois maro- « grand » et -o -ialo « espace découvert, clairière »[22].
Mareul en picard et Marol en flamand[23].
Histoire
[modifier | modifier le code]L'histoire de la commune est étroitement liée avec l'histoire de Bertille, fille de Ricomer, seigneur des Atrébates (VIIe siècle). Bertille a été une femme très pieuse et charitable. Elle a distribué ses biens et ses terres puis, elle s'est fixée à Marœuil où elle a construit une église en l'honneur de saint Amand. Morte en 697, ses reliques sont devenues l'objet d'un culte à la suite des nombreux miracles qui se sont produits sur sa tombe.
À plusieurs reprises, par exemple, en avril 1915, , pendant la Première Guerre mondiale, des troupes ont cantonné dans la commune située à l'arrière du front de l'Artois[24]. Le , six projectiles envoyés sur Marœuil tuent un civil, deux soldats et font plusieurs blessés[25].
Le 7 mai 2024, Marœuil devient la commune la plus proche d'Arras à signer la charte du Picard[26]. La commune s'engage a afficher le nom de la commune traduit à l'entrée du bourg, et à au moins un discours annuel en picard du premier magistrat de la commune, l’enregistrement d’un message en langue picarde sur le répondeur téléphonique de la mairie, ainsi que l’annonce faite aux parents d’élèves en début d’année scolaire de la tenue de cours de picard à l’école[26].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais[27].
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune fait partie de la communauté urbaine d'Arras qui regroupe 46 communes et compte 109 776 habitants en 2021[27].
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée au canton d'Arras-1[27].
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la deuxième circonscription du Pas-de-Calais[28].
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Le premier tour des élections municipales de 2020 se déroule le . Le confinement lié à la pandémie de Covid-19 retarde de trois mois la tenue du second tour, qui a lieu le . Celui-ci se solde par une quadrangulaire, comme trois autres communes du département du Pas-de-Calais : Wimereux, Dourges, et Meurchin[29].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]La commune est jumelée avec la commune de Bösperde (de) qui est intégrée, depuis le , à la commune allemande de Menden.
Ville | Pays | Période | ||
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Menden (Sauerland)[39],[40] | Allemagne | depuis |
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants sont appelés les Marœuillois[41].
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[43].
En 2021, la commune comptait 2 441 habitants[Note 6], en évolution de −2,24 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 224 hommes pour 1 237 femmes, soit un taux de 50,26 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Sports
[modifier | modifier le code]Lors de la saison 2008-2009, l'équipe de football (AS Marœuil) des moins de 13 ans a participé à la finale de la Coupe d'Artois, qu'elle a perdu 3-0 face à Marles US.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Monument historique
[modifier | modifier le code]- La chapelle de pèlerinage Sainte-Bertille. Ce bâtiment fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [47].
Autres lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- La gare.
- L'abbaye Saint-Amand-et-Sainte-Bertille[48].
- L'église Sainte-Bertille.
- Le souterrain de l'ancienne abbaye[49].
- Le monument aux morts[50].
- Le cimetière militaire britannique, accueillant les dépouilles de soldats du Commonwealth morts durant la Première Guerre mondiale.
- La nécropole nationale.
-
La chapelle de pèlerinage Sainte-Bertille.
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La gare.
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Le souterrain de l'ancienne abbaye.
-
Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Bertile de Marœil (?-697), sainte de l'Église catholique, morte à Marœil-lez-Arras.
- Roger Milliot, coureur cycliste, mort à Marœuil.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'argent à trois fasces ondées d'azur, au chef du même chargé de trois fleurs de lis d'or[51].
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Détails | Adopté par la municipalité le . |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Ouvrages consultables aux archives départementales du Pas-de-Calais[52] :
- P. Bertin, La chronique et les chartes de l’abbaye de Maroeuil, Imprimerie de M. Bertemont, Lille, 1959.
- F. Brasseur, Maroeuil, Conteville, Sub-Artesia, 1993.
- R. Flahault, Maroeuil au cours des âges, dans La Voix de Sainte-Bertille, 1957-1964.
- A. Nice, Sainte Bertille de Maroeuil-en-Artois. Sa vie, son abbaye, son culte, ses miracles avec l’histoire de Maroeuil, du château et de la seigneurie des évêques d’Arras, Arras,
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Aide à la rédaction des articles consacrés aux communes de France
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la commune
- Dossier de la commune sur le site de l'Insee[Note 7], [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l’IGN, [lire en ligne][Note 8]
- « La commune » sur Géoportail.
Bases de données, dictionnaires et encyclopédies
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Arras comprend une ville-centre et quatorze communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune,le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Marœuil devient « Mareu » : à quoi s’engage la commune qui a signé la charte du Picard mardi ?, La Voix du Nord, Marcel Debove, 10 mai 2024
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Rivière Scarpe (E2010600) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Marœuil et Wancourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « espace protégé FR4505951 - Marais de Marœuil », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013279 - La haute vallée de la Scarpe entre Frévin-Cappelle et Anzin-St-Aubin, le bois de Maroeuil et la vallée du Gy en aval de Gouves », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Arras », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Marœuil ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 178.
- Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
- Inventaire des journaux des marches et opérations des grandes unités, Brigades et groupes de bataillons, Brigades et groupes de bataillons d'infanterie, Brigades d'infanterie, 10ebrigade, : J.M.O. 18 mai1915-7 juillet 1916, p. 6, lire en ligne.
- « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
- « Marœuil devient « Mareu » : à quoi s’engage la commune qui a signé la charte du Picard mardi ? », La Voix du Nord, (lire en ligne)
- « Rattachements administratifs de la commune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) (consulté le ).
- « Circonscriptions législatives : Table de correspondance des communes et des cantons pour les élections législatives de 2012 et sa mise à jour pour les élections législatives 2017 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
- Sébastien Leroy, « Municipales : le casting est finalisé, c'est reparti pour un tour », La Voix du Nord, édition Hainaut-Douaisis, no 24244, , p. 3.
- [PDF] Histoire de Marœuil : Qui fut maire de Marœuil ?
- Chloé Dequeker, « Jean-Marie Truffier, l'homme aux multiples vies », L'Avenir de l'Artois, (lire en ligne).
- Benoît Fauconnier, « Le bilan des maires – Daniel Damart – à Marœuil: une remise à niveau des équipements publics après « des décennies de manque d’entretien » : Daniel Damart a plusieurs mandats de maire à son actif : un à Mont-Saint-Éloi entre 1995 et 2001, puis un à Marœuil, conquis en 2008. Voici l’heure du bilan marœuillois. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- http://www.lavoixdunord.fr/region/maroeuil-daniel-damart-a-la-tete-du-conseil-pour-son-ia29b6444n2043673, « Marœuil : Daniel Damart à la tête du conseil pour son deuxième mandat », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Marœuil: une salle polyvalente et un lotissement comme principaux projets du maire : Daniel Damart entame son deuxième mandat avec la volonté de faire enfin aboutir le projet de construction d’une nouvelle salle à laquelle s’ajoutera un complexe multisports. Le bourg devrait aussi changer un peu de physionomie avec la création d’un nouveau quartier », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Nicolas André, « Jean-Marie Truffier ceint à nouveau l’écharpe de maire de Marœuil », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « https://pastel.diplomatie.gouv.fr/cncdext/dyn/public/atlas/rechercheAtlasFrance.html?criteres.collectiviteId=27603 »
- « https://www.lavoixdunord.fr/39264/article/2016-08-30/nos-jumelages-maroeuil-tout-commence-mobylette »
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Marœuil (62557) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « chapelle de pèlerinage Sainte-Bertille », notice no PA00108341, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Antoine-Alexandre-Joseph Gosse, prieur d'Arrouaise, Histoire de l'abbaye et de l'ancienne congrégation des chanoines réguliers, 1786, imprimé par Léonard Danel à Lille, p. 350, archive de l'Université du Michigan, numérisé par Google Books
- Voir sur le site de la mairie
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- Armorial de France, p. 14824
- « La commune de Marœuil », sur archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).