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Marc Gontard

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Marc Gontard est un universitaire français, né à Quiberon en 1946. Professeur de lettres, il est spécialiste des littératures francophones.

Il est élu en 2005 à la présidence de l'université Rennes 2, puis est réélu en 2008 dans le cadre de la mise en place de la LRU. Son successeur Jean-Émile Gombert est élu à la présidence de l'université le .

Formation universitaire

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  • 1964 à 1968, il suit des études supérieures à la faculté des lettres de Rennes.
  • 1969, il enseigne à Marrakech au Maroc dans le cadre de son service militaire, tout en préparant sa thèse à l'université Rennes 2 nouvellement créée.
  • 1971 à 1978, il est nommé assistant puis maître-assistant à l'université de Fès où il crée puis dirige le département de langue et littérature françaises.
  • 1981, il revient à l'université Rennes 2, précisément à l'UFR de Lettres, comme maître-assistant.
  • 1987, il soutient, à l'université Paris IV-Sorbonne, une thèse de doctorat d'État sur Victor Segalen.

Recherche et enseignement

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  • 1994, il est promu professeur des universités en 1994.

Il a publié sur la littérature contemporaine et sur les littératures francophones (Maghreb, Québec, Bretagne). Il est membre de plusieurs comités de rédaction de publications étrangères, il est directeur littéraire aux éditions L'Harmattan où il a créé et dirigé, de 1981 à 1991, la collection « Écritures arabes », et est membre du comité éditorial des Presses universitaires de Rennes.

Fonctions administratives

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  • de 1999 à 2003 il dirige l'équipe ERELLIF (Équipe de recherche sur la diversité linguistique et littéraire du monde francophone) qu'il a créée avec Philippe Blanchet
  • de 1998 à 2002 il assure la direction de l'école doctorale « Arts, Lettres, Langues, Communication »
  • de 2002 à 2006 il est vice-président du conseil scientifique et premier vice-président.
  • depuis 2006, il est également coprésident français du Conseil franco-québécois pour la coopération universitaire (CFQCU)[1]

Il est élu président de l'université Rennes 2 le , et succède à François Mouret. Son mandat est initialement d’une durée de 5 ans[2]. Sa réélection par le conseil d’administration de l’université le lors de l’application de la LRU fait courir son mandat jusqu’en [3]. Il annonce lors de la rentrée universitaire de septembre 2010 qu'il ne se représenterait pas lors des élections de janvier 2010[4],[5].

Il est élu vice-président du Comité économique, social et environnemental régional de Bretagne en 2010[6].

Il est membre du syndicat SNESUP[7],[8]. Lors de la présidentielle de 2007, il soutient Ségolène Royal en qualité de président d'université[9].

Présidence de l'université Rennes 2

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Évolutions structurelles

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L'université connait plusieurs évolutions sous sa présidence. Le conseil d’administration de l’université vote de nouveaux statuts le dans le cadre de l’application de la LRU, ce qui prolonge son mandat jusqu’en [3]. L'établissement passe à l’autonomie au [10], loi qu'il a soutenu[11], et voit ainsi son budget passer de 29 à 89 millions d'euros[12] à la suite du transfert de certaines charges gérées jusque-là par l'État. Il déclare par la suite en 2010 que cette loi a « fortement modifié [l'image de l'université] auprès du patronat. [Elle] devient un interlocuteur majeur »[13].

L'établissement se dote d'un schéma directeur en juin 2010[14],[15] qui fixe les principales orientations d’aménagement et de développement du patrimoine immobilier de l'université pour une période de 15 à 25 ans. Ce développement a été permis par la signature d'une convention en septembre 2009 avec la Caisse des dépôts et consignations, cette dernière apportant un financement de 100 000€ pour l'opération[16],[17].

L'université développe des formations professionnalisantes avec l'ouverture d'une dizaine de Licences professionnelles à la rentrée 2008[18], et avec la généralisation d'un système de modules de formation professionnalisant au niveau de l'enseignement de 1er cycle à la rentrée 2009[19]. De nouvelles filières ouvrent, comme une licence « infocom » relancée en à la rentrée 2009[20]

Relation avec les autres établissements d'enseignement

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La Maison des sciences de l'Homme pour la Bretagne construite sur le campus de l'université

Sous sa présidence, l'université Rennes 2 participe à la création de l'université européenne de Bretagne, établissement de coopération entre les différentes universités et grandes écoles de la région, et en devient l'un des membres fondateurs. L'université est aussi partenaire sur des projets commun à d'autres établissements, comme la Maison des sciences de l'Homme pour la Bretagne, dont la construction commence sous son mandat sur le campus de l'université[21]. Il se prononce par ailleurs en faveur de la réunification de l'université dont il est président et de celle de Rennes 1[22], toutes deux issues de l'université de Rennes.

L'université se porte candidate pour accueillir l'IUFM de Bretagne lorsque celui-ci doit être rattaché en 2007 à une université, mais l'université de Bretagne occidentale est choisie[23]. Marc Gontard y voit là un choix politique, et plusieurs controverses voient le jour par la suite entre lui et Daniel Séguin, directeur de l'IUFM de Bretagne, à ce sujet[24],[25].

Une opération est montée avec le CREPS de Dinard pour mettre en place un Groupement d'intérêt public centré sur le sport[26]. Le projet définitif est arrêté en , et vise à assurer la formation de sportifs de haut niveau, ainsi que la recherche scientifique dans ce domaine. Ceci entraine la création d'un stade d'athlétisme couvert sur le campus de Villejean[27].

Plusieurs chaires universitaires sont aussi développées avec d'autres établissements d'enseignements supérieurs durant son mandat. Le Centre d’excellence Jean Monnet de Rennes qui associent les universités de université Rennes 1 et de Rennes 2 inaugure en juin 2010 une chaire sponsorisée par l'UNESCO sur « Les intégrations régionales dans le monde»[28]. L'université gère aussi avec Télécom ParisTech une chaire « Modélisation des imaginaires, innovation et création », inaugurée en octobre 2010 et qui associe par ailleurs les entreprises Dassault Systèmes, Orange, PSA Peugeot Citroën et Ubisoft[29].

Blocages universitaires

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Sa présidence est marquée par quatre blocages de l'université, marqués par des actes violents[30],[31],[32],[33],[34],[35] et/ou racistes[non neutre][36] répétés de la part de bloqueurs, des médias étant plusieurs fois pris pour cible par certains de ces derniers pendant cette période[37],[38],[39]. Les dégâts matériels consécutifs se chiffrent à quelque 350 000 [40], dont 100 000 pour le mouvement de 2006[41], 150 000 pour le mouvement de 2008 et 80 000 pour celui de 2009[42].

Une AG pendant l'un des blocages sous sa présidence

Il est lui-même pris pour cible pendant le mouvement contre le CPE en 2006, loi dont il demande alors la suspension[43], où il reçoit des coups, pendant les réformes sur la masterisation et l'évolution du statut des enseignants chercheurs en 2009 où il est séquestré plusieurs heures[44],[45], puis de nouveau à la pré-rentrée 2009 où il reçoit un seau de lisier[46]. Il compare les auteurs de ces violences à des « Khmers rouges »[47], en mettant régulièrement en cause un groupe d'autonomes en partie extérieur à l'université[48],[49],[50], et qualifie cette série de violences : « Dans toute ma carrière, je n'ai jamais vu une telle accumulation de mouvements avec des blocages aussi longs et une telle violence »[51].

Sa gestion des mouvements est critiquée par des opposants au blocage[52] comme par ceux y sont favorables[53]. Des votes sont pour la première fois mis en place par l'université sous sa présidence, d'abord à bulletins secrets lors du blocage lié au contrat première embauche en 2006[54], mais annulé par la force par des bloqueurs[55], puis sous forme de vote électronique en 2007 lors du mouvement contre la Loi relative aux libertés et responsabilités des universités[56],[57],[58] et en 2009 lors du mouvement contre la masterisation des concours d'enseignement[59],[60].

Prix et distinctions

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Après sa retraite, Marc Gontard s'est lancé dans l'écriture de romans policiers, occupation initiée dès l'an 2000 avec la parution de "De sable et de sang".

Publications

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  • Violence du texte : littérature marocaine de langue française, Paris-Rabat, L'Harmattan-SMER, 1981, 169 p.
  • Nedjma de Kateb Yacine. Essai sur la structure formelle du roman, Paris, L'Harmattan, 1985, 122 p.
  • Victor Segalen. Une esthétique de la différence, Paris, L'Harmattan, 1990, 327 p.
  • Le Moi étrange : littérature marocaine de langue française 2, Paris, L'Harmattan, 1993, 220 p.
  • La Chine de Victor Segalen : Stèles, Equipée, Paris, Presses Universitaires de France, 2000, 295 p.
  • Dictionnaire des écrivains bretons du XXe siècle (dir.), Presses universitaires de Rennes, 2002, 295 p.
  • La Langue muette : littérature bretonne de langue française, Presses universitaires de Rennes, 2008, 158 p.
  • Écrire la crise: esthétique postmoderne, Presses universitaires de Rennes, 2013.
  • De Sable et de sang, Paris, L'Harmattan, 2000.
  • Fractales, L'Harmattan, 2017.
  • Grandville Falls, L'Harmattan, 2017.
  • L'Ile des pluies, Rennes, Goater, 2018.
  • Naufrages, Goater, 2019.
  • La Morsure, Goater, 2021[65].
  • L'Héritière de Keroulaz, Goater, 2023.

Notes et références

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  1. Gilles Kerdreux, « Québec universitaire, porte de l'Amérique », Ouest-France, édition Rennes, samedi 27 juin 2009, consulté sur www.ouest-france.fr le 27 juillet 2010
  2. « Un nouveau président pour l’Université Rennes 2 », Science Ouest N°228
  3. a et b le magazine de l'université Rennes 2, n°1, décembre 2008
  4. C.S et N.L., « Rennes 2 : Marc Gontard devrait tirer sa révérence en 2011 », Le Mensuel de Rennes, 1er septembre 2010, consulté sur www.rennes.lemensuel.com le 2 septembre 2010
  5. « Université Rennes 2 : Marc Gontard pas candidat à sa propre succession », Ouest France, pages Rennes, mercredi 1er septembre 2010, consulté sur www.ouest-france.fr le 2 septembre 2010
  6. « Ceser. La composition du bureau », Le Télégramme, 10 novembre 2010, consulté sur www.letelegramme.com le 2 décembre 2010
  7. L'évènement: Rennes II anticipe le plan licence, La Lettre de L'étudiant, N°889-890, lundi 10 décembre 2007
  8. « Rennes 2 : le Snesup remporte une majorité des sièges du conseil d’administration », Educ Pro, 4 mars 2010, consulté sur www.educpros.fr le 10 juillet 2010
  9. « Royal soutenue par les universitaires ? Dans ses rêves peut-être mais la réalité est tout autre », 20 minutes
  10. « Six universités de l'Ouest autonomes en 2010 », Ouest-France, 10 juillet 1009, consulté le 10 juillet 2009
  11. David Bensoussan, « Les facs ont besoin d'autonomie financière », Challenges, 2 avril 2009
  12. « Rennes 2 : des effectifs plus nombreux en première année  », Le Mensuel de Rennes, 2 septembre 2009
  13. Marie-Estelle Pech, « Au 1er janvier, 90 % des facs seront autonomes », Le Figaro, 8 juillet 2010, consulté sur www.lefigaro.fr le 6 novembre 2010
  14. Universités : Rennes 2 lance son plan d’aménagement immobilier, Direct Gestion, 9 juin 2010, consulté sur www.directgestion.com le 28 juin 2010
  15. L'Université Rennes 2 lance son schéma directeur immobilier, Écoles Entreprises, 9 juin 2010, consulté sur www.ecoles-entreprises.com le 28 juin 2010
  16. Partenariat entre l’Université Rennes 2 et la Caisse des Dépôts, Caisse des dépôts et consignations, 9 septembre 2009, consulté sur www.caissedesdepots.fr le 28 juin 2010
  17. « Une convention de partenariat pour Rennes 2 », Ouest-France, édition Rennes, mardi 15 septembre 2009, consulté sur www.ouest-france.fr le 30 juin 2010
  18. Pierre-Henri Allain, Audrey Emery, « Rennes, 2020 demandez le programme », Le Point, 1 mars 2007, consulté sur www.lepoint.fr le 28 juillet 2010
  19. « Comment croiser les savoirs et les compétences », Les Échos, 8 mars 2010, consulté sur www.lesechos.fr le 28 juin 2010
  20. « Rennes 2. Le cap des 18.000 étudiants franchi », Le Télégramme, 6 septembre 2010, consulté sur www.letelegramme.com le 28 octobre 2010
  21. « Une Maison des sciences de l'Homme pour la Bretagne, Pour fédérer et dynamiser les recherches »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Science-Ouest N°228, consulté sur www.espace-sciences.org le 25 mai 2010
  22. « En pleine mutation, Rennes 2 soigne son image », Ouest-France,
  23. Agnès Le Morvan, « L'IUFM part à Brest, Rennes 2 digère mal », Ouest-France, édition Rennes, samedi 30 juin 2007, consulté sur www.rennes.maville.com le 28 juillet 2010
  24. « IUFM de Bretagne : polémique Gontard-Séguin sur les inscriptions », Le Mensuel de Rennes, 28 avril 2010
  25. « IUFM. Rennes 2 se défend de faire de la «désinformation» », Le Télégramme, édition finistère, 28 avril 2010
  26. « Rama Yade à Rennes pour valider le plan de sauvetage du Creps », Ouest-France, 27 janvier 2010, consulté sur www.ouest-france.fr le 6 novembre 2010
  27. Un campus d’excellence sportive en Bretagne, Région Bretagne, consulté sur www.bretagne.fr le 6 novembre 2010
  28. Ouverture des Assises Fondatrices de la Chaire Unesco "Intégrations régionales", université Rennes 2, 3 juin 2010, consulté sur www.univ-rennes2.fr le 14 octobre 2010
  29. Elsa Bellanger, « Nouvelle Chaire : « L’imaginaire comme matière première » », Innovation le journal, jeudi 14 octobre 2010, n°894, consulté sur www.innovationlejournal.com le 14 octobre 2010
  30. « Rennes 2, lettre ouverte du président aux parents », Le télégramme, 30 mars 2009
  31. « La présidence de l'université Rennes 2 attaquée par des étudiants », L'Express, 6 mars 2009
  32. « Rennes 2. Pris à partie par des étudiants radicaux » Le Télégramme, pages Bretagne, 7 avril 2009, consulté sur www.letelegramme.com le 28 juin 2010
  33. Véronique Soule, « Une vingtaine de facs bloquées », Libération, 14 novembre 2007, consulté sur www.liberation.fr le 8 juillet 2010
  34. Agnès Le Morvan, « La colère noire du président de Rennes 2 », Ouest-France, mercredi 14 novembre 2007, consulté sur www.ouest-france.fr le 23 juillet 2010
  35. Hervé Chambonnière, « Ultragauche. Le spectre d'Action Directe », Le Télégramme, 11 mai 2008, consulté sur www.letelegramme.com le 23 juillet 2010
  36. « Rennes 2. Les personnels nettoient les murs », Ouest-France, lundi 4 mars 2009
  37. « Etudiants. Pour le blocus à Brest, contre à Rennes », Le Télégramme, 13 novembre 2007, consulté sur www.letelegramme.com le 23 juillet 2010
  38. Pierre-Henry Allain« Médias non grata à Rennes-II », Libération, 12 novembre 2007, consulté sur www.liberation.fr le 23 juillet 2010
  39. Benjamin Keltz, « Bloqueurs / Journalistes : "Pire que le CPE" », Rennes Infhonet, mercredi 14 novembre 2007, consulté sur www.rennes-infhonet.fr le 23 juillet 2010
  40. « Rennes2. Jean-Emile Gombert succède à Marc Gontard », Le Télégramme, 13 janvier 2011, consulté sur www.letelegramme.com le 2 décembre 2011
  41. « Reprise des cours dans le calme », Le Nouvel Observateur, 19/04/06, consulté sur nouvelobs.com le 27 juin 2010
  42. « Rennes 2 tournée vers la reprise des cours », Ouest-France, édition Bretagne, lundi 23 mars 2009
  43. Natacha Czerwinski, Elise Doàn, Marie Huret, Anne Vidalie, « Facs sous tension », L'Express, 16 mars 2006, consulté sur www.lexpress.fr le 28 juillet 2010
  44. Université - Le président de Rennes 2 séquestré, LCI.fr, 6 mars 2009
  45. « Le président de l'université Rennes-II séquestré », Le monde, 6 avril 2009, consulté sur www.lemonde.fr le 30 juin 2010
  46. « Rennes 2, le président Gontard victime d'une agression », Le mensuel de Rennes, lundi 1er septembre 2009
  47. A Rennes 2, le blues d'un président d'université face à la révolte, www.liberennes.fr, 13 mars 2009
  48. Mickaël Louedec, « Gontard : "Nous sommes devant un mouvement totalitaire" », Rennes Infhonet, 13 novembre 2007, consulté sur www.rennes-infhonet.fr le 15 octobre 2010
  49. N.L., « Marc Gontard : "Rennes 2 ne peut pas être victime d'une minorité à chaque fois" », Le Mensuel de Rennes, 14 octobre 2010, consulté sur www.rennes.lemensuel.com le 15 octobre 2010
  50. « Rennes 2. Le président ferme l'université en réponse à une poignée de bloqueurs », Le Télégramme, pages Bretagne, 14 octobre 2010, consulté sur www.letelegramme.com le 15 octobre 2010
  51. « Attaque au lisier sur le président de Rennes 2 », Le Point, 2 septembre 2009
  52. « Rennes 2. Marc Gontard refuse de démissionner », Le Mensuel de Rennes, 30 avril 2009
  53. « Les étudiants de Rennes 2 disent non au blocage », Ouest-France, édition Bretagne, samedi 21 mars 2009
  54. « Rennes et Nantes sous tension », Le Nouvel Observateur, 18/04/06, consulté sur nouvelobs.com le 27 juin 2010
  55. C. L., « Les grévistes refusent que les «blocages» soient soumis à un vote secret », Le Figaro, mis en ligne le 15 novembre 2007, consulté sur www.lefigaro.fr le 6 novembre 2010
  56. « Le blocage de Rennes 2 au vote via Internet », Ouest-France, Jeudi 22 novembre 2007
  57. « À Rennes 2, une manipulation organisée », Ouest-France, lundi 26 novembre 2007
  58. « Le blocage de Rennes 2 au vote via Internet », Ouest-France, édition Rennes, jeudi 22 novembre 2007
  59. « Blocage de l'université Rennes 2: vote électronique mercredi et vendredi », Ouest-France, Mardi 17 mars 2009
  60. « Rennes 2. Les étudiants votent le déblocage », Le Mensuel de Rennes, 20 mars 2009
  61. «En bref, Des échanges franco-russes», Science-Ouest N°247, consulté le 19 juin 2009
  62. « Palmes académiques. 63 promus dans l'Ordre en 2009 », Le Télégramme, 2 décembre 2009, consulté sur www.letelegramme.com le 2 décembre 2010
  63. JO du 4 avril 2010
  64. « Rennes 2 : le "chevalier" Marc Gontard reçoit la Légion d'honneur », Le mensuel de Rennes, 21 mai 2010
  65. https://www.ouest-france.fr/bretagne/quiberon-56170/quiberon-marc-gontard-signe-em-la-morsure-em-son-dernier-livre-d8b60fe2-b419-11eb-8f5b-bfe92c54e28b

Articles connexes

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Liens externes

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